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C
On observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.  +
'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.  
<u>Étape 4</u> : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés : <br/> *''<u>par taille</u> '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre) *''<u>et par niveaux trophiques :</u>'' **A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil. **Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes. **De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol. <u>Étape 5</u> : Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). <u>Étape 6</u> : Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité. Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces. D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins. À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau : *en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ; *en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ; *en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)  
Le courant électrique nécessaire à l'allumage de la lampe circule donc plus ou moins bien dans les différents matériaux. Les matériaux qui laissent passer le courant sont appelés "conducteurs" et ceux qui ne le laissent pas passer sont appelés "isolants".  +
En tournant la cuillère dans un sens, on crée un tourbillon ou vortex, l'eau se déplace en tournant autour d'un axe. L'eau, en tournant, va entraîner les morceaux de plastique en son centre. <br/>  +
Le métal chauffé prend différentes couleurs. A chaque fois que le métal atteint une température précise, il va changer de couleur. C'est ce qu'on appelle l'incandescence !  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau. Les différentes couleurs qui composent l'encre noire se séparent. La décomposition des couleurs est due à la différence de masse entre les encres de différentes couleurs : les encres les plus légères sont entraînées plus vite, et donc plus loin que les encres plus lourdes. Malgré la gravité, qui voudrait que l'eau reste au fond du verre, celle-ci remonte le long du papier absorbant. C'est ce qu'on appelle la capillarité ! Les liaisons entre le papier absorbant et l'eau sont plus fortes que la gravité, ce qui permet à l'eau de monter.  +
=== '''De manière simple''' === Le chou rouge possède des éléments colorés violets qui sont capables de changer de couleur lorsque l'acidité varie. * Le citron et le vinaigre sont acides -> le jus de chou devient rose. * Le bicarbonate est le contraire d'acide (on dit alors qu'il est "basique") -> le jus de chou devient bleu ! La lessive est encore plus basique que le bicarbonate, le mélange fait alors virer le jus de chou rouge au vert.  +
Plus l'eau contient des éléments conducteurs, les ions, plus elle conduit le courant électrique. L'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau eau] pure (H2O) est un élément non conducteur (qui ne permet pas le passage de l'électricité) parce qu'elle ne contient pas d'ions. L'eau du robinet, ou l'eau douce que l'on trouve dans la nature, ne sont PAS isolantes car elles ne sont jamais pures : elles contiennent des minéraux dissous sous forme d'ions. Cependant l'eau du robinet n'est que faiblement conductrice, le courant y circule trop peu pour que cela suffise à allumer l'ampoule dans notre expérience, car le courant appliqué y est très faible. '''Mais attention''' : l'eau du robinet est suffisamment conductrice pour créer un grand risque d'électrocution dès qu'on y fait circuler un courant électrique assez puissant ! C'est pour cela qu'il est très dangereux d'approcher des appareils électriques de l'eau. L''''eau salée''' est beaucoup plus conductrice que l'eau douce parce que le sel n'est pas un isolant. Il augmente donc très nettement la conductivité de l'eau. C'est pour cela que dans notre expérience l'eau salée laisse passer suffisamment le courant pour que l'ampoule s'allume.  +
L'air chauffé par le radiateur s'élève devant la fenêtre en déplaçant l'air plus frais au-dessus de lui.  +
Une rivière est un milieu vivant et évolutif. Même si elle est laissée sans aménagement, son tracé évoluera au gré des crues [1]. En effet, lorsque le cours d'eau prend de la vitesse (parce que la quantité d'eau augmente ou qu'elle s'écoule tout droit sans obstacles), il va venir grignoter ses berges. C'est ce phénomène tout à fait naturel qu'on appelle érosion. Au contraire, si un cours d'eau qui a pris de la vitesse doit ralentir brusquement, par exemple s'il arrive sur des méandres où l'eau s'écoule lentement, alors il va déborder. C'est ce qu'on appelle l'inondation. Ici, les tuiles ''Biodiversité'' représentent les poissons migrateurs qui remontent les rivières pour se reproduire. C'est le cas des saumons, par exemple. Ceux-ci vivent leur vie en mer et remontent depuis l'embouchure jusqu'aux petits ruisseaux qui ont formé le fleuve pour se reproduire. Cependant de nombreux ouvrages comme des seuils ou des barrages hydro-électriques peuvent les empêcher de remonter jusqu'aux zones où l'eau est la plus pure pour y établir leur descendance [2].  +
Quand on met du sel dans l'eau, il va se dissoudre : on va le voir disparaître dans l'eau. À mesure que l'eau s'évapore lentement dans l'air, le sel toujours présent dans l'eau va se reformer en grains sous forme de cubes ressemblant à du gros sel.  +
Mode d'emploi: #Placer la catapulte sur une surface plane (avec de la place autour quand le projectile partira!) #Brancher le moteur (toujours faire attention avec l'électricité) #Le moteur commence à tourner pendant que la bobine se déroule #Lorsque la bobine a fini de se dérouler, le fil se bloque et coupe l'élan du bras; ce qui l'arrête. #Quand l'expérience est terminée, commencez par débrancher le moteur puis réenrouler autour de la bobine.  +
La voiture à propulsion élastique fonctionne grâce à un système simple mais astucieux. Un élastique est tendu à l'aide d'un dispositif mécanique et stocke de l'énergie potentielle. Lorsque l'on relâche l'élastique, l'énergie stockée est convertie en énergie cinétique, propulsant ainsi la voiture en avant. Le dispositif mécanique est une manivelle qui enroule la ficelle sur un axe et tend ainsi l'élastique. La longueur de la ficelle est déterminée par un rapport de transmission, qui peut être ajusté pour modifier la force exercée par l'élastique et la distance parcourue par la voiture. Plus le rapport de transmission est élevé, plus la distance parcourue par la voiture sera grande mais la force exercée par l'élastique sera plus faible, et inversement. Lorsque la voiture est prête à être lancée, l'élastique est enroulé dans le dispositif mécanique en utilisant la manivelle. Une fois que l'élastique est suffisamment tendu, la voiture est placée sur une surface plane et l'élastique est libéré . L'énergie stockée dans l'élastique est alors transférée à la voiture, qui commence à avancer. La distance parcourue par la voiture dépendra de la longueur de la ficelle et de la force exercée par l'élastique, ainsi que de la qualité des roues et de la surface sur laquelle elle roule.  +
==='''La manipulation'''=== Note : Expérience difficile à réaliser puisqu'il faut réussir à créer une différence notable de température entre le pain de glace et le spot. Les enfants peuvent également faire les manipulation en autonomie durant cette expérience en restant proche pour éviter les risques de brûlures. L'expérience fonctionnera davantage si le pain de glace est en hauteur et l'encens droit.<span></span> ==='''De manière simple'''=== La fumée provenant directement de l'encens est chaude, elle monte et se répand sur le dessus de l'aquarium. Lorsqu'elle s'approche de pain de glace, elle se refroidit et descend. Elle se répand alors dans la partie inférieure de l'aquarium pour ensuite se réchauffer lorsqu'elle se rapproche du spot : elle remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.  +
Vous appuyez sur la barre espace pour maintenir l'oiseau en vol. La partie est finie si vous touchez un tuyau ou si vous touchez le bord en bas.  +
Vous dirigez le serpent avec les flèches de direction. Votre but est de manger la pomme pour pouvoir grandir jusqu'à ce que vous touchiez malencontreusement le bord.  +
Si vous voulez juste y jouer, les flèches gauche et droite servent pour diriger le personnage et la touche espace sert à sauter. Il faut éviter les pièges sur le terrain pour avancer.  +
Le programme, lorsqu'il est lancé, trouve une valeur aléatoire entre 1 et 5. Par la suite, en fonction de la valeur, la carte arduino enverra de l'électricité dans les LEDs. Par exemple, si le programme trouve la valeur 2, la carte enverra de l'électricité dans les LEDs haut droite et bas gauche, ce qui fera que ces deux LEDs s'allumeront. Le bouton, lorsqu'il est enclenché, ouvre le circuit, l'électricité ne passe plus et éteint la carte. Le relâchement du bouton fait que le circuit se referme et relance le programme.  +
Vous contrôler les barres de Pong avec les touches z et s pour la première barre et les flèches du haut et du bas pour la seconde. Le but est de faire passer la balle dans le camp adverse (représenté par la barre grise de chaque côté de l'écran) pour gagner. Il est préférable d'y jouer à deux mais vous pouvez y jouer seul aussi.  +
Le but est de tuer les chauves-souris tout en évitant de tirer sur la grenouille magique. Vous dirigez le viseur avec la souris et vous appuyez sur le clic droit pour tirer.  +
L'engrenage permet de ramener les extrémités des deux bras latéraux vers le centre de la catapulte, accumulant ainsi de l'énergie qui propulsera le projectile une fois libérée  +
Lorsque l'on tape la cuillère sur la table, on fait vibrer la cuillère. La '''vibration''' va être transmise par la ficelle puis passer par tes os au bout de tes doigts jusqu'à ton oreille. La vibration est alors interprétée par l'organe du corps qui transmet l'information sonore au cerveau : '''ton système auditif.'''  +
*Au contact de l'air et avec le temps, la surface des pièces en cuivre devient noirâtre, on dit que le cuivre s''''oxyde'''. *Dans le verre, des particules de cuivre se détachent alors de la surface des pièces de monnaie : on les appelle des '''ions''' cuivre. *Une fois dans le vinaigre les ions cuivre rencontrent le clou qui est en acier. L'acier contient du fer qui réagit avec les ions cuivre. *Les ions cuivre se retransforment en cuivre sur la surface du clou et les particules de fer deviennent des ions ferreux. *Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''.   +
<nowiki>Sous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan. <br /><br /><br />L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été. <br /><br /><br />Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.<br /><br /><br />En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].<br /><br /><br />Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>  +
Le phénomène illustré par cette expérience, montre qu'une plante se nourrit grâce à l'effet de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 capillarité] (On appelle capillarité la montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre). La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules. Chaque canal est relié à une partie précise d'un pétale. Ainsi, le canal qui plonge dans l'eau colorée en rouge conduit cette eau à toutes les extrémités du céleri.  +
D
Plus la bille sera en hauteur, plus elle accumulera d’énergie. Lorsqu’on la lâche, l’énergie se transforme en vitesse. Puis en son (le son du choc) et on voit le cratère se former. Le cratère est une visualisation de l’énergie libérée par la bille.  +
Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers. L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.  +
Le champ de vision qu'on a de notre fenêtre est restreint. Il se limite généralement à environ 180°, c'est à dire ce qu'on peut voir en regardant à droite et à gauche. Lorsqu'on bénéficie de fenêtres sur d'autres façades du bâtiment, on peut élargir ce champ de vision et changer un peu le paysage qu'on voit.  +
====== <u>ÉTAPE 1</u>. ====== Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. '' Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire. ====== <u>ÉTAPE 2</u>. ====== Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). '' ====== <u>ÉTAPE 3.</u> ====== Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles. Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.  
Lorsqu’une membrane vibrante du diapason est plongé dans l’eau, la vibration du diapason va se propager en continue dans l’eau, c’est le déplacement de celle-ci que l’on peut percevoir sur la surface.  +
==== De manière simple : ==== Chaque couleur est perçue un court instant par notre œil : cela s'appelle la "persistance rétinienne". Comme le disque tourne rapidement, les couleurs se superposent en raison de ce phénomène. Or le mélange de toutes ces couleurs donne le blanc de la lumière. Notre cerveau est donc abusé et perçoit le blanc.  +
La turbidité correspond à l’opacité (l’inverse de la transparence) d’un liquide, ici l’eau d’une rivière ou d’un lac par exemple, à cause de matières en suspension (comme de la terre) ou d’algues microscopiques. Le disque de Secchi permet de déterminer la profondeur de pénétration de la lumière et donc la quantité de matière qui absorbe la lumière présente entre le disque et la surface de l’eau.  +
Comme le regard est fixé sur un point à l'horizon, lorsqu'un objet passe entre le regard et le point , il est déformé car l’œil l’interprète mal.  +
Plus le ballon contient de farine, moins il se gonfle. Cela est dû au fait que la farine occupe du volume dans le ballon, mais également au durcissement de la paroi du ballon, rigidifiée par le mélange d’eau et de farine : moins élastique, la paroi se gonfle plus difficilement. Pendant le séjour de l’air dans les poumons, une partie de l’oxygène (O 2 ) qu’il contient passe dans le sang, tandis que le dioxyde de carbone (CO 2 ) que le sang a récupéré en circulant dans le corps passe dans les poumons. Mais les poumons reçoivent également toutes les petites poussières et gaz présents dans l’air que l’on respire. Lorsque ces intrus arrivent dans les poumons, ils sont évacués de deux façons différentes : * soit par la toux ou l'éternuement qui fait sortir l’air beaucoup plus fort, entraînant ainsi ce qu’il transporte ; * soit par la sécrétion par la membrane des poumons d’une grande quantité de mucus qui enveloppe les poussières et les entraîne vers la gorge, provoquant une toux ou une déglutition emportant les poussières dans le système digestif. Comme la farine et l’eau dans l’expérience, des poussières atteignant en grande quantité les alvéoles pulmonaires peuvent se mêler au mucus, durcissant ainsi les parois des poumons. Ces dernières se gonflent et se dégonflent alors plus difficilement, pouvant provoquer des difficultés respiratoires.  +
=== '''De manière simple''' === La rouille est produite par l'association du fer, de l'oxygène et de l'eau. Quand la rouille se forme sur la laine d'acier, elle utilise de l'oxygène : il y a moins d'oxygène dans la verre. Il y a alors de la place disponible dans le verre et comme il faut la combler, l'eau est aspirée dans le verre : le niveau de l'eau monte. === '''Questions sans réponses''' === * Quelle réaction chimique exacte forme la rouille ? * Pourquoi l'eau est "aspirée" à l'intérieur du verre ?  +
'''Phase 1.''' On observe que la feuille change de consistance, devient moins dure, moins rigide. '''La peinture représente l’action des micro-organismes (champignons microscopiques (moisissures blanches et brunes) et bactéries)''' qui colonisent la feuille humide. Ils jouent deux rôles dans la dégradation de la feuille : *ils s’étalent et commencent à dégrader (décomposer) certains constituants de la feuille que les autres êtres vivants du sol ne peuvent pas dégrader : la lignine, le bois… *ils rendent la feuille plus appétissante pour une partie de la faune du sol (comme une couche de confiture sur une biscotte !).         '''Phase 2'''. '''Les crayons à papier représentent différents petits animaux du sol (collemboles, acariens oribates) qui perforent (trouent) la feuille''', ce qui favorise sa décomposition. Les collemboles se nourrissent des champignons, grignotant ainsi indirectement la feuille. '''Phase 3.''' Comme en phase 1, '''la peinture représente des champignons microscopiques et des bactéries''' qui colonisent de nouveau la feuille. Ils agrandissent les trous en continuant à décomposer certains constituants de la feuille. Ils sont aidés par des petites larves d’insectes. '''Phase 4.''' '''Les ciseaux et nos doigts représentent une partie de la macrofaune du sol''' (animaux du sol visibles à l’œil nu) ''': vers de terre, cloportes, diplopodes (mille-pattes…)'''. Ils grignotent la feuille et ses nervures, la découpent et la fragmentent en petits morceaux. '''Phase 5.''' Les morceaux de feuilles sont découpés en débris de plus en plus petits par la '''mésofaune du sol''' (animaux du sol visibles à la loupe) ''': enchytrées''' (appelées aussi enchytréides)''', petits collemboles, acariens oribates'''... Macrofaune et mésofaune rejettent des '''crottes, appelées boulettes fécales''', représentées par les boulettes de papier. '''Phase 6.''' '''Cette fragmentation des feuilles en tout petits débris et le rejet de boulettes fécales stimulent l’activité des micro-organismes du sol (champignons et des bactéries). Ils s’étalent et colonisent les crottes''' (boulettes fécales) de la macrofaune et microfaune du sol, et les dégradent complètement, jusqu’à obtenir des minéraux et nutriments (représentés par la bouillie), suffisamment petits pour être transportés par l’eau du sol et absorbables par les racines des plantes. '''Phase 7.''' '''Grâce à l’action fine des micro-organismes (champignons et des bactéries) et au brassage par la macrofaune et la mésofaune, les petits débris de feuilles et les boulettes fécales sont enfouies dans le sol et convertis en terre (humus), minéraux et nutriments, mélangés avec les éléments minéraux du sol.''' '''<big>''Ainsi, grâce à la biodiversité du sol, les feuilles des arbres, une fois tombées au sol, sont décomposées en terre, nutriments et éléments minéraux.''</big>'''  
Réponse du défi bonus (étape 7) : il faut aligner les robots en file indienne. Le premier robot doit être de couleur jaune (pour avancer tout seul et éviter les obstacles), les suivants de couleur verte (pour suivre le wagon de tête).  +
Le Makey Makey est un dispositif d’émulation de clavier à partir d’objets du quotidien. Le Makey Makey se relie à un ordinateur par un câble USB et permet, en utilisant des petits câbles, d’y brancher des objets ou des fruits qui remplaceront alors les touches du clavier et de la souris. La manipulation de tout objet conducteur d’électricité relié au Makey Makey va envoyer un signal à l’ordinateur, qui réagira avec la fonction aui aura été définie, en fonction du logiciel utilisé. Le Makey Makey se présente sous la forme d’une plaque d’une dizaine de centimètres comprenant un circuit imprimé.  +
<u>Les habitants du sol (ceux qui vivent ou s’abritent dans le sol ou à son interface) peuvent être classés en fonction de leur taille. On retrouve :</u> *'''Les plantes ''': elles développent dans le sol leur système racinaire - lieu clé de vie de nombreux organismes. Cet habitat s’appelle la rhizosphère. <br/> *'''La mégafaune (animaux vertébrés >8/10 cm) ''''':'' (''visibles à l’œil nu)'' Ils utilisent le sol comme abri ou habitat et le modifient par leurs terriers et leurs galeries. Gros organismes mais pas très nombreux dans le sol : '''renards, serpents, lapins, taupes, marmottes, campagnols, crapauds, castors, blaireaux, loutres…''' *'''La macrofaune (2/4 mm à 8/10 cm) : ''(animaux visibles à l’œil nu)''''' '''les annélides comme les vers de terre ; ''' **'''les insectes tels les fourmis, les termites, carabes, gendarmes…''' **'''les larves d’insectes : larves de mouches, de cousins, de hannetons, de papillons…''' **'''les arachnides comme les araignées, ''' **'''les mollusques tels les escargots ou les limaces ;''' **'''les myriapodes (milles pattes) comme les iules ou les scolopendres ;''' **'''les crustacés isopodes : cloportes...''' *'''la mésofaune (0,2 à 2/4 mm) : ''(animaux visibles à la loupe) :'' les acariens (oribates, gamases), les collemboles, les diploures, les protoures, les tardigrades, les enchytréides '''(petits vers appelés aussi enchytrées)''', les nématodes... ''' *'''la microfaune (moins de 0,2 mm) : ''(animaux visibles au microscope) :'' '''les '''rotifères''', les '''tardigrades''' et les '''nématodes''' (petits vers)... <br/> *'''les micro-organismes ''''': organismes (autres qu’animaux) visibles au microscope :'' '''nombreux et en pleine découverte. Les bactéries''', les '''champignons''', les '''micro-algues''' ; les '''protozoaires '''('''''organismes unicellulaires : amibes, flagellés, ciliés (paramécies))...'' ''' La faune du sol est majoritairement représentée,<u> en terme d'espèces,</u> par les insectes (80%, principalement des coléoptères) et les arachnides (12%), qui sont les plus diversifiés. Les autres arthropodes (hors arachnides) (5%), les micro-invertébrés (2%), les annélides (1%) et les vertébrés (< 1%) peuvent être abondants, comme c'est le cas des myriapodes (mille pattes) et des vers de terre, mais ils ne sont représentés que par un nombre d'espèces relativement modeste en comparaison à la diversité des insectes et des arachnides. De plus, la faune du sol est fortement influencée par le climat et les écosystèmes dans lesquels on la trouve. ''Par exemple, dans une forêt non gérée par l’humain avec une diversité d’arbres et un sol basique, il existe de nombreux micro-habitats différents au sol (mousses, bois morts, petites plantes, …) : il y aura une plus grande diversité d'habitants du sol que dans un champ agricole fortement travaillé par l’humain. Sous un climat tropical, nous trouvons une très grande diversité et quantité d'habitants du sol en forêt car de nombreux éléments (débris végétaux et animaux) sont à dégrader rapidement grâce à la température et à l’humidité qui accélèrent le processus de dégradation.'' <br/>  
'''<u>Étape 4</u>''' La menace identifiée dans la BD est la destruction d’une partie de la forêt pour construire une route. Non seulement cela détruit directement des zones de forêts de bambous, mais ça contribue également à la fragmentation de la forêt, c’est-à-dire à son découpage en petits îlots séparés les uns des autres, ce qui réduit encore plus la surface disponible pour les pandas vivant dans cette zone et leur mobilité. De plus, la création de routes s’accompagne souvent de plus de déforestation le long de ces routes pour construire des habitats, récupérer des champs… <u>Il existe d’autres causes à la déforestation</u> : *l’agriculture (couper des parcelles d’arbres pour les transformer en champs) ; *l’urbanisation (construire des villes, des routes pour augmenter le tourisme…) ; *la construction de barrages ; l’exploitation de mines... *l’exploitation de la forêt pour récolter le bambou, le bois et les herbes médicinales... '''AU delà de la déforestation, qui est la principale menace qui pèse sur le panda''', il existe encore un peu de braconnage, ou des pièges (destinés à d’autres animaux) qui peuvent blesser voire tuer les pandas. Et indirectement, les changements climatiques fragilisent dans certaines zones géographiques les forêts de bambou, ce qui diminue également les zones de vie des pandas. '''<u>Étape 5</u>''' <u>Au delà du fait que le panda soit mignon (donc tout le monde s’y intéresse), et que toute espèce doit être préservée pour elle-même, il existe plusieurs raisons de protéger le panda</u> : *Qu’elles soient grandes ou petites, poilues ou avec des écailles, avec des pattes, des ailes ou rampantes, avec ou sans feuilles et fleurs, toutes les espèces jouent un rôle dans l’environnement, et sont liées à de nombreuses autres espèces. C’est pour cette raison que la disparition d’une espèce peut mettre en danger tout un ensemble d’autres espèces. C’est pourquoi il est important de les protéger. *De plus, le panda est une espèce dite “parapluie” : comme un parapluie, les efforts mis en place pour le protéger bénéficient à de nombreuses autres espèces partageant les mêmes territoires, et souffrant de ce fait des mêmes menaces (''notamment les singes dorés, les takins, les pandas roux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).''  
Il existe un très grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé. On peut globalement classer les stratégies en quatre grandes catégories : - créer une barrière contre l'eau, - surélever les contructions, - créer des constructions flottantes, - reculer les zones de construction loin du littoral ou sur les hauteurs (ici en remontant les pots en haut de la pente ou en les enlevant totalement de la bassine).  +
Il existe un grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé, par exemple : - mettre en place des haies bocagères qui vont faire de l'ombrage - mettre en place un paillage qui va limiter l'évaporation du sol - mettre en place des réservoirs d'eau de pluie  +
Il existe un très grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé. On peut regrouper les stratégies en 3 catégories : - ombrager le glaçon en lui installant un toit - modifier la surface pour qu’elle accumule moins de chaleur - recouvrir le glaçon ou la surface avec des éléments mouillés, l’évaporation va absorber la chaleur  +
Une ampoule est constituée d’une coque en verre sous vide, dans laquelle un filament de tungstène est installé. Quand l’ampoule est allumée, cela signifie que le courant électrique circule à travers celui-ci.  +
=== Le déplacement de l'air est causé par le fait que l'air chaud a tendance à monter et l'air froid a tendance à descendre. L'air chaud monte parce qu'il a une densité plus faible que celle de l'air froid. Pour expliquer la notion de densité, je prends un exemple. Si on prend un bouchon de liège et qu'on le jète dans l'air, il tombe par terre. Par contre ce même bouchon de liège, quand on le plonge dans l'eau, il remonte à la surface de l'eau dès qu'on le laisse. Ceci signifie que le bouchon de liège a une densité supérieure a celle de l'air mais inférieure à celle de l'eau. ===  +
Outre la simple diversité, la présence ou l’absence de ces espèces, il est important de noter que celles-ci constituent une part importante des écosystèmes aquatiques. En effet, ces organismes assurent une partie des fonctions des écosystèmes, comme la décomposition de la litière (accumulation de feuilles) et servent aussi de nourriture à de nombreux organismes, comme les poissons ou les batraciens.  +
E
on a mis sur Arduino u code qui permettra d'allumer la LED suivant les codes en morse correspondant à chaque lettre.  +
=== '''De manière simple''' === L'eau salée est plus dense que l'eau douce car elle contient du sel, c'est pour cela qu'elle reste au fond du récipient. L'eau douce, elle, est beaucoup moins dense : elle flotte à la surface !  +
En frottant le ballon, on l'a chargé d'électricité statique négative. L'eau du robinet possède des charges électriques positives et négatives. Les charges positives de l'eau sont attirées par le ballon chargé négativement. Comme dans un aimant, le "plus" et le "moins" sont attirés, ce qui fait dévier l'eau vers le ballon jusqu'à ce que les charges électriques s'équilibrent. === [[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau_%C3%A9lectrostatique&action=edit&section=8 modifier]] '''Questions sans réponses''' === Pourquoi lorsqu'on approche un aimant de l'eau, celle-ci n'est-elle pas attirée ? >> L'aimant exerce une force magnétique, le ballon est chargé de force électrostatique.  +