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Les habitudes de vie évoluent dans le sens d’une plus grande sobriété des usages et des consommations (moins de déplacements individuels au profit des mobilités douces et des transports en commun, moindre consommation de biens manufacturés, économie du partage, baisse de la température de consigne de chauffage, recours à davantage de télétravail, sobriété numérique, etc.), occasionnant une diminution générale des besoins énergétiques, et donc également électriques.*Réindustrialisation profonde : +107 TWh
Sans revenir à son niveau du début des années 1990, la part de l’industrie manufacturière dans le PIB s’infléchit de manière forte pour atteindre 12-13 % en 2050. Le scénario modélise un investissement dans les secteurs technologiques de pointe et stratégiques, ainsi que la prise en compte de relocalisations de productions fortement émettrices à l’étranger dans l’optique de réduire l’empreinte carbone de la consommation française.'''et des variantes :''' *Électrification rapide : +55 TWh
La part de l’électricité dans la consommation finale s’accroît de manière plus forte que dans la SNBC. Certains usages basculent plus rapidement ou fortement vers l’électricité. C’est particulièrement le cas dans le secteur des transports, dans lequel l’adoption du véhicule électrique et l’électrification de certaines catégories de poids lourds est beaucoup plus rapide. Le transfert vers le chauffage électrique se fait également plus rapidement et de manière plus volontariste.*Moindre électrification : -67 TWh
La part de l’électricité dans la consommation finale augmente de manière moins forte et moins rapide que dans la SNBC. Dans l’industrie, par exemple l’électricité ne parvient pas à être compétitive et la bascule vers l’électrification se fait moins rapidement. Il en est de même pour le transfert vers la mobilité électrique (véhicules légers et lourds) et vers les dispositifs de chauffage électrique dans les secteurs résidentiel et tertiaire.*Efficacité énergétique réduite : +69 TWh
Les hypothèses de progrès de l’efficacité énergétique des équipements électriques généralement retenues ne se matérialisent pas, ou s’accompagnent de phénomènes de surconsommation au-delà de ce qui est prévu dans la trajectoire de référence. Dans le secteur du bâtiment, les objectifs de rénovation et la conversion aux pompes à chaleur ne sont pas atteints, et le taux d’atteinte des gisements d’efficacité énergétique ne dépasse pas 50% en 2050 (contre 70% dans la trajectoire de référence)*Hydrogène + : +109 TWh
Le développement de la production d’hydrogène décarboné connait une forte accélération conduisant à une demande finale d’hydrogène nettement plus élevée que dans la trajectoire de référence. L’hydrogène se substitue à l’électrification directe dans certains secteurs difficiles à électrifier (sidérurgie…) ainsi qu’à l’utilisation de biomasse (transport lourd, chaleur industrielle).ogène décarboné connait une forte accélération conduisant à une demande finale d’hydrogène nettement plus élevée que dans la trajectoire de référence. L’hydrogène se substitue à l’électrification directe dans certains secteurs difficiles à électrifier (sidérurgie…) ainsi qu’à l’utilisation de biomasse (transport lourd, chaleur industrielle).</i></blockquote>
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