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C
Après avoir été frottée contre un vêtement, la paille possède des propriétés statiques : elle est chargée <u>négativement</u>. En l'approchant d'une des plaques, elle permet la répartition des charges positives et négatives sur l'ensemble du montage, ce qui a pour conséquence d'attirer d'un côté ou de l'autre la boule d'aluminium. Le polystyrène est important car il sert d'isolant, afin que les électrons ne se déplacent pas n'importe où.  +
Les Systèmes d'Informations Géographiques sont des outils puissants pour représenter de nombreuses données. Certaines de ces données sont visibles depuis le ciel ou par satellite, d'autres sont collectées par des campagnes de mesures sur le terrain. L'hydrosphère représente l'ensemble de l'eau d'un territoire, sous toutes ses formes. Une partie de l'eau d'un territoire est visible, mais une autre est souvent cachée. Bien que deux cours d'eau d'un même territoire paraissent indépendants, ils sont souvent connectés. Parce qu'ils se jettent dans le même fleuve ou parce qu'ils sont alimentés par les mêmes évènements météorologiques. Un exemple simple : mon voisin et moi possédons chacun un puits. Ils paraissent indépendants, mais en réalité ils donnent accès à la même nappe souterraine. Si l'un de nous y pompe trop d'eau, les deux finiront à sec. C'est pourquoi une approche par hydrosphère, plus complète, est préférable.  +
La catapulte est créée grâce à un élastiques qui vient exercer une pression sur un bout de bois rigide, ce qui a pour effet que lorsque nous cessons d'exercer cette pression le bout de bois va partir et la vis qui est au bout va pouvoir venir percuter la capsule et donc enclencher le décapsulage.  +
La force fournie par l'utilisateur dans le levier va permettre, grâce à la vis placée sous la capsule, de la retirer. Plus l'utilisateur met de force, plus la capsule sera catapultée loin  +
La catapulte est créer grace a un ressort et des élastiques qui viennent exercer une pression sur un bout de bois rigide, ce qui a pour effet que quand nous arretons d'exercer cette pression le bout de bois va partir et le poids qui est au bout va pouvoir venir percuter le bras de levier et donc enclencher le décapsulage.  +
Une catapulte à élastique est un type de catapulte qui utilise l'énergie stockée dans un élastique pour propulser un projectile. La catapulte est généralement composée d'une base, d'un bras de levier, d'un lanceur et d'un élastique.  +
L’air comprimé désigne l’air dont la pression est supérieure à la pression atmosphérique. Il peut être stocké à haute pression et constitue un formidable outil pour fournir de l’énergie. Plus sûr et plus simple à utiliser que d’autres solutions alternatives, comme la vapeur ou les piles, l’air comprimé est une source d’énergie très répandue. En tournant la vanne, on libère l'air comprimé de la bouteille, et toute l'énergie fournie en pompant se libère d'un coup.  +
Après avoir fait la recette nous pouvons remarquer que le agar a agis sur ketchup. Il a « gélifié » la ketchup. Quand la solution (ketchup) est chaude la solution est liquide mais quand la solution refroidit alors la solution devient gélatineuse  +
'''Lorsque tu couvre la bougie avec le verre il se passe deux choses :''' - D'une part, la combustion nécessite du dioxygène (O2) et produit du dioxyde de carbone (CO2). Lorsque la quantité de dioxygène présente dans le verre devient trop faible alors la flamme s'éteint. - D'autre part, la flamme de la bougie produit de la chaleur qui va chauffer l'air présent dans le verre. L'air en chauffant se dilate. C'est à dire que pour la même quantité d'air, cet air prend plus de place. On peut d'ailleurs constater cette dilation, car lorsque l'on pose le bocal sur la bougie, un bulle d'air s'échappe. Lorsque la flamme s'éteint (du fait du manque d'oxygène) l'air refroidit. A l'inverse de la dilatation , en se refroidissant, l'air se rétracte, c'est à dire qu'il prend moins de place. L'eau va alors être aspirée dans le verre occupant la place ainsi libérée.  +
=== '''De manière simple''' === Les Leds s'allument de manière aléatoire de plus en plus vite. À chaque pression sur un bouton poussoir se produit l'événement suivant : soit ce bouton correspond à la bonne led et le jeu continue, soit ce bouton ne correspond pas à la bonne Led, le jeu s’arrête et le score s'affiche à l'aide des leds.  +
=== '''De manière simple''' === Au départ, il y a de l'air entre les feuilles, comme partout autour de nous. Cet air appuie sur tous les objets de la même façon, tout autour d'eux avec la même force : c'est la pression atmosphérique. En soufflant, on déplace de l'air et on crée un courant d'air entre les feuilles. Ce déplacement d'air entraîne une diminution de la pression de l'air entre les feuilles. L'air appuie alors moins fort entre les feuilles qu'autour d'elles, et elles sont poussées l'une contre l'autre. === '''Questions sans réponses''' === L'espace entre les feuilles est ouvert, pourquoi l'air ne vient pas des côtés ?  +
La phase de couleur verte est celle qui est le plus bas, elle correspond à la chlorophylle. La phase de couleur jaune est celle qui est le plus haut, elle correspond aux xanthophylles et carotènes. <br/>  +
La bande de papier filtre absorbe l'eau qui va alors monter le long de la bande. L’eau a le pouvoir de monter naturellement malgré la force de gravité (celle qui fait tomber les objets). Pour cela, elle va s’aider des micro-fibres présentes dans le papier. On appelle ce phénomène '''la capillarité.''' Lorsque l'eau atteint le point coloré, elle l'entraîne avec elle. Chaque colorant réagit alors différemment selon le type de papier filtre et selon le liquide utilisé. Certains colorants vont moins vite ou montent moins haut, ce qui fait qu'ils se séparent et qu'on peut les distinguer nettement au bout de quelques instants. C'est la technique de '''chromatographie'''. La couleur d’un feutre est en fait composée de plusieurs couleurs. Sur notre expérience, les couleurs des feutres bleu et vert sont des mélanges de plusieurs couleurs, alors que le jaune ne comporte aucun mélange de couleur. Le bleu comportait du magenta alors que le vert, lui, comportait du jaune et du cyan ! C'est pour cela qu'on parvient à voir ces nouvelles couleurs sur notre papier filtre !  +
Dans un circuit en série, chaque composant utilise une partie de la tension électrique, un peu comme si les composants se « partageaient » l’électricité. Donc plus il y a de composants dans le circuit, moins chaque composant reçoit d’électricité pour fonctionner. Certains composants ont besoin d’une tension minimale pour fonctionner, comme les LED. Si les autres composants consomment trop d’électricité, il n’en reste plus suffisamment pour les LED, et elles ne s’allument pas. Lorsqu'un circuit est branché en parallèle, la tension est la même dans les 2 parties : les composants fonctionnent avec la même tension et ont un fonctionnement normal.  +
La naissance de la classification commence par l'observation des caractéristiques physique du vivant. Les scientifiques ont ensuite cherché à nommer ces groupes d'individus pour déterminer des groupes, embranchements, famille etc...  +
Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de “coefficient de ruissellement”. Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans notre expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Tu peux également essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie ! Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol ! Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.  +
* Dans le premier cas, l'eau s'échappe de la boîte. * Dans le second cas, l'eau de ne s'échappe pas de la boîte a cause de la pression de l'air qui la maintient et la pousse vers l'intérieur.   +
Les molécules interagissent entre elles, et cela correspond à une certaine énergie. Les molécules se mettront toujours dans la position de moindre énergie. Or l'énergie pour les molécules d'eau est moindre si elles restent en contact avec d'autres molécules d'eau plutôt qu'avec des molécules de gaz (l'air). C'est pour cela que la configuration avec une "couche" d'eau qui dépasse du verre est plus stable que des gouttes qui se séparent pour couler le long du verre. <br/> ===Expériences complémentaires=== Refaire la même expérience avec d'autres liquides : de l'huile et de l'alcool. Est ce que le nombre de pièces (le volume) à ajouter est le même pour faire déborder le verre ? Réponse : non. L'huile et l'alcool sont des molécules différentes de l'eau. Elles n'interagissent pas ensemble de la même façon. Les configurations de moindre énergie ne sont donc pas les mêmes. Placer une assiette sur une balance et faire la tare. (Précision souhaitable de la balance : +/-1g). Placer un verre d'eau sur l'assiette, elle même sur la balance. Se placer dans la configuration où le verre est à la limite de déborder. Plonger un objet dans le verre et observer l'eau couler du verre dans l'assiette. Retirer un peu d'eau du verre, par exemple avec une pipette, sans rien faire couler. Retirer le verre d'eau de l'assiette. À quoi correspond le poids mesuré ? Réponse : au volume d'eau qui a débordé en ajoutant la pièce. Comme on connaît la masse volumique de l'eau (son poid par unité de volume, en gros 1 kilogramme par litre), on connaît donc le volume de l'eau qui a débordé. Ce volume est identique à celui de l'objet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.  +
Nous sommes entourés d'ondes électromagnétiques. Les ondes de la transmission de la radio, de la télé, etc. le courant électrique aussi émet des ondes électromagnétiques. Ces ondes créent de l'électricité dans les broches des composants électroniques. C'est pour cela qu'une broche connectée à rien, n'est pas forcément à l'état 0. Une résistance de pullup fixe l'état à HIGH (état haut). Une résistance de pulldown fixe l'état à LOW (état BAS).  +
La loupe concentre les rayons du soleil en un point relativement petit. De ce fait, l'énergie reçue par ce point augmente et la température de la feuille peut s'élever jusqu'à son point de combustion.<br /><br />* <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Lumiere - Concentration de la lumiere Schemaloupe.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" class="image" title="1 : rayons du soleil 2 : Loupe"><img alt="1 : rayons du soleil 2 : Loupe" src="/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" width="249" height="405" data-file-width="249" data-file-height="405" /></a></div></div></span></div><br /><br />1 : Rayons Solaires<br /><br />2 : Loupe  +
On observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.  +
'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.  
<u>Étape 4</u> : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés : <br/> *''<u>par taille</u> '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre) *''<u>et par niveaux trophiques :</u>'' **A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil. **Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes. **De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol. <u>Étape 5</u> : Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). <u>Étape 6</u> : Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité. Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces. D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins. À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau : *en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ; *en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ; *en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)  
Le courant électrique nécessaire à l'allumage de la lampe circule donc plus ou moins bien dans les différents matériaux. Les matériaux qui laissent passer le courant sont appelés "conducteurs" et ceux qui ne le laissent pas passer sont appelés "isolants".  +
En tournant la cuillère dans un sens, on crée un tourbillon ou vortex, l'eau se déplace en tournant autour d'un axe. L'eau, en tournant, va entraîner les morceaux de plastique en son centre. <br/>  +
Le métal chauffé prend différentes couleurs. A chaque fois que le métal atteint une température précise, il va changer de couleur. C'est ce qu'on appelle l'incandescence !  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau. Les différentes couleurs qui composent l'encre noire se séparent. La décomposition des couleurs est due à la différence de masse entre les encres de différentes couleurs : les encres les plus légères sont entraînées plus vite, et donc plus loin que les encres plus lourdes. Malgré la gravité, qui voudrait que l'eau reste au fond du verre, celle-ci remonte le long du papier absorbant. C'est ce qu'on appelle la capillarité ! Les liaisons entre le papier absorbant et l'eau sont plus fortes que la gravité, ce qui permet à l'eau de monter.  +
=== '''De manière simple''' === Le chou rouge possède des éléments colorés violets qui sont capables de changer de couleur lorsque l'acidité varie. * Le citron et le vinaigre sont acides -> le jus de chou devient rose. * Le bicarbonate est le contraire d'acide (on dit alors qu'il est "basique") -> le jus de chou devient bleu ! La lessive est encore plus basique que le bicarbonate, le mélange fait alors virer le jus de chou rouge au vert.  +
Plus l'eau contient des éléments conducteurs, les ions, plus elle conduit le courant électrique. L'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau eau] pure (H2O) est un élément non conducteur (qui ne permet pas le passage de l'électricité) parce qu'elle ne contient pas d'ions. L'eau du robinet, ou l'eau douce que l'on trouve dans la nature, ne sont PAS isolantes car elles ne sont jamais pures : elles contiennent des minéraux dissous sous forme d'ions. Cependant l'eau du robinet n'est que faiblement conductrice, le courant y circule trop peu pour que cela suffise à allumer l'ampoule dans notre expérience, car le courant appliqué y est très faible. '''Mais attention''' : l'eau du robinet est suffisamment conductrice pour créer un grand risque d'électrocution dès qu'on y fait circuler un courant électrique assez puissant ! C'est pour cela qu'il est très dangereux d'approcher des appareils électriques de l'eau. L''''eau salée''' est beaucoup plus conductrice que l'eau douce parce que le sel n'est pas un isolant. Il augmente donc très nettement la conductivité de l'eau. C'est pour cela que dans notre expérience l'eau salée laisse passer suffisamment le courant pour que l'ampoule s'allume.  +
L'air chauffé par le radiateur s'élève devant la fenêtre en déplaçant l'air plus frais au-dessus de lui.  +
Une rivière est un milieu vivant et évolutif. Même si elle est laissée sans aménagement, son tracé évoluera au gré des crues [1]. En effet, lorsque le cours d'eau prend de la vitesse (parce que la quantité d'eau augmente ou qu'elle s'écoule tout droit sans obstacles), il va venir grignoter ses berges. C'est ce phénomène tout à fait naturel qu'on appelle érosion. Au contraire, si un cours d'eau qui a pris de la vitesse doit ralentir brusquement, par exemple s'il arrive sur des méandres où l'eau s'écoule lentement, alors il va déborder. C'est ce qu'on appelle l'inondation. Ici, les tuiles ''Biodiversité'' représentent les poissons migrateurs qui remontent les rivières pour se reproduire. C'est le cas des saumons, par exemple. Ceux-ci vivent leur vie en mer et remontent depuis l'embouchure jusqu'aux petits ruisseaux qui ont formé le fleuve pour se reproduire. Cependant de nombreux ouvrages comme des seuils ou des barrages hydro-électriques peuvent les empêcher de remonter jusqu'aux zones où l'eau est la plus pure pour y établir leur descendance [2].  +
Quand on met du sel dans l'eau, il va se dissoudre : on va le voir disparaître dans l'eau. À mesure que l'eau s'évapore lentement dans l'air, le sel toujours présent dans l'eau va se reformer en grains sous forme de cubes ressemblant à du gros sel.  +
Mode d'emploi: #Placer la catapulte sur une surface plane (avec de la place autour quand le projectile partira!) #Brancher le moteur (toujours faire attention avec l'électricité) #Le moteur commence à tourner pendant que la bobine se déroule #Lorsque la bobine a fini de se dérouler, le fil se bloque et coupe l'élan du bras; ce qui l'arrête. #Quand l'expérience est terminée, commencez par débrancher le moteur puis réenrouler autour de la bobine.  +
La voiture à propulsion élastique fonctionne grâce à un système simple mais astucieux. Un élastique est tendu à l'aide d'un dispositif mécanique et stocke de l'énergie potentielle. Lorsque l'on relâche l'élastique, l'énergie stockée est convertie en énergie cinétique, propulsant ainsi la voiture en avant. Le dispositif mécanique est une manivelle qui enroule la ficelle sur un axe et tend ainsi l'élastique. La longueur de la ficelle est déterminée par un rapport de transmission, qui peut être ajusté pour modifier la force exercée par l'élastique et la distance parcourue par la voiture. Plus le rapport de transmission est élevé, plus la distance parcourue par la voiture sera grande mais la force exercée par l'élastique sera plus faible, et inversement. Lorsque la voiture est prête à être lancée, l'élastique est enroulé dans le dispositif mécanique en utilisant la manivelle. Une fois que l'élastique est suffisamment tendu, la voiture est placée sur une surface plane et l'élastique est libéré . L'énergie stockée dans l'élastique est alors transférée à la voiture, qui commence à avancer. La distance parcourue par la voiture dépendra de la longueur de la ficelle et de la force exercée par l'élastique, ainsi que de la qualité des roues et de la surface sur laquelle elle roule.  +
==='''La manipulation'''=== Note : Expérience difficile à réaliser puisqu'il faut réussir à créer une différence notable de température entre le pain de glace et le spot. Les enfants peuvent également faire les manipulation en autonomie durant cette expérience en restant proche pour éviter les risques de brûlures. L'expérience fonctionnera davantage si le pain de glace est en hauteur et l'encens droit.<span></span> ==='''De manière simple'''=== La fumée provenant directement de l'encens est chaude, elle monte et se répand sur le dessus de l'aquarium. Lorsqu'elle s'approche de pain de glace, elle se refroidit et descend. Elle se répand alors dans la partie inférieure de l'aquarium pour ensuite se réchauffer lorsqu'elle se rapproche du spot : elle remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.  +
Vous appuyez sur la barre espace pour maintenir l'oiseau en vol. La partie est finie si vous touchez un tuyau ou si vous touchez le bord en bas.  +
Vous dirigez le serpent avec les flèches de direction. Votre but est de manger la pomme pour pouvoir grandir jusqu'à ce que vous touchiez malencontreusement le bord.  +
Si vous voulez juste y jouer, les flèches gauche et droite servent pour diriger le personnage et la touche espace sert à sauter. Il faut éviter les pièges sur le terrain pour avancer.  +
Le programme, lorsqu'il est lancé, trouve une valeur aléatoire entre 1 et 5. Par la suite, en fonction de la valeur, la carte arduino enverra de l'électricité dans les LEDs. Par exemple, si le programme trouve la valeur 2, la carte enverra de l'électricité dans les LEDs haut droite et bas gauche, ce qui fera que ces deux LEDs s'allumeront. Le bouton, lorsqu'il est enclenché, ouvre le circuit, l'électricité ne passe plus et éteint la carte. Le relâchement du bouton fait que le circuit se referme et relance le programme.  +
Vous contrôler les barres de Pong avec les touches z et s pour la première barre et les flèches du haut et du bas pour la seconde. Le but est de faire passer la balle dans le camp adverse (représenté par la barre grise de chaque côté de l'écran) pour gagner. Il est préférable d'y jouer à deux mais vous pouvez y jouer seul aussi.  +
Le but est de tuer les chauves-souris tout en évitant de tirer sur la grenouille magique. Vous dirigez le viseur avec la souris et vous appuyez sur le clic droit pour tirer.  +
L'engrenage permet de ramener les extrémités des deux bras latéraux vers le centre de la catapulte, accumulant ainsi de l'énergie qui propulsera le projectile une fois libérée  +
Lorsque l'on tape la cuillère sur la table, on fait vibrer la cuillère. La '''vibration''' va être transmise par la ficelle puis passer par tes os au bout de tes doigts jusqu'à ton oreille. La vibration est alors interprétée par l'organe du corps qui transmet l'information sonore au cerveau : '''ton système auditif.'''  +
*Au contact de l'air et avec le temps, la surface des pièces en cuivre devient noirâtre, on dit que le cuivre s''''oxyde'''. *Dans le verre, des particules de cuivre se détachent alors de la surface des pièces de monnaie : on les appelle des '''ions''' cuivre. *Une fois dans le vinaigre les ions cuivre rencontrent le clou qui est en acier. L'acier contient du fer qui réagit avec les ions cuivre. *Les ions cuivre se retransforment en cuivre sur la surface du clou et les particules de fer deviennent des ions ferreux. *Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''.   +
<nowiki>Sous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan. <br /><br /><br />L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été. <br /><br /><br />Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.<br /><br /><br />En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].<br /><br /><br />Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>  +
Le phénomène illustré par cette expérience, montre qu'une plante se nourrit grâce à l'effet de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 capillarité] (On appelle capillarité la montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre). La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules. Chaque canal est relié à une partie précise d'un pétale. Ainsi, le canal qui plonge dans l'eau colorée en rouge conduit cette eau à toutes les extrémités du céleri.  +
D
Plus la bille sera en hauteur, plus elle accumulera d’énergie. Lorsqu’on la lâche, l’énergie se transforme en vitesse. Puis en son (le son du choc) et on voit le cratère se former. Le cratère est une visualisation de l’énergie libérée par la bille.  +
Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers. L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.  +
Le champ de vision qu'on a de notre fenêtre est restreint. Il se limite généralement à environ 180°, c'est à dire ce qu'on peut voir en regardant à droite et à gauche. Lorsqu'on bénéficie de fenêtres sur d'autres façades du bâtiment, on peut élargir ce champ de vision et changer un peu le paysage qu'on voit.  +
====== <u>ÉTAPE 1</u>. ====== Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. '' Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire. ====== <u>ÉTAPE 2</u>. ====== Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). '' ====== <u>ÉTAPE 3.</u> ====== Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles. Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.