=> On constate que si l'on enlève la boite de bac, l'eau s'échappe par les trous du dessous, jusqu'à être vide.
=> Si on refait l'expérience, cette fois ci en mettant directement le doigt sur le trou au centre du couvercle, et qu'on enlève la boite du bac; l'eau ne s'échappe pas de celle-ci !! +
L'eau ne coule pas, elle est bombée sur le dessus du verre.
Combien peut-on ajouter de pièces dans le verre avant que l'eau ne déborde ?
(cela dépend de la taille du verre et de celle des pièces) +
Une interaction désigne l'ensemble des échanges entre les espèces. Elle peut être positive pour les deux (mutualisme), ou positive pour l'un mais non pour l'autre (prédation).
La chaîne alimentaire est remplir d'interactions (prédation), et on observe que toutes les espèces comprises dans cette chaîne sont interdépendants : si il y en a qui disparaissent, d'autres seront directement impactées, et vice versa. +
1- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté.
2- L’humain joue ici un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (pêche, collection, …), comme un perturbateur (changement climatique, surconsommation des ressources…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles marines, protection des espèces…) +
- Les organismes vivants se mangent les uns les autres. On remarque que les 5 chaînes alimentaires sont simples, linéaires. Ensemble, elles forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.
- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. Suite à la destruction de la prairie et des ronces, les premiers maillons du réseau qui sont touchés vont modifier légèrement “la toile”. Puis au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau trophique (on peut alors parler de « de tensions sur la biodiversité »).
- L' humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (chasse, cueillette), comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles, protection des espèces…). +
<u>On observe que</u> :
<u>Étape 3</u> :
2 - Les débris végétaux sont mangés par les fourmis, qui sont mangées par les araignées, elles-mêmes mangées par les poules ;
3 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, qui sont eux-mêmes broutés par les collemboles, mangés par les carabes, mangés par les hérissons ;
4 - Les débris végétaux sont mangés par les bactéries décomposeurs, mangées par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les carabes, mangés par les poules ;
5 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, mangés par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les fourmis, mangées par les hérissons.
<u>Étape 4</u> :
Les organismes vivants se mangent les uns les autres. Reliées entre elles, les 5 chaînes alimentaires forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.''' Ce premier réseau, dit trophique, est basé sur des relations alimentaires, de prédation.'''
<u>Étape 5</u> :
1 - Les fourmis et les cloportes ''platyarthrus blancs'' ont une relation positive/neutre (+/0) '': on parle de commensalisme. ''
2 - Les racines des salades et les vers nématodes ''pratylenchus'' ont une relation positive/négative (+/-) '': on parle de parasitisme.''
3 - Les spores des champignons et les vers de terre ont une relation positive/neutre (+/0) : on parle de ''commensalisme, et même ici de phorésie : interaction neutre / positive liée à la notion de transport.''
4 - Les racines des arbres et les champignons mycorhizes ont une relation positive/positive indissociable (+/+) : ''on parle de symbiose.''
5 - Les hérissons et les bactéries de l'intestin ont une relation positive/positive parfois dissociable (+/+) : ''on parle de'' mutualisme.
<u>Étape 6</u> :
- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si un maillon du réseau vient à disparaître, ce sont les espèces voisines, puis au final l’ensemble du réseau qui sera impacté et modifié, amenant parfois à la disparition d'espèces associées (on parle alors de co-extinction). Bien connaître ces réseaux permet de comprendre comment fonctionne la vie sous terre, donc mieux la protéger.
- L'humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.
Certains déchets coulent aussitôt mis dans l'eau. D'autres flottent et d'autres encore restent entre deux eaux.
Au fond de la bassine le courant rassemble en un tas tous les déchets qui ont coulé.
En surface, les déchets se rassemblent pour ne former qu'une seule surface au centre de la bassine. +
Quand on expose les fils de fer à la flamme, on remarque un changement de couleur : ils deviennent rouges. Quand on fait descendre les fils dans la flamme, ils passent du bleu au blanc. +
* Dans le verre "eau salée", le mélange devient bleu.
* Dans le verre "bicarbonate de soude", le mélange devient bleu, avec de la lessive il devient vert.
* Dans le verre "vinaigre", le mélange devient rose.
+
Selon chaque étape on voit :
* Étape 1 : l'ampoule ne s'allume pas avec le sel seul.
* Étape 2 : l’ampoule ne s’allume pas avec de l’eau seule.
* Étape 3 : l’ampoule s’allume, mais l’intensité de la lumière varie en fonction de la quantité de sel présente dans l’eau. +
Ce n'est pas toujours évident d'anticiper l'impact qu'auront nos aménagements sur le cours d'eau. En pensant résoudre un problème, on finit souvent par en créer un autre. Contrôler une rivière peut-être compliqué, voir contre-productif.
On remarque qu'il est difficile de faire des choix. On ne peut pas laisser la rivière occuper tout l'espace avec ses méandres, mais on ne peut pas non plus tout canaliser.
Il n'y a pas de bonne réponse en terme d'aménagement. Il faut à chaque fois essayer de concilier les usages et les besoins de la rivière.
Certains aménagements peuvent avoir un gros impact sur le fonctionnement de notre cours d'eau. Un barrage, par exemple, implique d'inonder une partie du tronçon en amont et cause de l'érosion sur les tronçons en aval. Cependant, il permet aussi de prévenir les crues en aval et d'éviter que le cours d'eau ne se retrouve à sec lors des périodes les plus sèches. +
Au bout de quelques jours, une partie de l'eau a disparu et des cristaux de sel cubiques se forment sur les parois du verre, sur le trombone et sur le fil. +
Le fonctionnement de notre voiture est très simple, tout d'abord une ficelle s'enroule autour d'un rapport manuellement en faisant tourner des roues, puis cette ficelle est elle-même attachée à un élastique qui va donc se tendre ainsi dès que nous allons arrêter de faire tourner les roues la tension accumulée sur l'élastique va dérouler la ficelle et donc faire tourner les roues +
=== '''Que voit-on ?''' ===
La fumée provenant du bâton d'encens monte, va du côté du pain de glace puis descend, part de l'autre côté (celui où il y a le spot) et remonte. La fumée tourne dans l'aquarium. +