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C
=== '''De manière simple''' === Au départ, il y a de l'air entre les feuilles, comme partout autour de nous. Cet air appuie sur tous les objets de la même façon, tout autour d'eux avec la même force : c'est la pression atmosphérique. En soufflant, on déplace de l'air et on crée un courant d'air entre les feuilles. Ce déplacement d'air entraîne une diminution de la pression de l'air entre les feuilles. L'air appuie alors moins fort entre les feuilles qu'autour d'elles, et elles sont poussées l'une contre l'autre. === '''Questions sans réponses''' === L'espace entre les feuilles est ouvert, pourquoi l'air ne vient pas des côtés ?  +
La phase de couleur verte est celle qui est le plus bas, elle correspond à la chlorophylle. La phase de couleur jaune est celle qui est le plus haut, elle correspond aux xanthophylles et carotènes. <br/>  +
La bande de papier filtre absorbe l'eau qui va alors monter le long de la bande. L’eau a le pouvoir de monter naturellement malgré la force de gravité (celle qui fait tomber les objets). Pour cela, elle va s’aider des micro-fibres présentes dans le papier. On appelle ce phénomène '''la capillarité.''' Lorsque l'eau atteint le point coloré, elle l'entraîne avec elle. Chaque colorant réagit alors différemment selon le type de papier filtre et selon le liquide utilisé. Certains colorants vont moins vite ou montent moins haut, ce qui fait qu'ils se séparent et qu'on peut les distinguer nettement au bout de quelques instants. C'est la technique de '''chromatographie'''. La couleur d’un feutre est en fait composée de plusieurs couleurs. Sur notre expérience, les couleurs des feutres bleu et vert sont des mélanges de plusieurs couleurs, alors que le jaune ne comporte aucun mélange de couleur. Le bleu comportait du magenta alors que le vert, lui, comportait du jaune et du cyan ! C'est pour cela qu'on parvient à voir ces nouvelles couleurs sur notre papier filtre !  +
Dans un circuit en série, chaque composant utilise une partie de la tension électrique, un peu comme si les composants se « partageaient » l’électricité. Donc plus il y a de composants dans le circuit, moins chaque composant reçoit d’électricité pour fonctionner. Certains composants ont besoin d’une tension minimale pour fonctionner, comme les LED. Si les autres composants consomment trop d’électricité, il n’en reste plus suffisamment pour les LED, et elles ne s’allument pas. Lorsqu'un circuit est branché en parallèle, la tension est la même dans les 2 parties : les composants fonctionnent avec la même tension et ont un fonctionnement normal.  +
La naissance de la classification commence par l'observation des caractéristiques physique du vivant. Les scientifiques ont ensuite cherché à nommer ces groupes d'individus pour déterminer des groupes, embranchements, famille etc...  +
Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de “coefficient de ruissellement”. Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans notre expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Tu peux également essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie ! Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol ! Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.  +
* Dans le premier cas, l'eau s'échappe de la boîte. * Dans le second cas, l'eau de ne s'échappe pas de la boîte a cause de la pression de l'air qui la maintient et la pousse vers l'intérieur.   +
Les molécules interagissent entre elles, et cela correspond à une certaine énergie. Les molécules se mettront toujours dans la position de moindre énergie. Or l'énergie pour les molécules d'eau est moindre si elles restent en contact avec d'autres molécules d'eau plutôt qu'avec des molécules de gaz (l'air). C'est pour cela que la configuration avec une "couche" d'eau qui dépasse du verre est plus stable que des gouttes qui se séparent pour couler le long du verre. <br/> ===Expériences complémentaires=== Refaire la même expérience avec d'autres liquides : de l'huile et de l'alcool. Est ce que le nombre de pièces (le volume) à ajouter est le même pour faire déborder le verre ? Réponse : non. L'huile et l'alcool sont des molécules différentes de l'eau. Elles n'interagissent pas ensemble de la même façon. Les configurations de moindre énergie ne sont donc pas les mêmes. Placer une assiette sur une balance et faire la tare. (Précision souhaitable de la balance : +/-1g). Placer un verre d'eau sur l'assiette, elle même sur la balance. Se placer dans la configuration où le verre est à la limite de déborder. Plonger un objet dans le verre et observer l'eau couler du verre dans l'assiette. Retirer un peu d'eau du verre, par exemple avec une pipette, sans rien faire couler. Retirer le verre d'eau de l'assiette. À quoi correspond le poids mesuré ? Réponse : au volume d'eau qui a débordé en ajoutant la pièce. Comme on connaît la masse volumique de l'eau (son poid par unité de volume, en gros 1 kilogramme par litre), on connaît donc le volume de l'eau qui a débordé. Ce volume est identique à celui de l'objet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.  +
Nous sommes entourés d'ondes électromagnétiques. Les ondes de la transmission de la radio, de la télé, etc. le courant électrique aussi émet des ondes électromagnétiques. Ces ondes créent de l'électricité dans les broches des composants électroniques. C'est pour cela qu'une broche connectée à rien, n'est pas forcément à l'état 0. Une résistance de pullup fixe l'état à HIGH (état haut). Une résistance de pulldown fixe l'état à LOW (état BAS).  +
La loupe concentre les rayons du soleil en un point relativement petit. De ce fait, l'énergie reçue par ce point augmente et la température de la feuille peut s'élever jusqu'à son point de combustion.<br /><br />* <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Lumiere - Concentration de la lumiere Schemaloupe.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" class="image" title="1 : rayons du soleil 2 : Loupe"><img alt="1 : rayons du soleil 2 : Loupe" src="/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" width="249" height="405" data-file-width="249" data-file-height="405" /></a></div></div></span></div><br /><br />1 : Rayons Solaires<br /><br />2 : Loupe  +
On observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.  +
'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.  
<u>Étape 4</u> : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés : <br/> *''<u>par taille</u> '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre) *''<u>et par niveaux trophiques :</u>'' **A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil. **Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes. **De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol. <u>Étape 5</u> : Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). <u>Étape 6</u> : Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité. Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces. D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins. À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau : *en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ; *en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ; *en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)  
Le courant électrique nécessaire à l'allumage de la lampe circule donc plus ou moins bien dans les différents matériaux. Les matériaux qui laissent passer le courant sont appelés "conducteurs" et ceux qui ne le laissent pas passer sont appelés "isolants".  +
En tournant la cuillère dans un sens, on crée un tourbillon ou vortex, l'eau se déplace en tournant autour d'un axe. L'eau, en tournant, va entraîner les morceaux de plastique en son centre. <br/>  +
Le métal chauffé prend différentes couleurs. A chaque fois que le métal atteint une température précise, il va changer de couleur. C'est ce qu'on appelle l'incandescence !  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau. Les différentes couleurs qui composent l'encre noire se séparent. La décomposition des couleurs est due à la différence de masse entre les encres de différentes couleurs : les encres les plus légères sont entraînées plus vite, et donc plus loin que les encres plus lourdes. Malgré la gravité, qui voudrait que l'eau reste au fond du verre, celle-ci remonte le long du papier absorbant. C'est ce qu'on appelle la capillarité ! Les liaisons entre le papier absorbant et l'eau sont plus fortes que la gravité, ce qui permet à l'eau de monter.  +
=== '''De manière simple''' === Le chou rouge possède des éléments colorés violets qui sont capables de changer de couleur lorsque l'acidité varie. * Le citron et le vinaigre sont acides -> le jus de chou devient rose. * Le bicarbonate est le contraire d'acide (on dit alors qu'il est "basique") -> le jus de chou devient bleu ! La lessive est encore plus basique que le bicarbonate, le mélange fait alors virer le jus de chou rouge au vert.  +
Plus l'eau contient des éléments conducteurs, les ions, plus elle conduit le courant électrique. L'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau eau] pure (H2O) est un élément non conducteur (qui ne permet pas le passage de l'électricité) parce qu'elle ne contient pas d'ions. L'eau du robinet, ou l'eau douce que l'on trouve dans la nature, ne sont PAS isolantes car elles ne sont jamais pures : elles contiennent des minéraux dissous sous forme d'ions. Cependant l'eau du robinet n'est que faiblement conductrice, le courant y circule trop peu pour que cela suffise à allumer l'ampoule dans notre expérience, car le courant appliqué y est très faible. '''Mais attention''' : l'eau du robinet est suffisamment conductrice pour créer un grand risque d'électrocution dès qu'on y fait circuler un courant électrique assez puissant ! C'est pour cela qu'il est très dangereux d'approcher des appareils électriques de l'eau. L''''eau salée''' est beaucoup plus conductrice que l'eau douce parce que le sel n'est pas un isolant. Il augmente donc très nettement la conductivité de l'eau. C'est pour cela que dans notre expérience l'eau salée laisse passer suffisamment le courant pour que l'ampoule s'allume.  +
L'air chauffé par le radiateur s'élève devant la fenêtre en déplaçant l'air plus frais au-dessus de lui.  +