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Nos deux globes oculaires sont situés en avant de la tête, nous fournissant alors une vision binoculaire dite stéréoscopique. Grâce à elle, nous apprécions bien les distances.  +
A
Dans un écosystème, chaque espèce va interagir avec d’autres espèces et donc, est amenée à aider et à servir ces autres espèces. En se nourrissant de nectar, les insectes pollinisateurs contribuent inconsciemment à la sauvegarde de la planète, permettant la fabrication de nombreux fruits et légumes indispensables à la survie de nombreuses espèces, dont la nôtre.  +
Le broyage de l'oignon casse les parois externes des cellules qui sont rigides, ce qui permet de libérer l'ADN qui se situe à l'intérieur des cellules de l'oignon. Le sel favorise la précipitation de certaines protéines de l'oignon (inutiles pour l'expérience) qui resteront donc dans le filtre. Il absorbe l'eau contenue dans les cellules de l'oignon et facilite la précipitation de l’ADN lorsqu’on ajoute l’alcool. En ajoutant l’alcool, on fait précipiter l’ADN, qui devient alors visible : ses filaments s’agglomèrent en pelote. L'ADN précipite car il est insoluble dans l'alcool. L'ADN remonte doucement à la surface. Nous avons vu que pour extraire l'ADN de l'oignon, il faut effectuer une réaction chimique entre l'oignon et l'alcool. Une réaction chimique est une transformation de matière. Les matières utilisées avant la transformation sont appelées les réactifs. Les matières qui se forment après la transformation sont appelées les produits.  +
'''<u>Aires Marines Protégés, un problème de définition ?</u>''' Afin d’assurer leur rôle dans la pêche durable, assurant prospérité durable des écosystèmes marins et des pêcheur.euses la communauté scientifique et les ONG insiste sur la définition claire, ce qui n’est aujourd’hui pas vraiment le cas, en France du moins. L’UICN en 2008 définissait une Aire protégé au sens large comme : « un espace géographique clairement défini, reconnu, dédié et géré, par des moyens légaux ou d'autres moyens efficaces, afin d'assurer la conservation à long terme de la nature avec les services écosystémiques et les valeurs culturelles associés. » Au congrés mondial pour la nature d'Hawaii 2016 qui a réuni près de 10 000 participants (Des décideur.euses, des membres de la société civile, du secteur privé, du milieu universitaire, de peuples autochtones, etc.), l’UICN a recommandé à l’ensemble des États de protéger 30% des océans et précise que la pêche industrielle ne devrait pas avoir lieu dans ces aires marines protégées. (https://whc.unesco.org/fr/actualites/1563, BLOOM) Pendant ce temps, dans le droit français, est reconnue comme une « aire marine protégée », un espace géographique sur lequel s’applique un des outils de protection listé dans l’article L334-1 du Code de l’environnement (https://www.milieumarinfrance.fr/Nos-rubriques/Cadre-reglementaire/Aires-marines-protegees). Il en résulte 18 catégories française d’AMP se référant à divers textes de lois (Code de l’environnement, le Code rural et de la pêche maritime, des conventions internationales, les Codes de l'environnement des territoires d’outre mer, etc.). Cette conception très modulable va à l’encontre des définitions  +
Le fait de taper sur le verre permet à ce dernier de vibrer. En vibrant, le verre fait vibrer l'air autour de lui (l'air contenu dans le verre mais aussi à l'extérieur du verre). Plus le verre contient d’eau, plus il va vibrer lentement et émettre une note plus grave. Si le verre contient peu d'eau, il va vibrer plus vite et émettre un son plus aigu. Tu peux aussi essayer de faire un verrillon inversé : en mettant des verres vides dans une bassine, tu peux aussi émettre des sons. Si tu modifies la quantité d'eau dans la bassine, la note elle aussi changera.  +
Plusieurs réactions chimiques se produisent. Le CO<sub>2</sub> se combine avec l'eau, en formant de l'acide carbonique (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>). L’acide carbonique, instable, se dissocie directement en ions bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>-</sup>) et H<sup>+</sup> (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> -> HCO<sub>3</sub><sup>-</sup> + H<sup>+</sup>). La libération d’ions H<sup>+</sup> provoque une augmentation de l'acidité, autrement dit le pH diminue. Beaucoup des ions H<sup>+</sup> libérés s'associent avec des ions carbonate (CO<sub>3</sub><sup>2-</sup>) présents naturellement dans l'eau et forment des ions bicarbonate (H<sup>+</sup> + CO<sub>3</sub><sup>2-</sup> -> HCO<sub>3</sub><sup>-</sup>). Donc plus le pH diminue plus la concentration en ions carbonate de l'eau de mer diminue également.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === On a codé l'Arduino à l'aide du langage C afin qu'il puisse afficher les chiffres de 0 à 9. Le code source contient des fonctions « digitalWrite » qui permettent d'allumer des Leds précises selon des paramètres en entrée. La fonction ' digitalWrite ' envoie à chaque exécution le code approprié à chaque led précise pour l'allumer.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === On peut introduire les notions de portance et de traînée d’une aile d’un avion. Ces deux termes se rapportent à la mécanique des fluides et sont définis par différentes formules expliquées sur le site : [http://www.volez.net/aerodynamique-technique/elements-aerodynamique/expressions-portance.html Volez.net]. On peut voir que la forme (le profil) de l’aile influe sur le phénomène de vol. De même sa superficie, en augmentant, augmente les coefficients de portance et de traînée. On le voit concrètement car les avions ont de grandes ailes tandis que les oiseaux en ont des plus petites du fait de leur poids qui est totalement différent.  +
Avant de le plonger dans l'eau, le verre est, en plus du mouchoir, rempli d'air. Lors de l'immersion, l'air présent dans le verre reste bloqué à l'intérieur. Mais si l'air ne parvient pas à s'échapper, l'eau ne peut pas non plus remonter dans le verre, c'est pourquoi le mouchoir reste sec. Pendant l'expérience, le verre est placé dans l'eau à la verticale. Si on l'incline progressivement, l'air bloqué à l'intérieur s'échappe : on observe des bulles qui remontent vers la surface. L'air est donc moins dense que l'eau, et non soluble avec celle-ci.  +
Le bois est composé de fibres cylindriques. L'eau pénètre dans le bois et comble les espaces entre les fibres grâce au phénomène de capillarité: c'est la capacité d'un liquide à pouvoir remonter une surface même contre la gravité (la force qui nous attire vers le centre de la Terre). La capillarité est due à la différence de [[Poivre fuyard|tension superficielle]] entre deux liquides non miscibles (c'est à dire qui ne se mélangent pas), ou entre un liquide et l'air, ou encore entre un liquide et un matériau solide poreux. Un liquide à forte tension superficielle (comme l'eau) remonte en s'opposant à la gravité dans les matériaux composés de petits tubes très fins (appelés "tubes capillaires"). La progression du liquide s'arrête lorsque la gravité et la pression capillaire s'équilibrent. Lorsque le bois d'une allumette gonfle, elle se déplie pour reprendre sa forme initiale : elle pousse sur les autres et ainsi, contribue à agrandir l'étoile. D'autres expériences permettent d'observer ce phénomène, vous les retrouverez dans "Vous aimerez aussi" ci-dessous.  +
L'acier est un matériau qui a un haut point de fusion : 1482°C. C'est à dire qu'il ne fond pas avant d'avoir atteint cette température. En revanche, lorsqu'il atteint une température assez haute, l'acier rougit et émet de la lumière. C'est ce qu'on appelle l'incandescence. Pour éviter que la laine d'acier brûle, il faut chasser l'oxygène de la bouteille. La réaction du bicarbonate de soude avec le vinaigre remplit la bouteille avec du dioxyde de carbone, ce qui permet d'éviter la combustion.  +
La thermodynamique propose que, dans la matière à l'état gazeux, il existe une relation de proportionnalité entre d'un côté la pression P et le volume V et de l'autre côté la quantité de matière n et la température T : PV∝nT, ou P*V = n*T*R (R étant une constante).<br /><br />Sachant que la quantité de matière est directement proportionnelle à la masse.<br /><br /><br />Plus l’air est chaud, moins il est dense : pour une même quantité de matière d’air, le volume sera plus élevé... Ou pour un même volume d'air, celui-ci sera constitué de moins d'espèce chimique, donc sera moins. Quand l’air est assez chaud, il devient telle plus léger que l’air ambiant qu'il peut faire décoller notre sachet de thé !<div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Apollo the Fibressachet.png" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/f/ff/Apollo_the_Fibressachet.png"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Apollo_the_Fibressachet.png" class="image"><img alt="Zoom sur un sachet de thé : on distingue bien les fibres du papier" src="/images/f/ff/Apollo_the_Fibressachet.png" width="338" height="245" data-file-width="338" data-file-height="245" /></a></div></div></span></div>Entre les fibres du papier d'un sachet de thé, il y a des vides qui peuvent être occupés par de l’air. C'est cet air emprisonné à l’intérieur de ces fibres qui va chauffer, diminuer de densité, et finir par rendre tout le sachet plus léger que l'air ambiant quand le sachet brûlera.  +
Les flux d'eau dans la plante sont régis par le potentiel hydrique. La capillarité peut occasionnellement intervenir, si et seulement si elle va "dans le bon sens" en fonction de ce que la plante a besoin de faire. En effet les plantes contrôlent étroitement leur eau, c'est la base de ce qu'on appelle l'homéostasie (constance du milieu intérieur). Si les plantes "perdent le contrôle", parce que ce à quoi elles sont soumises est trop important pour elles, elles en meurent. C'est pour cette raison que vous ne verrez jamais un cactus vivre dans une mangrove ou un nénuphar dans le désert. Source sur le flux hydrique dans les plantes : http://www.pmm.universite-paris-saclay.fr/IMG/pdf/les_plantes_et_l_eau.pdf  +
Chaque couleur est caractérisée par une longueur d'onde de l'ordre du nanomètre. Les couleurs visibles par l'œil humain sont les couleurs dont la longueur d'onde se situe entre 380 et 740 nanomètres. [ < 380] ultraviolet [380 - 446] violet [446 - 520] bleu [520 - 565] vert [565 - 590] jaune [590 - 625] orange [625 - 740] rouge [ > 740] infrarouge Si on assemble tous les intervalles des couleurs que l'humain peut voir, on obtient un intervalle allant de 380 à 740 nanomètres. Cette fusion des couleurs de l'arc-en-ciel donne la couleur blanche. Les différentes couleurs qui composent la lumière blanche ne sont pas déviées de la même façon par l'eau, d'où le phénomène de décomposition de lumière qui se traduit par l'arc-en-ciel. La lumière blanche est décomposable. C’est une lumière polychromatique, c’est-à-dire composée de plusieurs couleurs. L'expérience met en œuvre un système dispersif permettant la dispersion (décomposition) de la lumière. Lorsqu'un rayon lumineux pénètre l'eau, il y a une décomposition de la lumière car les deux milieux (air et eau) possèdent un indice de réfraction différent. Or la réfraction est fonction de la longueur d'onde, ce qui entraîne la décomposition du rayon en autant de couleurs qui le constituent.  +
Chaque couleur est caractérisée par une longueur d'onde de l'ordre du nanomètre. La longueur d’onde est la distance parcourue par l’onde lumineuse pendant la durée d’une période (deux pics sur le graphique)<br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Arc-en-ciel de chambre OndeCouleur.png" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/b/b5/Arc-en-ciel_de_chambre_OndeCouleur.png"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Arc-en-ciel_de_chambre_OndeCouleur.png" class="image"><img alt="Arc-en-ciel de chambre OndeCouleur.png" src="/images/b/b5/Arc-en-ciel_de_chambre_OndeCouleur.png" width="262" height="206" data-file-width="262" data-file-height="206" /></a></div></div></span></div><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Arc-en-ciel de chambre LongeurOndeCouleur.png" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ee/Arc-en-ciel_de_chambre_LongeurOndeCouleur.png"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Arc-en-ciel_de_chambre_LongeurOndeCouleur.png" class="image"><img alt="Arc-en-ciel de chambre LongeurOndeCouleur.png" src="/images/e/ee/Arc-en-ciel_de_chambre_LongeurOndeCouleur.png" width="220" height="147" data-file-width="220" data-file-height="147" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />Les couleurs visibles par l'œil humain sont les couleurs dont la longueur d'onde se situe entre 380 et 740 nanomètres.<br /><br />[ < 380] ultraviolet<br /><br />[380 - 446] violet<br /><br />[446 - 520] bleu<br /><br />[520 - 565] vert<br /><br />[565 - 590] jaune<br /><br />[590 - 625] orange<br /><br />[625 - 740] rouge<br /><br />[ > 740] infrarouge<br /><br />Si on assemble tous les intervalles des couleurs que l'humain peut voir, on obtient un intervalle allant de 380 à 740 nanomètres.<br /><br /><br />La lumière blanche est polychromatique, c’est-à-dire composée de plusieurs couleurs. L'addition des couleurs de l'arc-en-ciel donne la couleur blanche. L'expérience permet la dispersion (décomposition) de la lumière : les différentes couleurs qui composent la lumière blanche ne sont pas déviées de la même façon par l'eau.<br /><br />Lorsqu'un rayon lumineux pénètre l'eau, il se produit une décomposition de la lumière car les deux milieux (air et eau) possèdent des indices de réfraction différents. Or la réfraction est fonction de la longueur d'onde, ce qui entraîne la décomposition du rayon en autant de couleurs qui le constituent.<br /><br />La lumière est brisée à la sortie de l'eau, chaque couleurs qui composent la lumière blanche ne se brisent pas sous le même angle, d'où le fait qu'elles apparaissent à des endroits différents et la formation d'un arc-en-ciel.  
Chaque espèce est importante car chacune joue un rôle dans le fonctionnement du sol. Certaines espèces décomposent la matière organique (=les végétaux et les animaux morts), d’autres servent à aérer le sol en y creusant des galeries par exemple, d’autres encore peuvent aider à la dissémination des graines... Chaque animal a un rôle très important, même les araignées et les limaces ! Par exemple les collemboles, les cloportes, tout comme les bactéries, les champignons, les vers de terre et bien d’autres décomposent les végétaux en mangeant leurs débris. C’est ce qui permet la fabrication de l’humus, la couche supérieure du sol. D’autres animaux en aérant le sol, permettent à l’eau de s’infiltrer dedans, comme les fourmis qui y creusent leur fourmilière ou les vers de terre avec leurs galeries. Les petites bêtes, comme on les nomme familièrement, sont aussi la base alimentaire de nombreux autres animaux, comme certains mammifères ou les oiseaux (les insectes sont très importants pour la bonne croissance de beaucoup d'oisillons !). <br/>  +
C'est donc bien grâce à la poussée d'Archimède que l'iceberg pourra flotter. https://fr.wikipedia.org/wiki/Glace : Glace https://fr.wikipedia.org/wiki/Pouss%C3%A9e_d%27Archim%C3%A8de : Poussée d'Archimède  +
Historiquement, la vie s’organise autour des cours d’eau : accès à la ressource en eau pour la consommation ou l’irrigation des cultures, voie de transport et de commerce, zone de pêche, force pour la production d’électricité. Or ces 60 dernières années, des constructions sont apparues de plus en plus près des rivières, augmentant ainsi le risque de dégradation lors de débordement. Les risques sont définis à partir des aléas (augmentation du niveau de l’eau) et des enjeux (constructions proches de la rivière) : s’il n’y a pas de maison dans le lit majeur de la rivière, il n’y a pas de risque à ce qu’elle se retrouve les pieds dans l’eau. Bien connaître les limites du lit majeur permet de les prendre en compte lors des politiques d’aménagement du territoire à proximité des cours d’eaux. Il faut aussi savoir qu’au sein du lit majeur, le tracé du lit mineur peut évoluer au cours du temps. Après une décrue, le tracé peut être différent de celui observé avant la crue. Ce phénomène est par exemple très visible dans les grands torrents de montagnes. C’est également le cas après une forte inondation. Ceci s’explique entre autres par une modification des zones de dépôts de sédiments (voir la fiche expérience « transport et sédimentation »). Enfin, d’autres facteurs peuvent augmenter le risque d’inondation  : - L'artificialisation des sols : moins les sols sont perméables plus l’eau va s’étendre (voir fiche expérience « les sols épongent ») ; - La modification du tracé du cours d’eau, qui va jouer sur son débit (voir fiche expérience « le reprofilage »). <br/>  +
* Le [http://fr.wikipedia.org/wiki/Scintillation_%28%C3%A9toile%29 scintillation d'une étoile] sur Wikipédia. * [http://fr.wikipedia.org/wiki/Convection La convection] sur Wikipédia.   +
Cette expérience permet de réfléchir sur les notions de portance, de pression (l'air exerce une pression sous les anneaux), et de résistance de l'air.  +
En fait, l’aéroglisseur n’a aucun contact avec la surface sur laquelle il repose. Il est en permanence sur coussin d’air. La présence d'un coussin d'air réduit considérablement le frottement et permet à l'aéroglisseur d'évoluer. Le principe est simple. L'air qui s'échappe du ballon s’évacue sous le disque. Les forces très importantes s’exerçant sur le support sont telles que le disque est soulevé de 1 ou 2 millimètre(s) par rapport à la table : il est en sustentation. Cet écart de quelques millimètres lui permet ainsi de "survoler" la surface sur laquelle il se trouve...  +
B
Coulomb, physicien français (1736 – 1806), a démontré que la présence de deux corps chargés provoque l’apparition de forces attractives ou répulsives selon le signe de leurs charges q. Cette force F est inversement proportionnelle à la distance r qui les sépare au carré : '''F(peigne/balle) = [ q(peigne)*q(balle) ]/ [ 4*pi*Eo*r²]''' Sur la figure suivante, on peut se rendre compte que la force d’attraction diminue rapidement avec l’éloignement. Plus l’éloignement est important, plus il faudra arracher d’électrons pour pouvoir déplacer une balle. L’attraction exercée par un proton sur un électron éloigné de 5 mm dans les conditions idéales est de : '''F = 9,2.10^-24 N''' <center> </center>Le passage répété du tissu sur le peigne va arracher des électrons aux atomes situés à la surface de celui-ci. Les électrons étant des charges négatives, cet endroit du peigne est chargé positivement. Le tissu ayant perdu des électrons est alors chargé positivement à sa surface. En revanche, la balle n’est pas chargée. Elle est dite électriquement neutre. ''<u>Pourquoi la balle est-elle attirée par le peigne frotté ?</u>'' En effet, la force dont parle Coulomb ne s’applique que pour deux objets chargés. Or ce n’est pas le cas ici car la balle est restée électriquement neutre. Le fait d’approcher une source de charge positive de la balle va avoir tendance à la polariser, c’est-à-dire qu’il va y avoir d’infimes migrations de charges des atomes (les électrons essentiellement) vers la face opposée au peigne. La balle se retrouve alors avec une face de charge opposée à celle du peigne et elle est donc attirée par le peigne. <u>''Pourquoi seuls les électrons sont-ils arrachés ?''</u> Pour bien visualiser le problème, prenons l’exemple de l’atome d’hydrogène. Il est constitué d’un noyau et d’un électron qui gravite autour (dans le cas général un atome, à l’état stable, possède autant de protons que d’électrons). Pour simplifier la représentation, nous représentons l’orbite de l’électron comme circulaire.  
L'air chauffe au début de l'expérience quand l'ensemble du coton s'enflamme, il prend par conséquent plus de place (il se dilate comme dans cette expérience : [http://wikidebrouillard.org/index.php/Bouchon_qui_se_soul%E8ve Bouchon qui se soulève]). Puis le feu s'éteint lorsqu'il manque d'oxygène. Comme il n'y a plus de feu, l'air chauffé refroidit et donc se contracte. La pression baisse dans la bouteille, il se crée par conséquent une différence de pression entre l'air situé à l’intérieur de la bouteille et l'air extérieur (qui se trouve à la pression atmosphérique). La différence de pression provoque une force de l'extérieur vers l'intérieur de la bouteille due à la création d'un vide créé par la contraction de l'air. Le ballon de baudruche est ainsi aspiré à l'intérieur de la bouteille.  +
===Allons plus loin dans l'explication=== Coulomb, physicien français (1736 – 1806), a démontré que la présence de deux corps chargés provoque l’apparition de forces attractives ou répulsives selon le signe de leurs charges q. Cette force F est inversement proportionnelle à la distance r qui les sépare au carré : Sur la figure suivante, on peut se rendre compte que la force d’attraction diminue rapidement avec l’éloignement. Plus l’éloignement est important, plus il faut arracher d’électrons pour pouvoir soulever un bout de papier.<center></center>Si on veut soulever un bout de papier de 10 mg avec ce procédé, il faudra donc arracher environ 10 700 000 000 000 000 000 000 électrons du ballon ! Le passage répété des cheveux sur le ballon de baudruche arrache des électrons aux atomes situés à la surface de celui-ci. Les électrons étant des charges négatives, cet endroit du ballon devient chargé positivement. Les cheveux ayant perdu des électrons sont alors chargés positivement à leur surface. En revanche, le papier n’est pas chargé. Il est dit électriquement neutre. Pourquoi le papier est-il attiré par le ballon frotté ? En effet, la force dont parle Coulomb ne s’applique que pour deux objets chargés. Or ce n’est pas le cas ici car le papier est resté électriquement neutre. En fait, le fait d’approcher une source de charge positive de la feuille a tendance à la polariser. C’est-à-dire qu’il y a d’infimes migrations de charges des atomes (les électrons essentiellement) vers la face opposée au ballon. La feuille se retrouve alors avec une face de charge opposée à celle du ballon et elle est donc attirée par le ballon. Pourquoi seuls les électrons sont-ils arrachés ? Pour bien visualiser le problème, prenons l’exemple de l’atome d’hydrogène. Il est constitué d’un noyau et d’un électron qui gravite autour (dans le cas général un atome, à l’état stable, possède autant de protons que d’électrons). Pour simplifier la représentation, nous représentons l’orbite de l’électron comme circulaire. L’électron est assez éloigné du noyau. Les forces qui l’empêchent de sortir de son orbite diminuent avec sa distance au noyau. De plus, il existe une autre force appelée interaction forte qui assure la cohésion du noyau. En effet, le noyau d’un atome est composé de particules neutres et de particules positives. Les particules positives se repoussent entre elles d’après la loi de Coulomb. C’est cette interaction forte qui empêche les protons de s’éloigner. Donc le noyau est très difficile à « casser ». En revanche, l’électron n’oppose presque pas de résistance. Et le simple passage des cheveux permet de l’extraire de son atome. En réalité, seuls les électrons de la couche externe, c’est-à-dire les plus éloignés du noyau, peuvent être « arrachés » (les atomes répartissent les électrons sur différentes couches). On dit alors que l’on a ionisé l’atome.  
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Si un liquide s'écoule dans une canalisation (ici, l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] sortant du sèche-cheveux), comme il est incompressible, son débit (volume transitant à travers une surface par unité de temps) est constant. Si la canalisation s'élargit, alors la vitesse diminue (puisque le débit est le produit de la vitesse par la section, les deux varient à l'inverse). Le théorème de Bernoulli nous indique alors que la pression augmente. À l'inverse, si la canalisation se rétrécit, le fluide accélère et sa pression diminue : '''c'est l'effet Venturi'''. Ce résultat est assez peu intuitif (on s'attendrait à ce que la pression augmente lorsque la section diminue). Si maintenant la conduite reste de section constante mais que l'on met un obstacle à l'intérieur (ici, le ballon ou la balle), l'obstacle diminue la section. On a donc le même effet. Si cet obstacle est un cylindre tournant, d'axe perpendiculaire à l'axe de la canalisation, alors le frottement accélère le fluide d'un côté et le ralentit de l'autre. On a donc une diminution de pression d'un côté et une augmentation de l'autre, le cylindre subit une force : c'est l'effet Magnus (notons que l'on considère souvent l'effet Magnus dans l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air], qui est un fluide compressible, mais le principe général reste le même). * [http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Venturi Effet Venturi] sur Wikipédia * D'autres applications de l'effet Venturi sur :[http://www.unilim.fr/scientibus/36manips/fiche_det.php?num_manip=10 Effet Venturi] sur Scientibus  +
Coulomb, physicien français (1736 – 1806), a démontré que la présence de deux corps chargés provoque l’apparition de forces attractives ou répulsives selon le signe de leurs charges q. Cette force F est inversement proportionnelle à la distance r qui les sépare au carré : Sur la figure suivante, on peut se rendre compte que la force d’attraction diminue rapidement avec l’éloignement. Plus l’éloignement est important, plus il faut arracher d’électrons pour pouvoir soulever un bout de papier. L’attraction exercée par un proton sur un électron éloigné de 5 mm dans les conditions idéales est de :<center>F = 9,2.10^-24 N</center>Si on veut soulever un bout de papier de 10 mg avec ce procédé, soit vaincre un poids de 0,098 N, il faudra donc arracher environ 10 700 000 000 000 000 000 000 électrons du ballon ! Le passage répété des cheveux sur le ballon de baudruche arrache des électrons aux atomes situés à la surface de celui-ci. Les électrons étant des charges négatives, cet endroit du ballon devient chargé positivement. Les cheveux ayant perdu des électrons sont alors chargés positivement à leur surface. En revanche, le papier n’est pas chargé. Il est dit électriquement neutre. Pourquoi le papier est-il attiré par le ballon frotté ? En effet, la force dont parle Coulomb ne s’applique que pour deux objets chargés. Or ce n’est pas le cas ici car le papier est resté électriquement neutre. En fait, le fait d’approcher une source de charge positive de la feuille a tendance à la polariser. C’est-à-dire qu’il y a d’infimes migrations de charges des atomes (les électrons essentiellement) vers la face opposée au ballon. La feuille se retrouve alors avec une face de charge opposée à celle du ballon et elle est donc attirée par le ballon. Pourquoi seuls les électrons sont-ils arrachés ? Pour bien visualiser le problème, prenons l’exemple de l’atome d’hydrogène. Il est constitué d’un noyau et d’un électron qui gravite autour (dans le cas général un atome, à l’état stable, possède autant de protons que d’électrons). Pour simplifier la représentation, nous représentons l’orbite de l’électron comme circulaire. L’électron est assez éloigné du noyau. Les forces qui l’empêchent de sortir de son orbite diminuent avec sa distance au noyau. De plus, il existe une autre force appelée interaction forte qui assure la cohésion du noyau. En effet, le noyau d’un atome est composé de particules neutres et de particules positives. Les particules positives se repoussent entre elles d’après la loi de Coulomb. C’est cette interaction forte qui empêche les protons de s’éloigner. Donc le noyau est très difficile à « casser ». En revanche, l’électron n’oppose presque pas de résistance. Et le simple passage des cheveux permet de l’extraire de son atome. En réalité, seuls les électrons de la couche externe, c’est-à-dire les plus éloignés du noyau, peuvent être « arrachés » (les atomes répartissent les électrons sur différentes couches). On dit alors que l’on a ionisé l’atome.  
Le principe dit « d'action-réaction » correspond à la troisième loi du mouvement énoncée par Isaac Newton. « L'action est toujours égale à la réaction ; c'est-à-dire que les actions de deux corps l'un sur l'autre sont toujours égales et de sens contraires. » Cela signifie qu'un corps A exerçant une force sur un corps B subit en retour une force d'intensité égale, exercée en sens opposé, par le corps B. Ici le bateau expulse de l'eau, en exerçant une force vers l'arrière. L'eau créé une force en retour, qui propulse le bateau dans le sens contraire, vers l'avant.  +
L’électricité statique permet au bourdon de fixer sur ses poils des grains de pollen. L’électricité statique entre l’insecte pollinisateur et la fleur aurait une autre conséquence : en se posant sur la fleur, le bourdon (chargé positivement) arracherait des électrons (charges négatives) à la plante. En perdant des électrons la plante perdrait alors une partie de sa charge électrique. Ainsi, les fleurs visitées récemment par des bourdons auraient une charge électrique plus faible. Le bourdon a la capacité de ressentir ces changements électrostatiques. Il choisirait donc de butiner les plantes ayant une forte charge électrique car cela signifierait qu'elles n’auraient pas été butinées récemment par un bourdon et contiendraient donc plus de nectar. [https://fr.wikipedia.org/wiki/Tribo%C3%A9lectricit%C3%A9 Triboélectricité] sur Wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lectricit%C3%A9#L.27.C3.A9lectricit.C3.A9_statique.html Électricité statique] sur Wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lectromagn%C3%A9tisme.html Électromagnétisme] sur Wikipédia  +
Pourquoi l'eau protège-t-elle le billet ? L’alcool est en plus grande quantité que l’eau. L'alcool brûle tout de suite alors que l'eau ne brûle pas. L'eau se transforme en gaz seulement à partir de 100 degrés Celsius (Vaporisation). Dans cette expérience, la combustion de l'alcool n'augmente pas suffisamment la température pour transformer l'eau en gaz. En restant mouillé, le papier est protégé de la flamme par l'eau, tandis que l'alcool est rapidement et complètement brûlé.  +
'''La biodiversité, contraction de « diversité biologique », faite référence à la variété et la diversité des formes de vie dans le monde vivant.''' Nous abordons dans cette activité deux des grandes composantes de la biodiversité : '''la diversité des espèces et la diversité des écosystèmes''' (ou milieux de vie). La plus connue, la diversité des espèces, correspond à la diversité de toutes les formes de vie animales (dont les humains), végétales, fongiques (de la nature des champignons), microscopiques sur Terre. '''La diversité biologique s’exprime d’abord dans une profusion d’espèces, des plus petites aux plus grandes, des plus belles aux plus insignifiantes, qui jouent toutes pourtant un rôle si important'''. Pour l’instant, 1,8 million d’espèces ont été baptisé, mais les scientifiques estiment que ce n’est qu’une partie de la biodiversité. Alors combien sont-elles ? Personne ne le sait, il en existe probablement plusieurs de dizaines de millions ! '''Cependant, la diversité biologique (biodiversité) n’est pas qu’un catalogue d’espèces ou de milieux.''' Elle est définie par 3 niveaux de diversité : la diversité des espèces, la diversité des écosystèmes (milieux de vie) '''mais aussi la diversité des individus au sein d’une même espèce. Et toutes ces espèces sont liées les unes aux autres, et avec leurs milieux de vie. On parle de tissu vivant de la planète !'''  +
'''La biodiversité''' n'est pas seulement définie par la grande diversité des espèces et des écosystèmes sur Terre : '''elle comprend aussi la grande DIVERSITÉ DES INDIVIDUS au sein de chaque espèce. C'EST LA DIVERSITÉ INTRA-SPÉCIFIQUE, qui existe chez toutes les espèces.''' Et ces niveaux sont en interactions permanentes les uns avec les autres. La '''diversité intra-spécifique correspond''' à la '''diversité génétique''', base du potentiel d’évolution et d’adaptation des espèces. C’est cette diversité des individus d’une même espèce qui conditionne les capacités d’adaptation à court et à long terme des populations et des espèces à leur environnement, changeant dans l’espace et dans le temps (changements climatiques, pollutions, maladies...).  +
La notion de bon état écologique est apparue dans les années 1990 lors du Sommet de la Terre. > En Europe, elle est reprise dans une directive en l’an 2000 qui impose des objectifs de qualité pour les eaux de surface et souterraines. > En France, elle est notamment reprise par les lois Grenelle dans la Trame verte et bleue française.  +
Le "bicarbonate de soude" NaHCO<sub>3</sub> est une poudre blanche couramment utilisée pour combattre les excès d'acidité de l'estomac. Son nom officiel est hydrogénocarbonate de sodium. Sa solution aqueuse contient les ions sodium Na<sup>+</sup> et les ions hydrogénocarbonate HCO<sub>3</sub><sup>-</sup>. Le vinaigre contient, notamment, des molécules d'acide éthanoïque CH<sub>3</sub>COOH. Lorsque le vinaigre et le bicarbonate entre en contact on a : - les molécules acides CH<sub>3</sub>COOH qui perdent un ion H<sup>+</sup> et se transforment en ions éthanoate CH<sub>3</sub>COO<sup>-</sup>, basiques - les ions basiques hydrogénocarbonate HCO<sub>3</sub><sup>-</sup> qui captent un proton H<sup>+</sup> et se transforment en CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O (acide conjugué). Les molécules H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> n'ont jamais été mises en évidence. CH<sub>3</sub>COOH = CH<sub>3</sub>COO<sup>-</sup> + H<sup>+</sup> on a le couple CH<sub>3</sub>COOH/CH<sub>3</sub>COO<sup>-</sup> HCO<sub>3</sub><sup>-</sup> + H<sup>+</sup> = CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O on a le couple CO<sub>2</sub>, H<sub>2</sub>O/HCO<sub>3</sub><sup>-</sup> En faisant la somme de ces 2 équations on obtient: CH<sub>3</sub>COOH + HCO<sub>3</sub><sup>-</sup> = CH<sub>3</sub>COO<sup>-</sup> + CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O L'acide CH<sub>3</sub>COOH donne un ion H<sup>+</sup>. La base HCO<sub>3</sub><sup>-</sup> reçoit un ion H<sup>+</sup>. Les molécules de dioxyde de carbone CO<sub>2</sub>, non polaires, ne sont pas très solubles dans l'eau, qui est un solvant polaire, et se dégagent essentiellement sous forme de gaz.  +
La bouteille est indéformable. Comme elle est ouverte, la pression exercée par l'air sur les parois est la même à l'intérieur et à l'extérieur. En soufflant dans la bouteille, on augmente le volume d'air à l'intérieur, mais comme le volume de la bouteille ne peut pas augmenter (elle est indéformable), il faut que l'air en trop sorte, entraînant la boulette de papier hors de la bouteille. En soufflant avec une paille sur la boulette, l'air est canalisé et orienté en seul point. La vitesse de l'air augmente, car en soufflant dans une paille, le diamètre du faisceau d'air expiré est plus petit. Pour une même quantité d'air soufflé, si le diamètre diminue, la vitesse augmente (le même phénomène se produit au niveau d'un barrage sur une rivière). La force exercée par l'air sur la boulette est plus importante, ce qui permet de la déplacer. En contrepartie, l'air sortant de la bouteille pour éviter la surpression n'est pas canalisé, sa vitesse et sa force sur la boulette ne sont donc pas suffisantes pour la faire ressortir. La force de l'air entrant dans la bouteille étant supérieure à celle de l'air sortant, la boulette entre dans la bouteille.  +
La composition de la terre induit un courant magnétique qui se compose de deux pôles : un négatif et un positif. En frottant l'aiguille à l'aimant, ont oriente le champs magnétique des électrons ferriques qui la composent. En constituant notre boussole, le côté positif, est attiré par le pôle négatif de notre Terre, qui se situe au pôle Nord de notre planète.<br /><br /><br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Boussole Champ-magnetique-Terre.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/6/64/Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/images/thumb/6/64/Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg/ia-c79fdbb3a03f57b1bff14375260f5565-px-Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg.png" data-thumbsrc="/images/thumb/6/64/Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg/ia-c79fdbb3a03f57b1bff14375260f5565-px-Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg.png" class="image" title="Champ magnétique terrestre"><img alt="Champ magnétique terrestre" src="/images/thumb/6/64/Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg/ia-c79fdbb3a03f57b1bff14375260f5565-px-Boussole_Champ-magnetique-Terre.jpg.png" width="400" height="266" data-height="266" data-file-width="1400" data-file-height="932" /></a></div></div></span></div>(Le pôle nord magnétique de la Terre est le pôle sud géographique de celle-ci, attention.)<br/>  +
La '''densité''' des liquides est mesurée par rapport à celle de l'eau, dont la valeur est 1. L'huile a une densité d'environ 0.9, elle est donc moins dense que l'eau. L'alcool (éthanol) a une densité encore plus faible qui est égale à environ 0.79. Dans l'expérience, lorsque nous ajoutons l'alcool dans le verre, l'huile reste dans la boîte car elle a une densité plus importante que celle de l'alcool. En effet, c'est le liquide le moins '''dense''' (donc le plus "léger") qui est en contact avec la surface. Par la suite nous ajoutons de l'eau à l'alcool. On peut remarquer que l'eau et l'alcool se mélangent car ils sont parfaitement '''miscibles''', ce qui n'est pas le cas avec l'huile. Au fur et à mesure de l'augmentation de la part d'eau dans le mélange, celui-ci voit sa densité augmenter. Au bout d'un moment, la densité de l'huile et celle du mélange s'équilibrent. L'huile n'est donc plus retenue dans la boîte et "flotte" dans le mélange, sous la forme d'une bulle. L'huile est soumise à deux forces, '''l'attraction terrestre''' et '''la poussée d'Archimède''' exercée par le mélange. Ces deux forces s'équilibrent et font donc "flotter" l'huile. L'huile ne se mélange pas avec l'eau car ses molécules sont composées d'une queue '''hydrophile''' (qui est attirée par l'eau) et d'une tête '''hydrophobe''' (qui rejette l'eau). La partie hydrophobe va donc fuir l'eau. L'huile prend une forme en boule car elle est entourée par le mélange auquel elle ne peut se mélanger, et la forme sphérique est celle qui permet à l'huile d'être le moins possible en contact avec le mélange.  +
C
Comme pour beaucoup de plantes, la croissance de l’arbre dépend de nombreux facteurs environnementaux : sa capacité à grandir, le lieu où il se trouve, la qualité du sol, la pente du terrain, l’exposition à la lumière, sécheresse etc... L’arbre est soumis à d’autres facteurs impactant plus occasionnellement, tels que les animaux, les parasites et bien sûr l’activité humaine (incendie, abattage, élagage) Chaque année, l’arbre possède une nouvelle cerne (cercle) annuelle permettant de découvrir son passé et sa manière dont il a grandi. Si les cernes sont irrégulières, cela peut-être dû à tous ces facteurs. De plus, l’alternance des cercles clairs (bois de printemps) et des cercles foncés (bois d’été), exprime les différentes étapes de la croissance de l’arbre. - Au printemps, la croissance est rapide. Elle se caractérise par une large bande de bois tendre, peu dense, de couleur claire et souvent ponctuée de gros vaisseaux. - La croissance diminue en été. Le bois d’été (ou bois final) se caractérise par une bande de bois plus mince, dure, plus dense donc plus foncée. - A l’automne et en hiver, la croissance de l’arbre s’arrête. Aucun bois ne se crée durant cette période. Ce cycle de croissance annuelle explique le fait que chaque cerne soit constituée de deux parties distinctes. Suivant la proportion de ces « deux bois », la texture finale d’un bois s’en trouve modifiée. Certaines essences sont doncc dites hétérogènes. C’est le cas du chêne et du châtaignier par exemple qui ont une texture très marquée. Ainsi, des bois à texture forte (forte proportion de bois final) ont tendance à être plus durs et plus nerveux que des bois à textures faible, plus tendres et moins nerveux.  +
Si on en met trop peu, le poids de la canette (14,45g) joue. En effet, le poids de l'eau ne sera pas suffisant pour combler la différence de poids entre la partie basse de la canette en alu (à gauche de l'axe de rotation, ici), et la partie haute de la canette, plus grande, donc plus lourde (à droite de l'axe de rotation, ici). Si l'on met trop d'eau (par exemple si l'on remplit la canette aux deux tiers), puisqu'elle est inclinée à 45° et qu'elle est plus haute que large, il y aura plus d'eau dans la partie droite de la canette, que dans la partie gauche. C'est pourquoi dans ce cas, le centre de gravité de la canette se situe plus à droite de l'axe vertical de rotation, et elle ne peut pas tenir en équilibre. Le problème est dû à la forme de la canette. Enfin, si on la fait tourner trop brusquement, la canette se renverse, car une petite vague est créée, cela déplace le centre de gravité et casse l'équilibre dans lequel elle se trouvait.  +
Cette expérience montre qu'une plante se nourrit grâce à des phénomènes couplés, dont '''la transpiration des plantes et''' '''l'effet de capillarité''''' (montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre).'' *La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules (les vaisseaux capillaires). Chaque petit vaisseau est relié à une partie précise d'un pétale ou d’une feuille. Ainsi, les vaisseaux qui plongent dans l'eau colorée conduisent cette eau par capillarité à toutes les extrémités des plantes (feuilles, fleurs).'' (A noter que la capillarité est directement liée à un autre phénomène physique : la [[Trombone qui flotte|tension superficielle]]).'' *De plus, l’eau est évacuée au niveau des feuilles sous forme de très fines gouttelettes (elle s'évapore) : cela assure la montée de l’eau au sein de la plante.   À ces phénomènes peut s’ajouter, au niveau des racines des plantes, celui de l’osmose '': échange d’eau qui se met en place entre deux milieux séparés par une membrane, l’eau circulant du milieu contenant le moins de sel vers le milieu contenant le plus de sel''. Il permet l'absorption de l’eau et des minéraux dissous du sol par les racines. Découvre le phénomène d’osmose à travers cette [http://users.skynet.be/chr_loockx_sciences/exp_osmose_4.htm expérience].  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Le transport des informations se fait par le biais du bus I2C, bus très utilisé dans les capteurs arduino. Contrairement au bus OneWire, celui-ci a besoin de 2 fils (A4 et A5) afin d'envoyer les data (SDA) et l'horloge (SCL). Afin d'avoir plus de détails sur le calcul des valeurs, un coup d'oeil directement dans la librairie est nécéssaire : tout y est. https://github.com/adafruit/Adafruit-BMP085-Library  +
• Comme dit précédemment, la paille est chargée négativement. Lorsqu'on approche celle-ci du côté d'une plaque, celui-ci va se charger positivement, les charges négatives se repoussant entre elles. Ces dernières vont donc se retrouver de l'autre côté de la plaque (le côté avec l'aluminium). L'influence de la première plaque sur la boule va reproduire le même phénomène sur celle-ci qui elle-même va le reproduire sur la seconde plaque avec tout de même moins de charges. L'attraction étant plus puissante vers la première plaque, grâce à la quantité de charges plus importante, la boule s'y dirige.<br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon1.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ed/Carillon_electrostatique_Carillon1.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon1.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon1.jpg" src="/images/e/ed/Carillon_electrostatique_Carillon1.jpg" width="342" height="245" data-file-width="342" data-file-height="245" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />• Lors du contact de la boule chargée positivement et de la plaque chargée négativement, il y a un transfert de charges du fait que les deux forment un seul conducteur : la boule devient chargée négativement. Elle est ensuite attirée de la même manière vers la seconde plaque pour y subir le même phénomène, et sa charge change de signe. Cela se reproduit tant que les charges des plaques sont assez fortes et différentes pour attirer la boule.<br /><br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon2.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/8f/Carillon_electrostatique_Carillon2.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon2.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon2.jpg" src="/images/8/8f/Carillon_electrostatique_Carillon2.jpg" width="241" height="157" data-file-width="241" data-file-height="157" /></a></div></div></span></div><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon3.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ee/Carillon_electrostatique_Carillon3.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon3.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon3.jpg" src="/images/e/ee/Carillon_electrostatique_Carillon3.jpg" width="248" height="157" data-file-width="248" data-file-height="157" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />• Enfin, lorsque l'on retire la paille, la première plaque répartit ses charges positives sur toute sa surface, ce qui a pour effet d'attirer à nouveau la boule, pour qu'elle puisse faire encore quelques allers-retours jusqu'à atteindre un équilibre.<br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon4.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/c/c2/Carillon_electrostatique_Carillon4.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon4.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon4.jpg" src="/images/c/c2/Carillon_electrostatique_Carillon4.jpg" width="180" height="145" data-file-width="180" data-file-height="145" /></a></div></div></span></div><br/>  
De nombreuses activités nécessitent l'accès à l'eau. La découpe d'un territoire en bassins versants permet de lier ces usages et de mettre en évidence leurs relations [1]. Les Schémas d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) ont pour objectif de concilier l'usage de l'eau pour les différentes activités humaines et pour les milieux naturels [2]. Ce sont des outils importants pour l'aménagement d'un territoire et la préservation de ses ressources. Ceux-ci ont pour rôle de réaliser un diagnostic de l'état des eaux sur le territoire, puis de fixer des objectifs et moyens. Pour les piloter, un comité est formé avec de nombreux acteurs et usagers du territoire.  +
Lorsque la catapulte est prête à être lancée, le projectile est placé sur le lanceur. L'élastique est ensuite tendu en tirant sur le bras de levier. Plus l'élastique est tendu, plus la force de lancement sera grande. Lorsque le bras de levier est relâché, l'élastique se détend, transférant l'énergie stockée dans l'élastique au projectile et le propulsant en avant.  +
Ce phénomène fait intervenir la loi des gaz parfaits, PV=nRT, avec : *P : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Pression pression] (Pa), *V : le [https://fr.wikipedia.org/wiki/Volume volume] du gaz (m<sup>3</sup>), *n : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Quantit%C3%A9_de_mati%C3%A8re quantité de matière] (mol), *R : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_universelle_des_gaz_parfaits constante universelle des gaz parfaits] (≈ 8,314 J·K<sup>-1</sup>·mol<sup>-1</sup>), *T : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Temp%C3%A9rature_absolue température absolue] (K). Dans notre cas, la quantité de mol (n) et la constante (R), ne varient pas. Dans un premier temps la température augmente, la production de gaz fait varier son volume mais vu que le verre garde le même volume, la pression augmente un petit peu. Puis lorsque la flamme s’éteint la température diminue et la rétraction de l'air devenu froid, fait diminuer le volume d'air et sous l'effet de la pression, l'eau est aspirée dans le verre et une fois l'eau dans le verre la pression redevient normal.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === L'Arduino est un microprocesseur dont les instructions sont codées dans un langage proche du C. Plus d'info sur l'article Wikipédia [http://wikipedia.org/wiki/langage_C Langage C]. En C, on déclare le type des variables avant de les utiliser : ici les int correspondent à des nombres entiers (1,2,3...), et le void correspond à une fonction non typée. Le const devant un type signifie que l'objet manipulé ne peut pas être modifié  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Au départ, les forces exercées entre les feuilles et à l'extérieur des feuilles s'équilibrent. Lorsque l'on souffle entre les feuilles, on créé une dépression : la force s'exerçant à l'extérieur des feuilles devient plus élevée que celle s'exerçant à l'intérieur. Pour arriver à un nouvel état d'équilibre entre les forces, les feuilles se rapprochent. * [http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_%28physique%29 Dépression] sur Wikipédia.  +
La chlorophylle est un pigment vert qui joue un rôle essentiel dans la photosynthèse. La photosynthèse permet à la plante de transformer les matières organiques montées par capillarité jusqu’aux feuilles qui grâce à la lumière absorbent le gaz carbonique dans l’air et le transforme en oxygène. Le pigment majoritaire chez la feuille verte est donc la chlorophylle. C’est essentiellement à lui que l’on doit la couleur verte des feuilles.  +
On peut distinguer deux phénomènes différents. Le premier est la montée de l'eau qui entraîne les colorants, le second est la séparation des colorants pendant cette montée. Normalement, la gravité terrestre devrait empêcher l'eau de monter le long de la bande et l'eau devrait plutôt avoir tendance à descendre. Cependant il existe le phénomène de capillarité. Ce phénomène physique entre en jeu dès qu'un liquide et une surface se rencontrent. Les molécules du liquide sont plus ou moins fortement attirées selon le liquide et selon la surface en question. Dans un tube en verre, on peut voir que l'eau monte légèrement plus haut sur les bords, la surface du tube attire l'eau par capillarité. Si le tube en verre est assez fin, il fera monter de l'eau jusqu'à ce que la gravité compense cette attraction par capillarité. Ici, le papier filtre attire l'eau par ce même phénomène et la fait monter. En montant, l'eau entraîne le point coloré avec elle. Le deuxième phénomène est celui qui décompose la séparation des couleurs. Pourquoi les colorants se séparent-ils lors de leur montée? C'est tout simplement parce que tous les colorants n'ont pas la même composition, et que par conséquent ils ne réagissent pas de la même manière. Ainsi les colorants monteront à une vitesse et à une hauteur qui dépendront non seulement de leur réaction avec le papier, mais aussi de leur solubilité dans l'eau. Voilà pourquoi ils se séparent. C'est la chromatographie. Il existe de nombreuses techniques de chromatographie, et leurs applications sont multiples en chimie analytique, en médecine, dans l'industrie ou encore la police scientifique. On peut utiliser ce procédé pour connaître la composition d'un produit inconnu, ou pour rechercher la présence et mesurer la quantité d'une substance dissoute dans une autre. La chromatographie permet par exemple de déterminer la quantité de caféine contenue dans un médicament, de savoir quels acides aminés sont présents dans un aliment, de rechercher des traces d'hydrocarbures dans l'eau d'une zone de baignade ou de prouver si la peinture trouvée sur une scène de crime est la même que celle de la voiture d'un suspect.  
Plus on branche de composants en série, plus la tension qui alimente chacun des composants est faible. Les LED ne s'allument pas ou peu. Les LED ont besoin d'une tension minimale à leur borne : si elles reçoivent une tension inférieure, elles ne s'allument pas du tout. Ces observations illustrent les lois de la tension. En série, la loi d’additivité de la tension s’applique, tandis qu’en parallèle, c’est la loi d’unicité de la tension qui s’applique. Cela se traduit ainsi : *dans un branchement en série, la tension du générateur (ici la pile) est égale à la somme des tensions des dipôles (chaque composant), *dans un branchement en dérivation (c’est à dire en parallèle), la tension du générateur est identique à celle des dipôles.  +
ça marche avec n'importe quelle boisson gazeuze, y compris l'eau pétillante. la substance ajoutée (le mentos) doit juste avoir une surface pleine de micro-aspérités. Du sucre ou du sel en poudre donnent aussi le même résultat (l'intensité dépendant de la quantité ajoutée, elle peut varier d'une expérience à l'autre). D'autres bonbons sucrés donnent un résultat souvent moins spectaculaire (  +
Tu as remarqué que nos éponges, même si on les essore bien, contiennent encore de l’eau ? C’est la même chose pour le sol ! Il a une capacité à retenir de l’eau. Pour un sol, la quantité d’eau qu’il peut absorber entre le moment où il est sec et le moment où il sature (il ne peut pas contenir plus d’eau) est appelée “réserve utile”. C’est la quantité d’eau qui peut en être facilement extraite, par les racines des plantes par exemple. Celle-ci est mesurée en millimètres de hauteur d’eau, comme la pluie. Elle varie principalement selon le type de sol (graviers, sable, terre argileuse). Lorsqu’une éponge est gorgée d’eau (dès le début ou après quelques instants d’arrosage) elle n’est plus capable d’en absorber. Son coefficient de ruissellement monte alors jusqu’à 100% (toute l’eau ruisselle) ! C'est la même chose pour le sol, si la pluie est trop intense ou dure trop longtemps, il finira par saturer. Nos éponges ont des coefficients de ruissellement très différents selon leur état. De la même façon, l’inclinaison ou le relief du sol peut influer fortement sur le ruissellement. Tu peux tester cela facilement chez toi : l’eau s'écoule très rapidement sur les surfaces qui ne sont pas horizontales. Un sol en pente a un coefficient de ruissellement bien supérieur à celui d'un sol horizontal de même surface . Au contraire, si un sol comporte des bosses et des creux, ceux-ci vont ralentir l’écoulement de l’eau et l’aider à s’infiltrer.  +
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tension_superficielle  +
Une '''loupe''' est un instrument d'optique subjectif constitué d'une lentille convexe permettant d'obtenir d'un objet une image agrandie. La loupe est la forme la plus simple du microscope optique, qui lui, est constitué de plusieurs lentilles l'objectif et l'oculaire), d'un système d'éclairage élaboré complété d'un condenseur de lumière rendant le fond uni sans image parasite, et qui répond à la définition de ''système dioptrique centré''. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Loupe Loupe sur Wikipédia]  +
La biodiversité, définie par sa diversité (des espèces, des écosystèmes et des individus) et ses interactions, '''constitue la toile de la vie dont nous faisons partie et dont nous dépendons'''. Elle résulte d'une évolution façonnée pendant des milliards d’années par des phénomènes naturels mais aussi, et de plus en plus, par l'intervention humaine. Les relations de coopération, de prédation, de compétition entre espèces ont joué et jouent un rôle central dans cette évolution. Ces interactions sont également le moteur du fonctionnement des écosystèmes (milieux de vie) : ils produisent, font circuler, transforment, accumulent matière et énergie au travers des êtres vivants qui les constituent et de leur activité. '''Ainsi la biodiversité assure de nombreuses fonctions biologiques (on parle de services écologiques), et toutes les espèces, en tant que constituantes des écosystèmes, contribuent aux services que toutes en retirent.'''  +
Plus de 95% des espèces d’un habitat naturel sont fortement liées les unes des autres, via les réseaux trophiques. Cette proximité des espèces signifie que la disparition d’une espèce peut avoir d'importants impacts sur les autres espèces et donc sur le fonctionnement même de l'écosystème. Par exemple, les prédateurs au sommet des chaînes alimentaires ont un effet de maintien de la biodiversité. S'ils disparaissent, les espèces dont ils se nourrissaient et qu’ils régulaient vont pulluler. Par compétition, elles éliminent alors d’autres espèces avoisinantes, ce qui entraîne une cascade de conséquences... '''Ces interactions montrent également que si nous voulons protéger une espèce dans un milieu donné, il est indispensable de prendre en considération toutes celles qui font partie de son réseau trophique, donc ses proies (et ce qui les nourrit) et ses prédateurs, sans qui l'espèce peut vite devenir envahissante.'''  +
Un courant électrique est un déplacement d'ensemble de porteurs de charge électrique, généralement des électrons, au sein d'un matériau conducteur. Ces déplacements sont imposés par l'action de la force électromagnétique, dont l'interaction avec la matière est le fondement de l'électricité. Dans un conducteur métallique, les particules chargées et mobiles sont des électrons peu liés aux atomes auxquels ils appartiennent (on dit que ces électrons se trouvent dans la bande de conduction). On peut considérer qu'ils se déplacent facilement dans le matériau métallique. Lorsqu'une différence de potentiel est appliquée aux extrémités du conducteur, elle provoque le déplacement de ces électrons, ce que l'on appelle courant électrique. Le réseau des atomes contient des ions positifs : les atomes qui ont perdu un électron. Mais ces derniers, prisonniers du réseau par les liaisons métalliques, sont quasiment immobiles et ne participent que de manière infime à la circulation du courant. Un isolant, aussi appelé matériau diélectrique, est une partie d'un composant ou un organe ayant pour propriété d'interdire le passage de tout courant électrique entre deux parties conductrices. Un isolant possède peu de charges libres, elles y sont piégées, contrairement à un matériau conducteur où les charges sont nombreuses et libres de se déplacer sous l'action d'un champ électromagnétique. La capacité d'un matériau à conduire plus ou moins bien les charges électriques est appelée "conductivité électrique".  +
Pourquoi certains plastiques flottent et d'autres non ? Cela dépend de la densité du plastique : pour un même volume de plastique et d'eau, certains morceaux vont être plus ou moins lourds (par rapport à l'eau) selon leur composition. Les morceaux les plus denses iront au fond de la bassine, et les moins denses restent en surface.  +
Pourquoi telle couleur est associée à telle température? L'augmentation de la température crée une agitation des atomes, ils se choquent les uns les autres et cela excite leurs électrons : dans certains cas, un électron récupère de l'énergie venant du choc. Ensuite, l'électron reperd cette énergie, en émettant un photon. Plus la température est élevée, plus le mouvement est puissant, plus l'énergie des chocs est grande, et plus les électrons sont excités. Donc l'énergie lumineuse augmente avec la température. Or la couleur d'un photon correspond à son énergie. Un photon infra-rouge (IR) a moins d'énergie qu'un photon rouge, qui en a moins qu'un jaune, qui en a moins qu'un bleu, qui en a moins qu'un ultra-violet... À température ambiante, les photons émis sont infra-rouges et invisibles. En augmentant la température, un mélange de photons IR et de photons rouges commence à être émis (cas du fer porté "au rouge"), puis en montant encore on obtient un mélange IR/rouge/jaune (on voit une couleur orangée), puis un mélange de tout le spectre visible (on voit du blanc), puis un mélange vu comme bleu, etc. On peut associer le phénomène du métal chauffé à l'observation des astres. On peut en effet déterminer la température des étoiles dont on connaît la couleur. Par exemple une étoile bleue comme Rigel a une température de surface de 20000°C.  +
L'étalement de l'encre et la dispersion des différentes couleurs est une illustration simple du principe de chromatographie. Cette technique est utilisée en laboratoire pour séparer les différents composants d'un mélange. Lors d'une chromatographie, l'échantillon est entraîné par une phase mobile, appelée éluant (ici, l'eau) à travers une phase fixe (ici, le papier filtre). La phase fixe retient plus ou moins fortement les différents composants de l'échantillon qui vont alors migrer à des vitesses différentes. On peut ainsi les séparer. Souvent l'échantillon est comparé à une solution dont les substances sont déjà connues, ce qui permet d'identifier les composants de l'échantillon à analyser.  +
Le chou rouge (''Brassica oleracea var.capitata f.rubra'') contient des colorants ('''les anthocyanes''') qui ont la propriété de changer de couleur en fonction du pH. Il est de ce fait le plus populaire des indicateurs naturels de pH et peut être utilisé pour enseigner les réactions acide-base à l'école. Pour extraire ces colorants, il suffit de porter à ébullition de l'eau contenant des feuilles de chou rouge, donc de faire une décoction de chou rouge.  +
Le sel de cuisine est composé de molécules de chlorure de sodium (NaCl). Quand on met du sel dans l'eau, celle-ci dissocie la molécule NaCl en deux parties, sodium et chlore. Lors de cette séparation, ces derniers subissent un changement,c'est-à-dire que le sodium donne un électron au chlore. De cette manière,les deux atomes ne sont plus électriquement neutres et forment ce que l'on appelle des ions. Ce sont les ions qui rendent l’eau conductrice. Les ions positifs – ou cations – migrent vers l’électrode négative de la pile, et les ions négatifs – ou anion – migrent vers l’électrode positive de la pile.  +
On a vu qu'une rivière pouvait sortir de son lit lors des crues et causer des inondations. En réalité, la rivière s'écoule au quotidien dans ce qu'on appelle le lit mineur [1]. Lors des crues, elle va occuper son lit majeur, qui peut être bien plus vaste et recouvrir des prairies ou des zones humides qui sont situées sur les bords de la rivière. En aménagement, on parle de zone inondable lorsque l'on se situe dans le lit majeur d'un cours d'eau. La plupart des cours d'eau ne se contentent pas de s'écouler à la même vitesse tout du long. Celle-ci va varier, notamment avec la profondeur. Lorsque la rivière est profonde, l'eau s'écoule lentement. On parle de zone de mouille. Au contraire, lorsque la profondeur est faible l'eau va avancer très vite, souvent en slalomant entre les rochers ou galets. On appelle cela un radier. Sur une rivière qui n'a pas subit d'aménagement, on observe souvent une alternance de mouilles et de radiers le long du tracé. Dans les méandres, c'est l'extérieur du virage qui est le plus profond et l'intérieur qui accumule les galets. Certains cours d'eau ont des tronçons qui ne semblent pas connectés au reste de la rivière ou qui ne s'écoulent pas. On parle alors de bras mort. Ceux-ci peuvent être un formidable refuge de biodiversité [3]. Les poissons et autres animaux peuvent venir s'y reposer à l'abri du courant. Pour qu'une rivière soit en bonne santé et puisse accueillir de nombreuses espèces différentes, il est nécessaire qu'elle possède des habitats variés.  +
L'abbé René-Just Haüy avait remarqué la constance des formes des individus d'une espèce végétale. Alors que les cristaux, dont la composition ne change jamais, présentaient des formes indéfiniment variables. Il observa qu'en cassant des cristaux de calcite de différentes formes, les fragments obtenus avaient toujours la même forme géométrique. L'abbé Haüy imagina que chacune des formes observées était composée d'une multitude de solides infiniment petits, ayant chacun les mêmes propriétés géométriques, physiques et chimiques que la forme elle-même. Un cristal apparaît donc constitué par un agencement de briques élémentaires, tout comme une maison peut être constituée par un agencement de briques. De la même manière, par agencement de briques, toutes identiques, on peut construire une cathédrale ou une maison. Encore plus... Les travaux de Haüy montrent que plusieurs formes de briques élémentaires sont nécessaires pour décrire l'ensemble des cristaux. Certaines formes sont simples, comme le cube, alors que d'autres semblent plus compliquées, comme le rhomboèdre. Haüy reconnut 6 genres de briques élémentaires, mais aujourd'hui on en admet 7. On parle des 7 systèmes cristallins : cubique, quadratique, orthorhombique, monoclinique, triclinique, rhomboédrique, hexagonal.  +
Evidemment, cette catapulte n'est pas universelle. Vous pouvez l'adapter seulement le moteur que vous avez à disposition. Pour le moteur, il faut qu'il ait une bonne puissance mais qu'il possède également un bon couple. Si il n'y a pas suffisamment de couple alors le moteur ne supportera pas le poids de l'objet; ce qui ralentit sa vitesse de rotation. Dans notre catapulte, afin d'améliorer le couple, on y a ajouter 2 engrenages. Le principe est de créer une accélération du couple (vis à vis du rapport de réduction) Pour le bras, le design du bras est libre à chacun suivant les besoins, le type de projectiles qu'on veut lancer. Pour finir, le bâti n'est pas indispensable au fonctionnement de la catapulte mais ajoute un aspect esthétique intéressant.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Le vent c’est tout d'abord de l’air en mouvement. L’air se trouve partout autour de nous. L’air chaud prend plus de place que l’air froid, il est ainsi plus léger, donc il monte. L’air froid prend alors la place de l’air chaud. La différence de température crée le vent. Le vent sur Terre est créé par : - Le réchauffement de l’air par le soleil. La terre étant ronde, la température n'est pas identique partout : à l'équateur il fait plus chaud qu'aux pôles. Il y a donc une différence de température. - La rotation de la Terre permet aux colonnes d'air de températures différentes de se rejoindre et de créer du vent. De plus, comme l'air est un fluide qui entoure la Terre, la rotation de celle-ci entraîne des vents importants à de grandes distances au-dessus de nos têtes.  +
Bonnes pratiques pour configurer votre diffusion : # Configurez votre diffusion en mode lien permanent # Diffusez votre émission test pour vérifier si tout fonctionne bien, stoppez votre diffusion dans OBS # Lorsque tout est prêt, retournez dans la configuration de votre diffusion en direct et cochez '''Publier une rediffusion automatiquement à la fin du direct''' # Lancez votre live à partir d'OBS  +
Pour aller plus loin dans la doc : https://ayushsharma82.github.io/ESP-DASH  +
Le son est une '''vibration'''. Le déplacement du son est caractérisé par une '''onde'''. Ces ondes, dites '''mécaniques''', ont besoin d'un milieu dans lequel se déplacer par exemple dans l'eau, dans l'air, dans les métaux etc.. Les ondes sonores se déplacent différemment selon les propriétés de leur milieu de propagation. Ici, la ficelle est plus dense que l'air. Alors, le son est perçu plus fort car la vibration transmise au niveau de l'oreille (externe, moyenne et interne) est plus intense.  +
*Lorsque l'on trouve du cuivre dans la solution de vinaigre, il n'est pas sous sa forme métallique, on appelle cela des '''ions'''. Les ions cuivre sont '''chargés positivement'''. En chimie, le symbole du cuivre s'écrit '''Cu''', les ions du cuivre s'écrivent '''Cu<sup>2+</sup>''' (Ils ont perdu 2 charges négatives) et ils s'appellent les '''ions "cuivriques"'''. L'acier contient du fer, le fer s'écrit '''Fe'''. Lorsque les ions cuivriques rencontrent les atomes de fer, ils redeviennent du cuivre. Les ions cuivriques prennent les charges qui leur manquent et redeviennent neutres sous la forme métallique Cu (cuivre). En revanche pour chaque atome de cuivre devenu métallique, un atome de fer devient un '''ion ferreux Fe<sup>++</sup>'''. *On dit que le cuivre est un '''oxydant''' et que le fer est un '''réducteur'''. Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''. *En somme, l'ion cuivrique est réduit par le fer en cuivre et le fer est oxydé par l'ion cuivrique en ion ferreux. *L'équation d'oxydo-réduction s'écrit alors comme ceci : '''Cu<sup>2+</sup> + Fe → Cu + Fe<sup>2+</sup>'''   +
La technique du cyanotype fut inventée en 1842 par le scientifique et astronome anglais John Frederick William Herschel (1792-1871) lorsqu'il découvrit que sous l’action de la lumière, les sels ferriques pouvaient se transformer en sels ferreux. William Herschel utilisait le cyanotype pour la copie de dessins. Plus tard, ce procédé fut utilisé pour faire des photogrammes. Anna Atkins (1799-1871), botaniste britannique, va être la première à utiliser les cyanotypes dans son ouvrage : "British Algae : cyanotypes impressions". Elle y présente notamment des herbiers sur les algues ainsi que sur les fougères. Elle le léguera en 1865 au British Museum.  +
Un autre phénomène, l'osmose, peut être lié à l’expérience. En effet l'osmose est un moyen pour la plante de se nourrir grâce au sel contenu dans ses racines, pour davantage d'informations techniques, reportez vous à ce [http://users.skynet.be/chr_loockx_sciences/exp_osmose_4.htm travail pratique]. Le principe est simple, le sel attire l'eau et ainsi les aliments des plantes. Prenons pour exemple une barre de fer, et trempons la dans l'eau. La barre de fer ne contenant pas de sel, l'eau ne monte donc pas. Au contraire , une plante contenant du sel, fera monté l'eau dans ses canaux grâce au principe de l'osmose et permettra à la plante de se nourrir.  +
D
Optimisation : - Utiliser d'autres connecteurs - Sur batterie, sur secteur  +
Les API permettent aux applications d'interagir les unes avec les autres. Par exemple, une application peut demander des données à une autre application et obtenir des données en retour.  +
S’il y a de la matière, il y a de l’énergie. Le monde étant rempli de matière, il est également rempli d’énergie. Et cette énergie ne se crée pas et elle ne disparaît pas. Elle se transforme pour passer d’un système à un autre, d’un état à un autre. Ici, la bille est faite de matière donc elle contient en son sein de l’énergie. Plus sa masse sera élevée, plus elle aura d’énergie stockée. De plus, en tenant la bille à une certaine hauteur, elle a accumulé de l’énergie qu’on appelle énergie potentielle gravitationnelle. Cette énergie dépend de la position de l’objet. Plus on lâchera haut la bille, plus elle aura stocké d’énergie. Quand on lâche la bille, toute cette énergie cumulée va se transformer en vitesse, en énergie cinétique (= énergie de mouvement). Puis lorsque la bille touche la surface de la farine, sa vitesse est arrêtée mais l’énergie n’a pas disparue. Elle s’est transmise aux grains de farine qui se sont déplacés ; aux molécules d’air qui ont formé un son. L’énergie a bien été conservée ; elle a seulement changé de forme.  +
Notre cerveau ne représente que 2% de ton corps, mais il utilise 15 à 20 % de l’énergie que nous consommons par jour ! '''La catégorisation (processus de lecture/tri rapide/simplifié) des informations lui permet d'économiser de l’énergie'''. Ainsi, si nos oreilles lui font parvenir le mot « sapin », il va puiser dans notre mémoire pour trouver rapidement les informations les plus représentatives et les mieux partagées par les humains d’une même culture : * une image mentale schématique : un sapin = trois triangles superposés + un rectangle ; * un ensemble de mots se rapportant au sapin défini par la culture et le contexte : arbre, Noël, cadeaux, hiver, bois, forêt…  +
En résumer, on peut observer que dans cette expérience, le son est sous la forme d'une <u>'''vibration'''</u> et que celle-ci <u>'''se propage'''</u> toujours dans la matières. Ici dans l’eau.  +
<nowiki>L'''a persistance rétinienne :''' La persistance rétinienne est un phénomène qui consiste pour l'œil et le cerveau à superposer une image qui vient d'être vue à l'image que l'on est en train de voir. La persistance rétinienne est plus marquée et plus longue si l'image observée est lumineuse. Nous pouvons comparer notre expérience à ce que l'on observe sur un écran de téléviseur. A nos yeux l'image semble stable, elle ne clignote pas. Or en réalité l'écran n'émet les images que par intermittence, mais notre œil et notre cerveau ne perçoivent pas les interruptions car les images s'enchaînent trop vite.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Persistance_r%C3%A9tinienne [1]] La persistance rétinienne sur Wikipédia''<br /><br /><br/><br /><br />*'''La somme des couleurs de l'arc en ciel compose "le blanc" :''' La lumière blanche est la somme de la multitude de couleurs présentes dans l'arc en ciel. En effet, nous avons ici colorié sept segments de couleurs différentes, mais en fait l'arc en ciel est composé d'un nombre incalculable de couleurs. Lorsque l'on additionne ces couleurs, on obtient le blanc pur. C'est pour cela qu'en faisant tourner très vite le disque de couleurs on croit le voir blanc.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Spectre_visible [2]] Le spectre visible sur Wikipédia''</nowiki>  +
En fonction de la turbidité de l’eau, des organismes différents vont se développer. En effet, certains préfèrent les eaux sombres, d’autres plus claires, plus ou moins riches en matières organiques. La présence de matières organiques en suspension influe sur la présence de certains organismes photosynthétiques qui utilisent la lumière comme source d’énergie, en particulier les algues et les autres plantes aquatiques.  +
L'illusion d'optique résulte d'une mauvaise interprétation par le système visuel des informations qui lui parviennent. Le système visuel ne fonctionne pas comme un instrument de mesure, mais comme un moyen d'interagir efficacement avec l'environnement. Dans la vie quotidienne, en cas de doute, un changement de point de vue donne une vision plus exacte de la réalité. Dans les illusions visuelles, cette possibilité est bloquée, créant une image faussée de la réalité, y compris en faisant apparaître un objet inexistant, ou rendant « invisible » un objet pourtant présent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Illusion_d%27optique  +
Les poussières microscopiques présentes dans l’air sous forme solide, liquide ou gazeuse (substances chimiques, micro-organismes, pollens, gaz...) sont en général rejetées par l’organisme. Mais certaines d’entre elles arrivent parfois à pénétrer dans les poumons ou à l’intérieur du corps, ce qui peut avoir des conséquences sur la santé. Ainsi certaines maladies moins fréquentes il y a quelques décennies (allergie, asthme...) se sont développées avec l’accroissement des pollutions (industrielles, agricoles, domestiques) liées aux produits de synthèse qui nous entourent (pesticides, produits d’entretien, colles, plastiques...), ces derniers contenant des matières parfois dangereuses pour l’environnement et la santé. Une courte exposition à fortes doses à un ou plusieurs polluants peut entraîner des irritations, des nausées, des intoxications... Une exposition longue durée à faible dose à certaines substances peut quant à elle entraîner des allergies ou des maladies respiratoires (asthme...), voire dans les cas les plus sévères des troubles neurologiques, hormonaux (problèmes de fertilité, d'obésité) ou des risques de cancers. L’influence du tabac : la fumée de cigarette est constituée multitudes de microparticules qui entraînent un dysfonctionnement de l’ensemble respiratoire au fil des années. Les substances nocives et irritantes qu’elle contient diminuent la ventilation, les broches s’obstruent, le tissu pulmonaire perd de son élasticité et diverses pathologies apparaissent : bronchites, infections, asthme, insuffisance respiratoire, voire un cancer.  +
La formation de la rouille est appelée la corrosion. La corrosion est l'altération d'un matériau par réaction chimique avec un oxydant. Les conditions nécessaires à la réalisation de ce phénomène sont la présence d'eau (H<sub>2</sub>O) et de dioxygène (O<sub>2</sub>).  +
Nous venons de voir le rôle détaillé de la biodiversité du sol dans le recyclage des feuilles mortes, mais elle ne se limite pas à ça. '''<u>La biodiversité des sols a 3 grandes fonctions :</u>''' *'''Elle RECYCLE '''les matières organiques, végétales mais aussi animales jusqu’à minéralisation ; *'''Elle RÉGULE''' le sol (via la prédation...), le cycle de l’eau ; *'''Elle STRUCTURE''' le sol, elle le forme, le maintien, l’aère, l’assemble. <br/> '''<u>Ainsi, du fait de ses fonctions, les humains tirent nombreux services de la biodiversité du sol (on parle de services écologiques) :</u>''' *'''des services de « support » ''': recyclage des nutriments (''cycle des nutriments, du carbone)'', formation et fertilité des sols ''(altération des roches ; dégradation de la matière organique)''...     *'''des services  de « régulation » :''' **'''régulation de la qualité et quantité d’eau''' : épuration, stockage et rétention contre les inondations ''(l’eau s’infiltre beaucoup plus facilement dans le sol quand il y a des galeries des vers de terre''),                 **'''régulation des populations d’organismes du sol et des maladies des plantes :''' chaînes alimentaires et réseaux trophiques ''(prédation…) ;'' protection des cultures ''(lutte     biologique : actions des lombrics sur les nématodes parasites)…'' '''   ''' **'''régulation du climat'''  ''(émission et absorption de gaz à effet de serre)'' '''   ''' **'''contrôle de l’érosion '''(''les turricules des vers de terre (tortillons de terre rejetés à la surface du sol) deviennent une barrière physique au ruissellement en surface'')   <br/> *'''des services de « production »''' : source de nourriture, de biomasse végétale ''(via les interactions de symbiose qui aident les plantes à pousser)'', habitat, refuge, source de médicaments (''issus des gènes des micro-organismes du sol)''…         *'''des services « culturels »''' : patrimoine géologique, archéologique, récréatif, éducatif, cognitif ''(recherche...)''  
'''Qu’est-ce qui permet de dire qu’une espèce fait partie des organismes du sol ?''' Tous les habitants du sol ne vivent pas forcément dans le sol. Et à l’inverse, tout ce qui touche le sol ne fait pas forcément partie des habitants du sol (sinon, nous, humains, en ferions partie) ! Par contre nous sommes toutes et tous dépendants du sol (en tant que support, base de notre alimentation…). Ainsi, les chercheurs s’accordent à dire que '''la biodiversité du sol regroupe l'ensemble des formes de vie qui présentent au moins un stade actif de leur cycle biologique dans le sol. Elle inclut les habitants de la matrice du sol ainsi que ceux de la litière et des bois morts en décomposition.''' Toutes ces espèces, quelle que soit leur taille, interagissent directement avec le sol (via leur habitat, leur reproduction, leur alimentation...), le modèlent, agissent sur sa texture (proportion d’éléments minéraux dans un sol : sables, limons, argiles), sa structure (la taille et l’organisation des particules de sol entre elles), sa composition (les différentes couches de sol). Cette biodiversité du sol est encore assez peu connue, mais elle a un rôle très important. C’est pour cela qu’il est important de la protéger, elle et son habitat. '''<u>Ainsi, parmi la liste des espèces proposées dans l’étape 4 - partie 2</u> :''' *'''<u>font partie des habitants du sol</u> :''' **les moisissures, les bactéries, les micro-algues, les enchytréides (vivent dans le sol), **les renards, les taupes, les vipères, les castors, les lapins, les souris (ont leurs terriers dans le sol), **les chênes et les marguerites (ont leurs racines dans le sol et s’y nourrissent). *'''<u>ne font pas partie des habitants du sol</u>''' : les poules, les chats, les cerfs, les pigeons, les moustiques, les libellules, les chiens, les abeilles (ils n’ont pas d’interactions directes avec le sol, excepté y trouver parfois leur nourriture).  +
Pour pouvoir se développer, l’être humain a depuis toujours utilisé l’environnement qui l’entourait. Il s’est notamment nourrit d’animaux (la chasse) et de plantes (la cueillette), il a utilisé la fourrure de certaines espèces animales pour se vêtir et avoir chaud. Depuis le siècle dernier, l’humain transforme des milieux naturels (forêts, zones humides, cours d’eau…) pour les exploiter, pouvoir faire de l'agriculture ou pour étendre les villes, les routes, construire des barrages, l’exploitation de mines... Ces activités humaines détruisent ou fragmentent les forêts qui abritent de nombreux animaux et végétaux, menaçant leurs survies. Dans des milieux naturels fragmentés, les pandas, comme de nombreuses autres espèces, ne peuvent plus se déplacer pour trouver un partenaire, un nouveau territoire ou de la nourriture. Pour lutter contre ce drame écologique, de nombreuses structures (associations, conservatoires, zoos…) se mettent en place pour protéger ou restaurer les espèces et les milieux naturels.  +
On peut par exemple installer une "barrière" pour retenir le sable et bloquer l'eau à l'aide de graviers, de plaques de carton, de barrages de bâtons... Une autre stratégie possible consiste à surélever les constructions en les installant sur un support bâti sur pilotis (les bâtons plantés dans le sable) pour qu'elle ne touchent pas l'eau, ou sur des fondations renforcées et hautes qui résisteront ou freiineront l'infiltration de l'eau (graviers, cartons...). Il est également possible de construire des habitations flottantes en installant les pots sur des radeaux ou des pontons (bouchons de liège attachés par de la ficelle ou autre matériaux flottants). Certaines équipes ont pu décider de retirer les pots de yaourt du sable afin qu'ils ne soient ni renversés ni mouillés par la montée des eaux. Cela permet aussi de gagner le défi ! Il est interéssant dans ce défi de comparer non seulement l'efficacité des solutions choisies, mais aussi le coût et la complexité de leur mise en place : faut-il utiliser beaucoup de matériaux, construire de nombreux équipements, modifier beaucoup le paysage d'origine ?  +
Pour mesurer la sécheresse les scientifiques utilisent plusieurs indicateurs. Le SPI (de l'anglais Standardized Precipitation Index) est un indice permettant de mesurer la sécheresse météorologique. Il s’agit d’un indice de probabilité qui repose seulement sur les précipitations. Les probabilités sont standardisées de sorte qu’un SPI de 0 indique une quantité de précipitation médiane (par rapport à une climatologie moyenne de référence, calculée sur 30 ans). L’indice est négatif pour les sécheresses, et positif pour les conditions humides Le SWI (de l’anglais Soil Wetness Index ) est un indice d’humidité des sols. Il représente, sur une profondeur d’environ deux mètres, l’état de la réserve en eau du sol par rapport à la réserve utile (eau disponible pour l’alimentation des plantes). Lorsque l'indice d'humidité des sols (SWI) est voisin de 1, le sol est humide (supérieur à 1, le SWI indique que le sol tend vers la saturation). Inversement, lorsqu'il tend vers 0, le sol est en état de stress hydrique (inférieur à 0, il indique que le sol est très sec).  +
L'air est composé de gaz (azote, oxygène, des traces d'autres gaz). Un gaz est constitué de molécules. La masse d'une molécule est constante mais avec la chaleur son volume augmente. Donc le rapport entre la masse et le volume (densité) diminue. Exemple numerique: Une mole d'azote pèse 28 g. Une mole d'azote à 0°C occupe 22,4 litre. Sa masse volumique est 28 / 22,4 = 1,25 kg / m3 ou 1,25 g/L Loi de Mariotte : PV/T = Cste P = Pression atmosphérique (Pa ou bar) V = volume (kg/m3 ou g/L) T = Température (K) La même mole à 50°C (293 K) occupe 22,4 * (273 + 50 ) / 273 = 26, 5 L Sa masse volumique à 50° est 28 / 26,5 = 1,056 kg / m3 ou 1,056 g/L La densité (masse volumique) de la molécule d'azote passe de '''1,25 g/L''' à 0° à '''1,056 g/L''' à 50°  +
E
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Toute matière est constituée d'atomes qui comportent des charges électriques positives (les protons) et négatives (les électrons). Les électrons sont libres, ils ont la capacité de se déplacer s'ils sont attirés par une charge positive. Lorsque l'on frotte le ballon sur les cheveux ou un pull en laine, des électrons se déplacent des cheveux (ou de la laine) vers le ballon. Comme les électrons sont des charges négatives, les cheveux (ou la laine), qui perdent des électrons, se chargent positivement, tandis que le ballon, qui gagne des électrons, se charge négativement. Il s'agit d'un phénomène d'électrisation par frottement. L'eau du robinet est électriquement neutre, elle contient autant de charges positives et négatives, qui s'équilibrent entre elles. Mais quand on approche un objet chargé électriquement d'un objet neutre, il se produit un phénomène d'électrisation par induction : l'objet chargé attire les charges de signe opposé qui sont présentes dans l'objet neutre. Ici le ballon chargé négativement attire les charges positives contenues dans l'eau. Le filet d'eau est donc dévié vers le ballon, jusqu'à ce que les électrons, en se déplaçant du ballon vers l'eau, aient rétabli l'équilibre. Lorsqu'on les frotte, certains matériaux ont plus tendance à donner des électrons, et donc à se charger positivement, et certains matériaux ont plus tendance à recevoir des électrons, et donc à se charger négativement. Pour savoir si un matériau se charge positivement ou négativement en cas d'électrisation par frottement, on peut consulter une liste triboélectrique.  +
'''Le réchauffement climatique est un processus naturel.''' Les gaz présents dans l'atmosphère filtres les rayons infra-rouges, nous protégeant ainsi naturellement du réchauffement excessif de la planète. Ces rayons sont stoppés pour la plupart par l'atmosphère ou encore les nuages. Néanmoins, tous les rayons infra-rouges ne sont pas stoppés. Bon nombre se réfléchissent sur le sol, ce qui nous permet d'avoir une moyenne de température sur la planète, d'environ 15°C. Certains gaz (CO<sub>2</sub>, CH<sub>4</sub>, H<sub>2</sub>O, ...) présents naturellement dans l'atmosphère, sont aussi produits en grand quantité par l'Homme (transports, agriculutrue intensive, industries, ...). Ces gaz sont responsables de l'accélaration du réchauffement climatique. Ils vont empêcher les infra-rouges, de quitter l'atmosphère lorsqu'ils se sont réfléchis sur le sol de la planète. Emrpisonnant ainsi d'avantage de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.  +
La molécule du pigment qui colore l'encre a été modifiée par l'eau chaude, le mélange est alors devenu incolore grâce à la forme basique de l’eau. L’eau est amphotère, c’est à dire qu’elle se comporte en acide en présence de base, et en base en présence d’acide. Ici, le pigment de l’encre est un acide, donc l’eau adopte un comportement basique et fait disparaître la couleur bleue en modifiant la molécule du pigment. L’eau chaude accélère la réaction. Sans chaleur, la réaction serait beaucoup plus longue. Ici, la chaleur est donc un catalyseur. Dans cette expérience, les molécules modifiées sont sensibles au pH (autrement dit à l'acidité du milieu). Quand on ajoute le vinaigre qui est un acide, la solution devient acide, et les molécules subissent une nouvelle transformation : elles reprennent leur état d’origine et le mélange est à nouveau bleu. Quand on ajoute du bicarbonate de sodium, il réagit avec le mélange. L’introduction d’une base (le bicarbonate), permet à l’encre de re-disparaître, car on neutralise l’acidité du vinaigre et on obtient une solution basique permettant la disparition de l’encre. Si on ajoute encore du vinaigre, il va se trouver en plus grande quantité que le bicarbonate de sodium (il n'y a plus assez de bicarbonate de sodium pour « occuper » tout le vinaigre). Le vinaigre va donc une fois de plus réagir avec la molécule modifiée, qui retrouvera son état d'origine pour colorer le mélange en bleu.  +
'''Les liaisons organiques''' sont des liaisons qui, comme pour tous les êtres vivants, contiennent du carbone. Le sucre (dextrose), le beurre, le miel (fructose), le vinaigre (acide acétique) contiennent des liaisons organiques. On appelle '''liaisons inorganiques''' celles qui ne contiennent pas de carbone. L'argile (oxyde d'aluminium) ou le sel de cuisine (chlorure de sodium) contiennent des liaisons non organiques.  +
<u>Explications de la variante :</u> L'éponge humide a mieux absorbé l'eau que l'éponge sèche. C'est parce que, pour entrer dans l'éponge sèche, l'eau doit d'abord chasser tout l'air qui se trouve à l'intérieur. C'est pour cela que, lorsque tu as mouillé l'éponge avant l'expérience, il a fallu laisser un certain temps l'éponge sous l'eau courante avant qu'elle commence à devenir humide et à absorber efficacement l'eau. Une fois l'éponge humide, celle-ci absorbe beaucoup plus facilement l'eau et la retient au lieu de la laisser ruisseler sur les côtés. Dans cette expérience, les éponges fonctionnent de la même façon que le sol qui reçoit le ruissellement des pluies. Un sol humide boit mieux, absorbe mieux l'eau de ruissellement qu'un sol sec de même composition. Les zones humides, comme les marais, sont souvent des lieux où se rassemblent toutes les eaux de ruissellement venant de la pluie ou des cours d'eau avoisinants lorsqu'ils débordent, de la même façon que l'éponge humide absorbe l'eau qui déborde du chemin dans notre expérience. Lorsqu'on les assèche, par exemple quand on construit une route ou un parking, ou pour installer des parcelles de culture, ces mêmes zones ne peuvent plus retenir l'eau comme auparavant. Cette eau, si elle ne peut être absorbée par les sols, va aller s'écouler dans les territoires alentour, où se trouvent sans doute des habitations, voire des villages ou des villes. En asséchant les zones humides, on augmente donc le risque d'inondation dans les zones avoisinantes.  +
Le centre de gravité (CdG), appelé G, est le point d'application de la résultante des forces de gravité (la pesanteur). Notre système règle + élastique + marteau est soumis à 2 forces extérieures : son poids qui s'applique à son centre de gravité et la force de réaction de la table qui s'applique au point de contact de la règle avec la table. Pour que le système soit stable, il faut que ces 2 forces soient égales et opposées. Le centre de gravité se positionne naturellement sous le point de sustentation (point de contact avec la table), exactement comme un pendule ou un fil à plomb se stabilise lorsqu'il est à la verticale de son point de sustentation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_d%27inertie  +
'''Les éruptions :''' Éruption effusive : La lave qui s'accumule au sommet du volcan forme un bouchon. Si les éruptions sont calmes, le bouchon va être creusé petit à petit et la lave va s'écouler le long des pentes. Éruption explosive : Si la pression des gaz et de la lave est trop grande dans le volcan, le bouchon va sauter ! Entrainant avec lui le gaz et la lave qui vont jaillir vers le haut. Dans certains volcans, entre les éruptions, des gaz peuvent s'échapper par des fissures. Cela crée des fumées que l'on appelle des fumerolles. '''La réaction acido-basique :''' Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH<sub>3</sub>COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO<sub>3</sub>) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le ballon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente, ce qui gonfle le ballon, qui reste alors gonflé s'il n'y a pas de fuite. <u>Voici le détail des réactions en jeu :</u> Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et  bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) : NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) : CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) : H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub> La réaction complète se résume ainsi : NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  
Principaux points sur l'évolution du trait de côte de quelques communes littorales :<br /><br />*Brest : en comparant les photos, on remarque qu'une zone portuaire très étendue a été construite, avec hangars, stations d'épuration, bassins à flots, parkings, chantiers navals, aires de carénage... le port de plaisance est bien visible, de même que le chenal creusé pour y accéder. Les surfaces agricoles sont moins nombreuses que dans les années 50, surtout au Nord, où la ville s'est étendue, et les parcelles (champs) sont plus grandes (ce qui facilite le labourage et la récolte par des engins agricoles à moteur).<br />*<br />*Lorient : on constate qu'une grande surface de vasière a été recouverte par la construction d'une vaste zone portuaire. La zone photographiée, située en fond de la rade et au centre ville de Lorient, ne comporte pas de parcelles agricoles, ni dans les années cinquante ni plus tard. Les bateaux de plaisance sont nombreux et bien visibles dans le port sur la photo récente, alors qu'ils étaient peu nombreux et dispersés dans les années cinquante. Ceci illustre bien le très fort développement de la plaisance ces dernières décennies, comme de l'ensemble des loisirs nautiques.<br /><br />*Arzal : sur un site presqu'exclusivement agricole dans les années cinquante, on distingue le nouveau port de plaisance et sa zone portuaire, et le célèbre barrage qui traverse la rivière. Un autre élément frappant est l'accumulation très importante de sédiment apparue en amont du barrage : une zone envasée s'est formée contre le barrage, et un banc de sable ou de vase s'étend maintenant sur plusieurs centaines de mètres. Les villes et villages se sont étendus, et les surface agricoles ont diminué.<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Evolution du trait de cote Comparatif photos Arzal.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" class="image" title="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal"><img alt="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal" src="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/600px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" width="600" height="450" srcset="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/900px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg 1.5x, /images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/1200px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg 2x" data-file-width="1824" data-file-height="1368" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />*St Cast le Guildo : Le principale changement observable sur la côte est la construction du port de plaisance, qui abrite de très nombreux bateaux, et l'apparition de surfaces bétonnées (parkings) à proximité. La plage voisine est toujours intacte (attention à ne pas confondre l'érosion et l'effet des marées, la photo ancienne est visiblement prise à marée basse). La ville s'est légèrement étendu, les parcelles agricoles ont reculé.<br />*Roscoff : la commune et sa côte ont beaucoup changé depuis les années 50. Un port-terminal ferry a été construit pour assurer les liaisons des ferries avec l'Angleterre et l'Irlande, accompagné de parkings et voies d'accès de véhicules très étendus. Un important port de plaisance a ensuite été construit (vers 2010). Les surfaces agricoles, très nombreuses dans le passé, ont beaucoup regressé, les champs sont moins nombreux mais ils sont devenus plus grands, les habitations se sont multipliées.<br />*Etel : on observe que la ville s'est nettement développée, remplaçant une part importante des surfaces agricoles et des dunes voisines de la ria. L'installation d'un port de plaisance a sans doute été accompagnée d'opérations de dragage et de consolidation des bords de la rivière (les eaux sont visiblement plus profondes) et d'une artificialisation d'une partie de la zone naturelle de vasière de la ria d'Etel.<br />*Ile de Groix : on est frappé par la multitude de très petites parcelles agricoles visibles dans les années cinquante sur cette partie de l'île, probablement travaillées encore en partie sans engins agricoles mécanisés à cette époque, qui ont cédé la place à des champs individuellement plus étendus mais moins nombreux. Les zones boisées, très rares sur l'île dans le passé, sont plus nombreuses (le bois servant de combustible avant la généralisation de l'électricité, et même les plus petites surfaces étant réservées à l'agriculture, les arbres étaient coupés). Le village (Locmaria) s'est étendu. La célèbre plage convexe des Grands Sables située à la pointe de l'île dans les années cinquante a migré progressivement vers le Nord sous l'effet de l'érosion.<br />*Le Vivier sur Mer : on remarque que les champs occupent globalement une surface moins importante, mais sont chacun plus grands que dans le passé. La ville s'est étendue, et une zone portuaire a été construite. Le chenal naturel a apparemment été élargi et son tracé modifié par dragage.  
Avec les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale, notre représentation de l'univers a radicalement changé au 20e siècle. L'univers est en expansion. Cela signifie que les distance entre les astres augmentent avec le temps. Etrangement pourtant, ce ne sont pas les astres qui bougent. C'est l'espace-temps entre les astres qui se dilate comme le fait le caoutchouc d'un ballon qu'on gonfle. L'idée que l'univers ne serait pas infini, fixe, statique, éternel date de bien avant le début du 20e siècle. Le paradoxe de Cheseaux Olbers a été exposé de manière documentée pour la 1ère fois par Thomas Digges en 1576. Si on suppose un univers infini, fixe, statique et éternel, il contient donc une infinité d'étoiles réparties de manière homogène. Si cela est le cas, quelle que soit la direction dans laquelle on regarde, il devrait y avoir une infinité d'étoile. Donc le ciel nocturne devrait être occupé en tout point par une étoile. Donc le ciel nocturne devrait être aussi brillant qu'un étoile. De manière amusante, Einstein était persuadé que l'univers était fixe au début de sa carrière. Il a ainsi ajouté une constante dans ses équations pour les rendre compatibles avec l'hypothèse d'un univers fixe. Ce sont d'autres chercheurs qui ont produit le modèle du Big Bang à partir de la théorie de la relativité générale d'Eintein. L'expression "Big bang" a été utilisée pour la première fois à la radio dans le but de moquer un modèle considéré par de nombreux astrophysiciens comme absurde.  +
Cela s appelle l oxydoreduction Le glucose sert de "combustible " a la réaction Clin d'œil a mon ami  +
Alors comment faire en sorte que notre stop motion ait l'air encore plus réaliste? En augmentant le nombre d'images qui se succèdent pas seconde d'une part... ou en rajoutant à notre animation du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Flou_cin%C3%A9tique#mediaviewer/File:Figure-Animation2.gif flou cinétique] à l'aide d'un logiciel d'animation : c'est le flou que l'on peut voir lorsque l'on prend l'on prend une photographie d'une personne qui bouge, et que nous interprétons comme du mouvement.Cette technique est maintenant très commune dans les films (d'animation ou non) et les jeux vidéos. Elle permette d'accentuer la sensation de mouvement, sans pour avoir à augmenter le nombre d'images par secondes. Pratique!  +
F
Une maquette de bassin versant peut être animée et complétée selon les notions que l'on souhaite aborder. On pourra ajouter au sol, notamment sur les bords et aux embouchures des rivières, des morceaux de mousse ou d'éponge, du sable, de la terre, pour illustrer le comportement de l'eau dans des zones humides et les marais littoraux. Sur les pentes du bassin versant, on peut disposer de longs boudins de pâte à modeler, pour représenter les sillons des champs cultivés et les talus qui bordent certaines parcelles agricoles. En ajoutant des carréponges sur les « champs » et les berges des rivières, ceux-ci absorberont en partie l'eau, comme le font les haies et le couvert végétal que l'on fait pousser entre les récoltes pour limiter le ruissellement.  +
La vapeur d'eau, plus légère, s'élève dans les airs jusqu'à atteindre une zone plus froide. L'eau y refroidit au contact de cet air froid (dans notre expérience, l'air froid est représenté par l'assiette pleine de glaçons) et forme de minuscules gouttelettes en suspension dans l'atmosphère, elle se '''condense''', formant ainsi les nuages. Lorsque les gouttes en suspension deviennent trop lourdes, l'eau tombe, on dit qu'elle '''précipite''', c'est ce que l'on appelle la pluie.  +