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P
Quand on tire la membrane, de la place se fait dans la bouteille et de l’air peut rentrer. Il va alors passer par la seule ouverture, le col du petit ballon, et le gonfler. Les poumons fonctionnent de la même façon : un muscle, le diaphragme, est accroché aux côtes en dessous des poumons et s’étire ou se contracte, agrandissant ou réduisant la place pour l’air dans la cage thoracique. Les poumons se gonflent en recevant de l’air par le nez ou la bouche, et se dégonflent quand l’air sort, poussé par le diaphragme, qui est symbolisé par la membrane du ballon dans l’expérience.  +
La lumière de la lampe de poche est une lumière blanche constituée de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Dans le saladier, la lumière traverse le liquide. Certaines couleurs continuent en ligne droite, alors que d’autres sont déviées par de minuscules gouttes de lait présentes dans l’eau. Le violet, le bleu et le vert sont déviés en premier, c’est pourquoi on les voit en se positionnant au-dessus du saladier. Les couleurs jaunes, orange et rouge traversent plus facilement les gouttelettes de lait ce qui explique la couleur rouge/orangée visible lors de l’observation en face de la lampe de poche.  +
Quand la feuille est à plat sur le carton, elle traverse tout l'air au dessus d'elle. L'air appuie dessus et la feuille est plaquée contre le carton. Quand la feuille est roulée en boule, la surface en contact avec l'air au dessus, donc la quantité d'air à traverser, est beaucoup plus petite. Si le geste est assez rapide le "frein" appliqué par l'air n'est pas suffisant pour arrêter la boule de papier. Alors quand le geste du bras s'arrête la boule continue son trajet vers le haut. Lors de son départ vers l'espace, une fusée doit tenir compte de l'air qu'elle traverse. Si elle n'était pas verticale et pointue, elle frotterait plus sur l'air. Cela la freinerait. Donc pour obtenir le même decollage il faudrait dépenser beaucoup plus d'énergie.  +
Le programme est une suite d’instruction pour la carte : ·        dans la première ligne on demande à la carte de définir le chiffre 1 à la variable « pinLed », ce qui nous permettra plus tard de modifier facilement quel pin de sortie on veut choisir. ·        Ensuite la partie « Setup » après « Void Setup » est une portion de code que la carte doit effectuer une seule fois, on s’en sert pour initialiser les paramètres. Ici la ligne « pinMode(pinLed, OUTPUT) » demande à la carte de définir le pin1 (puisque pinLed a été définie plus tôt par 1) en sortie, pour la préparer à envoyer du courant. ·        Enfin la partie « Void Loop » est la portion de code qui va se répéter en boucle. Nous avons quatre lignes ici : o  La ligne « digitalWrite(pinLed, HIGH); » demande à la carte d’envoyer du courant par le pin1. o  La ligne « delay(1000); » ordonne de mettre le programme en pause pendant une seconde (le chiffre 1000 indique le temps d’attente en millisecondes). o  La ligne suivante « digitalWrite(pinLed, LOW); » ordonne à la carte d’arrêter d’envoyer du courant par le pin1. o  Et enfin la dernière ligne demande à nouveau d’attendre une seconde. Les parties Void Setup et Void Loop sont obligatoires pour tous les codes Arduino, sinon cela provoque une erreur. Pour résumer, on demande à la carte de définir « pinLed » sur 1, puis de définir le pin1 comme une sortie et ensuite on lui demande en boucle d’envoyer du courant par ce pin pendant une seconde puis d’arrêter d’en envoyer pendant une seconde. Au final la LED (qui est connectée dans le circuit électrique au pin1) devrait donc clignoter en brillant une seconde toute les secondes. Il est possible de modifier le programme pour faire clignoter la LED plus rapidement par exemple, en mettant des temps d’attente plus court. Si on met « 500 » à la place de « 1000 » dans les « delay » la LED clignotera deux fois plus vite. Il est également facile de modifier le pin de sortie si besoin, il suffit de changer le « 1 » par le pin de votre choix dans la ligne « int pinLed = 1 ».  
Les conclusions pédagogiques s'amènent naturellement au fur et à mesure des débats. En opposant deux opinions divergentes, souvent confort des humains / écologie ou capitalisme / écologie. Il n'y a pas de bonnes réponses, seulement des choix qui ont des conséquences.  +
Après le montage, en actionnant le pédalier, le mouvement est transmis à la roue arrière par la chaîne. Le mouvement de la roue est donné à la poulie de l'alternateur par une courroie. Cette transmission se fait par multiplication de la vitesse manuelle "d'entrainement" ainsi on obtient une plus grande vitesse sur le rotor.  +
C'est la force de rappel de l'élastique aidé du contrepoids qui fait bras de levier et propulse l'objet .  +
L'objectif de notre système était de faire tourner le planétarium à l'aide d'un mécanisme à propulsion à élastique. Pour ce faire, nous avons récupérer le mécanisme d'une horloge que nous avons, par la suite, réadapté, et auquel nous avons intégré un ressort en spirale.  +
La paille n'est évidemment pas cassée! Mais on le perçoit ainsi. Ce phénomène s'appelle la réfraction : la lumière prend le chemin le plus rapide pour aller d'un point à un autre, et la vitesse de la lumière est différente selon les milieux traversés. Si l'on considère un rayon lumineux se propageant en ligne droite, lorsque celui-ci rencontre l'eau, il va alors voir sa trajectoire modifiée. On parlera alors de '''déviation des rayons lumineux.''' Chaque milieu est caractérisé par son indice de réfraction. L'indice de réfraction de l'eau étant différent de celui de l'air, ou de l'huile, l'image renvoyée est différente. Il s'agit en réalité du rapport entre la vitesse de la lumière dans le vide sur celui de sa vitesse dans le milieux concerné.  +
=== '''De manière simple''' === Ce phénomène s'appelle la réfraction : la lumière prend le chemin le plus rapide pour aller d'un point à un autre. La vitesse de la lumière est différente selon les milieux traversés. Lorsque la lumière reste dans le même milieu, la ligne droite est le chemin le plus court, mais lorsqu'elle traverse plusieurs milieux, le chemin le plus rapide est celui où elle passe le moins de temps dans le milieu lent et le plus de temps dans le milieu rapide.  +
Le son ne se déplace pas de la même façon dans l’air et dans l’eau, donc on n’entend pas le même son pour le même tapotement.  C'est le cas pour toutes les autres matières, du bois au béton, en passant par tous les gazes, les liquides et les solides.  +
La touchboard capte la proximité d’une main ou d’un membre et interagit en fonction de celle-ci. La réaction fonctionne comme un interrupteur.  +
La pupille est une ouverture dans l’œil qui laisse entrer la lumière. Si ta pupille t'apparaît noire, c’est parce qu’elle ne laisse presque pas ressortir la lumière qui vient d’y entrer. Le diamètre de la pupille varie de 8 mm à 1,5 mm selon la luminosité ambiante. Dans l’obscurité la pupille se dilate pour faire entrer plus de lumière. Cela permet d'y voir mieux dans le noir car, plus la lumière active de récepteurs présents sur la rétine qui est au fond de ton œil, et plus tu peux distinguer les objets qui t'entourent. Comme il y a moins de lumière dans une pièce obscure, il faut que la pupille soit grande ouverte pour qu'un nombre suffisant de rayons lumineux puissent pénétrer dans ton œil et parvenir jusqu'à la rétine. De plus, il faut généralement un certain temps pour que la vision s'habitue à une forte obscurité, car les cellules de l’œil qui permettent de voir dans la pénombre ne peuvent s'activer qu'au bout d'un certain temps après avoir quitté une pièce lumineuse. Si tu restes un certain temps dans une pièce sombre, tu constateras qu'au bout d'un moment tu distingueras beaucoup mieux ton environnement que juste après y être entré. Dans un lieu où la lumière est intense, la pupille se contracte pour limiter la quantité de lumière qui pénètre dans l’œil. Si la luminosité est vraiment trop forte, tu es ébloui : tu ne vois plus rien, à part un bref flash lumineux. Cela explique pourquoi la contraction est plus rapide que la dilatation : il s'agit d'un réflexe de protection contre l’éblouissement, qui pourrait brûler ta rétine s'il persistait trop longtemps. Il ne s'agit pas du seul réflexe qui est déclenché par l'éblouissement : généralement, cette sensation est tellement désagréable que tu vas chercher à te protéger de la lumière en fermant les yeux, en détournant le regard, voire en portant la main devant ton visage pour bloquer les rayons lumineux.  +
Q
Les biocides issus de la chimie sont des molécules complexes, contenant parfois un ou plusieurs atomes de chlore [2]. Ce sont deux facteurs qui les rendent difficiles à détruire pour les organismes. Puisque ces molécules ne sont pas neutralisées, elles vont s'accumuler dans l'organisme de façon anormale, pouvant causer des dysfonctionnements. La majorité des plantes stockent les substances pathogènes dans leurs fruits, graines, tubercules ou autres, pour s'en débarrasser quand le fruit ou la feuille tombe. Malheureusement, ce sont aussi souvent les parties qui sont consommées par les autres organismes.  +
Étape 1: Ton œil s'adapte aux différences de couleurs en fonction de l'environnement (ici la lumière et l'ombre) et donne une teinte aux objets (ici le damier). L’œil perçoit les dalles plus claires à la lumière et plus sombres à l'ombre, comme ce serait le cas dans la réalité. Mais dans cette image, ce n'est pas le cas. Étape 2: C’est ce qu’on appelle le mouvement apparent. L’illusion des serpents tournants se produit parce qu’il y a trop d’informations qui viennent “frapper” les différentes parties de notre œil en même temps. Tous ces détails sont envoyés à notre cerveau en une seule fois, ce qui trompe le cerveau en pensant que le mouvement a lieu. Étape 3: Beaucoup d'illusions sont des objets impossibles, qui n'existent pas dans la vraie vie. Tu peux également chercher le Triangle de Penrose pour voir un autre exemple d'objets impossibles. Pourquoi ne pas en fabriquer un toi même maintenant ? Étape 4: Les trois illusions jouent sur les perspectives et les couleurs afin de tromper l’œil. Notre cerveaux classe donc soit les objets comme ayant des tailles différentes, soit les barres comme étant non parallèles voir même courbes.  +
'''Réponses aux descriptions''' Description n°1 : l'Abeille Description n°2 : la Guêpe Description n°3 : le Bourdon Description n°4 : le Taon Description n°5 : le Frelon  +
R
# '''Capter les Données''' : #* La radio ne capte pas directement les ondes électromagnétiques. Au lieu de cela, elle utilise les données fournies par des capteurs de Bordeaux Métropole, qui mesurent divers types d'ondes, notamment celles des réseaux Wi-Fi, 4G, et d'autres appareils électroniques. #* Ces données sont accessibles en open data, ce qui signifie qu'elles sont disponibles gratuitement et peuvent être utilisées par le public pour diverses applications. # '''Conversion en Sons Audibles''': #* Les informations recueillies sont ensuite converties en sons audibles. Par exemple, la fréquence et l'intensité des ondes sont traduites en tonalités différentes : des sons plus intenses peuvent correspondre à des fréquences plus élevées ou à une plus grande densité d'ondes. #* Cette conversion permet à l'utilisateur de percevoir ce qui est habituellement imperceptible, transformant des données invisibles en une expérience sensorielle tangible. === Sensibilisation du Public === * '''Éducation et Sensibilisation''' : Le projet a pour but de sensibiliser le public aux ondes électromagnétiques en mettant en lumière leur omniprésence dans notre environnement quotidien. En rendant ces ondes audibles, les utilisateurs peuvent prendre conscience de leur impact potentiel sur leur santé et leur bien-être. * '''Expérience Immersive''' : En transformant des données techniques en sons accessibles, le projet offre une expérience immersive qui encourage une réflexion sur notre rapport aux technologies modernes et aux environnements connectés.   +
Les '''argiles''' sont des '''minéraux phyllosilicatés''' constitués de '''feuillets microscopiques''' empilés les uns sur les autres. Ces feuillets présentent une '''grande affinité pour l’eau''' : ils peuvent adsorber et incorporer des molécules d’eau dans leur structure cristalline. Ce processus provoque une '''augmentation de l’espacement interfoliaire''', entraînant ainsi une '''dilatation du volume du matériau''', phénomène appelé '''gonflement'''. Inversement, lors d’une '''déshydratation''' — par évaporation ou par baisse du taux d’humidité du sol — les molécules d’eau quittent ces interfeuillets, les particules se rapprochent et le '''volume total du sol diminue''' : c’est le '''retrait'''. Ce comportement, comparable à celui d’une éponge qui se dilate lorsqu’elle est mouillée puis se contracte en séchant, s’observe dans les sols argileux à grande échelle. Dans certaines argiles à forte capacité de rétention, les '''variations volumétriques''' peuvent atteindre '''10 à 15 %''', provoquant des mouvements de terrain significatifs. Le principal danger réside dans la '''non-uniformité de ces mouvements''' (retraits ou gonflements différentiels). Les '''fondations rigides''' des bâtiments ne s’adaptent pas à ces déformations différentielles du sol, ce qui engendre des '''contraintes mécaniques internes''' susceptibles de provoquer des '''fissurations''' ou des '''désordres structurels'''. Ce '''phénomène de retrait-gonflement des argiles (RGA)''' représente aujourd’hui '''le deuxième risque naturel le plus coûteux en France''', après les inondations. Sa particularité est son '''caractère progressif et cumulatif''' : contrairement aux catastrophes soudaines comme les séismes, le RGA agit lentement, mais de manière continue, affaiblissant les structures au fil des cycles saisonniers d’humidification et de dessiccation.  +
L’acidité d’un produit est donnée par une valeur appelée pH. Cette valeur est obligatoirement comprise entre 0 et 14. Les produits qui ont un pH bas (entre 0 et 7) sont dit « acides ». Les produits qui ont un pH élevé (entre 7 et 14) sont dit « basiques ». Les produits « neutres » ont un pH égal à 7. On peut représenter cela par une échelle de pH.  +
CYCLE DE VIE DE L'ANGUILLE : L’anguille européenne est une espèce migratrice qui se reproduit au beau milieu de l’océan Atlantique, quelque part entre les Açores et la mer des Sargasses dans un endroit assez méconnu. D’un œuf éclot une larve transparente, dite leptocéphale, qui ressemble à une feuille de saule. Cette larve traverse l’océan Atlantique, en direction des côtes européennes, en 200 à 500 jours, en dérivant au gré des courants et notamment du courant chaud du Gulf stream. Après plusieurs milliers de kilomètres parcourus, à l’approche du plateau continental, la larve se métamorphose en civelle. Ce premier stade juvénile de l’anguille est encore complètement transparent et ressemble cette fois à une aiguille de pin. La civelle part alors à la conquête des eaux continentales, où elle choisira un territoire pour grandir pendant plusieurs années. Très attirée par les panaches fluviaux, la civelle s’installe généralement dans un habitat côtier riche en proies tel qu’un estuaire ou une lagune : c’est la montaison. Mais, surtout si les densités sont trop importantes, elle peut choisir de migrer davantage vers l’amont. En l’absence d’obstacles, l’anguille peut ainsi remonter les cours d’eau jusqu’à plus de 1000 m d’altitude. Les zones moins denses en anguilles ont tendance à produire davantage de femelles que de mâles, et vice versa. L’anguille colonise ainsi un très vaste territoire qui s’étend du Nord de la Norvège aux côtes Nord de l’Afrique et des Açores à la Mer Noire. L’anguille européenne est une espèce panmictique, c’est-à-dire que l’ensemble des individus provient d’une seule et même zone de reproduction. C’est également une espèce longévive : plusieurs années de croissance lui sont nécessaires pour atteindre le stade argenté, repartir en mer et participer à la reproduction. Actuellement, l’origine et la quantité des anguilles argentées qui contribuent au stock reproducteur sont inconnues. De part ces caractéristiques et du fait de son fort déclin observé depuis les années 1970, l’anguille européenne est classée « critiquement menacée d’extinction » depuis 2008 par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature). Depuis 2007, des plans de gestion nationaux de l’anguille sont instaurés conformément au règlement européen (n°1100/2007) afin d’apprendre à mieux la connaître et de pouvoir mieux la protéger.