Introduire l'expérience avec la disparition des dinosaures puisque la piste de la météorite est la plus admise
Profiter de la formation d'un cratère pour évoquer la géologie, les différentes couches de la Terre (manteaux, croûte terrestre...) avec pourquoi pas l'utilisation de différents sols
Pourquoi pas, si la taille du pot le permet, rajouter des éléments de décor (dinosaures en plastique, arbres…) pour égayer et aider à visualiser un peu mieux le phénomène
Faire l'expérience en groupe et comparer le nombre de grains éjectés ou la taille du cratère +
Cette expérience peut être réalisée avec un groupe ayant déjà vu les notions de bases sur le circuit électrique (fonctionnement et rôle du générateur, des dipôles, circuit ouvert ou fermé, court-circuit), qu’elle viendra compléter. On peut la proposer de différentes façons. Par exemple l’animateur peut réaliser avant le début de l’animation un circuit en série et un autre en parallèle avec quelques composants, et demander aux participants de reproduire des circuits similaires en utilisant une liste plus longue de composants, puis d’observer et d’analyser les résultats observés. L’animateur peut aussi mettre à disposition tous les composants et matériels et proposer aux participants de réaliser différents types de montage, sans leur proposer de circuit en exemple. Si le groupe a du mal à imaginer différents modes de branchement, l’animateur pourra alors les guider en s’appuyant sur les circuits déjà réalisés.
L’animateur peut aussi proposer l’expérience sous la forme d’un défi, et le présenter avec une petite histoire. Par exemple en présentant un montage en série avec une introduction comme : « Vous êtes enfermé dans un placard, dans le noir (comme Harry Potter !). En tâtonnant, vous avez trouvé des composants électroniques dans une vieille boîte de jeu (appartenant à votre cousin Dudley). Vous avez réalisé un circuit pour pouvoir vous éclairer et lire vos livres (de magie), mais comme vous pouvez le voir, les ampoules ne brillent que faiblement. Essayez de refaire un montage qui permette d’obtenir plus de lumière avec les mêmes ampoules ! » +
Travailler en petit groupe peut être un plus. Le public va confronter ses idées pour arriver à un consensus.
Le public est plus réceptif quand il trie des jouets, les vignettes peuvent être ajouter en fin d’expérience. +
Pour amener l'expérience, il est possible de la présenter comme une suite de l'expérience "[https://www.wikidebrouillard.org/wiki/Le_bassin_versant Le bassin versant]".
L'utilisation d'une vieille éponge sèche peut être intéressante ! Celle-ci aura du mal à absorber l'eau, son coefficient de ruissellement sera d'abord très élevé. C'est le cas des sols victimes de sécheresse prolongée.
La feuille plastique ou aluminium représente un sol imperméabilisé, comme une ville. Or en ville, il y a souvent des espaces verts, même minimes ! Une activité possible est de "dessiner" une partie de ville (en s’aidant de cartes par exemple) et de découper la feuille étanche pour avoir des ouvertures qui correspondent aux zones où le sol est à découvert. On peut ensuite comparer le coefficient de ruissellement global de différents quartiers.
Une autre piste est d’amener le public à s’interroger sur la formation des inondations ou simplement de flaques. Dans ce cas, l’éponge peut servir à représenter un aquifère (nappe d’eau souterraine). Lorsque celui-ci est rempli, l’eau déborde et s’écoule.
Il est également possible d'utiliser cette expérience pour mettre en évidence le transport des polluants ! Pour cela, ajouter quelques gouttes de colorant (ou d’encre) sur chaque éponge (puis sur la feuille étanche) lors de la mise en place. On peut alors observer comment évolue la "pollution" selon le coefficient de ruissellement. +
On peut par exemple:
-Dessiner une forme au feutre sur un morceau de bois, et tenter de "pirograver" cette forme, grâce à la loupe
- Dans le cas d'un camps, tenter d'allumer le feu de camps avec une loupe +
Jeu de rôle : mettre en place une chaîne alimentaire des récifs coralliens de l'Île de la Réunion, puis identifier les autres types d'interactions qui existent entre espèces, en plus de celles de proie/prédateur. Pour cela, distribuer une photo d'espèce à chaque participant.
Chacun doit trouver sa place dans la chaîne alimentaire en se plaçant par rapport aux autres espèces :
- soit en lien avec son régime alimentaire (relation proie/prédateur) : mettre sa main sur l'épaule de l'espèce qui le mange ;
- soit en lien avec d'autres types d'interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme) : reconstituer les couples en s'enlaçant par le coude
- Option : rajouter l'humain dans le réseau. Où intervient-il et comment ?
Faire ensuite s'asseoir le phytoplancton et les coraux pour simuler leur fragilisation dans un milieu devenu trop acide, tout en maintenant les participants liés les uns aux autres par les épaules et le coude. Observer alors ce qu'il se passe pour les autres espèces en interactions. +
Jeu de rôle : mettre en place un réseau trophique de milieu terrestre, puis identifier les autres types d'interactions qui existent entre espèces, en plus de celles de proie/prédateur.
Pour cela, distribuer une photo d'espèce à chaque participant.e.
Chacun doit trouver sa place dans la chaîne alimentaire en se plaçant par rapport aux autres espèces :
- soit en lien avec son régime alimentaire (relation proie/prédateur) : mettre sa main sur l'épaule de l'espèce qui le mange ;
- soit en lien avec d'autres types d'interactions (symbiose, mutualisme, parasitisme, commensalisme) : reconstituer les couples en s'enlaçant par le coude
- Option : rajouter l'humain dans le réseau. Où intervient-il et comment ?
Faire ensuite s'asseoir la prairie et les ronces pour simuler leur disparition du fait de la construction d'une autoroute, tout en maintenant les participant.e.s lié.e.s les un.e.s aux autres par les épaules et le coude. Observer alors ce qu'il se passe pour les autres espèces en interactions. +
Jeu de rôle : mettre en place un réseau trophique du sol, puis identifier les autres types d'interactions qui existent entre espèces, en plus de celles de proie/prédateur. Pour cela, distribuer une photo d'espèce à chaque participant.e.
Chacun doit trouver sa place dans le réseau trophique en se plaçant par rapport aux autres espèces :
- soit en lien avec son régime alimentaire (relation proie/prédateur) : mettre sa main sur l'épaule de l'espèce qui le mange ;
- soit en lien avec d'autres types d'interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme) : reconstituer les couples en s'enlaçant par le coude
- Option : rajouter l'humain dans le réseau. Où intervient-il et comment ?
Faire ensuite s'asseoir le carabe et le vers de terre pour simuler leur disparition du fait de la modification du sol, tout en maintenant les participant.e.s lié.e.s les un.e.s aux autres par les épaules et le coude. Observer alors ce qu'il se passe pour les autres espèces en interactions. +
L’expérience peut être réalisée après une partie introductive permettant aux participants de comprendre les bases d’un circuit électrique. L’animateur peut ensuite recueillir les idées des participants sur les matériaux qui selon eux conduisent (« laissent passer » pour les plus jeunes) l’électricité. Puis l’animateur peut proposer au groupe de concevoir une méthode pour tester la conductivité de différents matériaux avant de tester avec eux chacun des matériaux mis à leur disposition (tels que ceux listés dans cette fiche, mais il est possible d’en tester d’autres), et de reporter les résultats dans un tableau.
Cette expérience peut s’inscrire dans une animation consacrée au thème de la sécurité, qui permettra de découvrir des situations du quotidien où la conductivité de certains matériaux constitue un danger (en cas d’orage, d’inondation, de chute de câbles électriques au sol…), et de connaître des moyens de protection (utilisation de gaines, de vêtements fabriqués avec des matériaux isolants etc…). +
Vous pouvez adapter la taille des déchets plastiques en fonction de la taille de votre bassine. Plus vous couperez les plastiques en petits morceaux, plus votre bassine semblera grande.
Il est pratique d'avoir accès à un tuyau d'arrosage pour remplir la bassine. +
L'expérience peut s'animer sous forme d'un défi. On donne aux participants un papier filtre avec le résultat d'une autre chromatographie (avec une autre couleur, par exemple). Puis en leur donnant le matériel nécessaire, on leur demande d'essayer de reproduire l'expérience avec un feutre noir. Peuvent-ils expliquer ce qu'il se passe ?
Pour aller plus loin on peut regarder ce qu'il se passe avec des feutres d'une autre couleur. +
Pour animer cette expérience et la rendre plus intéressante il est possible de mettre en place une course entre les projets finaux des différents élèves, ce qui les motiverait dans la création de leur voiture +
Cette expérience peut être présentée comme un défi. « Comment peut-on entendre une grosse cloche avec cette cuillère ? ».
Dès les premières minutes, on comprend qu’il faut taper la cuillère contre un support, mais le bruit de la cloche est très faible et ressemble à une clochette. Il faut donc amener, par des indices, à la bonne réponse.
Exemple d’indices :
- « Pourquoi il y a deux bouts de ficelles ? »
- « Seul une personne va entendre ce gros son de cloche, pas forcément son voisin »
- « Comment amplifier le son ? » +
Cette expérience nécessite du temps ou de la préparation en amont. D'abord la préparation des solutions nécessite un temps d'au moins 24h pour permettre une dissolution complète des produits. Ensuite, le papier nécessite lui aussi du temps de séchage. Même si il est possible de réduire ce temps avec l'utilisation d'un sèche cheveux, l'idéal reste le séchage naturel qui diffère selon les conditions.
D'autre part, cette expérience nécessite du soleil ! Si vous n'êtes pas au point avec la danse du soleil ou pas sûr de la météo, prévoyez une lampe à UV, elle ne vous apprendra pas à danser la danse du soleil mais assurera votre séance !
Si vous avez un groupe sur plusieurs séances étalées sur plusieurs journées, vous pouvez prendre le temps nécessaire pour faire les préparations avec lui. Cela nécessite au moins 3 séances :
*séance 1 : un temps court pour préparer les produits. Cette séance peut-être l'occasion de faire d'autres expériences sur la chimie, les mélanges ou autour de la photo...
*séance 2 : cette séance est l'occasion de poser des hypothèses et préparer avec le groupe la séance suivante :
**quels supports : différents types de papier, bois, tissus, ... ou autres supports poreux !
**quelles choses à photographier : différentes textures, formes, matériaux ...
**quelles mises en scène de vos photos : posez votre imagination !
*séance 3 : vérification des hypothèses : l'insolation des supports en faisant des tests.
Si vous avez encore du temps, vous pouvez ajouter une dernière séance pour réaliser une production finale prenant en compte l'ensemble des tests de la séance précédente.
Si vous n'avez qu'une seule séance, vous pouvez aussi vous lancer avec quelques adaptations :
*préparez en amont les produits au moins 24h avant
*préparez une ou plusieurs séries de support déjà imprégnés, cela permettra de faire des séries de test avec votre public le temps que leur papier soit près.
*limitez les paramètres d'expérimentation. Selon le temps imparti, choisissez un seul support et préparez une série d'objets divers, variés et en nombre suffisant pour que votre groupe puisse expérimenter librement.
- Histoire du jeu vidéo
- Assemblage du circuit
- Conception d'un objet fini
- Modification du code (couleur, vitesse, son, décompte, ...)
- Modification du contrôle (ex : utiliser des cuillères pour remplacer des interrupteurs)
- Invention de nouveaux modes de jeux (ex coopératif en comptant le nombre d'échanges)
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