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C
*Au contact de l'air et avec le temps, la surface des pièces en cuivre devient noirâtre, on dit que le cuivre s''''oxyde'''. *Dans le verre, des particules de cuivre se détachent alors de la surface des pièces de monnaie : on les appelle des '''ions''' cuivre. *Une fois dans le vinaigre les ions cuivre rencontrent le clou qui est en acier. L'acier contient du fer qui réagit avec les ions cuivre. *Les ions cuivre se retransforment en cuivre sur la surface du clou et les particules de fer deviennent des ions ferreux. *Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''.   +
<nowiki>Sous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan. <br /><br /><br />L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été. <br /><br /><br />Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.<br /><br /><br />En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].<br /><br /><br />Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>  +
Le phénomène illustré par cette expérience, montre qu'une plante se nourrit grâce à l'effet de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 capillarité] (On appelle capillarité la montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre). La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules. Chaque canal est relié à une partie précise d'un pétale. Ainsi, le canal qui plonge dans l'eau colorée en rouge conduit cette eau à toutes les extrémités du céleri.  +
D
Plus la bille sera en hauteur, plus elle accumulera d’énergie. Lorsqu’on la lâche, l’énergie se transforme en vitesse. Puis en son (le son du choc) et on voit le cratère se former. Le cratère est une visualisation de l’énergie libérée par la bille.  +
Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers. L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.  +
Le champ de vision qu'on a de notre fenêtre est restreint. Il se limite généralement à environ 180°, c'est à dire ce qu'on peut voir en regardant à droite et à gauche. Lorsqu'on bénéficie de fenêtres sur d'autres façades du bâtiment, on peut élargir ce champ de vision et changer un peu le paysage qu'on voit.  +
====== <u>ÉTAPE 1</u>. ====== Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. '' Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire. ====== <u>ÉTAPE 2</u>. ====== Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). '' ====== <u>ÉTAPE 3.</u> ====== Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles. Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.  
Lorsqu’une membrane vibrante du diapason est plongé dans l’eau, la vibration du diapason va se propager en continue dans l’eau, c’est le déplacement de celle-ci que l’on peut percevoir sur la surface.  +
==== De manière simple : ==== Chaque couleur est perçue un court instant par notre œil : cela s'appelle la "persistance rétinienne". Comme le disque tourne rapidement, les couleurs se superposent en raison de ce phénomène. Or le mélange de toutes ces couleurs donne le blanc de la lumière. Notre cerveau est donc abusé et perçoit le blanc.  +
La turbidité correspond à l’opacité (l’inverse de la transparence) d’un liquide, ici l’eau d’une rivière ou d’un lac par exemple, à cause de matières en suspension (comme de la terre) ou d’algues microscopiques. Le disque de Secchi permet de déterminer la profondeur de pénétration de la lumière et donc la quantité de matière qui absorbe la lumière présente entre le disque et la surface de l’eau.  +
Comme le regard est fixé sur un point à l'horizon, lorsqu'un objet passe entre le regard et le point , il est déformé car l’œil l’interprète mal.  +
Plus le ballon contient de farine, moins il se gonfle. Cela est dû au fait que la farine occupe du volume dans le ballon, mais également au durcissement de la paroi du ballon, rigidifiée par le mélange d’eau et de farine : moins élastique, la paroi se gonfle plus difficilement. Pendant le séjour de l’air dans les poumons, une partie de l’oxygène (O 2 ) qu’il contient passe dans le sang, tandis que le dioxyde de carbone (CO 2 ) que le sang a récupéré en circulant dans le corps passe dans les poumons. Mais les poumons reçoivent également toutes les petites poussières et gaz présents dans l’air que l’on respire. Lorsque ces intrus arrivent dans les poumons, ils sont évacués de deux façons différentes : * soit par la toux ou l'éternuement qui fait sortir l’air beaucoup plus fort, entraînant ainsi ce qu’il transporte ; * soit par la sécrétion par la membrane des poumons d’une grande quantité de mucus qui enveloppe les poussières et les entraîne vers la gorge, provoquant une toux ou une déglutition emportant les poussières dans le système digestif. Comme la farine et l’eau dans l’expérience, des poussières atteignant en grande quantité les alvéoles pulmonaires peuvent se mêler au mucus, durcissant ainsi les parois des poumons. Ces dernières se gonflent et se dégonflent alors plus difficilement, pouvant provoquer des difficultés respiratoires.  +
=== '''De manière simple''' === La rouille est produite par l'association du fer, de l'oxygène et de l'eau. Quand la rouille se forme sur la laine d'acier, elle utilise de l'oxygène : il y a moins d'oxygène dans la verre. Il y a alors de la place disponible dans le verre et comme il faut la combler, l'eau est aspirée dans le verre : le niveau de l'eau monte. === '''Questions sans réponses''' === * Quelle réaction chimique exacte forme la rouille ? * Pourquoi l'eau est "aspirée" à l'intérieur du verre ?  +
La biodiversité est principalement menacée par 4 facteurs humains : • l’agriculture, les exploitations forestières et minières et la pollution de l’environnement qui détruisent les habitats • l’introduction de nouvelles espèces dans des espaces géographiques où elles étaient absentes • la surexploitation de certaines espèces végétales ou animales • les perturbations dans les chaînes alimentaires Aujourd’hui, les scientifiques s’accordent sur le fait que 75% de la pollution des océans provient de l’impact des activités humaines ! Les pollutions bactériennes sont des bactéries qui proviennent principalement des rejets d’eaux usées qui ne sont pas traitées et contiennent de la matière fécale et des déchets organiques. La pollution chimique provient généralement des rejets d’eaux usées contenant des produits d’entretien, des hydrocarbures et des métaux lourds. Entraînés par les vents et courants marins, (le plus souvent les déchets arrivent en mer via les cours d’eau), les déchets plastiques s’accumulent dans de grandes zones océaniques où, très lentement ils se décomposent ou sont dévorés par les animaux et entrent dans les écosystèmes marins. La surexploitation des ressources est également une menace importante sur la biodiversité marine. Depuis 2009, l’Union Internationale pour la conservation de la nature tire la sonnette d’alarme et recense les espèces de plantes et animaux menacés. 37% des poissons sont menacés d’extinction ! Le thon rouge du Sud est en très grand danger à cause d’une surpêche industrielle. Pendant plusieurs années l’interdiction de sa pêche a été décrétée pour la survie de l’espèce.  +
'''Phase 1.''' On observe que la feuille change de consistance, devient moins dure, moins rigide. '''La peinture représente l’action des micro-organismes (champignons microscopiques (moisissures blanches et brunes) et bactéries)''' qui colonisent la feuille humide. Ils jouent deux rôles dans la dégradation de la feuille : *ils s’étalent et commencent à dégrader (décomposer) certains constituants de la feuille que les autres êtres vivants du sol ne peuvent pas dégrader : la lignine, le bois… *ils rendent la feuille plus appétissante pour une partie de la faune du sol (comme une couche de confiture sur une biscotte !).         '''Phase 2'''. '''Les crayons à papier représentent différents petits animaux du sol (collemboles, acariens oribates) qui perforent (trouent) la feuille''', ce qui favorise sa décomposition. Les collemboles se nourrissent des champignons, grignotant ainsi indirectement la feuille. '''Phase 3.''' Comme en phase 1, '''la peinture représente des champignons microscopiques et des bactéries''' qui colonisent de nouveau la feuille. Ils agrandissent les trous en continuant à décomposer certains constituants de la feuille. Ils sont aidés par des petites larves d’insectes. '''Phase 4.''' '''Les ciseaux et nos doigts représentent une partie de la macrofaune du sol''' (animaux du sol visibles à l’œil nu) ''': vers de terre, cloportes, diplopodes (mille-pattes…)'''. Ils grignotent la feuille et ses nervures, la découpent et la fragmentent en petits morceaux. '''Phase 5.''' Les morceaux de feuilles sont découpés en débris de plus en plus petits par la '''mésofaune du sol''' (animaux du sol visibles à la loupe) ''': enchytrées''' (appelées aussi enchytréides)''', petits collemboles, acariens oribates'''... Macrofaune et mésofaune rejettent des '''crottes, appelées boulettes fécales''', représentées par les boulettes de papier. '''Phase 6.''' '''Cette fragmentation des feuilles en tout petits débris et le rejet de boulettes fécales stimulent l’activité des micro-organismes du sol (champignons et des bactéries). Ils s’étalent et colonisent les crottes''' (boulettes fécales) de la macrofaune et microfaune du sol, et les dégradent complètement, jusqu’à obtenir des minéraux et nutriments (représentés par la bouillie), suffisamment petits pour être transportés par l’eau du sol et absorbables par les racines des plantes. '''Phase 7.''' '''Grâce à l’action fine des micro-organismes (champignons et des bactéries) et au brassage par la macrofaune et la mésofaune, les petits débris de feuilles et les boulettes fécales sont enfouies dans le sol et convertis en terre (humus), minéraux et nutriments, mélangés avec les éléments minéraux du sol.''' '''<big>''Ainsi, grâce à la biodiversité du sol, les feuilles des arbres, une fois tombées au sol, sont décomposées en terre, nutriments et éléments minéraux.''</big>'''  
Réponse du défi bonus (étape 7) : il faut aligner les robots en file indienne. Le premier robot doit être de couleur jaune (pour avancer tout seul et éviter les obstacles), les suivants de couleur verte (pour suivre le wagon de tête).  +
Le Makey Makey est un dispositif d’émulation de clavier à partir d’objets du quotidien. Le Makey Makey se relie à un ordinateur par un câble USB et permet, en utilisant des petits câbles, d’y brancher des objets ou des fruits qui remplaceront alors les touches du clavier et de la souris. La manipulation de tout objet conducteur d’électricité relié au Makey Makey va envoyer un signal à l’ordinateur, qui réagira avec la fonction aui aura été définie, en fonction du logiciel utilisé. Le Makey Makey se présente sous la forme d’une plaque d’une dizaine de centimètres comprenant un circuit imprimé.  +
<u>Les habitants du sol (ceux qui vivent ou s’abritent dans le sol ou à son interface) peuvent être classés en fonction de leur taille. On retrouve :</u> *'''Les plantes ''': elles développent dans le sol leur système racinaire - lieu clé de vie de nombreux organismes. Cet habitat s’appelle la rhizosphère. <br/> *'''La mégafaune (animaux vertébrés >8/10 cm) ''''':'' (''visibles à l’œil nu)'' Ils utilisent le sol comme abri ou habitat et le modifient par leurs terriers et leurs galeries. Gros organismes mais pas très nombreux dans le sol : '''renards, serpents, lapins, taupes, marmottes, campagnols, crapauds, castors, blaireaux, loutres…''' *'''La macrofaune (2/4 mm à 8/10 cm) : ''(animaux visibles à l’œil nu)''''' '''les annélides comme les vers de terre ; ''' **'''les insectes tels les fourmis, les termites, carabes, gendarmes…''' **'''les larves d’insectes : larves de mouches, de cousins, de hannetons, de papillons…''' **'''les arachnides comme les araignées, ''' **'''les mollusques tels les escargots ou les limaces ;''' **'''les myriapodes (milles pattes) comme les iules ou les scolopendres ;''' **'''les crustacés isopodes : cloportes...''' *'''la mésofaune (0,2 à 2/4 mm) : ''(animaux visibles à la loupe) :'' les acariens (oribates, gamases), les collemboles, les diploures, les protoures, les tardigrades, les enchytréides '''(petits vers appelés aussi enchytrées)''', les nématodes... ''' *'''la microfaune (moins de 0,2 mm) : ''(animaux visibles au microscope) :'' '''les '''rotifères''', les '''tardigrades''' et les '''nématodes''' (petits vers)... <br/> *'''les micro-organismes ''''': organismes (autres qu’animaux) visibles au microscope :'' '''nombreux et en pleine découverte. Les bactéries''', les '''champignons''', les '''micro-algues''' ; les '''protozoaires '''('''''organismes unicellulaires : amibes, flagellés, ciliés (paramécies))...'' ''' La faune du sol est majoritairement représentée,<u> en terme d'espèces,</u> par les insectes (80%, principalement des coléoptères) et les arachnides (12%), qui sont les plus diversifiés. Les autres arthropodes (hors arachnides) (5%), les micro-invertébrés (2%), les annélides (1%) et les vertébrés (< 1%) peuvent être abondants, comme c'est le cas des myriapodes (mille pattes) et des vers de terre, mais ils ne sont représentés que par un nombre d'espèces relativement modeste en comparaison à la diversité des insectes et des arachnides. De plus, la faune du sol est fortement influencée par le climat et les écosystèmes dans lesquels on la trouve. ''Par exemple, dans une forêt non gérée par l’humain avec une diversité d’arbres et un sol basique, il existe de nombreux micro-habitats différents au sol (mousses, bois morts, petites plantes, …) : il y aura une plus grande diversité d'habitants du sol que dans un champ agricole fortement travaillé par l’humain. Sous un climat tropical, nous trouvons une très grande diversité et quantité d'habitants du sol en forêt car de nombreux éléments (débris végétaux et animaux) sont à dégrader rapidement grâce à la température et à l’humidité qui accélèrent le processus de dégradation.'' <br/>  
'''<u>Étape 4</u>''' La menace identifiée dans la BD est la destruction d’une partie de la forêt pour construire une route. Non seulement cela détruit directement des zones de forêts de bambous, mais ça contribue également à la fragmentation de la forêt, c’est-à-dire à son découpage en petits îlots séparés les uns des autres, ce qui réduit encore plus la surface disponible pour les pandas vivant dans cette zone et leur mobilité. De plus, la création de routes s’accompagne souvent de plus de déforestation le long de ces routes pour construire des habitats, récupérer des champs… <u>Il existe d’autres causes à la déforestation</u> : *l’agriculture (couper des parcelles d’arbres pour les transformer en champs) ; *l’urbanisation (construire des villes, des routes pour augmenter le tourisme…) ; *la construction de barrages ; l’exploitation de mines... *l’exploitation de la forêt pour récolter le bambou, le bois et les herbes médicinales... '''AU delà de la déforestation, qui est la principale menace qui pèse sur le panda''', il existe encore un peu de braconnage, ou des pièges (destinés à d’autres animaux) qui peuvent blesser voire tuer les pandas. Et indirectement, les changements climatiques fragilisent dans certaines zones géographiques les forêts de bambou, ce qui diminue également les zones de vie des pandas. '''<u>Étape 5</u>''' <u>Au delà du fait que le panda soit mignon (donc tout le monde s’y intéresse), et que toute espèce doit être préservée pour elle-même, il existe plusieurs raisons de protéger le panda</u> : *Qu’elles soient grandes ou petites, poilues ou avec des écailles, avec des pattes, des ailes ou rampantes, avec ou sans feuilles et fleurs, toutes les espèces jouent un rôle dans l’environnement, et sont liées à de nombreuses autres espèces. C’est pour cette raison que la disparition d’une espèce peut mettre en danger tout un ensemble d’autres espèces. C’est pourquoi il est important de les protéger. *De plus, le panda est une espèce dite “parapluie” : comme un parapluie, les efforts mis en place pour le protéger bénéficient à de nombreuses autres espèces partageant les mêmes territoires, et souffrant de ce fait des mêmes menaces (''notamment les singes dorés, les takins, les pandas roux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).''  
Il existe un très grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé. On peut globalement classer les stratégies en quatre grandes catégories : - créer une barrière contre l'eau, - surélever les contructions, - créer des constructions flottantes, - reculer les zones de construction loin du littoral ou sur les hauteurs (ici en remontant les pots en haut de la pente ou en les enlevant totalement de la bassine).  +