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Étape 1 : Nos yeux sont placés de chaque côté de notre nez, donc légèrement décalés l'un par rapport à l'autre. Chaque œil voit une partie différente du paysage dont une partie commune, c'est ce qui permet au cerveau de reconstituer le paysage complet, plus large. Étape 2 : Cette expérience permet de bien voir le décalage des images perçues par nos deux yeux, on a l'impression que l'image "saute" de droite à gauche. Étape 3 : Les yeux ne voient pas la même chose, l'un voit à l’intérieur du rouleau et l'autre voit la main ouverte. Les yeux nous permettent de voir, mais c’est le cerveau qui « compose» les images. Le cerveau associe les deux images vues par les deux yeux pour n’en donner qu’une seule. Les deux images vues par les yeux étant très différentes l’une de l’autre le cerveau est trompé et nous donne une fausse interprétation de ce que nous voyons. Étape 4 : L'association par notre cerveau de deux images légèrement décalées permet d'avoir une représentation de notre environnement en trois dimensions, on peut avoir une notion de profondeur de champs (quel objet est devant l'autre). Avec un seul œil, on voit comme "à plat", en deux dimensions seulement. C'est pour cela qu'avec un seul œil ouvert, on a du mal à bien viser un point précis. Au final, nous ne voyons pas double bien que nous ayons deux yeux, parce qu'un système dans notre cerveau récupère les deux images légèrement différentes des deux yeux, avec des champs de vision différents mais une partie commune et un léger décalage. Le cerveau en fait alors une superposition pour ne former qu'une seule et unique image, large et en trois dimensions. Cette image sera parfaite si l'on reçoit bien toutes les informations des yeux, puisqu'on a vu la complémentarité nécessaire pour capter le relief par exemple.  +
A
'''<u>Étape 3</u> :''' La fleur est le lieu de reproduction de la plante. Elle renferme les organes reproducteurs: les étamines (l’organe mâle) qui contiennent le pollen, et le pistil (l’organe femelle) qui contient l’ovule. Dans la nature, pour qu'une plante se reproduise, il est nécessaire que le pollen soit transporté sur le pistil de la fleur - '''c'est la pollinisation''' - pour rencontrer l'ovule. L'ovule devient alors une graine et le pistil (ou une partie de la fleur) devient un fruit, source de nourriture pour de nombreuses espèces, dont la nôtre ! La graine, en tombant, germe pour donner une nouvelle plante. '''<u>Étape 4</u> :''' Les plantes dont le pollen est transporté par le vent doivent fabriquer une grande quantité de pollens, car seul une infime partie de ce pollen atteint le pistil d'une plante de la même espèce. ''(Ainsi, plus la plante fabrique de pollen, plus elle aura de chance que son pollen atteigne une autre plante)''. '''<u>Étapes 5 et 6</u> :''' Les insectes pollinisateurs (et parfois certains oiseaux et chauve-souris) sont attirés par les fleurs colorées et parfumées, comme celles de la plupart des arbres fruitiers (pomme,abricot, orange...) et des plantes potagères (courgette, tomate, pois, tournesol...), dont ils consomment le nectar. Ainsi, sans pollinisateurs, de nombreux fruits et légumes disparaîtraient. Les pollens de ces plantes sont généralement collants, huileux ou crochus, ainsi, ils se fixent mieux aux insectes. Ces adaptations naturelles sont à l’origine de la grande richesse et diversité des végétaux de notre planète. Quant aux fleurs discrètes (petites, sans couleur ni odeur) comme celles des céréales (blé, maïs...) et des arbres forestiers (pin, sapin, châtaignier, chêne, hêtre,noisetier...), c'est souvent le vent qui transporte le pollen sur les fleurs voisines, ces plantes fabriquent une grande quantité de pollen, dont seule une infime partie atteindra le pistil d'une autre plante de la même espèce. Parfois, le pollen d'une fleur tombe directement sur le pistil de la même fleur. '''Ainsi les plantes, très diversifiées, sont adaptées aux différents modes de dissémination des grains de pollen !''' <br/>  
L'ADN que nous cherchons se situe à l'intérieur des cellules de l'oignon (dans le noyau de chaque cellule, il y a de l'ADN). Quand on broie l'oignon, ce qu'il y a l'intérieur peut sortir. Le sel permet de faciliter une réaction chimique qui s'appelle la précipitation. La précipitation est une réaction chimique dont le résultat ressemble à des grumeaux dans un liquide (cela ressemble aux grumeaux dans une purée de pomme de terre). Pour obtenir l'ADN d'un oignon, il faut effectuer une précipitation entre le liquide provenant de l'oignon et de l'alcool. C'est pourquoi on ajoute de l'alcool.  +
Respectivement 33,4% et 44,8% de tous le terrritoire marin français et de la métropole sont considéré comme protégé. Il y a plusieurs type d'aire marine protégé sous plusieurs appelation en fonction des outils énoncé dans un texte de loi français appelé "Le code de l'environnement", comme les zones Natura 2000, les parcs naturels marins, la partie maritime des parcs nationaux etc. Ces différents types d'AMP ne sont pas équivalent au niveau des restrictions des actions humaines Du 3 au 9 février 2023, s’est déroulé Le Congrès international sur les aires marines protégées (IMPAC) à Vancouver, au Canada en vue de planifier la protection de 30% de l’océan mondial d’ici 2030. La communauté internationale des gestionnaires et praticiens de la conservation marine ont pu échanger autour du renforcement de la conservation de la biodiversité marine et de la protection du patrimoine naturel et culturel de l’océan.  +
Les sons sont produits par des vibrations. Chaque vibration possède une vitesse de vibration propre appelée « fréquence ». Le fait de frapper un verre produit ce genre de vibrations. La vitesse de vibration dépend de la quantité d'eau dans le verre.  +
'''Le rouge de phénol change de couleur en fonction de l’acidité''' (appelée pH) : dans un liquide neutre comme l’eau (pH = 7), il est de couleur orangée, dans un produit acide comme le vinaigre, il vire au jaune, et dans un produit basique (c’est à dire le contraire d’acide, comme le mélange eau/bicarbonate) il vire au rose/rouge. Lorsqu’on verse du rouge de phénol dans l’eau de mer, on obtient une couleur <u>rose-rouge</u>, ce qui montre que l’eau de mer est basique (son pH est voisin de 8,1 en moyenne). Mais en soufflant une minute dans l’eau de mer, ou en y ajoutant du CO<sub>2</sub> pur, on l’a rendue acide, c’est pour cela que le rouge de phénol est devenu <u>jaune</u>. Le CO<sub>2</sub>, ou dioxyde de carbone, acidifie l’eau de mer, c’est à dire qu’il fait diminuer son pH. '''''Cette expérience reproduit en accéléré et de façon plus marquée, le phénomène actuel d’acidification des océans causé par le CO<sub>2</sub> produit en excès par les activités humaines.'''''  +
Plus la surface en contact avec l’air est grande, plus les échanges de chaleur sont importants, et donc rapides. C’est la surface de l’eau qui se refroidit d’abord, au contact de l’air. Elle a ensuite des échanges de chaleur avec l’eau située au-dessous d’elle : elle lui prend de la chaleur. C’est pourquoi l’assiette d’eau perd plus vite sa chaleur que le gobelet d’eau.  +
=== '''De manière simple''' === On a demandé à l'ordinateur de réaliser un compteur via la carte Arduino. Pour cela, on a écrit un code qui gère la carte Arduino afin d'afficher les nombres de 0 à 9 successivement. === '''Questions sans réponses''' === Peut-on afficher des chiffres en tapant sur le clavier, sans l'exécution pas à pas de l'afficheur 7 segments ?  +
La forme de l’aile, bombée en haut et plate en bas, fait que l’air met plus de temps à passer en haut de l’aile qu’en bas de celle-ci lors de la traversée. Cette différence fait que l’air est plus rapide en bas qu’en haut. L’air du bas exerce donc une force sur l’aile et la porte vers le haut, ce qui conduit à la montée de l’aile dans l’air et permet le vol. === '''Questions sans réponses''' === Comment le profil de l’aile influence-t-il le vol ?  +
Lorsqu'on plonge le verre dans l'eau, l'air bloqué à l'intérieur empêche l'eau de remonter dans le verre pour mouiller le mouchoir.  +
On constate que le cône fixé à l’œuf est déformé, il a absorbé une partie de l’énergie du choc, ce qui a permis à l’œuf de ne pas être cassé.  +
'''Introduction au fonctionnement de l'airzooka''' : L'airzooka emprunte son fonctionnement à l'arbalète. Voir sur Wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/Arbal%C3%A8te_%28arme%29 l'arbalète].  +
L'eau pousse les allumettes à reprendre leur forme initiale, et donc leur permet de s'écarter les unes des autres. L'eau s'infiltre dans le bois des allumettes par la pliure, ce qui fait intervenir le phénomène de la capillarité.  +
L'électricité qui passe dans le circuit fait chauffer fortement la laine d'acier, qui joue ici le rôle du filament de l'ampoule. A haute température, la laine d'acier émet de la lumière, c'est ce qu'on appelle l'incandescence.  +
As-tu essayé de réceptionner le reste du sachet dans ta main quand il retombe ? Combien pèse-t-il ? Quand on a mis le feu au sachet de thé, la combustion a chauffé l'air aux alentours. Cet air plus chaud s'est précipité vers le haut ("la chaleur monte, le froid descend"). Au début, le sachet de thé est un peu trop lourd pour être entraîné vers le haut avec ce courant d'air chaud mais plus il brûle, plus il devient léger, au point qu'il finit par l'être assez pour se laisser emporter !  +
Cet objet est une arbalète. il s'agit d'une arme similaire à un arc, mais utilise un mécanisme de déclenchement appelé gâchette pour libérer la corde et propulser une flèche à grande vitesse. Elle se compose généralement d'une crosse, d'un arc, d'une gâchette et d'une corde, ainsi que de divers accessoires tels que des viseurs et des repose-flèches.  +
L'eau s'infiltre entre les cure-dents par capillarité puis atteint le papier filtre et y dilue l'encre.  +
La lumière blanche est composée de plusieurs couleurs. Lorsqu'un rayon de lumière change de milieu (ici de l'air à l'eau puis de l'eau à l'air), cela sépare ses différentes couleurs et crée un arc-en-ciel.  +
La lumière blanche est composée de plusieurs couleurs. Lorsqu'un rayon de lumière change de milieu (ici en passant de l'air à l'eau puis de l'eau à l'air), cela sépare ses différentes couleurs et crée un arc-en-ciel.  +
L’aspirateur à insectes est une méthode simple et ludique pour apprendre à observer les milieux dans lesquels vit la petite faune qui vit sur le sol. Notons que cette faune de surface peut se déplacer la nuit (comme beaucoup de carabes) et donc être invisible pour l’humain. Cette opération permet d’identifier différents groupes d’organismes vivants sur le sol. Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur abondance (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu diversifieras les types de pièges utilisés ( piège barber, bloc de sol, berlese…), plus ta réponse sera complète ! De plus, comparer des milieux différents entre eux reste également très intéressant pour évaluer les similitudes et différences et les lier par exemple à différents modes de gestion des sols.  +
'''De manière simple...''' Dans des conditions atmosphériques ordinaires, l'eau se transforme en glace lorsque sa température descend sous 0°C. Ce changement d'état s'appelle "la solidification". Lors de la solidification, les particules microscopiques qui composent l'eau se lient les unes aux autres. Elles sont plus éloignées les unes des autres que dans l'eau liquide. Les particules se figent dans cet état et donnent ainsi une structure solide à l'eau. 1 litre d'eau pèse 1kg, alors qu'1 litre de glace pèse 0,9kg : la glace prend plus de place que l'eau liquide mais elle est plus légère : elle flotte ! '''Questions sans réponses''' <br/> *Existe-t-il plusieurs formes de glace ? *Si oui, toutes les formes de glace flottent-elles ?  +
Le lit d’une rivière est l’espace occupé lors de l’écoulement de l’eau en période normale. Cependant, certains phénomènes peuvent entraîner une montée du niveau de l’eau. C’est le cas d’une forte pluie, des crues (à la fin de l’hiver), des marées à fort coefficient, de la libération de l’eau des barrages… Cette montée du niveau de l’eau se fait dans le lit majeur du cours d’eau, c’est ce qu’on appelle communément les « zones inondables  ». Ce lit correspond au plus haut niveau d’eau enregistré le long du cours d’eau. En fonction de la quantité d’eau, l’augmentation du niveau de l’eau va occuper une partie ou la totalité du lit majeur.  +
=== '''De manière simple''' === L'air chauffé par la plaque électrique s'élève en déplaçant au-dessus de lui de l'air plus frais. L'air chaud et l'air froid ne laissent pas passer la lumière (et donc les images) de la même manière. Le paysage paraît donc en mouvement, car l'image que l'on en reçoit traverse de l'air en mouvement, froid ou chaud. === '''Questions sans réponses''' === * Existe-t-il un produit chimique ayant les mêmes effets ? * Le milieu de l'expérience a-t-il une influence ?  +
Pour pouvoir planer, un avion a besoin de se faire porter par l'air. C'est pourquoi il doit être fabriqué avec du matériel léger. L'avantage de la paille, par rapport au papier, est que l'air peut la traverser dans toute sa longueur. Elle oppose donc moins de résistance à l'air que le papier. Les deux tubes de papier servent d'ailes à notre avion, ils le guident. Plus ils sont gros, plus l'avion est déséquilibré et tourne sur lui-même. Le trombone, pour finir, sert à rétablir l'équilibre de l'avion au moment du lancer. Si on le retire, l'avion a tendance à s'envoler vers le haut pour retomber à pic au sol.  +
En s'échappant, l'air contenu dans le ballon forme sous le disque un coussin d'air qui soulève le montage. Le disque est supporté par l'air qui est évacué à une faible distance de la table. Les frottements étant quasiment supprimés puisqu'il n'y a pas de contacts directs avec le support, le montage peut alors se déplacer.  +
B
Selon le code enregistré dans la carte, le bouton va activer la lecture d'un nouveau son.  +
Le frottement du peigne contre le tissu permet de charger le peigne en électricité statique. Lorsqu'on approche ensuite le peigne de la balle, celle-ci se charge légèrement, ce qui entraîne la création d'une force dite électrostatique. Les deux objets s'attirent.  +
Les trois informations à retenir : - En brûlant, le coton chauffe l'air à l'intérieur de la [http://wikidebrouillard.org/index.php/Bouteille bouteille], ce qui provoque la dilatation de l'air : il prend plus de place. - Une partie de l'air s'échappe alors de la bouteille : le [http://wikidebrouillard.org/index.php/Ballon_de_baudruche ballon de baudruche] sautille. - Puis la flamme s'éteint et l'air se comprime (en refroidissant, il prend moins de place) en aspirant avec lui le [http://wikidebrouillard.org/index.php/Ballon_de_baudruche ballon de baudruche] qui bouche parfaitement le goulot de la [http://wikidebrouillard.org/index.php/Bouteille bouteille].  +
=== De manière simple === En frottant le ballon avec les cheveux, on le charge en électricité statique. Lorsqu’on l’approche des morceaux de papier, ceux-ci se chargent légèrement et il se crée une force dite électrostatique. Les deux objets s’attirent.  +
L'air chaud est plus léger que l'air froid, il a donc tendance à monter. De plus, l'air soufflé par le sèche-cheveux pousse le ballon vers le haut. Le ballon trouve son équilibre entre son poids qui l'entraîne vers le bas et la poussée de l'air vers le haut. Le ballon reste donc suspendu dans les airs... en lévitation ! === '''Questions sans réponses''' === Pourquoi le poids nous entraîne-t-il vers le bas ? Pourquoi l'air chaud monte ? Cela fonctionne-t-il avec un ventilateur ?  +
En temps normal, lorsqu'on perce un ballon, celui-ci éclate. Pourquoi ? Parce que le caoutchouc est tellement sous tension que le moindre petit trou entraîne une déchirure de la membrane. Dans notre expérience, le pic pénètre le ballon par 2 points précis : près du nœud et à l'autre extrémité, là où le caoutchouc est le moins tendu (d'où la couleur plus foncée du caoutchouc dans ces régions). Ainsi, le trou formé par le pic ne s'agrandit presque pas. Le liquide vaisselle (le savon) aide à améliorer la pénétration du pic dans la membrane du ballon sans trop la déchirer.  +
On retrouve ici un principe d’action-réaction, l’air qui est expulsé du ballon est “l’action”. En s’échappant du ballon l’air produit une force contre l’air ambiant. Imagine simplement qu’elle pousse l’air, comme tu pousserais un objet. Comme le dit [https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Newton <u>Newton</u>] cette force s’exerce également dans le sens opposé. C’est-à-dire que l’air ambiant pousse le ballon. Le ballon étant libre de bouger il se déplace le long de la ficelle, c’est la “réaction” ! C’est le principe des avions à réaction. Les réacteurs, fixés sous les ailes expulsent de l’air et du kérosène brûlé à grande vitesse vers l’arrière, ce qui fait avancer l’avion.  +
=== De manière simple === En frottant le ballon avec les cheveux, on le charge en électricité statique. Lorsqu’on l’approche des morceaux de papier, ceux-ci se chargent légèrement et il se crée une force dite électrostatique. Les deux objets s’attirent.  +
Le bateau avance selon le principe d'action-réaction. En s'écoulant, l'eau exerce une poussée vers l'arrière, c'est l'action. Cela provoque une réaction en sens opposé : le bateau est poussé vers l'avant.  +
La [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] est une force s'exerçant sur un liquide qui l'incite à diminuer sa surface de contact avec l'air. Il s'agit d'une force de contact assimilable à une force de pression. L'eau possède donc une [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle]. Lorsque le bateau est déposé sans savon, la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau s'applique de manière équivalente sur tout les côtés de la pièce de papier, la résultante des forces engendrées est alors nulle et le système est en équilibre. Une molécule de savon possède un coté qui se lie à l'eau (hydrophile) et un coté qui se lie avec autre chose (graisse, terre, etc.. on dit hydrophobe). En se mélangeant à l'eau, les molécules de savon cassent la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau. La surface de l'eau se "déchire" en entrainant le bateau, un peu comme si le bateau était la partie mobile d'une fermeture éclair qui s'ouvre. Il faut alors changer l'eau du réservoir pour pouvoir recommencer l'expérience, car la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau est devenue trop faible en raison de l'action du savon.  +
'''Étape 3.''' <br /><br />La matière est faite de particules minuscules dont certaines ont ce qu’on appelle une charge électrique. Les charges de même signe se repoussent alors que les charges de signe opposé s'attirent.<br /><br />Toutes les matières sont normalement électriquement neutre, c'est-à-dire qu'elles possèdent le même nombre de charges positives (protons) et négatives (électrons). Seuls les électrons peuvent être arrachés à la matière. Certaines matières "retiennent" leurs électrons mieux que d'autres.<br /><br />Par exemple, en frottant le ballon de baudruche sur tes cheveux, tu le déséquilibres électriquement, c'est-à-dire que des charges négatives (électrons) sont arrachées des cheveux et récupérées par le ballon. '''On dit que le ballon se charge en électricité statique'''. Grâce à cette électricité statique, si tu approches le ballon des billes de papier aluminium, celles-ci se chargent à leur tour et il se crée alors un phénomène de force électrostatique.<br /><br />Les billes d'aluminium vont transporter les charges négatives du ballon vers la feuille de papier d'aluminium, en faisant un va-et-vient jusqu'à ce que les matières redeviennent à peu près équilibrée électriquement.<br /><br /><br />'''Étape 4.''' <br /><br />Dans l’expérience tu as pu observer la réaction entre des billes d’aluminium et un ballon chargé en électricité statique. Les billes d’aluminium sont attirées par le ballon et viennent s’y fixer. C’est le même principe que l'on peut observer pour certains grains de pollen et certains insectes pollinisateurs comme le bourdon et l’abeille. '''En volant, leurs ailes battent si rapidement que des charges positives apparaissent à la surface de leurs corps'''. Les fleurs et les grains de pollen quant à eux sont généralement chargés négativement. Ainsi, lorsque les insectes se posent sur une fleur, '''du pollen est attiré par le corps de l’insecte qui est chargé positivement.''' Certains grains de pollen viennent s'accumuler sur l’insecte et s’accrochent aux poils. <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Billes sauteuses Annexe 8.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg" class="image"><img alt="Billes sauteuses Annexe 8.jpg" src="/images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/240px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg" width="240" height="198" srcset="/images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/360px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg 1.5x, /images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/480px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg 2x" data-file-width="1692" data-file-height="1394" /></a></div></div></span></div>  
En fait, seul l'alcool a brûlé car le billet est protégé par l'eau contenue dans le mélange.  +
'''Les milieux naturels''' décrits dans cette activité sont très différents les uns des autres, et notre planète en compte beaucoup d’autres ! Tous accueillent la vie, mais pas de la même manière : par exemple, les récifs coralliens et les forêts tropicales hébergent une plus grande quantité d’espèces que le désert saharien est le pôle nord. Chacun de ces milieux de vie est ce qu’on appelle un '''écosystème''', défini par '''la diversité des espèces qui y vivent et qui sont en interactions les unes avec les autres, et avec ce milieu''' (roches, sol, eau...). Quelques écosystèmes que l’on connaît à grande échelle, et qui définissent les grandes zones géographiques de notre planète, s’appellent des biomes (citons par exemple les forêts tropicales, la toundra, les prairies tempérées, les savanes, les abysses...). <u>Intéressons-nous maintenant aux espèces</u> : en général, elles diffèrent d’un milieu naturel à l’autre. Cependant, certaines d’entre elles se ressemblent fortement. Par exemple, le fennec, le renard polaire et le renard roux (qui vit en milieu tempérée), sont des espèces de la même famille (canidés) et du même genre (Vulpes), qui se sont différenciées en s’adaptant biologiquement à leurs différents milieux de vie. Nous remarquons aussi que l’espèce humaine est présente dans presque tous les milieux. Elle a su s’adapter à différentes conditions de vie, notamment en utilisant les ressources de la biodiversité. Quels que soient ces milieux, l’humain entretient des liens étroits avec les espèces qui y vivent : pêcheurs, plongeurs dans les récifs coralliens, pasteurs nomades dans le désert, chasseurs nomades au pôle Nord qui, tout comme les Indiens d’Amazonie, tirent de la nature la majeure partie de leurs ressources (nourriture, vêtements, médicaments, matériaux de construction...).  +
Bien que présentant une morphologie commune (une tête, deux jambes, deux bras, deux oreilles, un nez...), les humains peuvent se différencier sur une multitude de caractères physiques comme la couleur des cheveux, des yeux, la présence de fossettes, la forme du nez, la taille... Et même au sein d'un même caractère, cheveux blonds par exemple, les individus aux cheveux blonds diffèrent fortement les uns des autres par une grande diversité d'autres caractères (taille, lobe des oreilles, couleur des yeux...). '''Qu’est-ce qui rend chaque individu unique ?''' Même au sein d'une famille biologique, les parents et les enfants auront certains caractères physiques communs (par exemple couleur des yeux, forme des cheveux…  hérités des parents, donnés aux enfants) mais il n’y aura pas d'individus identiques (à part les vrais jumeaux, sur le plan génétique). Chaque individu possède '''un mélange''' '''de caractères physiques issus des parents qui le rend unique''', différent de tous les autres individus de la même espèce.  +
L'objet réalisé sera biodégradable et à usage unique. Il est composé de produits naturels (amidon de maïs, eau, huile et vinaigre) qui n'impacteront pas l'environnement.  +
Les cartes contenues dans les blocs font chacune référence à une ligne de commande spécifique pour le Petit Bot. Le module RFID analyse la carte la plus plus proche et la traduit en action. Ces actions sont compilées jusqu'au déclenchement du programme grâce au buzzer.  +
Le bon état écologique se définit à l’aide des différents sous-critères : - Critères biologiques (présence/absence d’organismes végétaux et animaux considérés comme bioindicateurs) ; - Critères hydromorphologiques (naturalité/artificialisation du milieu et des processus qui y sont à l’œuvre) ; - Critères physico-chimiques (toxicologie…) ; - Indices de qualité tels que l’indice biologique ou les indices basés sur les macro-invertébrés. Pour chaque masse d’eau, l’état écologique est qualifié selon cinq classes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Dans tous les cas, il est caractérisé par l’écart aux conditions de référence. Ce référent correspond à la classe « état très bon » attribué lorsque les conditions sont représentatives d’une eau de surface pas ou très peu influencée par l’activité humaine. Les signes d’impact des activités humaines sont visibles dans les différents sous-critères : - Absence de certaines espèces emblématiques ; - Modification de la morphologie des cours d’eau ; - Présence de pollution dans les eaux ; - Indices biologiques avec des notes dégradées ; - …  +
Lorsque le bicarbonate entre en contact avec le vinaigre il se produit une réaction chimique qui libère du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>). Rapidement le CO<sub>2</sub> va occuper tout le volume du bocal chassant alors l'air initialement présent. L'air contient du dioxygène (O<sub>2</sub>) indispensable pour la flamme. Le bocal ne contenant plus que du CO<sub>2</sub>, la flamme est privée de dioxygène et s'éteint.  +
Lorsque l'on souffle simplement dans le goulot, l'air n'est pas dirigé : il touche la boulette, mais également le fond de la bouteille. Cela entraîne une surpression dans la bouteille (on ajoute de l'air à celui déjà présent dans la bouteille). La surpression entraîne l'éjection de la boulette vers l'extérieur. Lorsque l'on utilise une paille pour souffler sur la boulette, l'air est dirigé directement vers celle-ci. Il n'y a pas de surpression dans la bouteille : la boulette n'est pas chassée vers l'extérieur, et peut donc entrer  +
En frottant le trombone avec l'aimant, l'aimant donne au trombone une particularité que l'on appelle le magnétisme. Cela permet aux objets dits "magnétiques", d'indiquer la position d'objets tels que les aimants. Le trombone ainsi magnétisé indique le nord de notre planète ! On met le trombone avec le liège sur l'eau pour permettre au trombone de se déplacer librement.  +
L'huile a la même densité que ce mélange d'eau et d'alcool, ce qui veut dire qu'un volume d'huile et un même volume du mélange ont une masse identique. L'huile flotte au milieu et prend une forme ronde, car elle est entourée par le mélange auquel elle ne peut pas se mélanger, et la forme ronde est celle qui permet à l'huile d'être le moins possible en contact avec le mélange. Un liquide lancé hors de son récipient dans une station spatiale réagit de la même manière en prenant la forme d'une boule qui flotte.  +
C
Si la canette est vide, on ne peut pas la faire tenir en position inclinée, elle tombe systématiquement. De même, lorsqu'elle est pleine. Le "truc" s'est de mettre la bonne quantité d'eau pour qu'il y ait autant d'eau de chaque côté de l'axe de rotation vertical qui passe par le point sur lequel la canette tient en équilibre. L'eau que l'on ajoute dans la canette est un poids. Pour que la canette tienne en équilibre il faut que ce poids soit également réparti, comme pour l'équilibre d'une balance, et c'est seulement à cette condition que le centre de gravité de la canette est situé sur l'axe de rotation vertical. Dès lors que le poids n'est pas également réparti, le centre de gravité de la canette n'est plus situé sur cet axe, et la canette tombe.  +
'''<u>Étape 3</u>''' * La coupe horizontale montre des petits ronds colorés, la coupe verticale, des lignes colorées : '''l'eau colorée a été transportée par les petits tubes contenus dans la plante, appelés « vaisseaux capillaires ». Ce mode de transport d'un liquide''''' (montée naturelle d’un liquide dans des tous petits vaisseaux)'' '''est appelé <u>capillarité.</u>''' * La buée observée dans le second sac plastique est formée par l'air emprisonné. Ce sac sert de témoin à l'expérience. Les gouttes observées dans l'autre sac, plus nombreuses et plus grosses, proviennent un peu de la buée (comme dans le sac témoin), mais surtout de la feuille. '''L'eau s'évapore donc des feuilles dans l'air : c'est <u>la transpiration de la plante</u>'''. Ces gouttes d'eau sont transparentes : la plante a stocké les pigments colorés et a restitué une eau pure. '''<u>Étape 4</u>''' * Le papier (représentant la racine) a absorbé l'eau contenue dans le sol (mélange d’argile et de sel), qui s'est déversée dans second verre (représentant la plante). Dans son trajet, l'eau a entraîné avec elle tout ce qui pouvait passer par les trous minuscules du papier. C'est pourquoi nous retrouvons le sel, dissout dans l’eau, mais pas l’argile. '''De la même manière, les racines servent aux plantes pour absorber l'eau et différents minéraux du sol.''' '''Les végétaux jouent un rôle important dans le cycle de l'eau. La transpiration couplée au phénomène de capillarité permet à l'eau de circuler à travers les plantes et d'être évaporée dans l'atmosphère. La plante peut ainsi se nourrir, mais aussi capter certains polluants et les stocker ou les dégrader.'''<span></span>  +
=== '''De manière simple''' === Il s'agit d'un capteur numérique : le capteur est en fait uniquement la partie du milieu qui est sensible a la pression et la température. Les valeurs sont ensuite renvoyées à l'arduino par les broches A4 et A5. Les fonctions de la librairie permettent ensuite de récupérer des valeurs concrètes sans avoir besoin de faire des calcules.  +
=== '''De manière simple''' === Une pression est effectuée sur le capteur, suite à cet effort un certain nombre de LEDS s’allume. L’allumage et le paramétrage des LEDS se programment grâce au logiciel ARDUINO. * Que se passe-t-il quand toutes les LEDS sont allumées ? => L’effort de pression est trop important pour le capteur, il faut donc vérifier que le capteur a une fourchette de pression assez importante pour assurer le bon fonctionnement de ce montage.  +
Après avoir été frottée contre un vêtement, la paille possède des propriétés statiques : elle est chargée <u>négativement</u>. En l'approchant d'une des plaques, elle permet la répartition des charges positives et négatives sur l'ensemble du montage, ce qui a pour conséquence d'attirer d'un côté ou de l'autre la boule d'aluminium. Le polystyrène est important car il sert d'isolant, afin que les électrons ne se déplacent pas n'importe où.  +
Les Systèmes d'Informations Géographiques sont des outils puissants pour représenter de nombreuses données. Certaines de ces données sont visibles depuis le ciel ou par satellite, d'autres sont collectées par des campagnes de mesures sur le terrain. L'hydrosphère représente l'ensemble de l'eau d'un territoire, sous toutes ses formes. Une partie de l'eau d'un territoire est visible, mais une autre est souvent cachée. Bien que deux cours d'eau d'un même territoire paraissent indépendants, ils sont souvent connectés. Parce qu'ils se jettent dans le même fleuve ou parce qu'ils sont alimentés par les mêmes évènements météorologiques. Un exemple simple : mon voisin et moi possédons chacun un puits. Ils paraissent indépendants, mais en réalité ils donnent accès à la même nappe souterraine. Si l'un de nous y pompe trop d'eau, les deux finiront à sec. C'est pourquoi une approche par hydrosphère, plus complète, est préférable.  +
La catapulte est créée grâce à un élastiques qui vient exercer une pression sur un bout de bois rigide, ce qui a pour effet que lorsque nous cessons d'exercer cette pression le bout de bois va partir et la vis qui est au bout va pouvoir venir percuter la capsule et donc enclencher le décapsulage.  +
La force fournie par l'utilisateur dans le levier va permettre, grâce à la vis placée sous la capsule, de la retirer. Plus l'utilisateur met de force, plus la capsule sera catapultée loin  +
La catapulte est créer grace a un ressort et des élastiques qui viennent exercer une pression sur un bout de bois rigide, ce qui a pour effet que quand nous arretons d'exercer cette pression le bout de bois va partir et le poids qui est au bout va pouvoir venir percuter le bras de levier et donc enclencher le décapsulage.  +
Une catapulte à élastique est un type de catapulte qui utilise l'énergie stockée dans un élastique pour propulser un projectile. La catapulte est généralement composée d'une base, d'un bras de levier, d'un lanceur et d'un élastique.  +
L’air comprimé désigne l’air dont la pression est supérieure à la pression atmosphérique. Il peut être stocké à haute pression et constitue un formidable outil pour fournir de l’énergie. Plus sûr et plus simple à utiliser que d’autres solutions alternatives, comme la vapeur ou les piles, l’air comprimé est une source d’énergie très répandue. En tournant la vanne, on libère l'air comprimé de la bouteille, et toute l'énergie fournie en pompant se libère d'un coup.  +
Après avoir fait la recette nous pouvons remarquer que le agar a agis sur ketchup. Il a « gélifié » la ketchup. Quand la solution (ketchup) est chaude la solution est liquide mais quand la solution refroidit alors la solution devient gélatineuse  +
'''Lorsque tu couvre la bougie avec le verre il se passe deux choses :''' - D'une part, la combustion nécessite du dioxygène (O2) et produit du dioxyde de carbone (CO2). Lorsque la quantité de dioxygène présente dans le verre devient trop faible alors la flamme s'éteint. - D'autre part, la flamme de la bougie produit de la chaleur qui va chauffer l'air présent dans le verre. L'air en chauffant se dilate. C'est à dire que pour la même quantité d'air, cet air prend plus de place. On peut d'ailleurs constater cette dilation, car lorsque l'on pose le bocal sur la bougie, un bulle d'air s'échappe. Lorsque la flamme s'éteint (du fait du manque d'oxygène) l'air refroidit. A l'inverse de la dilatation , en se refroidissant, l'air se rétracte, c'est à dire qu'il prend moins de place. L'eau va alors être aspirée dans le verre occupant la place ainsi libérée.  +
=== '''De manière simple''' === Les Leds s'allument de manière aléatoire de plus en plus vite. À chaque pression sur un bouton poussoir se produit l'événement suivant : soit ce bouton correspond à la bonne led et le jeu continue, soit ce bouton ne correspond pas à la bonne Led, le jeu s’arrête et le score s'affiche à l'aide des leds.  +
=== '''De manière simple''' === Au départ, il y a de l'air entre les feuilles, comme partout autour de nous. Cet air appuie sur tous les objets de la même façon, tout autour d'eux avec la même force : c'est la pression atmosphérique. En soufflant, on déplace de l'air et on crée un courant d'air entre les feuilles. Ce déplacement d'air entraîne une diminution de la pression de l'air entre les feuilles. L'air appuie alors moins fort entre les feuilles qu'autour d'elles, et elles sont poussées l'une contre l'autre. === '''Questions sans réponses''' === L'espace entre les feuilles est ouvert, pourquoi l'air ne vient pas des côtés ?  +
La phase de couleur verte est celle qui est le plus bas, elle correspond à la chlorophylle. La phase de couleur jaune est celle qui est le plus haut, elle correspond aux xanthophylles et carotènes. <br/>  +
La bande de papier filtre absorbe l'eau qui va alors monter le long de la bande. L’eau a le pouvoir de monter naturellement malgré la force de gravité (celle qui fait tomber les objets). Pour cela, elle va s’aider des micro-fibres présentes dans le papier. On appelle ce phénomène '''la capillarité.''' Lorsque l'eau atteint le point coloré, elle l'entraîne avec elle. Chaque colorant réagit alors différemment selon le type de papier filtre et selon le liquide utilisé. Certains colorants vont moins vite ou montent moins haut, ce qui fait qu'ils se séparent et qu'on peut les distinguer nettement au bout de quelques instants. C'est la technique de '''chromatographie'''. La couleur d’un feutre est en fait composée de plusieurs couleurs. Sur notre expérience, les couleurs des feutres bleu et vert sont des mélanges de plusieurs couleurs, alors que le jaune ne comporte aucun mélange de couleur. Le bleu comportait du magenta alors que le vert, lui, comportait du jaune et du cyan ! C'est pour cela qu'on parvient à voir ces nouvelles couleurs sur notre papier filtre !  +
Dans un circuit en série, chaque composant utilise une partie de la tension électrique, un peu comme si les composants se « partageaient » l’électricité. Donc plus il y a de composants dans le circuit, moins chaque composant reçoit d’électricité pour fonctionner. Certains composants ont besoin d’une tension minimale pour fonctionner, comme les LED. Si les autres composants consomment trop d’électricité, il n’en reste plus suffisamment pour les LED, et elles ne s’allument pas. Lorsqu'un circuit est branché en parallèle, la tension est la même dans les 2 parties : les composants fonctionnent avec la même tension et ont un fonctionnement normal.  +
La naissance de la classification commence par l'observation des caractéristiques physique du vivant. Les scientifiques ont ensuite cherché à nommer ces groupes d'individus pour déterminer des groupes, embranchements, famille etc...  +
Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de “coefficient de ruissellement”. Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans notre expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Tu peux également essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie ! Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol ! Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.  +
* Dans le premier cas, l'eau s'échappe de la boîte. * Dans le second cas, l'eau de ne s'échappe pas de la boîte a cause de la pression de l'air qui la maintient et la pousse vers l'intérieur.   +
Les molécules interagissent entre elles, et cela correspond à une certaine énergie. Les molécules se mettront toujours dans la position de moindre énergie. Or l'énergie pour les molécules d'eau est moindre si elles restent en contact avec d'autres molécules d'eau plutôt qu'avec des molécules de gaz (l'air). C'est pour cela que la configuration avec une "couche" d'eau qui dépasse du verre est plus stable que des gouttes qui se séparent pour couler le long du verre. <br/> ===Expériences complémentaires=== Refaire la même expérience avec d'autres liquides : de l'huile et de l'alcool. Est ce que le nombre de pièces (le volume) à ajouter est le même pour faire déborder le verre ? Réponse : non. L'huile et l'alcool sont des molécules différentes de l'eau. Elles n'interagissent pas ensemble de la même façon. Les configurations de moindre énergie ne sont donc pas les mêmes. Placer une assiette sur une balance et faire la tare. (Précision souhaitable de la balance : +/-1g). Placer un verre d'eau sur l'assiette, elle même sur la balance. Se placer dans la configuration où le verre est à la limite de déborder. Plonger un objet dans le verre et observer l'eau couler du verre dans l'assiette. Retirer un peu d'eau du verre, par exemple avec une pipette, sans rien faire couler. Retirer le verre d'eau de l'assiette. À quoi correspond le poids mesuré ? Réponse : au volume d'eau qui a débordé en ajoutant la pièce. Comme on connaît la masse volumique de l'eau (son poid par unité de volume, en gros 1 kilogramme par litre), on connaît donc le volume de l'eau qui a débordé. Ce volume est identique à celui de l'objet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.  +
Nous sommes entourés d'ondes électromagnétiques. Les ondes de la transmission de la radio, de la télé, etc. le courant électrique aussi émet des ondes électromagnétiques. Ces ondes créent de l'électricité dans les broches des composants électroniques. C'est pour cela qu'une broche connectée à rien, n'est pas forcément à l'état 0. Une résistance de pullup fixe l'état à HIGH (état haut). Une résistance de pulldown fixe l'état à LOW (état BAS).  +
La loupe concentre les rayons du soleil en un point relativement petit. De ce fait, l'énergie reçue par ce point augmente et la température de la feuille peut s'élever jusqu'à son point de combustion.<br /><br />* <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Lumiere - Concentration de la lumiere Schemaloupe.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" class="image" title="1 : rayons du soleil 2 : Loupe"><img alt="1 : rayons du soleil 2 : Loupe" src="/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" width="249" height="405" data-file-width="249" data-file-height="405" /></a></div></div></span></div><br /><br />1 : Rayons Solaires<br /><br />2 : Loupe  +
On observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.  +
'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.  
<u>Étape 4</u> : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés : <br/> *''<u>par taille</u> '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre) *''<u>et par niveaux trophiques :</u>'' **A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil. **Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes. **De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol. <u>Étape 5</u> : Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). <u>Étape 6</u> : Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité. Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces. D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins. À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau : *en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ; *en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ; *en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)  
Le courant électrique nécessaire à l'allumage de la lampe circule donc plus ou moins bien dans les différents matériaux. Les matériaux qui laissent passer le courant sont appelés "conducteurs" et ceux qui ne le laissent pas passer sont appelés "isolants".  +
En tournant la cuillère dans un sens, on crée un tourbillon ou vortex, l'eau se déplace en tournant autour d'un axe. L'eau, en tournant, va entraîner les morceaux de plastique en son centre. <br/>  +
Le métal chauffé prend différentes couleurs. A chaque fois que le métal atteint une température précise, il va changer de couleur. C'est ce qu'on appelle l'incandescence !  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau. Les différentes couleurs qui composent l'encre noire se séparent. La décomposition des couleurs est due à la différence de masse entre les encres de différentes couleurs : les encres les plus légères sont entraînées plus vite, et donc plus loin que les encres plus lourdes. Malgré la gravité, qui voudrait que l'eau reste au fond du verre, celle-ci remonte le long du papier absorbant. C'est ce qu'on appelle la capillarité ! Les liaisons entre le papier absorbant et l'eau sont plus fortes que la gravité, ce qui permet à l'eau de monter.  +
=== '''De manière simple''' === Le chou rouge possède des éléments colorés violets qui sont capables de changer de couleur lorsque l'acidité varie. * Le citron et le vinaigre sont acides -> le jus de chou devient rose. * Le bicarbonate est le contraire d'acide (on dit alors qu'il est "basique") -> le jus de chou devient bleu ! La lessive est encore plus basique que le bicarbonate, le mélange fait alors virer le jus de chou rouge au vert.  +
Plus l'eau contient des éléments conducteurs, les ions, plus elle conduit le courant électrique. L'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau eau] pure (H2O) est un élément non conducteur (qui ne permet pas le passage de l'électricité) parce qu'elle ne contient pas d'ions. L'eau du robinet, ou l'eau douce que l'on trouve dans la nature, ne sont PAS isolantes car elles ne sont jamais pures : elles contiennent des minéraux dissous sous forme d'ions. Cependant l'eau du robinet n'est que faiblement conductrice, le courant y circule trop peu pour que cela suffise à allumer l'ampoule dans notre expérience, car le courant appliqué y est très faible. '''Mais attention''' : l'eau du robinet est suffisamment conductrice pour créer un grand risque d'électrocution dès qu'on y fait circuler un courant électrique assez puissant ! C'est pour cela qu'il est très dangereux d'approcher des appareils électriques de l'eau. L''''eau salée''' est beaucoup plus conductrice que l'eau douce parce que le sel n'est pas un isolant. Il augmente donc très nettement la conductivité de l'eau. C'est pour cela que dans notre expérience l'eau salée laisse passer suffisamment le courant pour que l'ampoule s'allume.  +
L'air chauffé par le radiateur s'élève devant la fenêtre en déplaçant l'air plus frais au-dessus de lui.  +
Une rivière est un milieu vivant et évolutif. Même si elle est laissée sans aménagement, son tracé évoluera au gré des crues [1]. En effet, lorsque le cours d'eau prend de la vitesse (parce que la quantité d'eau augmente ou qu'elle s'écoule tout droit sans obstacles), il va venir grignoter ses berges. C'est ce phénomène tout à fait naturel qu'on appelle érosion. Au contraire, si un cours d'eau qui a pris de la vitesse doit ralentir brusquement, par exemple s'il arrive sur des méandres où l'eau s'écoule lentement, alors il va déborder. C'est ce qu'on appelle l'inondation. Ici, les tuiles ''Biodiversité'' représentent les poissons migrateurs qui remontent les rivières pour se reproduire. C'est le cas des saumons, par exemple. Ceux-ci vivent leur vie en mer et remontent depuis l'embouchure jusqu'aux petits ruisseaux qui ont formé le fleuve pour se reproduire. Cependant de nombreux ouvrages comme des seuils ou des barrages hydro-électriques peuvent les empêcher de remonter jusqu'aux zones où l'eau est la plus pure pour y établir leur descendance [2].  +
Quand on met du sel dans l'eau, il va se dissoudre : on va le voir disparaître dans l'eau. À mesure que l'eau s'évapore lentement dans l'air, le sel toujours présent dans l'eau va se reformer en grains sous forme de cubes ressemblant à du gros sel.  +
Mode d'emploi: #Placer la catapulte sur une surface plane (avec de la place autour quand le projectile partira!) #Brancher le moteur (toujours faire attention avec l'électricité) #Le moteur commence à tourner pendant que la bobine se déroule #Lorsque la bobine a fini de se dérouler, le fil se bloque et coupe l'élan du bras; ce qui l'arrête. #Quand l'expérience est terminée, commencez par débrancher le moteur puis réenrouler autour de la bobine.  +
La voiture à propulsion élastique fonctionne grâce à un système simple mais astucieux. Un élastique est tendu à l'aide d'un dispositif mécanique et stocke de l'énergie potentielle. Lorsque l'on relâche l'élastique, l'énergie stockée est convertie en énergie cinétique, propulsant ainsi la voiture en avant. Le dispositif mécanique est une manivelle qui enroule la ficelle sur un axe et tend ainsi l'élastique. La longueur de la ficelle est déterminée par un rapport de transmission, qui peut être ajusté pour modifier la force exercée par l'élastique et la distance parcourue par la voiture. Plus le rapport de transmission est élevé, plus la distance parcourue par la voiture sera grande mais la force exercée par l'élastique sera plus faible, et inversement. Lorsque la voiture est prête à être lancée, l'élastique est enroulé dans le dispositif mécanique en utilisant la manivelle. Une fois que l'élastique est suffisamment tendu, la voiture est placée sur une surface plane et l'élastique est libéré . L'énergie stockée dans l'élastique est alors transférée à la voiture, qui commence à avancer. La distance parcourue par la voiture dépendra de la longueur de la ficelle et de la force exercée par l'élastique, ainsi que de la qualité des roues et de la surface sur laquelle elle roule.  +
==='''La manipulation'''=== Note : Expérience difficile à réaliser puisqu'il faut réussir à créer une différence notable de température entre le pain de glace et le spot. Les enfants peuvent également faire les manipulation en autonomie durant cette expérience en restant proche pour éviter les risques de brûlures. L'expérience fonctionnera davantage si le pain de glace est en hauteur et l'encens droit.<span></span> ==='''De manière simple'''=== La fumée provenant directement de l'encens est chaude, elle monte et se répand sur le dessus de l'aquarium. Lorsqu'elle s'approche de pain de glace, elle se refroidit et descend. Elle se répand alors dans la partie inférieure de l'aquarium pour ensuite se réchauffer lorsqu'elle se rapproche du spot : elle remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.  +
Vous appuyez sur la barre espace pour maintenir l'oiseau en vol. La partie est finie si vous touchez un tuyau ou si vous touchez le bord en bas.  +
Vous dirigez le serpent avec les flèches de direction. Votre but est de manger la pomme pour pouvoir grandir jusqu'à ce que vous touchiez malencontreusement le bord.  +
Si vous voulez juste y jouer, les flèches gauche et droite servent pour diriger le personnage et la touche espace sert à sauter. Il faut éviter les pièges sur le terrain pour avancer.  +
Le programme, lorsqu'il est lancé, trouve une valeur aléatoire entre 1 et 5. Par la suite, en fonction de la valeur, la carte arduino enverra de l'électricité dans les LEDs. Par exemple, si le programme trouve la valeur 2, la carte enverra de l'électricité dans les LEDs haut droite et bas gauche, ce qui fera que ces deux LEDs s'allumeront. Le bouton, lorsqu'il est enclenché, ouvre le circuit, l'électricité ne passe plus et éteint la carte. Le relâchement du bouton fait que le circuit se referme et relance le programme.  +
Vous contrôler les barres de Pong avec les touches z et s pour la première barre et les flèches du haut et du bas pour la seconde. Le but est de faire passer la balle dans le camp adverse (représenté par la barre grise de chaque côté de l'écran) pour gagner. Il est préférable d'y jouer à deux mais vous pouvez y jouer seul aussi.  +
Le but est de tuer les chauves-souris tout en évitant de tirer sur la grenouille magique. Vous dirigez le viseur avec la souris et vous appuyez sur le clic droit pour tirer.  +
L'engrenage permet de ramener les extrémités des deux bras latéraux vers le centre de la catapulte, accumulant ainsi de l'énergie qui propulsera le projectile une fois libérée  +
Lorsque l'on tape la cuillère sur la table, on fait vibrer la cuillère. La '''vibration''' va être transmise par la ficelle puis passer par tes os au bout de tes doigts jusqu'à ton oreille. La vibration est alors interprétée par l'organe du corps qui transmet l'information sonore au cerveau : '''ton système auditif.'''  +
*Au contact de l'air et avec le temps, la surface des pièces en cuivre devient noirâtre, on dit que le cuivre s''''oxyde'''. *Dans le verre, des particules de cuivre se détachent alors de la surface des pièces de monnaie : on les appelle des '''ions''' cuivre. *Une fois dans le vinaigre les ions cuivre rencontrent le clou qui est en acier. L'acier contient du fer qui réagit avec les ions cuivre. *Les ions cuivre se retransforment en cuivre sur la surface du clou et les particules de fer deviennent des ions ferreux. *Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''.   +
<nowiki>Sous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan. <br /><br /><br />L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été. <br /><br /><br />Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.<br /><br /><br />En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].<br /><br /><br />Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>  +
Le phénomène illustré par cette expérience, montre qu'une plante se nourrit grâce à l'effet de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 capillarité] (On appelle capillarité la montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre). La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules. Chaque canal est relié à une partie précise d'un pétale. Ainsi, le canal qui plonge dans l'eau colorée en rouge conduit cette eau à toutes les extrémités du céleri.  +
D
Plus la bille sera en hauteur, plus elle accumulera d’énergie. Lorsqu’on la lâche, l’énergie se transforme en vitesse. Puis en son (le son du choc) et on voit le cratère se former. Le cratère est une visualisation de l’énergie libérée par la bille.  +
Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers. L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.  +
Le champ de vision qu'on a de notre fenêtre est restreint. Il se limite généralement à environ 180°, c'est à dire ce qu'on peut voir en regardant à droite et à gauche. Lorsqu'on bénéficie de fenêtres sur d'autres façades du bâtiment, on peut élargir ce champ de vision et changer un peu le paysage qu'on voit.  +
====== <u>ÉTAPE 1</u>. ====== Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. '' Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire. ====== <u>ÉTAPE 2</u>. ====== Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). '' ====== <u>ÉTAPE 3.</u> ====== Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles. Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.  
Lorsqu’une membrane vibrante du diapason est plonger dans l’eau, la vibration du diapason va se propager en continue dans l’eau, c’est le déplacement de celle-ci que l’on peut percevoir sur la surface.  +
==== De manière simple : ==== Chaque couleur est perçue un court instant par notre œil : cela s'appelle la "persistance rétinienne". Comme le disque tourne rapidement, les couleurs se superposent en raison de ce phénomène. Or le mélange de toutes ces couleurs donne le blanc de la lumière. Notre cerveau est donc abusé et perçoit le blanc.  +
La turbidité correspond à l’opacité (l’inverse de la transparence) d’un liquide, ici l’eau d’une rivière ou d’un lac par exemple, à cause de matières en suspension (comme de la terre) ou d’algues microscopiques. Le disque de Secchi permet de déterminer la profondeur de pénétration de la lumière et donc la quantité de matière qui absorbe la lumière présente entre le disque et la surface de l’eau.  +
Comme le regard est fixé sur un point à l'horizon, lorsqu'un objet passe entre le regard et le point , il est déformé car l’œil l’interprète mal.  +
Plus le ballon contient de farine, moins il se gonfle. Cela est dû au fait que la farine occupe du volume dans le ballon, mais également au durcissement de la paroi du ballon, rigidifiée par le mélange d’eau et de farine : moins élastique, la paroi se gonfle plus difficilement. Pendant le séjour de l’air dans les poumons, une partie de l’oxygène (O 2 ) qu’il contient passe dans le sang, tandis que le dioxyde de carbone (CO 2 ) que le sang a récupéré en circulant dans le corps passe dans les poumons. Mais les poumons reçoivent également toutes les petites poussières et gaz présents dans l’air que l’on respire. Lorsque ces intrus arrivent dans les poumons, ils sont évacués de deux façons différentes : * soit par la toux ou l'éternuement qui fait sortir l’air beaucoup plus fort, entraînant ainsi ce qu’il transporte ; * soit par la sécrétion par la membrane des poumons d’une grande quantité de mucus qui enveloppe les poussières et les entraîne vers la gorge, provoquant une toux ou une déglutition emportant les poussières dans le système digestif. Comme la farine et l’eau dans l’expérience, des poussières atteignant en grande quantité les alvéoles pulmonaires peuvent se mêler au mucus, durcissant ainsi les parois des poumons. Ces dernières se gonflent et se dégonflent alors plus difficilement, pouvant provoquer des difficultés respiratoires.  +
=== '''De manière simple''' === La rouille est produite par l'association du fer, de l'oxygène et de l'eau. Quand la rouille se forme sur la laine d'acier, elle utilise de l'oxygène : il y a moins d'oxygène dans la verre. Il y a alors de la place disponible dans le verre et comme il faut la combler, l'eau est aspirée dans le verre : le niveau de l'eau monte. === '''Questions sans réponses''' === * Quelle réaction chimique exacte forme la rouille ? * Pourquoi l'eau est "aspirée" à l'intérieur du verre ?  +
'''Phase 1.''' On observe que la feuille change de consistance, devient moins dure, moins rigide. '''La peinture représente l’action des micro-organismes (champignons microscopiques (moisissures blanches et brunes) et bactéries)''' qui colonisent la feuille humide. Ils jouent deux rôles dans la dégradation de la feuille : *ils s’étalent et commencent à dégrader (décomposer) certains constituants de la feuille que les autres êtres vivants du sol ne peuvent pas dégrader : la lignine, le bois… *ils rendent la feuille plus appétissante pour une partie de la faune du sol (comme une couche de confiture sur une biscotte !).         '''Phase 2'''. '''Les crayons à papier représentent différents petits animaux du sol (collemboles, acariens oribates) qui perforent (trouent) la feuille''', ce qui favorise sa décomposition. Les collemboles se nourrissent des champignons, grignotant ainsi indirectement la feuille. '''Phase 3.''' Comme en phase 1, '''la peinture représente des champignons microscopiques et des bactéries''' qui colonisent de nouveau la feuille. Ils agrandissent les trous en continuant à décomposer certains constituants de la feuille. Ils sont aidés par des petites larves d’insectes. '''Phase 4.''' '''Les ciseaux et nos doigts représentent une partie de la macrofaune du sol''' (animaux du sol visibles à l’œil nu) ''': vers de terre, cloportes, diplopodes (mille-pattes…)'''. Ils grignotent la feuille et ses nervures, la découpent et la fragmentent en petits morceaux. '''Phase 5.''' Les morceaux de feuilles sont découpés en débris de plus en plus petits par la '''mésofaune du sol''' (animaux du sol visibles à la loupe) ''': enchytrées''' (appelées aussi enchytréides)''', petits collemboles, acariens oribates'''... Macrofaune et mésofaune rejettent des '''crottes, appelées boulettes fécales''', représentées par les boulettes de papier. '''Phase 6.''' '''Cette fragmentation des feuilles en tout petits débris et le rejet de boulettes fécales stimulent l’activité des micro-organismes du sol (champignons et des bactéries). Ils s’étalent et colonisent les crottes''' (boulettes fécales) de la macrofaune et microfaune du sol, et les dégradent complètement, jusqu’à obtenir des minéraux et nutriments (représentés par la bouillie), suffisamment petits pour être transportés par l’eau du sol et absorbables par les racines des plantes. '''Phase 7.''' '''Grâce à l’action fine des micro-organismes (champignons et des bactéries) et au brassage par la macrofaune et la mésofaune, les petits débris de feuilles et les boulettes fécales sont enfouies dans le sol et convertis en terre (humus), minéraux et nutriments, mélangés avec les éléments minéraux du sol.''' '''<big>''Ainsi, grâce à la biodiversité du sol, les feuilles des arbres, une fois tombées au sol, sont décomposées en terre, nutriments et éléments minéraux.''</big>'''  
Réponse du défi bonus (étape 7) : il faut aligner les robots en file indienne. Le premier robot doit être de couleur jaune (pour avancer tout seul et éviter les obstacles), les suivants de couleur verte (pour suivre le wagon de tête).  +
Le Makey Makey est un dispositif d’émulation de clavier à partir d’objets du quotidien. Le Makey Makey se relie à un ordinateur par un câble USB et permet, en utilisant des petits câbles, d’y brancher des objets ou des fruits qui remplaceront alors les touches du clavier et de la souris. La manipulation de tout objet conducteur d’électricité relié au Makey Makey va envoyer un signal à l’ordinateur, qui réagira avec la fonction aui aura été définie, en fonction du logiciel utilisé. Le Makey Makey se présente sous la forme d’une plaque d’une dizaine de centimètres comprenant un circuit imprimé.  +
<u>Les habitants du sol (ceux qui vivent ou s’abritent dans le sol ou à son interface) peuvent être classés en fonction de leur taille. On retrouve :</u> *'''Les plantes ''': elles développent dans le sol leur système racinaire - lieu clé de vie de nombreux organismes. Cet habitat s’appelle la rhizosphère. <br/> *'''La mégafaune (animaux vertébrés >8/10 cm) ''''':'' (''visibles à l’œil nu)'' Ils utilisent le sol comme abri ou habitat et le modifient par leurs terriers et leurs galeries. Gros organismes mais pas très nombreux dans le sol : '''renards, serpents, lapins, taupes, marmottes, campagnols, crapauds, castors, blaireaux, loutres…''' *'''La macrofaune (2/4 mm à 8/10 cm) : ''(animaux visibles à l’œil nu)''''' '''les annélides comme les vers de terre ; ''' **'''les insectes tels les fourmis, les termites, carabes, gendarmes…''' **'''les larves d’insectes : larves de mouches, de cousins, de hannetons, de papillons…''' **'''les arachnides comme les araignées, ''' **'''les mollusques tels les escargots ou les limaces ;''' **'''les myriapodes (milles pattes) comme les iules ou les scolopendres ;''' **'''les crustacés isopodes : cloportes...''' *'''la mésofaune (0,2 à 2/4 mm) : ''(animaux visibles à la loupe) :'' les acariens (oribates, gamases), les collemboles, les diploures, les protoures, les tardigrades, les enchytréides '''(petits vers appelés aussi enchytrées)''', les nématodes... ''' *'''la microfaune (moins de 0,2 mm) : ''(animaux visibles au microscope) :'' '''les '''rotifères''', les '''tardigrades''' et les '''nématodes''' (petits vers)... <br/> *'''les micro-organismes ''''': organismes (autres qu’animaux) visibles au microscope :'' '''nombreux et en pleine découverte. Les bactéries''', les '''champignons''', les '''micro-algues''' ; les '''protozoaires '''('''''organismes unicellulaires : amibes, flagellés, ciliés (paramécies))...'' ''' La faune du sol est majoritairement représentée,<u> en terme d'espèces,</u> par les insectes (80%, principalement des coléoptères) et les arachnides (12%), qui sont les plus diversifiés. Les autres arthropodes (hors arachnides) (5%), les micro-invertébrés (2%), les annélides (1%) et les vertébrés (< 1%) peuvent être abondants, comme c'est le cas des myriapodes (mille pattes) et des vers de terre, mais ils ne sont représentés que par un nombre d'espèces relativement modeste en comparaison à la diversité des insectes et des arachnides. De plus, la faune du sol est fortement influencée par le climat et les écosystèmes dans lesquels on la trouve. ''Par exemple, dans une forêt non gérée par l’humain avec une diversité d’arbres et un sol basique, il existe de nombreux micro-habitats différents au sol (mousses, bois morts, petites plantes, …) : il y aura une plus grande diversité d'habitants du sol que dans un champ agricole fortement travaillé par l’humain. Sous un climat tropical, nous trouvons une très grande diversité et quantité d'habitants du sol en forêt car de nombreux éléments (débris végétaux et animaux) sont à dégrader rapidement grâce à la température et à l’humidité qui accélèrent le processus de dégradation.'' <br/>  
'''<u>Étape 4</u>''' La menace identifiée dans la BD est la destruction d’une partie de la forêt pour construire une route. Non seulement cela détruit directement des zones de forêts de bambous, mais ça contribue également à la fragmentation de la forêt, c’est-à-dire à son découpage en petits îlots séparés les uns des autres, ce qui réduit encore plus la surface disponible pour les pandas vivant dans cette zone et leur mobilité. De plus, la création de routes s’accompagne souvent de plus de déforestation le long de ces routes pour construire des habitats, récupérer des champs… <u>Il existe d’autres causes à la déforestation</u> : *l’agriculture (couper des parcelles d’arbres pour les transformer en champs) ; *l’urbanisation (construire des villes, des routes pour augmenter le tourisme…) ; *la construction de barrages ; l’exploitation de mines... *l’exploitation de la forêt pour récolter le bambou, le bois et les herbes médicinales... '''AU delà de la déforestation, qui est la principale menace qui pèse sur le panda''', il existe encore un peu de braconnage, ou des pièges (destinés à d’autres animaux) qui peuvent blesser voire tuer les pandas. Et indirectement, les changements climatiques fragilisent dans certaines zones géographiques les forêts de bambou, ce qui diminue également les zones de vie des pandas. '''<u>Étape 5</u>''' <u>Au delà du fait que le panda soit mignon (donc tout le monde s’y intéresse), et que toute espèce doit être préservée pour elle-même, il existe plusieurs raisons de protéger le panda</u> : *Qu’elles soient grandes ou petites, poilues ou avec des écailles, avec des pattes, des ailes ou rampantes, avec ou sans feuilles et fleurs, toutes les espèces jouent un rôle dans l’environnement, et sont liées à de nombreuses autres espèces. C’est pour cette raison que la disparition d’une espèce peut mettre en danger tout un ensemble d’autres espèces. C’est pourquoi il est important de les protéger. *De plus, le panda est une espèce dite “parapluie” : comme un parapluie, les efforts mis en place pour le protéger bénéficient à de nombreuses autres espèces partageant les mêmes territoires, et souffrant de ce fait des mêmes menaces (''notamment les singes dorés, les takins, les pandas roux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).''  
Il existe un très grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé. On peut globalement classer les stratégies en quatre grandes catégories : - créer une barrière contre l'eau, - surélever les contructions, - créer des constructions flottantes, - reculer les zones de construction loin du littoral ou sur les hauteurs (ici en remontant les pots en haut de la pente ou en les enlevant totalement de la bassine).  +
Il existe un grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé, par exemple : - mettre en place des haies bocagères qui vont faire de l'ombrage - mettre en place un paillage qui va limiter l'évaporation du sol - mettre en place des réservoirs d'eau de pluie  +
Il existe un très grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé. On peut regrouper les stratégies en 3 catégories : - ombrager le glaçon en lui installant un toit - modifier la surface pour qu’elle accumule moins de chaleur - recouvrir le glaçon ou la surface avec des éléments mouillés, l’évaporation va absorber la chaleur  +
Une ampoule est constituée d’une coque en verre sous vide, dans laquelle un filament de tungstène est installé. Quand l’ampoule est allumée, cela signifie que le courant électrique circule à travers celui-ci.  +
=== Le déplacement de l'air est causé par le fait que l'air chaud a tendance à monter et l'air froid a tendance à descendre. L'air chaud monte parce qu'il a une densité plus faible que celle de l'air froid. Pour expliquer la notion de densité, je prends un exemple. Si on prend un bouchon de liège et qu'on le jète dans l'air, il tombe par terre. Par contre ce même bouchon de liège, quand on le plonge dans l'eau, il remonte à la surface de l'eau dès qu'on le laisse. Ceci signifie que le bouchon de liège a une densité supérieure a celle de l'air mais inférieure à celle de l'eau. ===  +
Outre la simple diversité, la présence ou l’absence de ces espèces, il est important de noter que celles-ci constituent une part importante des écosystèmes aquatiques. En effet, ces organismes assurent une partie des fonctions des écosystèmes, comme la décomposition de la litière (accumulation de feuilles) et servent aussi de nourriture à de nombreux organismes, comme les poissons ou les batraciens.  +
E
on a mis sur Arduino u code qui permettra d'allumer la LED suivant les codes en morse correspondant à chaque lettre.  +
=== '''De manière simple''' === L'eau salée est plus dense que l'eau douce car elle contient du sel, c'est pour cela qu'elle reste au fond du récipient. L'eau douce, elle, est beaucoup moins dense : elle flotte à la surface !  +
En frottant le ballon, on l'a chargé d'électricité statique négative. L'eau du robinet possède des charges électriques positives et négatives. Les charges positives de l'eau sont attirées par le ballon chargé négativement. Comme dans un aimant, le "plus" et le "moins" sont attirés, ce qui fait dévier l'eau vers le ballon jusqu'à ce que les charges électriques s'équilibrent. === [[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau_%C3%A9lectrostatique&action=edit&section=8 modifier]] '''Questions sans réponses''' === Pourquoi lorsqu'on approche un aimant de l'eau, celle-ci n'est-elle pas attirée ? >> L'aimant exerce une force magnétique, le ballon est chargé de force électrostatique.  +
'''Pour les versions 1&2 :''' Les projecteurs chauffent l'intérieur du saladier. Ils représentent le soleil. L'humidité présente dans le coton va alors s'évaporer à l'intérieur du saladier. Cette humidité représente l'humidité naturelle qui nous entoure au quotidien. La fumée d'encens va permettre d'accélérer le réchauffement intérieur du saladier. La fumé d'encens, ainsi que le mélange bicarbonate/vinaigre représentent la pollution atmosphérique crée par les activités humaines. '''Pour la version 3 :''' C’est le bocal en verre qui reproduit l’effet de serre que l’on a sur la Terre. La température sous le bocal est plus élevée que pour les deux autres glaçons. Cela se vérifie en plaçant un thermomètre seul sous un bocal et un autre thermomètre sans bocal, en parallèle de l’expérience des glaçons. Le glaçon qui fondra le moins sera celui situé sous le coton car celui-ci apporte un effet isolant au glaçon.    +
Lorsqu'un courant électrique traverse une bobine, celle-ci produit un champ magnétique. La vis est un matériau ferromagnétique doux (dont l'un des éléments principaux est le Fer), et donc elle s'aimante lorsqu'elle est soumise à un champ magnétique extérieur.  +
'''''Comment sait-on que l'hydrogène est présent ?''''' Le courant électrique dissocie la molécule d'eau (soit H<sub>2</sub>O) en ions hydroxyde (OH)- et hydrogène H+ : dans la cellule électrolytique, les ions hydrogène acceptent des électrons à la cathode dans une réaction d'oxydation en formant du dihydrogène gazeux (soit H<sub>2</sub>), alors qu'une oxydation des ions hydroxyde - qui perdent des électrons donc - se produit à l'anode, ce qui produit l'oxygène (O<sub>2</sub>). On constate aussi que le volume de l'hydrogène est deux fois celui de l'oxygène. On utilise une flamme pour constater la présence de l'hydrogène, puisque c'est un gaz très inflammable. '''''L'électrolyte ?''''' L'eau pure conduit peu l'électricité, ce qui contraint à l'emploi d'un additif hydrosoluble - électrolyte - dans la cellule d'électrolyse pour « fermer » le circuit électrique (autrement dit, faire en sorte que les potentiels chimiques en jeu permettent la réaction chimique). L'électrolyte se dissout et se dissocie en cations et anions (c'est-à-dire respectivement des ions chargés positivement et négativement) qui peuvent « porter » le courant. Ces électrolytes sont habituellement des acides, des bases ou des sels minéraux.  +
Les tanins forment avec leurs dérivés la quatrième famille de composés par ordre d’abondance dans les plantes, Ces [https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tabolite_secondaire métabolites secondaires] sont utilisés par les plantes (arbres, plantes à fleur, etc.) comme [https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sistance_des_plantes_aux_maladies moyen de défense chimique contre les microbes pathogènes] et [https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9fense_des_plantes_contre_les_herbivores les herbivores]. On les retrouve dans quasiment tout type de partie végétale exposée à des risques de prolifération microbienne ([https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89corce écorces], [https://fr.wikipedia.org/wiki/Racine_(botanique) racines], feuilles, fruits, etc.), et donc, dans certaines boissons comme le thé, le café, la bière, le cidre et le vin. On l'utilisait pour le "tannage" du cuir, qu'on laissait tremper pendant plusieurs mois avant de le travailler. Au contact de l'oxyde de fer, le tanin prend une couleur noire mais pas avec toutes les feuilles. L'érable par exemple s'oxydera tout de suite alors que le Mûrier restera vert.  +
'''L'énergie grise''' est la quantité d'énergie dépensée de la phase de conception d'un produit à son recyclage, ou à sa destruction. Il s'agit de la phase cachée de notre consommation énergétique. Par exemple, lorsqu'on achète un jean, la quantité d'énergie nécessaire pour cette consommation correspond : - à l'utilisation d'eau pour cultiver le coton - à l'utilisation des machines agricoles pour récolter le coton - au transport du coton en manufacture - à la transformation du coton en fibres puis en vêtement - au transport du produit fini vers les sites de distribution puis vers le magasin - et enfin aux différents cycles de lavage dans la durée de vie / d'utilisation du jean. <div class="icon-instructions pin-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-thumb-tack"></i></div> <div class="icon-instructions-text">On considère alors que pour produire 1 jean, il faut 7000 à 10000 L d'eau.</div> </div><br/>  +
On appelle pigments les éléments qui donnent leurs couleurs à des produits comme l'encre. Dans cette expérience, en ajoutant de l'eau chaude, on a transformé le pigment bleu de l'encre, en le rendant incolore. Ce pigment change de couleur selon l'acidité : quand on ajoute un produit acide comme le [http://www.wikidebrouillard.org/index.php/Vinaigre vinaigre], le mélange devient acide, et le pigment redevient bleu. En ajoutant du bicarbonate, qui est basique (le contraire d'acide en chimie), le mélange finit lui aussi par devenir basique et le pigment redevient donc incolore.  +
Le jus de citron contient des composés carbonés (avec du carbone). Ces composants carbonés sont presque incolores lorsqu'on les dissout dans l'eau. Mais lorsqu'ils sont chauffés, ils se brisent et libèrent du carbone, qui est de couleur noire.  +
Dans cette expérience, le bac peut représenter une rivière ou un terrain. L’eau du verre, la pluie, l’eau de ruissellement ou une inondation. L’éponge, située au dessus du bac pour l’expérience, joue le même rôle qu’une zone humide (tourbière, marais...). Comme l’éponge, les zones humides peuvent accueillir et filtrer une grande quantité d’eau et ralentissent ainsi le débordement des rivières et l'inondation des sols. Elles atténuent donc les risques d’inondation des villes et villages situés en aval. Comme l’éponge, les zones humides conservent l’eau longtemps, ce qui permet d’avoir une flore et une faune spécifique aux milieux humides (sphaignes, droséras, linaigrettes, libellules, grenouilles, tritons...). Ces zones humides sont également des lieux de repos et de reproduction d’un grand nombre d’espèces de la rivière, et des lieux de refuge en cas de crues. Elles permettent aussi l’épuration des eaux.  +
Le poids des objets les attire vers le sol, en raison du champ de gravité terrestre. Quand le marteau est posé sur la table et que l'on le décale vers le bord, on remarque que celui tombe lorsqu'il dépasse un certain point : le marteau bascule quand la partie au-dessus du vide est plus lourde que la partie au-dessus de la table : Le centre de gravité du marteau n'est plus au dessus de la table. Le même principe s'applique à la règle. Le système Règle + marteau + élastique crée un ensemble-objet qui se trouve en équilibre sur le bord de la table. Si l'on ajoute au marteau la règle et l’élastique, c'est le même principe. La présence de la règle permet de laisser l'ensemble un peu plus loin dans le "vide". Cet ensemble repose sur la table et ne tombe pas tant que l'on n’a pas dépassé le point d'équilibre de l'ensemble lui-même. Tant qu'il repose au-dessus de la table, l'ensemble ne bascule pas. Par contre, dès que le centre d'équilibre n'est plus "soutenu" par la table, l'ensemble tombe dans le "vide". Cette force de soutien par la table s'appelle force de réaction. Le centre de gravité n'est pas à l'endroit où la règle touche la table. Le centre de gravité de ce montage se situe près de la tête du marteau, donc plus bas que le point de contact avec la table.  +
Le mélange bicarbonate vinaigre crée une réaction chimique qui génère du gaz carbonique (CO<sub>2</sub>). Ce gaz prend plus de volume que la lave liquide et pousse la lave vers le haut générant ainsi l'éruption. Si la lave est très visqueuse, le gaz s'accumule augmentant ainsi sa pression. Quand la pression devient trop forte, il se produit une explosion qui projette des pierres et des morceaux de lave très loin : c'est l'éruption explosive.  +
Les zones côtières ont attiré beaucoup d'habitants depuis les années cinquante, ce qui se traduit directement par l'augmentation de la taille des villes. Cette augmentation de la population a entrainé le développement des activités économiques telles que le transport maritime, la plaisance et les autres loisirs nautiques et le commerce. Cela explique la forte urbanisation du littoral, et la construction de nouveaux ports port de commerce et de plaisance, de zones portuaires, parkings, commerces, écoles de voile... Lorsque l'espace venait à manquer pour de nouvelles constructions, il était courant dans les années soixante et soixante-dix d'augmenter artificiellement les surfaces terrestres en ajoutant des roches et du béton dans la mer jusqu'à faire émerger des zones de construction supplémentaires. On voit dans ce cas le trait de côte avancer sur la mer entre les années 50 et 2010. <br /><br /><br />Les nouvelles constructions réalisées sur la mer, de même que les digues et les barrages, modifient la circulation des courants, et des sédiments qu'ils transportent. Le sable et la vase, dont l'évacuation peut être bloquée, vont alors s'accumuler sur certains sites et créer des îlots, des plages ou des vasières. Ce phénomène est parfois si important qu'il peut gêner la circulation maritime et nécessiter des opérations de dragage.<br /><br /><br />Au contraire, les zones où les courants ou la force des marées se renforcent à cause de certaines constructions peuvent être plus fortement exposées à l'érosion, phénomène naturel alimenté par le vent et la mer, qui grignote peu à peu les plages en emportant le sable. Il est fréquent aussi, après la construction d'un port, d'observer une zone plus sombre qui trace comme une sorte de couloir dans la mer. Il s'agît de chenaux, qui sont souvent creusés pour faciliter la circulation des bateaux.<div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Erosion sur habitat cotier-DomainePublic-red.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/5/5e/Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg" class="image" title="Constructions récentes sur le littoral et dégâts de l'érosion."><img alt="Constructions récentes sur le littoral et dégâts de l'érosion." src="/images/thumb/5/5e/Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg/600px-Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg" width="600" height="400" srcset="/images/thumb/5/5e/Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg/900px-Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg 1.5x, /images/5/5e/Erosion_sur_habitat_cotier-DomainePublic-red.jpg 2x" data-file-width="960" data-file-height="640" /></a></div></div></span></div>  
Depuis sa création, l'univers s'étend de plus en plus. Cela signifie que les distances entre les astres grandissent. C'est ce qu'on appelle l'expansion de l'univers. Cela a été observé et expliqué au début du 20e siècle à l'aide de la théorie de la relativité générale d'Einstein. Cette théorie a radicalement changé notre façon de voir l'univers, et a permis d'expliquer des choses observées et qui ne trouvaient pas vraiment d'explication satisfaisante dans la théorie précédente (la gravité universelle de Newton).  +
Le bleu de méthylène est bleu quand il est oxydé et incolore quand il est réduit (non oxydé) La soude (hydroxyde de sodium) le reduit il devient donc incolore et quand on agite la bouteille on dissout de l'oxygène qui est présent dans l air et donc il devient bleu  +
Dans la réalité, la vision humaine ne permet pas de traiter de l'ensemble des informations visuelles qui parvient à notre oeil: notre oeil fait parvenir à notre cerveau une '''succession d'images''' (environ 40 à 50 par seconde), mais une succession d'images tellement rapides que ce dernier l'interprète comme étant continues. Avec le stop motion, mais aussi avec les animations, les vidéos et les jeux vidéos, on joue avec ce principe! En mettant bout à bout des images d'un même objet que l'on a progressivement déplacé, on "trompe" notre cerveau en lui donnant l'illusion d'une continuité et d'un mouvement: c'est l''''effet Phi'''. Une dizaine d'images successives par seconde peuvent suffire à induire cet effet. Toutefois, en théorie plus la cadence d'images par seconde sera élevée, moins l'animation donnera la sensation d'être saccadée.  +
F
Au bout de quelques jours les premiers déchets organiques commencent l'étape de la dégradation. Lors de cette étape les déchets organiques se décomposent grâce à des bactéries et des champignons. Pendant la dégradation, un jus brun s'accumule dans la soucoupe du dessous, on appelle ça du thé de compost. Le thé du compost est un liquide issu de la macération du compost qui est riche en matière organique ( bactéries, champignons, nutriments...). Tu peux l’utiliser pour l’arrosage, pour cela 1/4 de thé pour 3/4 de volumes d’eau. Après la dégradation, l'étape de la maturation... Pendant cette étape tu pourras observer des organismes comme des larves, des cloportes, des vers qui participent à la fabrication de ton compost ! Ils vont petit à petit transformer tes déchets décomposés en humus (= ensemble des matériaux organiques, ici tes déchets, issu de la décomposition et de la transformation chimique et biologique des débris végétaux. ) Et voilà ton compost est prêt ! Riche en minéraux et en matières organiques, intègre-le à tes plantations dans ton jardin ou dans tes pots de plantes (1/3 de compost et 2/3 de terreau). <br/>  +
Une maquette de bassin versant permet de se familiariser avec le cycle naturel de l'eau et de réaliser de nombreuses observations et expériences en reconstituant le comportement de l'eau dans le paysage. En versant de l'eau en pluie sur les hauteurs de la maquette, on peut observer le chemin pris par l'eau en fonction des reliefs. Quand toute l'eau qui tombe sur une zone se retrouve au même point à l'arrivée (la même embouchure de rivière), cette zone est appelée un bassin versant. Sur les hauteurs, l'eau s'écoule de part et d'autre de lignes qui correspondent aux limites de différents bassins versants. Ces lignes sont appelées lignes de crête ou lignes de partage des eaux. On observera que l'eau qui ruisselle sur le bassin versant rejoint des ruisseaux, des rivières puis s'écoule finalement en mer, où le cycle naturel de l'eau se poursuivra avec l'évaporation, qui forme les nuages et dont les pluies ramèneront l'eau sur les terres. Un aspect du cycle naturel de l'eau reste difficilement visible sur ce type de maquette, il s'agit de l'infiltration d'une partie des eaux de pluie dans les sols (puisque le polystyrène une fois peint ou verni est imperméable). Mais l'ajout de quelques éléments sur la maquette (éponges, sable) permet d'aborder ce point. <br/>  +
L'eau chaude de notre bocal, correspond à l'eau qui dans la nature est chauffée par le soleil, en effet lorsque la température s'élève suffisamment l'eau ainsi chauffée s''''évapore''' : elle passe de l'état liquide à gazeux.  +
Tu as sûrement déjà appris à trier tes déchets. En effet, dans la cuisine de tes parents, à l’école, au parc, tu trouves souvent deux poubelles : une noire ou verte et une jaune. D’autres déchets sont mis de côté également : les bouteilles et les pots en verre, les piles électriques, les ampoules, les médicaments, et peut-être les épluchures. Une fois sortie de ta maison, tous ces objets n’auront pas la même suite de vie. Certains sont enfouis sous terre, d'autres sont recyclés. C’est-à-dire qu’ils vont être transformés en de nouvelles matières et objets.  +
De nombreuses personnes fabriquent désormais leurs produits ménagers et cosmétiques, et ce avec l’envie de réduire ses déchets, et de prendre soin de sa santé et de la planète. Si tu décides de te rendre sur ces sites, tu te rendras compte qu’au-delà de fabriquer par soi-même, ces personnes réfléchissent à ce qu’elles achètent, et essaient de ne pas acheter ce qui ne leur serait pas utile.  +
Il se produit une réaction chimique lorsque l'on mélange l'ensemble des "ingrédients" (nommés "réactifs" dans le cas d'une réaction chimique). Cette réaction chimique conduit à la création d'un nouvel élément, nommé "produit".<br /><br />On représente généralement une réaction chimique de cette façon:<br /><br />réactif 1 + réactif 2 + ... → produit 1 + ...<br /><br /><br />Voici la formule simplifiée de la réaction chimique qui conduit à la fabrication de cette slime:<br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Réaction chimique slime.png" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/a/a8/R%C3%A9action_chimique_slime.png"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:R%C3%A9action_chimique_slime.png" class="image" title="formule simplifiée de la réaction chimique de la slime"><img alt="Alcool polyvinylique + Borate + Eau => "polymère"" src="/images/thumb/a/a8/R%C3%A9action_chimique_slime.png/500px-R%C3%A9action_chimique_slime.png" width="500" height="107" srcset="/images/thumb/a/a8/R%C3%A9action_chimique_slime.png/750px-R%C3%A9action_chimique_slime.png 1.5x, /images/a/a8/R%C3%A9action_chimique_slime.png 2x" data-file-width="949" data-file-height="204" /></a></div></div></span></div>  +
Rappelons que nous avons saturé l'eau en poudre d'alun. Avec le temps, l'eau du bocal refroidi, or la poudre d'alun se dilue mieux dans l'eau chaude que dans l'eau froide : donc en refroidissant le "trop plein" d'alun dilué est "rejeté" par l'eau, on dit qu'il précipite. Quand il précipite, les petites molécules d'alun ont tendance à se coller les unes aux autres : il y a donc une formation de cristaux.  +
La crème que l'on a utilisée contient 30% de '''matière grasse''', de '''l'eau''' et des '''protéines'''. L'eau et le gras ne se mélangent pas, le gras à plutôt tendance à flotter. Mais ici, les gouttelettes de matières grasses dispersées dans l'eau ne remontent pas car les protéines empêchent leur regroupement . C'est ce qu'on appelle '''une émulsion''' (= mélange de deux matières qui normalement '''ne se mélangent pas'''). Tu as secoué la crème une première fois : elle s'est transformée en '''crème fouettée'''. Cette fois-ci c'est une émulsion : entrée de l''''air dans le liquide'''. L'air est emprisonnée dans la crème. En agitant la crème fouettée, on obtient à la fin: du '''beurre'''. Avec le mouvement les gouttelettes de matière grasse se sont '''rapprochées puis agglomérées'''. On obtient un '''phénomène d'inversion''' des phases car dans la crème, '''les gouttelettes de matière grasse sont dispersées dans l’eau''', tandis que dans le beurre, '''les bulles d’eau sont dispersées dans les gouttelettes de matières grasses'''. Le '''liquide''' '''blanc''' que tu as récupéré dans ton plat, c'est du '''babeurre''', c'est le reste d'eau de la crème qui s'est séparé de la crème. <br/>  +
Comme nous l'avons vu : *Pour utiliser l’énergie électrique, il est nécessaire de former un '''circuit''' à travers lequel l'électricité <u>circule</u> *Si tous les éléments du circuit sont reliés ensemble, le <u>courant circule</u>, le circuit est alors '''<u>fermé</u>'''. *Si deux éléments du circuit ne sont plus reliés, le courant <u>ne circule pas</u>, le circuit est alors '''<u>ouvert</u>'''.  +
Un planeur est composé de trois parties principales : *'''La voilure''' : assure la portance de la machine, soit l'élévation du planeur. *'''Le fuselage''' : Sa fonction est de porter et d'abriter le ou les pilotes et sa liaison avec les empennages et la voilure. *'''Les empennages''' : Leur fonction est d'assurer la stabilité et le contrôle de deux axes de pilotages. Pour planer, l'engin doit être équilibré. * '''La portance''', perpendiculaire au déplacement, permet de compenser une partie du poids du planeur, lui évitant de chuter à la verticale et lui permettant ainsi de planer.  +
Nous avons fais un prototype de la catapulte afin d'être sûr de la méthode de fixation et de lancer. Vous pouvez également faire un prototype si vous le souhaitez.  +
Nous avons utilisé 3 métaux différents : - le cuivre, présent dans les pièces de monnaies - le zinc, présent dans les rondelles de bricolage - le papier aluminium ainsi qu'un acide : le vinaigre. '''Les électrons''' (atomes) présents dans le cuivre, se déplacent dans les autres métaux grâce à un '''électrolyte''' (un acide). C'est l'acide du vinaigre qui va donc permettre à ces électrons d'être libérés de façon à créer un courant électrique continue qui permet d'alimenter la diode.  +
La bande de papier est immobilisée au milieu des batonnets de glace. Quand on souffle dessus, elle vibre, et c'est cette vibration qui est à l'origine du son. Cela montre qu'un son est une onde matérielle.  +
La composition de la pâte squishy n°1 est faite pour que l'électricité passe, à cause du jus de citron, de l'eau et sel. Les produits composants la seconde pâte sont soit isolants soit très peu conducteurs d'électricité. Cependant, les matières conductrices conduisent moins bien l'électricité lorsqu'elles sont trop grandes, attention à ne pas faire de très grandes et longues formes avec votre pâte conductrice, l'électricité risque de ne pas arriver jusqu'au bout!  +
=== '''De manière simple''' === Le thé c'est de l'eau sucrée avec des arômes. Cette eau est "alourdie" par le sucre, elle est plus dense que l'eau seule. Donc le thé reste au fond du verre car il est plus dense que l'eau. === '''Questions sans réponses''' === Expérience à réaliser avec du thé chaud ou froid ? De l'eau froide est plus dense que de l'eau chaude, et reste au fond d'un verre où les deux sont en présence.  +
La pâte à modeler a une masse volumique plus forte que celle de l'eau, c'est pourquoi elle coule lorsqu'elle est en boule. Si nous comparons le poids d'une bille d'eau avec celle d'une bille de pâte à modeler (même volume), la pâte à modeler est plus lourde, ce qui signifie que sa masse volumique est plus forte que celle de l'eau. Cependant, il est possible de faire flotter des objets ayant une masse volumique plus forte que l'eau. Lorsqu'un objet est dans l'eau il subit une force de bas en haut plus communément appelée poussée d'Archimède : l'eau pousse l'objet vers le haut. En étalant et en creusant la pâte à modeler, on agrandit sa surface de contact avec l'eau, la poussée d'Archimède est plus grande et l'objet ne coule pas.  +
En fonction de notre distance par rapport aux objets que l'on voit nous n’apprécions pas leur taille de la même manière. La voiture est l'objet le plus gros en taille, il faut donc le placer le plus loin possible pour qu'il soit aux dimensions de la main.  +
Les graviers offrent un obstacle limité au passage de l'eau car il reste de grands espaces entre eux, où l'eau et une grande partie de ses éléments polluants peuvent passer. Ils retiennent donc les plus gros débris. Le sable, constitué de grains très fins, offre des espaces libres beaucoup plus petits pour le passage de l'eau, les débris les plus petits seront donc bloqués par la couche de sable. L'efficacité du charbon actif ne tient pas dans la taille des espaces entre ses grains mais dans sa capacité à piéger certaines substances chimiques, comme les polluants organiques qui dégradent la couleur et l'odeur de l'eau. <br/>  +
Lorsque l'on fait passer de l'eau dans un tuyau d'arrosage plié, on observe que le tuyau se déplie. On peut comparer les fibres qui constituent le papier à un tas de minuscules tuyaux que l'on aurait entrelacés. Lorsque l'on dépose le papier sur l'eau, elle s'infiltre dans ces petits tuyaux qui sous l'effet du passage de l'eau se déplient. Ce phénomène qui fait que l'eau s'infiltre dans le papier et remonte dans les pétales est appelé la capillarité. C'est la capacité d'un liquide à pouvoir remonter une surface même contre la gravité. <span></span><br/>  +
'''<u>Étape 3</u>''' De nombreux pollinisateurs butinent les fleurs : abeilles, papillons, bourdons, mouches, coléoptères, ainsi que des chauves-souris et des oiseaux (colibris) dans les climats tropicaux, d’où le fait de réaliser des bouteilles de taille différentes, avec des tailles de trompes différentes. Une fois le nectar au contact de la paille (la trompe), de la gouache (ou de la craie) se dépose sur la bouteille (corps de l’insecte). L’insecte-bouteille est plein de “pollen”. De plus, les fleurs sont recouvertes d’un mélange de gouache (ou de craie). Le pollen est donc bien transporté d’une fleur à l’autre par l’insecte ! Dans la nature, les insectes sont attirés par le parfum et la couleur des fleurs. Ils consomment leur nectar pour se nourrir. Le pollen est alors accroché aux poils  ou aux organes spécialisés de l’insecte (par exemple les corbeilles à pollen sur les pattes arrières des abeilles) pendant qu’il boit le nectar. Et en butinant, il frôle le pistil d’une autre fleur où le pollen se dépose ! Il existe un bénéfice réciproque entre l’insecte et la plante. Mais tous les insectes-bouteilles n’atteignent pas le nectar au fond de la fleur (cas des insectes à petites pailles avec la fleur-grand récipients). '''<u>Étape 4</u>''' La forme des insectes pollinisateurs et la forme de leurs trompes varient, ainsi que la forme des fleurs, qui abritent le nectar. Il existe dans la nature une correspondance anatomique entre la forme des fleurs et la longueur des trompes des insectes qui les visitent. '''La diversité des insectes est donc vital pour les plantes, et réciproquement !''' Car les insectes pollinisateurs, en se nourrissant du nectar que leur fournissent les fleurs, permettent à un très grand nombre de plantes à fleurs de se reproduire en transportant leurs pollens. Et comme les fleurs pollinisées se changent en fruits, cela permet à de très nombreuses espèces  (dont nous!) de se nourrir, donc de survivre. '''Ainsi les insectes pollinisateurs contribuent inconsciemment à la sauvegarde de la planète.''' Pour vivre, chaque espèce est amenée à aider et à servir les autres.  
Ceci s'explique grâce à la forme cylindrique que l'on a donné au papier. En effet, la forme cylindrique est la plus efficace pour la répartition du poids des livres. Plus efficace car cette forme offre, pour le même périmètre, plus de surface par rapport aux autres formes géométriques comme le carré ou le triangle. Un pied carré est moins robuste car les arêtes constituent des points où les tensions s'accumulent au lieu de se répartir. Nous avons une surface plus grande grâce à la forme cylindrique ce qui implique donc une meilleure répartition des forces.  +
Le bouton poussoir permet d'envoyer un signal sur une entrée de l'Arduino. Celui-ci l'interprète grâce au code transmis, et va alors émettre un signal sur ses sorties qui va éteindre ou non les diodes branchées sur celles-ci. L'électron qui est allé voir Arduino a été bloqué par un bouton poussoir. En appuyant dessus, je lui permet de passer. "L'électron va taper à la porte de monsieur diode : « - Que tu es beau quand tu t'illumines ! - Mais voyons électron, si tu veux que je m'illumine, tu dois marcher dans l'autre sens ! » Ainsi, l'électron fit demi-tour et la diode brilla de mille feux."  +
Avant de commencer à fouiller, donner quelques consignes de sécurité avec les outils, leurs dire de ne pas mélanger ou perdre les pièces. Les enfants nettoient la table plusieurs fois après l'activité, la plâtre créer une poussière blanche qui reste longtemps. Quand ils ont récupérés tout les os, l'un d'eux nettoie les pièces à l'eau et les sèchent. Mettre les pièces de côtés avec le nom du dinosaure trouvé  +
Créer une ambiance dans la salle. Créer des animations. Animer, raconter, poser des questions, interagir autour des images à coller et du texte à trou.  +
La fusée à air fonctionne grâce à la pression de l'air. Lorsque vous appuyez sur la bouteille, vous compressez l'air à l'intérieur qui va donc monter pour chercher de l'espace. La plus grosse des deux pailles n'étant pas fixé et l'air étant bloqué grâce à la coiffe à son extrémité, l'air fera décoller votre fusée.  +
Lorsque l'on actionne la pompe à vélo, on envoie de l'air dans la bouteille. L'air envoyé dans la bouteille exerce une pression de plus en plus importante sur les parois de la bouteille mais également sur l'eau qu'elle contient. Lorsque la pression de l'air exercée sur l'eau devient trop importante, le bouchon fermant la bouteille est éjecté, et l'eau s'échappe rapidement. Ceci entraîne le décollage de la fusée. Lorsque la fusée s'est totalement vidée de son eau, elle revient sur Terre.  +
G
L'eau devient '''glace''' quand la température descend à '''0°C''', on appelle cela la '''cristallisation'''. C'est grâce à cela que l'on obtient des glaçons quand on met de l'eau au congélateur. A savoir aussi que la glace ('''eau solide''') prend plus de place que l''''eau liquide'''. Pourquoi ? Comme tout objet en ce monde, l'eau est constituée de petites '''molécules''' d'eau : '''H2O''' ('''un atome d'oxygène avec deux atomes d'hydrogène'''). À l'état liquide, les molécules sont agencées de façon désordonnée alors qu'à l'état solide, les molécules s'organisent entre elles. Elles prennent alors plus de place. La '''température de cristallisation''' de l''''eau salée''' n'est pas à 0°C mais à '''-1,8°C''' car le sel rend le processus plus difficile.  +
Les couleurs sombres absorbent plus la lumière, elles chauffent donc plus rapidement que les couleurs claires. L’eau recouverte d’une surface blanche n’a pas reçu autant de lumière, et donc de chaleur, que l’eau laissée sans protection, car la surface blanche a renvoyé une partie des rayons lumineux avant qu’ils touchent l’eau placée dessous. Le polystyrène a aussi joué un rôle d’isolant, plus ou moins important selon son épaisseur.  +
==='''De manière simple'''=== Lorsque le bicarbonate tombe dans la bouteille, des bulles se forment dans le liquide et le ballon se met à gonfler. Ces bulles sont produites par la réaction chimique entre le vinaigre et le bicarbonate. Grâce au ballon, on capture un gaz invisible produit par une réaction chimique ! Ce gaz, c'est du dioxyde de carbone (du CO<sub>2</sub>) . Le CO<sub>2</sub>, n'est pas le seul produit issu de la réaction. Le vinaigre et le bicarbonate ont aussi été transformé par la réaction chimique. <br/><div class="icon-instructions caution-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-exclamation-triangle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">Si tu as utilisé des produits alimentaires, et des récipients propres, tu peux tenter de goûter les produits.</div> </div> Tu peux goûter les produits, que remarques tu ? L'acidité du vinaigre a disparu ! <br/>  +
Le fait de placer l'aiguille sur le disque tournant diffuse les ondes sonores gravées dans le disque.  +
Vu de loin on suppose que les étoiles sont toutes sur un même plan. Ceci est dû à un manque de repères les unes vis-à-vis des autres et du point de vue de l'observateur à cause des distances très importantes dans l'espace. On se représente souvent le ciel comme une toile peinte alors que les distances entre les astres, visibles à l’œil nu depuis la Terre, nous dépassent complètement (elles se mesurent en années lumières) !  +
=== '''De manière simple''' === * Vu de loin on suppose que les étoiles sont toutes sur un même plan. Ceci est du à un manque de repères les une vis à vis des autres et vis a vis de l'observateur. En réalité comme on peut le voir sur le dernier plan celles ci sont a des distances différentes de l'observateur, et sur des plans différents.  +
Les parois d'une grotte se comportent comme celles du verre. Lorsque la température extérieure est élevée, l'air chaud qui entre dans la cavité - plus froide - se condense. Cela provoque parfois la formation d'un véritable brouillard. '''Pas question pour les hommes préhistoriques d'habiter dans un endroit aussi humide !''' Le phénomène de condensation s'inverse lorsque la température extérieure est basse. La vapeur d'eau contenue dans l'air de la grotte - plus chaude que l'air extérieur - se condense a son contact. Dans tous les cas, les grottes sont des milieux très humides.  +
<nowiki>L'eau bleu est froide et passe par le bas et l'eau rouge est chaude et passe par le haut, et c'est parce que l''''eau froid''' est plus dense que l''''eau chaud''', et ses particules sont plus proches les unes des autres.</nowiki>  +
H
Nous venons de réaliser les plans d'une maison issue de notre imagination. Après les calculs des déperditions et des gains, il appraît que la disposition des pièces et des couvertures par rapport au soleil a une importance non négligeable. En effet, le soleil est une source d'éerngie renouvelable et économique, il faut favoriser cet apport d'énergie gratuit dans la maison. En France métroploitaine, il brille au Sud, cette orientation est donc privilégiée pour installer les baies vitrées. N'oublions pas que les osleil peut apporter jusqu'à 500 Watts de chauffage par mètre carré de surface vitrée placée au Sud, ne nous en privons pas ! A contrario, au Nord, il n'y a pas de Soleil. De plus, les vents froids de l'hiver arrivent souvent de cette direction, il est donc impératif de s'en protéger : - en isolant au mieux ces parois afin de limiter au maximum des déperditions de chaleur. - en plaçant au Nord de la maison les pièces que l'on chauffe pas ou moins (le garage, le débarras, la buanderie, ...). C'est ce qu'on appelle des espaces tampons. - un préau placé sous les vents dominants permet à la maison d'être plus aérodynamique, c'est à dire que le vent glisse par dessus elle et réduit ainsi le refroidissement généré par celui-ci. - Le hall d'entrée est un sas qui permet de ne pas refroidir toute la maison lorsqu'on la pénètre. - chaque mur est une occasion pour la chaleur de s'échapper de la maison. Plus une maison offre des surfaces d'échanges avec l'extérieur, plus elle perd d'énergie. De même, bien que les coins de murs soient parfois esthétiques ou nécessaires, ils sont aussi problématiques car difficiles à isoler et entraînent des ponts thermiques qui sont alors autant d'échappatoires à l'énergie. <br/>  +
La vision de l'hologramme obtenue est en réalité due à la réfraction des rayons lumineux qui partent de l'écran pour impacter les différentes faces de la pyramide transparente. Ainsi, la vision holographique que nous obtenons est celle d'un reflet causé par une illusion d'optique.  +
Le mécanisme de notre catapulte est très simple. Il suffit simplement de tirer la ficelle, tout en tenant la poignet avec son autre main pour armer. Puis une fois que la puissance est suffisante, on lâche la ficelle et l'objet part.  +
L'air soutient les pales de l'hélicoptère. Plus les pales sont grandes, plus l'hélicoptère descend lentement. Le trombone apporte un poids à l’hélicoptère pour qu’il tombe en ligne droite.  +
I
Pourquoi l'espace apparaît-il noir sur les photos prises par les spacionautes ? D'après les expériences faites ci-dessus, il y a plusieurs explications : - sur la Terre, l'atmosphère terrestre filtre la lumière du soleil pour ne faire passer que certaines couleurs. - sur la Lune, il n'y a pas d’atmosphère pour filtrer la lumière, on voit donc l'espace tel qu'il est réellement. - l'espace est presque vide (à l'exception de quelques gaz), il n'y a donc pas de réflexion ou de diffusion de la lumière comme dans l'atmosphère (verre d'eau + lait). - l'univers est en expansion, les étoiles ne sont pas assez puissantes pour éclairer tout l'univers. - les étoiles proches de la Terre ne sont pas assez lumineuses et/ou trop vieilles pour éclairer la Terre.  +
Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire.  +
Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire. <br/>  +
Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire.  +
Il est possible d’étudier les communautés de plusieurs façons différentes. > Il est possible de compter '''le nombre d’espèces''' (ou de taxon, selon le niveau de détermination choisi, voir fiche détermination) total ou par groupe (par exemple le nombre d’espèce de trichoptères). Il s’agit de la richesse dite richesse spécifique ; > Il est possible de compter '''le nombre d’individus''' total ou par groupe (voir même par espèce). Il s’agit de l’abondance. Ces deux paramètres sont centraux en écologie et sont couramment étudiés. De nombreux facteurs peuvent faire varier la richesse et l’abondance, comme la température, la disponibilité en ressources, l’introduction d’espèces… Ces deux paramètres sont aussi étudiés séparément et de façon concomitante. Si la mesure de la <u>richesse</u> et de l’<u>abondance</u> donne déjà des informations sur la structure des communautés, associer les deux donne des informations supplémentaires. Dans cette activité, il est possible de voir que : '''- La perturbation « Matière organique »''' ne va pas avoir d’effet sur la richesse, mais va en avoir une sur l’abondance en favorisant les Diptères, moins polluo-sensibles, au détriment des Éphémères – Plécoptère – Trichoptères ; '''- Les perturbations « Biocide » et « Morphologie »''' vont avoir un effet sur l’abondance et sur la richesse, en provoquant une chute à la fois du nombre d’espèces et d’individus, mais pas de la même façon. # '''La perturbation « Biocides »''' va provoquer une chute des effectifs et de la diversité de tous les groupes avec un effet moindre sur les Diptères, plus polluo-resistants. Cela va traduire l’effet toxique direct sur les individus ; # '''La perturbation « Morphologie »''' va provoquer aussi une chute des effectifs et de la diversité de tous les groupes avec un effet moindre sur les Éphémères – Plécoptère – Trichoptères cette fois. Ce résultat va plutôt traduire la disparition des habitats dans le milieu et donc la capacité de celui-ci à accueillir des communautés variées et abondantes.  
Le but de la soudure est d'assembler ensemble plusieurs éléments tout en permettant le passage du courant entre eux. Pour se faire on utilise le plus souvent en électronique un aliage métallique composé en grande partie d'étain. En fonction des composés associés, ce fil de soudure aura une température de fusion entre 200 et 400°C. Il est donc important que le fer soit bien chaud avant de commencer à souder. Une fois l'étain sur la carte, et le fer retiré, il va refroidir rapidement et ainsi fixer la soudure.  +
L’Hexapion est un jeu dit '''« résolu »'''. Un jeu résolu est un jeu dont le résultat (gagner, perdre ou match nul) peut être correctement prédit à partir de n'importe quelle position, en supposant que les deux joueurs jouent à la perfection. Exemples de jeux résolus : Morpion (qui s’appelle aussi Tic-Tac-Toe ou OXO), puissance 4, Awalé, ... Les boîtes d’allumettes représentent l’arbre des possibles du jeu dans son intégralité. Chaque fois que l’IA perd, c’est une des branches de l’arbre qui mène à la défaite de l’IA qui est coupée. Petit à petit il y a de moins en moins de perles dans les boîtes, c’est-à-dire qu’il y a de moins en moins de possibilité de perdre pour l’IA. Si il ne reste plus qu’une perle par boîte, il est impossible de gagner contre l’IA. Dans ce système d’IA, c’est l’humain qui crée la donnée nécessaire au système pour apprendre. C’est un apprentissage qui est '''supervisé''' puisque c’est nous qui fixons les règles de ce qu’est un « bon coup » ou un « mauvais coup ». Notre IA possède également deux atouts de l’informatique : *Une mémoire parfaite *La capacité de répétition Ainsi la machine ne fait jamais deux fois la même erreur. Ce jeu permet d’illustrer ce qu’est '''l’apprentissage par renforcement''' utilisé en IA, de voir émerger un algorithme optimal et de s’interroger sur '''la notion d’« intelligence »''' dans ce système (particulièrement sur l’intelligence d’un système de boîtes d’allumettes !).  +
J
Si plus de 5 enfants et assez d'animateurs, faire deux groupes et donner 9 familles à chacun  +
En jouant le rôle de l'oiseau prédateur, les enfants ont attrapé les phalènes les plus facilement distinguables. De cette manière, ils ont effectué un pression de sélection naturelle sur nos petits papillons de papier. Ils ont ainsi reproduit ce qu'il s'est réellement passé dans les populations de phalènes à partir du 19e Siècle. Les enfants doivent comprendre qu'en n'attrapant ''(par exemple)'' que les rouges, seuls les papillons bleus et les quelques rouges restant pourront se reproduire. Ainsi, la génération suivante comptera beaucoup plus de papillons bleus qui à leur tour seront plus difficiles à attraper car camouflés. A la fin, toute la population de phalènes sera bleue car tous les rouges auront été mangés et n'auront pas pu se reproduire.  +
Le poids de l'eau du ballon intérieur fait dévier la trajectoire des deux ballons  +
Une action confère l'immunité à l'un des participants, qui ne se fait pas manger par le loup lorsqu'il la fait. On s'observant entre eux, les participants remarquent que lorsque quelqu'un fait cette action, le loup ne le mange pas. En s'imitant les uns les autres, et surtout en imitant celui qui est immunisé, ils ne se font pas manger.  +
Le robot ne comprend que les ordres simples et ne peut avancer que d'une seule case à la fois. Le joueur écrit le programme pour que le robot réalise le parcours souhaité.  +
K
Le principe du kaléidoscope repose sur des petits objets colorés qui se déplacent dans le tube et forment des motifs symétriques grâce à un jeu de miroirs dans lequel ils se "recopient" à l'infini. Le motif change lorsque l'on tourne ou que l'on secoue le tube. Il existe des kaléidoscopes de différentes formes : cylindriques, hexagonaux, triangulaires... et contenant différents matériaux : verre concassé, coquillages, plumes, perles, bouts de tissus ou plastique coloré. Le kaléidoscope contient généralement trois miroirs disposés à 60°, mais parfois beaucoup plus. Plus le nombre de miroirs augmente, plus les formes obtenues sont complexes et variées.  +
En fredonnant, le musicien fait vibrer la membrane du kazou. Cette '''vibration''' est interprétée par notre cerveau comme un '''son'''. Changer la taille du kazou, son diamètre, le serrage de la membrane font varier l'arrivée de l'air ou/et la façon dont la membrane vibre: les sons produits sont donc différents.  +
On a décidé de créer une super porte moderne et avec un mécanisme hors du commun . La porte est constitué de différentes planches/plaques de bois . Ces planches vont se déployer lorsque la porte sera fermé .Ensuite lors de son ouverture les planches vont se superposer.  +
Derrière chaque devinette de fruits et/ou légumes, se pose la question de l'importation et de l'impact écologique de cette dernière. En mettant en évidence l'origine de l'aliment, on rend compte de son parcours au fil de l'histoire et des différence avec son mode de production originale et actuelle. L'outil peut donc servir d'initiateur de débat.  +
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De nombreux organismes marins (coraux, mollusques, crustacés, algues, planctons, vers marins...) possèdent une coquille ou un squelette externe constitué en partie de carbonate de calcium (principale composante du calcaire), qui se raréfie quand le pH diminue, et se dissout en milieu acide. Les organismes marins peuvent donc rencontrer des difficultés à construire ou à maintenir leurs squelettes ou coquilles si les océans s'acidifient. Mais attention ! L'effet sur les coquilles et les squelettes externes des organismes marins ne sera pas aussi rapide et impressionnant que dans l’expérience, car l'océan ne deviendra pas aussi acide que du vinaigre ! Cependant, même une baisse du pH inférieure à une unité cause une diminution très nette de la quantité de carbonates disponibles pour les organismes calcifiants. Ainsi, la fragilisation des espèces à squelette calcaire suite aux changements qui affectent l'acidité des océans touche entre autres le plancton et le corail qui, essentiels, sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépendent une grande partie de la biodiversité marine ainsi que les populations humaines.  +
=== '''De manière simple''' === * L'air contenu dans le bocal exerce une pression sur l'eau, la maintenant dans l'entonnoir. * Quand on perce la pâte, l'air peu s'échapper par le trou, l'eau peut alors descendre dans le bocal. === '''Questions sans réponses''' === * Que se passerait-il avec un autre liquide?  +
Un biais cognitif est un fonctionnement normal du cerveau qui parfois génère des résultats "imparfaits". En être conscient permet d'y prêter attention, et de nous "auto-réguler" dans certaines situations. Il n'y a rien de mal à aimer "jouer" à l'horoscope ou adorer l'appli de personnalisation d'une nouvelle cuisine. Il est bien plus problématique de croire dans les affirmations d'un horoscope ou dépenser une fortune pour une cuisine sur mesure.  +
Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de « coefficient de ruissellement ». Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans cette expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'eau n'arrive pas à s'infiltrer dans une éponge (ou un sol) complètement sec. C'est la raison pour laquelle des inondations se produisent aussi l'été. Il est également tout à fait possible d'essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie. Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol. Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.  +
On remarque normalement que les canettes qui sont restées les plus chaudes sont celles qui ont été intégralement isolées (dessus et dessous). Vient ensuite le caractère isolant des matériaux employés : en général, plus ils contiennent d'air, et plus ils seront isolants. Enfin, l'épaisseur de la couche d'isolation compte aussi. On note que plus la couche isolante est épaisse, plus elle est efficace dans l'isolation. Cependant, l'interêt décline aussi avec l'épaisseur car le rapport coût des matériaux / gains en température est de plus en plus défavorable. Il est vrai que chaque nouvelle couche d'isolation isole mieux la maison, mais en vaut-elle le coût ? Grâce à cette expérience, on observe aussi que la chaleur a la capacité de passer à travers la matière par conduction thermique. Un matériau est isolant lorsque sa conduction thermique est faible. On peut alors aussi parler de résistance thermique qui est en fait mathématiquement l'inverse de la conductivité : ''conductivité th = 1/R'' Il est important de noter que ce qui est important, c'est la différence de température entre l'intérieur et l'extérieur qui déterminera l'importance des déperditions. Baisser la température de chauffage fera inévitablement baisser la facture de chauffage.  +
Lorsqu'un œuf est plongé dans l'eau, il coule, cela est dû à sa densité qui est plus forte que celle de l’eau. L’œuf est plus "lourd" que l'eau. La densité de l'eau salée est plus forte que l'eau douce. Plus on ajoute de sel dans l'eau plus sa densité augmente, jusqu'à ce que l'eau salée devienne plus "lourde" que l’œuf. L’œuf, moins dense que l'eau salée, se met alors à flotter.  +
Lorsque l'on souffle sur l'hélice, elle tourne et permet alors au générateur de créer un courant électrique qui passe dans la diode. Ici l'alternateur joue le même rôle qu'une dynamo de vélo : s'il tourne suffisamment vite, il fabrique de l'électricité. <span></span>  +
Dans le cas du vinaigre, il s’évapore en même temps que l’eau lorsque le mélange est chauffé. L’élément polluant, ici représenté par le vinaigre, se retrouve dans l’air. Il peut ensuite se déplacer et atteindre les nuages (ici, le coton). Le colorant alimentaire, lui, reste dans la casserole tandis que l'eau s'évapore. À la fin de l'expérience, il reste une grande quantité de colorant dans une très petite quantité d'eau. On observe alors une couleur plus foncée, comme si on avait ajouté plus de colorant au début.  +
La porte fonctionne à partir d'un pivotement d'une des deux partie de la porte qui va entrainer grâce à l'engrenage la seconde partie.  +
Les choses naturelles se sont dégradées, car en effet, cela est un processus naturel. Dans la nature, les sols se régénèrent de cette manière, avec le dépôt de feuilles ou de fruits, voire même des arbres en entier. Ces éléments se dégradent avec le temps et nourrissent les sols, ainsi que tous ses habitants en commençant par les bactéries. Si tu laisses ta pomme à l'air pendant plusieurs minutes, tu peux remarquer qu'elle change de couleur : ce sont les bactéries qui agissent. Mais dans le processus de dégradation, elles ne sont pas seules, viennent ensuite les champignons, les insectes et les verres de terre qui finissent le travail avec leurs digestion.  +
'''<u>Manche 1</u>''' Pour coloniser un espace et pour que la plante trouve son équilibre, cela prend plusieurs années. Les plantes sont soumises à différentes pressions en lien avec le territoire qu'elles occupent (zone +/- humide, disponibilité de ressources dans le sol, lumière, etc.). De plus, leurs moyens de dissémination dépendent totalement d'éléments extérieurs : le vent, l'eau ou encore les autres animaux. En raison de la forte urbanisation et de l'agriculture, les plantes sauvages perdent beaucoup d'espaces à coloniser. Les activités humaines fragmentent également leurs territoires par l'installation de routes ou de lignes de train par exemple. Toutes les espèces ne sont pas adaptées de la même manière au changement climatique. Certaines sont plus résistantes et/ou résilientes à ce phénomène. Des plantes peuvent en effet vivre dans des climats très arides ou à l'inverse très humides. '''<u>Manche 2</u>''' Une augmentation de la température sur Terre provoque l'apparition de régions désertiques au Sud et la diminution de zones ayant un climat tempéré et/ou froid. Dans un désert, le sol est sec, infertile et il fait très chaud : 30-35°C. Certaines plantes sont plutôt résistantes et d'autres moins : elles entrent alors en compétition les unes avec les autres, et les plus vulnérables disparaissent. Des espèces de plantes s'adaptent plutôt bien au changement climatique et vont même aller jusqu'à conquérir de nouveaux territoires. Celles-ci peuvent être plus compétitrices que les plantes endémiques à une zone, ce sont les espèces exotiques envahissantes (EEE). '''<u>Manche 3</u>''' A l'échelle de vie des plantes, le changement climatique est très rapide. Comme pour de nombreuses autres espèces vivantes d'ailleurs. Les espèces n'ont pas le temps de s'adapter et sont également en difficulté du fait de leur faible vitesse de dispersion. En exemple, montrer les aires de répartitions actuelles et futures de deux espèces européennes : le Chêne vert et le Hêtre.  
L'eau chaude versée autour de la bouteille en verre réchauffe l'eau située à l'intérieur de la bouteille. En chauffant, l'eau à l'intérieur de la bouteille en verre se dilate, elle prend plus d'espace. Elle va exercer une pression à l'intérieur de la bouteille, ce qui va l'obliger à sortir par la seule issue existante : la paille. Au bout de quelques minutes, l'eau présente autour de la bouteille en verre, ainsi qu'à l'intérieur, commence à refroidir. On constate alors que le phénomène diminue et que l'eau à l'intérieur de la bouteille, disparaît de la paille pour revenir à sa place initiale. <br/>  +
Dans le premier groupe, le nombre d’espèces est important. À chaque fois, quatre espèces différentes possèdent le même régime alimentaire. Lorsqu’une perturbation se produit dans l’écosystème, certaines espèces vont disparaître, mais comme d’autres partagent le même régime alimentaire, il y a peu de risques que celles-ci disparaissent de l’écosystème. Dans le deuxième groupe, le nombre d’espèces est faible. Ici seules deux espèces possèdent le même régime alimentaire. Lorsqu’une perturbation se produit dans le milieu, il y a un risque important qu’un des régimes alimentaires ne soit plus représenté dans le milieu. À plus forte raison lorsque deux perturbations adviennent.  +
En frottant le ballon on l’a « électrisé » c’est à dire qu’on lui a donné des électrons. L’accumulation d’électrons représente une charge négative (-). Les gouttes d’eau sont chargées négativement et positivement. Les pôles opposés s’attirent : le trop plein d’électrons (-) du ballon attire le pôle + des gouttes d’eau.  +
Verre 1 : les glaçons sont déjà présents dans le verre avant que l'on verse l'eau et occupent donc un certain volume dans celui-ci. L’eau sous forme de glace occupe sensiblement la même place que lorsqu’elle est liquide. La fonte des trois glaçons ne fait pas augmenter le niveau de l'eau. Verre 2 : Au début de l’expérience, le verre 2 est rempli d'eau à ras-bord. Au fur et à mesure de l’expérience, le glaçon sur la règle fond et ajoute de l’eau à ce verre déjà plein. A la fin de l’expérience, celui-ci déborde. Sur terre, la glace se forme soit sur la terre soit directement à la surface de l'eau. Selon l'endroit où ces glaces se forment, leur impact sur la montée des eaux ne sera pas le même.  +
Dans le premier pot, les glaçons ne rajoutent pas d'eau en fondant, puisque l'eau se trouvait déjà dans le pot, sous forme de liquide ou de glace. Dans le deuxième pot, les glaçons qui fondent dans l’entonnoir rajoutent de l'eau à celle déjà présente. Comme le pot est déjà plein à ras bord, l'eau qui s'y ajoute le fait déborder.  +
Le premier verre, les glaçons fondus s'ajoutent à la quantité d'eau, ce pourquoi le niveu d'eau augmente. Dans le deuxième verre, les glaçons sont déjà compris dans le volume d'eau, donc leur fonte ne va pas entraîner une augmentation du niveau d'eau. <br/>  +
Les balles de ping - pong correspondent à un grain de sable. Cette adhésion est due à la présence des nombreux ponts d'eau (ponts capillaires) entre les grains de sable adjacents, qui agissent comme "une colle" entre chaques grains. C'est ce qui permet au chateau de sable de tenir. Sans eau, il est impossible de modeler le sable.  +
L'ajout de l'eau dans le sable renforce le sable. Les molécule d'eau agissent entre sur les grains de sables comme une colle. Elles sont des liens. Le fait de tasser le sable chasse les molécules d'air, ce qui rapproche les grains de sables les uns contre les autres., offrant davantage de résistance. Le tassement renforcé couche par couche évacue davantage les molécule d'air.  +
*L'eau en bouillant se transforme en vapeur. La vapeur tenant de plus en plus de place dans la cocotte, est de plus en plus compressée et va chercher par tous les moyens à s'échapper. En ouvrant la soupape du couvercle, on libère la vapeur qui, dans son élan, va pousser les pales de l'hélice. *L'hélice poussée par la vapeur va tourner et entrainer l'arbre moteur, qui va a créer de l'électricité pour allumer l'ampoule.   +
Dans un premier temps, le but en soufflant une première fois dans la bouteille en bouchant le trou fait au compas avec son doigt est d'augmenter la pression à l'intérieur de la bouteille, et qui est se faisant supérieure à celle qui l'entoure. Ensuite, éloigner son doigt de la bouteille en gardant simultanément sa bouche sur le goulot permet à la pression crée de s'échapper. Dans un second temps, le but est de simuler un courant « d'air » en aspirant l'air de la bouteille et en enlevant son doigt : la pression à l'intérieur de la bouteille diminue, et l'air se renouvelle quand on enlève son doigt. On est en présence d'une « dépression ».  +
Nous avons vu précédemment que les plantes utilisent la photosynthèse pour transformer le gaz carbonique en oxygène. Pour se faire, la chlorophylle contenue dans les feuilles va capter la lumière du soleil pour déclencher le processus. Le gaz contenu dans le bocal est donc majoritairement composé d’oxygène que la plante a fabriqué. Lorsque la plante est maintenue à l'abri de la lumière, il n’y a pas de production de gaz. La photosynthèse a obligatoirement besoin de la lumière pour se faire, elle en est un élément principal. Privée de lumière, la chlorophylle ne peut plus fonctionner et la plante ne produit plus d’oxygène.  +
Comme on l'a vu, les sources d'énergies peuvent être classées en catégories. D'un côté, les énergies dites '''renouvelables''' et de l'autre, les '''non-renouvelables'''. Les énergies non-renouvelables (exepté pour l'énergie atomique) sont issues de la décomposition des matières organiques (végétales, animales) sur plusieurs millions d'années. On les appelles les '''énergies fossiles'''. Les énergies non-renouvables sont donc présentes en quantité limitée sur notre planète. De plus, tous les pays du monde ne sont pas riches en énergies fossiles ou atomique. Par exemple seulement quelques pays dans le monde possèdent des gisements d'uranium, utiles à l'énergie nucléaire. Plus on consomme des énergies non-renouvelables en grands quantités, moins il y a de gisements disponibles dans le monde. <br/>  +
Un matériau coule plus au moins vite selon sa densité, c’est-à-dire selon la masse qu’il occupe pour un volume donné. Plus un matériau est lourd, plus il va couler rapidement. Donc plus sa densité est forte, plus il va se trouver un fond du bocal.  +
Le lait est constitué en grande partie d'eau, de gras et de protéines. Le liquide vaisselle est un produit qui permet de solubiliser, c'est à dire mélanger, deux entités qui ne se mélangent au départ. A la surface du lait, les molécules d'eau forment une sorte de membrane tendue. Ce phénomène est dû à une force appelée tension superficielle. Dans ce cas cette tension peut être considérée comme une force qui retient les éléments présents sur la surface : les molécules d'eau agissent comme une bâche sur laquelle reposent les gouttes d'encre. En touchant la surface du lait avec du produit vaisselle, on affaiblit la tension superficielle et cela fixe les molécules d'eau et pousse les gouttes d'encre car le liquide ne réagit qu'avec l'eau ! Cet effet se propage et les gouttes d'encre se dispersent progressivement. Le liquide vaisselle joue donc la fonction d'un agent de dispersion.  +
Huile et vinaigre ne se mélangent pas. Quand on met de l'huile et du vinaigre dans un pot et qu'on secoue très fort, cela forme des goutelettes qui finissent par se rejoindre et reforment une couche de vinaigre qui flotte à la surface de l'huile. On dit que huile et vinaigre ne sont pas miscibles. L'huile flotte à la surface du vinaigre car l'huile est moins dense que le vinaigre. Moins dense signifie que si on pèse 1l d'huile et qu'on pèse ensuite 1l de vinaigre, le litre de vinaigre pèse plus lourd que le litre d'huile. La différence est assez faible donc il faut être très précis pour pouvoir vérifier cela. Quand on dépose une goute de vinaigre à la surface de l'huile, le vinaigre coule car il est plus dense que l'huile. Une fois au fond du bocal, le vinaigre rentre en contact avec le bicarbonate. Il se produit alors une réaction chimique. Cette réaction chimique libère un gaz (le CO2). Ce CO2 forme des petites bulles. Ces bulles restent collées au vinaigre et finissent par former une espèce de bouée pour la goutte. Une fois que la "bouée" formée par les miniscules bulles de gaz est assez importante, la goutte de vinaigre remonte à la surface de l'huile. Une fois à la surface de l'huile, les petites bulles à la surface du vinaigre explosent. Quand la "bouée" qui entoure le vinaigre devient trop petite, le vinaigre coule à nouveau et le cycle se reproduit. La "lampe lave" dure jusqu'à ce que l'acidité du vinaigre ou le bicarbonate soit épuisé. Quand la réaction chimique s'arrête, il n'y a plus production de petites bulles de CO2 et la goutte colorée reste au fond.  +
Dans la première manipulation l'eau sale remonte le long du papier absorbant en s'infiltrant dans les fibres de ce dernier. En effet, il est composé de multitudes de petits trous. Chaque petit trou définit un pore dans le papier par lequel le liquide peut monter. L'expérience met en évidence le phénomène de la '''capillarité''' : l''''eau''' remonte dans le '''papier''' essuie-tout. Elle retombe ensuite par gravité dans le verre vide qui, peu à peu, se remplit. Dans la seconde, l'eau est nettoyée grâce à son passage à travers trois couches successives, des filtres de plus en plus fins : gravier > sable > coton et papier essuie-tout. Elle arrive donc en bas, grace à la gravité, en étant chaque fois un peu plus propre après chaque couche franchie.  +
En tournant rapidement le rhombe, la membrane élastique et le morceau de papier vibrent, c'est ce qui produit un son.  +
Les frottements apportent un échange d'électrons entre les deux matières testées. Ici, le ballon de baudruche est dit "matière négative" parce qu'il aura tendance à capter les électrons durant les frottements au contraire d'une "matière positive" qui elle va perdre des électrons (ici, les cheveux ou la laine). La phase où le ballon "colle" correspond à la stabilisation ionique.  +
L’eau qui tombe de l’arrosoir (comme la pluie tombe du ciel) va s’écouler en fonction du relief et de l’occupation des sols et converger vers un même point de sortie. Tout ce territoire dans lequel s’écoulent les eaux jusqu’au point de sortie (l’exutoire), est ce que l’on appelle le bassin versant. Chaque bassin versant est délimité par les sommets des reliefs (collines, montagnes), qui forment les lignes de crêtes, ou lignes de partage des eaux. L’eau s’écoule de chaque côté de ces lignes, dans des bassins versants différents. Les eaux suivent la pente et rejoignent une rivière principale au fond de la vallée. Cette rivière est alimentée par différents petits ruisseaux : ce sont les affluents.  +
La membrane fixée sur l'oreille représente le tympan. Le tube représente le système auditif. Le ballon, au bout du tube représente l'information sonore transmise au cerveau. C'est le tympan, qui reçoit les informations sonores qui à travers le système auditif vont être transmises au cerveau. C'est le cerveau qui décode ou interprète l'information sonore (ex : miaulement = chat)  +
En mécanique des fluides, le principe des vases communicants établit qu'un liquide remplissant plusieurs récipients, reliés entre eux à leur base et soumis à la même pression atmosphérique, s'équilibre à la même hauteur dans chacun d'eux. Ceci est vrai quels que soient leur forme et leur volume.  +
Une animation est une succession d'images. Avec le flipbook, nous recréons ce mécanisme que l'on peut voir à la télé dans les dessins animés ou les stop motions, par exemple. Feuilleté rapidement, un folioscope procure à l'œil l'illusion que le sujet représenté est en mouvement, illusion optique provoquée par la persistance rétinienne et l'effet phi. La persistance rétinienne est une particularité du fonctionnement de l'œil qui nous donne l'illusion du mouvement lorsque l'on regarde un dessin animé par exemple. En effet, les cellules de la rétine gardent en mémoire une image pendant environ un dixième de seconde après son apparition . Ainsi, si l'on fait défiler très rapidement une séquence d'images, au rythme de 24 par seconde, l'œil a en permanence en mémoire les images et ne peut distinguer 2 images successives. L’effet Phi, moins connu que la Persistance rétinienne, est un phénomène qui permet l’existence de l’image animée. Son fonctionnement est très simple également. Si un même objet apparaît successivement à des endroits qui se touchent, notre cerveau traduit cela automatiquement comme un mouvement de l’objet .  +
Lorsque nous suivons une consignes qui demande beaucoup de concentration, notre cerveau trie les informations qu'il reçoit y compris lorsqu'il s'agit d'un phénomène inattendu, comme le passage d'un gorille ! C e phénomène cognitif est connu sous le nom de « cécité d’inattention » (''inattentional blindness'').  +
On pourrait croire que l'eau est figée ou glacée, mais non, il y a bien un écoulement d'eau sauf qu'il est parfait. Le ruban adhésif fait en sorte que l'eau est forcée de sortir par le petit trou. Dans le jet, lorsqu'on est proche du trou, l'eau s'écoule de façon uniforme, et le jet ne change pas d'aspect. Cela s'explique par le fait que le ruban adhésif permet que l'eau se dirige dans un seul sens, et le cutter permet de faire une ouverture suffisamment fine et nette dans le ballon de baudruche, pour ne pas créer de frottements. L'eau va sortir à une certaine vitesse, car la pression issue de l'eau dans le ballon, au début du jet sera assez forte, pour que l'eau se stabilise sur quelques centimètres. On appelle ce phénomène un '''écoulement laminaire.''' Les jets d'eau que nous avons l'habitude de voir sont turbulents, c'est-à-dire que les molécules d'eau partent un peu dans toutes les directions. Dans le cas d'un écoulement laminaire, le fluide s'écoule dans la même direction. Après quelques centimètres, l'écoulement perd son caractère laminaire pour devenir turbulent. Il se sépare en petites gouttes.  +
Pour gagner à ce jeu, il faut utiliser, comme en informatique, '''un algorithme'''. C’est une succession '''d’instructions''' (ou d’opérations) qui permet de '''résoudre''' un problème ou d’obtenir un '''résultat'''. Les '''algorithmes''' sont utilisés pour tout faire sur votre ordinateur, que ce soit pour écrire un message ou jouer aux jeux vidéos par exemple. Dans notre cas, l''''algorithme''' se construit comme ceci: - laisser votre adversaire commencer - Si votre adversaire prend un bâtonnet, prenez-en 3 - Si votre adversaire prend 2 bâtonnets, prenez-en 2 - Si votre adversaire prend 3 bâtonnets, prenez-en 1 - répéter jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de bâtonnet  +
La lumière se déplace en ligne droite. Elle va partir de l'objet, traverser le trou du sténopé puis s'afficher sur le calque de la boîte. La particularité du déplacement de la lumière fait que l'image est inversée (voir shéma). <br /><br />Pour un petit trou, l'image est nette car peu de rayons lumineux rentrent dans le sténopé. L'image est assez sombre et donc moins visible du fait de ce peu de lumière. <br /><br />Pour un grand trou, davantage de rayons lumineux rentrent multipliant les images visibles sur le papier calque. L'image est alors floue, mais aussi plus grande. Comme il y a plus de lumière qui rentre, l'objet est plus visible sur l'écran. <br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Le st nop IMG20220202170728.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/5/5f/Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg" class="image" title="trajet de la lumière dans le sténopé, affichage de l'image"><img alt="trajet de la lumière dans le sténopé, affichage de l'image" src="/images/thumb/5/5f/Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg/800px-Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg" width="800" height="600" srcset="/images/thumb/5/5f/Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg/1200px-Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg 1.5x, /images/thumb/5/5f/Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg/1600px-Le_st_nop_IMG20220202170728.jpg 2x" data-file-width="4000" data-file-height="3000" /></a></div></div></span></div><br/>  +
-Placer la planche sur des tréteaux (pour une expérience optimale) ou sur une table afin que le jeu soit stable -Préparer son mental - Fermez un oeil (sauf si vous êtes borgne), préparez-vous à viser... C'EST PARTI !  +
L'aluminium est plus lourd que l'eau, il coule. Lorsqu'on fait les petits bouts d'aluminium des bulles d'air sont coincés dedans. Lorsqu'on secoue, l'eau s'infiltre presque partout : il reste des bulles dans l'aluminium. Cela permet de faire flotter certains. D'autres coulent parce que l'eau s'est mis partout. Enfin certains sont entre les deux et restent entre deux eaux, comme les poissons. Lorsqu'on appuie sur la bouteille, les bulles d'air sont comprimés et deviennent plus lourde que l'eau, donc elles coulent.  +
Notre catapulte fonctionne de la manière suivante: On place notre projectile dans notre rail de lancement ce qui va permettre un lancement stable. Il va être lancé grâce à notre élastique car c'est lui qui permet de donné l'impulsion du projectile. Et enfin l'inclinaison grâce aux deux pieds en bois permet une inclinaison qui favorise un bon angle de tir et donc de tirer plus loin.  +
Notre catapulte fonctionne de la manière suivante: On place notre projectile dans notre rail de lancement ce qui va permettre un lancement stable. Il va être lancé grâce à notre élastique car c'est lui qui permet de donné l'impulsion du projectile. Et enfin l'inclinaison grâce aux deux pieds en bois permet une inclinaison qui favorise un bon angle de tir et donc de tirer plus loin.  +
'''Photo témoin :''' le géranium ne présente pas particulièrement de signes de « manque » car il a tous les éléments nécessaires pour pousser convenablement (dont l’eau et la lumière mais aussi les nutriments présents dans la terre, la chaleur et le Co2 présents dans la pièce) '''Expérience 1 :''' le géranium n'avait pas accès à la lumière. Or, la lumière permet aux végétaux de vivre. Elle permet également aux feuilles d'être de couleur verte grâce aux chloroplastes. Si on avait mis le géranium pendant une semaine dans un endroit totalement noir, le géranium serait, au bout d’un certain temps, mort. Cette lumière lui permet en partie de faire la photosynthèse (voir pour aller plus loin) qui lui permet de pousser et de vivre. A savoir : trop ou pas assez de lumière entraîne la mort des chloroplastes et donc une mauvaise croissance '''Expérience 2 :''' nous avons retiré au géranium l’accès à l’eau. Or, l’eau permet elle aussi aux végétaux de vivre. Comme l’expérience nous le montre, sans eau, le géranium s’assèche, fane et finit par mourrir. L’eau est un élément essentiel de la vie de tout être vivant. Les végétaux fanent voir même meurent sans eau car l’eau permet le transport du sucre dans la sève, elle permet à la plante de réguler sa température, elle nourrit ses cellules et limite la prolifération des maladies et des parasites. Comme tout être vivant, la plante a besoin d’un certain nombre d’éléments pour grandir. Deux de ces éléments ont été mis en évidence au travers de cette expérience mais ce ne sont '''pas les seuls'''.  +
Lors de cette expérience nous avons abordé beaucoup de vocabulaire complexe, voici les différentes définitions : <div class="icon-instructions caution-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-exclamation-triangle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">Ces différentes informations sont très simplifiées et ne sont valables qu'en génétique mendélienne</div> </div> *Trait : un trait un aspect d'un être vivant. Par exemple la couleur de la graine, de la fleur, ... *Gène : On considère, de façon très simplifiée, qu'un gène est une séquence génétique codant pour un trait. *Allèle : Un allèle est une version d'un gène. *Allèle récessif : Il s'agit d'une version d'un gène qui ne s'exprime que s'il n'existe pas d'autre allèle (donc d'autre version du même gène) dans le code génétique d'un individu. *Allèle dominant : Il s'agit d'une version d'un gène qui s'exprime même s'il existe d'autre allèle (donc d'autre version du même gène) *Génotype : Le génotype est la composition allélique de tous les gènes d'un individu, qu'ils soient exprimés ou non. *Phénotype : Le phénotype correspond aux différents caractères visibles chez un individus (ou trait). Il dépend du génotype et de l'environnement (le ou les endroit(s) où l'on vit, les évènements qui nous arrivent, la qualité de la nourriture que l'on trouve, ...).  +
Le temps au bout duquel la terre est emportée par l’eau et le volume de terre qui est emporté varient d’une barquette à l’autre. En effet, moins il y a de morceaux de bois, moins la terre est retenue. Et inversement, plus il y a de morceaux de bois, plus la terre est maintenue en place. Dans cette expérience, les morceaux de bois participent à la réduction de l’érosion de la terre en diminuant le débit (la vitesse) de l’eau mais aussi grâce aux racines qui retiennent la terre et l’aident à résister à la force de l’eau. Voilà comment des plantes peuvent protéger le sol qui abrite et nourrit leurs racines.  +
On appelle pigments les éléments qui donnent leurs couleurs à des produits comme l'encre. Dans cette expérience, en ajoutant de l'eau chaude, on a transformé le pigment bleu de l'encre, en le rendant incolore. Ce pigment change de couleur selon l'acidité : quand on ajoute un produit acide comme le vinaigre, le mélange devient acide, et le pigment redevient bleu. En ajoutant du bicarbonate, qui est basique (le contraire d'acide en chimie), le mélange finit lui aussi par devenir basique et le pigment redevient donc incolore.  +
Le projet est initialement simple : faire une porte. La 1er contrainte est l'originalité de la porte (la manière sont elle s'ouvre). En effet, tout le monde est capable de construire une porte mais la difficulté est de trouver une manière originale pour l'ouvrir. Nous avons choisi de faire une porte avec un double battant, cela nous permet donc de faire deux modes d'ouverture différents. Le principe est simple, un battant est découpé en 6 triangles qui se plient grâce à des charnières. Deux triangles sont attachés au cadrant de la porte grâce à un clou (un pour chaque triangle) qui fait office de liaison pivot pour faire pivoter la porte. Le second battant, ce sont 6 triangles qui sont tous attachés à un clou (liaison pivot) qui se superposent pour se rétracter et ouvrir la porte. <br/>  +
* Au contact du froid, l'air à l'intérieur de la bouteille s'est comprimé. Il occupe un volume moindre (il prend moins de place) qu'à la température ambiante. * Au contact de la chaleur, l'air à l'intérieur de la bouteille s'est dilaté (il prend plus de place). Le volume occupé par l'air dans la bouteille a été augmenté en élevant sa température.   +
La couleur du jus de chou rouge change selon l'acidité du produit avec lequel on le mélange. Un colorant dont la couleur change en fonction de l'acidité d'un liquide est appelé '''indicateur'''. Le jus de chou rouge est donc un '''indicateur colorimétrique de pH''' puisque sa couleur permet de connaître le pH du produit ! Le « '''pH''' » est le nom que l’on donne au niveau d’acidité en chimie (PH = Potentiel Hydrogène). Les produits acides comme le jus de citron, le vinaigre, ou encore le soda font passer la couleur du jus de chou rouge du violet au rose. Il existe aussi des produits basiques qui sont le contraire des produits acides en chimie. C’est le cas du bicarbonate et de l’eau de mer, qui font passer le jus de chou rouge du violet au bleu, et aussi de la lessive, qui est encore plus basique, et donne un mélange vert ou jaune.  +
Le disque de plastique que l’on a coupé est "bombé" ou "rond", on dit qu'il est '''convexe'''. En ajoutant un peu d’eau au fond, la lumière qui passe au travers est déviée (c’est le phénomène de '''réfraction''') et l’eau joue alors le rôle d’une lentille convergente, c’est à dire de loupe. Vous venez de créer votre propre loupe !  +
L'eau conduit davantage la lumière que l'air (indice de réfraction de l'air 1 pour 1,33 pour l'eau), la lumière du laser se trouve donc "piégée" dans l'eau et ne peut sortir dans l'air. L'angle que provoque naturellement la gravité a également une forte incidence.  +
La lumière blanche est composée de différentes ondes ou couleurs. La lumière visible est composée des couleurs suivantes : bleu, cyan, vert, jaune, rouge, magenta. Au-delà et en deçà de ces longueurs d'ondes, notre œil n'est plus capable de capter la lumière, mais il existe d'autres longueurs d'onde : les ondes radio, les micro-ondes, les infra-rouges (IR), les ultra-violets (UV), les rayons X, les rayons Gamma. <br/>  +
La lumière est un ensemble de rayons lumineux composés de photons. Les photons sont des unités assimilables à des balles tirées d'un pistolet. Ils possèdent une vitesse qui leur est propre, il s'agit de la vitesse de la lumière, et par conséquent, ils possèdent une énergie associée. Lorsque la balle rencontre un obstacle métallique, par exemple une sorte de bouclier, elle est réfléchie et est alors renvoyée plus loin. Si elle traverse alors un poster de papier collé sur un mur, on dit qu'elle est transmise, enfin, une fois que celle-ci se trouve logée dans le mur, on parlera d'absorption. Il est bien évident qu'une telle balle provoquera un échauffement de la surface rencontrée. Ceci met en évidence le phénomène de dégagement d'infrarouge . Voici à quoi pourrait ressembler un photon.  +
Les couleurs sombres absorbent plus la lumière, elles chauffent donc plus rapidement que les couleurs claires. Certains matériaux capturent et conservent mieux la chaleur que d’autres. Certains matériaux comme métal (ici l’aluminium), ou la pierre (comme l'ardoise), une fois chauffés, permettent mieux à la chaleur de se propager que le papier, on dit que ces matériaux sont de bons conducteurs de chaleur. Leurs parties placées à la lumière ont transmis leur chaleur aux parties situées à l'ombre. Les matériaux qui conduisent mal la chaleur, comme le carton, ou le papier, sont appelés isolants. Seules leurs parties éclairées chauffent, tandis que leurs parties restées à l'ombre restent fraîches.  +
M
En fait quand on approche brutalement le doigt sur la pâte "dure-molle", le système eau-maïzena est déséquilibré, l'eau est chassée, il ne reste alors que le solide. Par contre si l'on approche le doigt lentement le système reste en équilibre sous forme d'une pâte molle. En bref, la pâte répond aux contraintes qu'on lui applique. Afin d'expliquer l'expérience aux enfants, on peut faire l'analogie avec l'approche d'un chat. Si l'on arrive en courant près d'un chat (=le doigt s'approche brutalement), le chat s'enfuit (=les molécules d'eau qui s'en vont). Par contre si l'on y va tout doucement, le chat reste (= le doigt qui s'approche doucement). '''Pourquoi cela ne marche pas avec la farine alors que celle ci contient du gluten et de l'amidon???''' Cela veut t'il dire que le gluten gêne les propriétés physiques existante entre l'amidon et l'eau?  +
La pièce est cachée sous le carré au croisement des lignes horizontales et verticales où le nombre de carrés retournés est impair.  +
Les mains s'étaient habituées, l'une à l'eau froide et l'autre à l'eau chaude. La main gauche (qui passe de l'eau froide à l'eau tiède) ressent du chaud car l'eau tiède est plus chaude que l'eau froide. De façon identique, la main droite ressent du froid car l'eau tiède est plus froide que l'eau chaude. === '''Questions sans réponses''' === A partir de quelle température minimale et maximale ressent-on de la douleur?  +
Il n'y a donc pas que l'attraction de la Terre qui entraîne les aliments vers le bas du corps. Sur Terre, lorsqu'on lâche un morceau de pain ou une goutte d'eau, ils tombent vers le bas, attirés par la gravité, la force d'attraction de la Terre. C'est pourquoi il est facile d'imaginer que l’œsophage, par où les aliments descendent de la bouche à l'estomac, n'est qu'un simple tuyau. Heureusement, il n'en est rien, l’œsophage est un tuyau musclé qui pousse les aliments vers l'estomac, leur évitant ainsi de se coincer. Il les pousse vers le bas si nous sommes debout ou assis, horizontalement si nous sommes allongés, ou bien vers le haut si nous avons la tête en bas.  +
Les mouvements des grains de farine que tu vois permettent de visualiser le mouvement de l'eau à la surface du saladier'''.''' L'eau au fond du saladier est réchauffée par la bougie. Quand l'eau se réchauffe, elle se dilate (prend plus de volume pour un même poids, donc sa masse volumique, masse par unité de volume, diminue) et remonte vers la surface. Ce faisant elle "pousse" l'eau plus froide qui du coup est "obligée" de plonger. Une fois que l'eau chaude est arrivée à la surface, elle s'étale à la surface de l'eau plus froide. Cela créé un léger courant du centre du saladier vers l'extérieur. Puis l'eau se refroidit et elle est à nouveau poussée par l'eau chaude qui remonte. L'ensemble de ces mouvements (dans et à la surface de l'eau) sont appelés mouvement de convection. Les grains de farine sont entraînés par ce mouvement. C'est la même chose pour les roches en profondeur de la Terre. Leur masse volumique diminue avec la chaleur, et quand la masse volumique diminue, la roche fondue remonte vers la surface de la Terre. Ce phénomène est très très lent car il concerne des masses de matière colossales. Par ailleurs, la roche fondue est très visqueuse, le déplacement se fait très lentement. Les zones dans lesquelles les roches fondues remontent vers la surface de la Terre sont appelées "points chauds". Le magma peut même percer la croute terrestre solide, et forme dans ce cas là des volcans. Dans tous les cas il existe un mouvement de convection très lent sous la surface solide de la Terre. Ce mouvement entraîne la partie solide de la surface (qu'on appelle la lithosphère) au point que celle-ci se "déchire" en plusieurs morceaux (les plaques tectoniques) qui s'éloigent les unes des autres ou se rentrent dedans. C'est la dérive des continents.  +
La Terre est une des 8 planètes du système solaire. Elle tourne sur elle-même : 1 tour en 24h (c'est-à dire une journée). Ce mouvement s'appelle une rotation. La Terre tourne aussi autour du Soleil. Ce mouvement s'appelle une révolution. Un tour dure 1 an, soit 365 jours. Sur la maquette, ça n'est pas la réalité qui est représentée : en réalité, la Terre ne décrit pas un cercle autour du Soleil mais une ellipse (c'est un cercle aplati). La Lune est le satellite naturel de la Terre. Cela signifie que la Lune tourne autour du soleil. Un tour autour de la Terre dure un mois (28 jours exactement).  +
Les grands singes font partie de la famille biologique des hominidés, comme nous les humains aussi appelés en biologie par notre nom de genre et d'espèce ''homo sapiens''. C'est pour cela que nous considérons les grands singes comme nos cousins et que nous nous sommes souvent comparés à eux. Nous avions même envisagé qu'ils faisaient partie de l'évolution de notre espèce : n'as-tu jamais entendu dire que nous descendions du singe ? Nous avons eu un ancêtre commun, mais ''homo sapiens'' ne descend pas du singe. La lignée humaine est complexe. L'australopithèque afarensis (''Australopitecus afarensis*''), dont les restes les plus connus sont ceux de Lucy, est également un de nos vieux cousins (ou peut-être un de nos ancêtres, mais les scientifiques s'interrogent toujours), et on s'est rendu compte qu'il était bipède. Notre anatomie, et particulièrement la forme de nos os et de leurs articulations, détermine nos mouvements. Grâce à des restes osseux suffisament importants, les paléoanthropologues et paléozoologistes arrivent à déterminer la capacité des mouvements. Les scientifiques ont pu récolter pas mal d'indices avec les restes retrouvés des australopithèques afarensis et les traces de pas laissés sur le site de Laetoli. L'étude de la profondeur des traces de pas a également permis de constater les points d'appui du marcheur et donc de réaliser des hypothèses plus approfondies sur sa démarche. <br/> =====*''Australopithecus'' est le genre biologique , et ''afarensis'' le nom de l'espèce. Les anthropologues ont défini plusieurs espèces d'australopithèques, toutes retrouvées sur le continent africain. ''Afarensis'' fait référence à la region de l'Afar en Ethiopie, là où a été retrouvé le premier fossile relativement complet de cette espèce. Ce fossile célèbre est surnommé Lucy.=====  +
Une des propriétés du sable est qu'il forme naturellement des pentes stables jusqu'à environ 40°. Au-delà de cet angle, il s'écoule par avalanches successives pour retrouver cette pente stable. Ce qui explique les pentes mesurées lors de l'expérience.  +
Pour jouer au Memory Dinosaures : Mélanger les cartes et les disposer face cachées sur une table. A tour de rôle, le joueur retourne deux cartes de son choix : ● Si les cartes sont identiques, le joueur les conservent à côté de lui et rejoue ● Si les cartes ne sont pas identiques, le joueur les retournent face cachée de nouveau. C’est alors au joueur suivant de jouer. Le but étant de trouver l’image du dinosaure correspondant à ses caractéristiques.  +