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C
Tu as remarqué que nos éponges, même si on les essore bien, contiennent encore de l’eau ? C’est la même chose pour le sol ! Il a une capacité à retenir de l’eau. Pour un sol, la quantité d’eau qu’il peut absorber entre le moment où il est sec et le moment où il sature (il ne peut pas contenir plus d’eau) est appelée “réserve utile”. C’est la quantité d’eau qui peut en être facilement extraite, par les racines des plantes par exemple. Celle-ci est mesurée en millimètres de hauteur d’eau, comme la pluie. Elle varie principalement selon le type de sol (graviers, sable, terre argileuse). Lorsqu’une éponge est gorgée d’eau (dès le début ou après quelques instants d’arrosage) elle n’est plus capable d’en absorber. Son coefficient de ruissellement monte alors jusqu’à 100% (toute l’eau ruisselle) ! C'est la même chose pour le sol, si la pluie est trop intense ou dure trop longtemps, il finira par saturer. Nos éponges ont des coefficients de ruissellement très différents selon leur état. De la même façon, l’inclinaison ou le relief du sol peut influer fortement sur le ruissellement. Tu peux tester cela facilement chez toi : l’eau s'écoule très rapidement sur les surfaces qui ne sont pas horizontales. Un sol en pente a un coefficient de ruissellement bien supérieur à celui d'un sol horizontal de même surface . Au contraire, si un sol comporte des bosses et des creux, ceux-ci vont ralentir l’écoulement de l’eau et l’aider à s’infiltrer.  +
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tension_superficielle  +
Une '''loupe''' est un instrument d'optique subjectif constitué d'une lentille convexe permettant d'obtenir d'un objet une image agrandie. La loupe est la forme la plus simple du microscope optique, qui lui, est constitué de plusieurs lentilles l'objectif et l'oculaire), d'un système d'éclairage élaboré complété d'un condenseur de lumière rendant le fond uni sans image parasite, et qui répond à la définition de ''système dioptrique centré''. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Loupe Loupe sur Wikipédia]  +
La biodiversité, définie par sa diversité (des espèces, des écosystèmes et des individus) et ses interactions, '''constitue la toile de la vie dont nous faisons partie et dont nous dépendons'''. Elle résulte d'une évolution façonnée pendant des milliards d’années par des phénomènes naturels mais aussi, et de plus en plus, par l'intervention humaine. Les relations de coopération, de prédation, de compétition entre espèces ont joué et jouent un rôle central dans cette évolution. Ces interactions sont également le moteur du fonctionnement des écosystèmes (milieux de vie) : ils produisent, font circuler, transforment, accumulent matière et énergie au travers des êtres vivants qui les constituent et de leur activité. '''Ainsi la biodiversité assure de nombreuses fonctions biologiques (on parle de services écologiques), et toutes les espèces, en tant que constituantes des écosystèmes, contribuent aux services que toutes en retirent.'''  +
Plus de 95% des espèces d’un habitat naturel sont fortement liées les unes des autres, via les réseaux trophiques. Cette proximité des espèces signifie que la disparition d’une espèce peut avoir d'importants impacts sur les autres espèces et donc sur le fonctionnement même de l'écosystème. Par exemple, les prédateurs au sommet des chaînes alimentaires ont un effet de maintien de la biodiversité. S'ils disparaissent, les espèces dont ils se nourrissaient et qu’ils régulaient vont pulluler. Par compétition, elles éliminent alors d’autres espèces avoisinantes, ce qui entraîne une cascade de conséquences... '''Ces interactions montrent également que si nous voulons protéger une espèce dans un milieu donné, il est indispensable de prendre en considération toutes celles qui font partie de son réseau trophique, donc ses proies (et ce qui les nourrit) et ses prédateurs, sans qui l'espèce peut vite devenir envahissante.'''  +
Un courant électrique est un déplacement d'ensemble de porteurs de charge électrique, généralement des électrons, au sein d'un matériau conducteur. Ces déplacements sont imposés par l'action de la force électromagnétique, dont l'interaction avec la matière est le fondement de l'électricité. Dans un conducteur métallique, les particules chargées et mobiles sont des électrons peu liés aux atomes auxquels ils appartiennent (on dit que ces électrons se trouvent dans la bande de conduction). On peut considérer qu'ils se déplacent facilement dans le matériau métallique. Lorsqu'une différence de potentiel est appliquée aux extrémités du conducteur, elle provoque le déplacement de ces électrons, ce que l'on appelle courant électrique. Le réseau des atomes contient des ions positifs : les atomes qui ont perdu un électron. Mais ces derniers, prisonniers du réseau par les liaisons métalliques, sont quasiment immobiles et ne participent que de manière infime à la circulation du courant. Un isolant, aussi appelé matériau diélectrique, est une partie d'un composant ou un organe ayant pour propriété d'interdire le passage de tout courant électrique entre deux parties conductrices. Un isolant possède peu de charges libres, elles y sont piégées, contrairement à un matériau conducteur où les charges sont nombreuses et libres de se déplacer sous l'action d'un champ électromagnétique. La capacité d'un matériau à conduire plus ou moins bien les charges électriques est appelée "conductivité électrique".  +
Pourquoi certains plastiques flottent et d'autres non ? Cela dépend de la densité du plastique : pour un même volume de plastique et d'eau, certains morceaux vont être plus ou moins lourds (par rapport à l'eau) selon leur composition. Les morceaux les plus denses iront au fond de la bassine, et les moins denses restent en surface.  +
Pourquoi telle couleur est associée à telle température? L'augmentation de la température crée une agitation des atomes, ils se choquent les uns les autres et cela excite leurs électrons : dans certains cas, un électron récupère de l'énergie venant du choc. Ensuite, l'électron reperd cette énergie, en émettant un photon. Plus la température est élevée, plus le mouvement est puissant, plus l'énergie des chocs est grande, et plus les électrons sont excités. Donc l'énergie lumineuse augmente avec la température. Or la couleur d'un photon correspond à son énergie. Un photon infra-rouge (IR) a moins d'énergie qu'un photon rouge, qui en a moins qu'un jaune, qui en a moins qu'un bleu, qui en a moins qu'un ultra-violet... À température ambiante, les photons émis sont infra-rouges et invisibles. En augmentant la température, un mélange de photons IR et de photons rouges commence à être émis (cas du fer porté "au rouge"), puis en montant encore on obtient un mélange IR/rouge/jaune (on voit une couleur orangée), puis un mélange de tout le spectre visible (on voit du blanc), puis un mélange vu comme bleu, etc. On peut associer le phénomène du métal chauffé à l'observation des astres. On peut en effet déterminer la température des étoiles dont on connaît la couleur. Par exemple une étoile bleue comme Rigel a une température de surface de 20000°C.  +
L'étalement de l'encre et la dispersion des différentes couleurs est une illustration simple du principe de chromatographie. Cette technique est utilisée en laboratoire pour séparer les différents composants d'un mélange. Lors d'une chromatographie, l'échantillon est entraîné par une phase mobile, appelée éluant (ici, l'eau) à travers une phase fixe (ici, le papier filtre). La phase fixe retient plus ou moins fortement les différents composants de l'échantillon qui vont alors migrer à des vitesses différentes. On peut ainsi les séparer. Souvent l'échantillon est comparé à une solution dont les substances sont déjà connues, ce qui permet d'identifier les composants de l'échantillon à analyser.  +
Le chou rouge (''Brassica oleracea var.capitata f.rubra'') contient des colorants ('''les anthocyanes''') qui ont la propriété de changer de couleur en fonction du pH. Il est de ce fait le plus populaire des indicateurs naturels de pH et peut être utilisé pour enseigner les réactions acide-base à l'école. Pour extraire ces colorants, il suffit de porter à ébullition de l'eau contenant des feuilles de chou rouge, donc de faire une décoction de chou rouge.  +
Le sel de cuisine est composé de molécules de chlorure de sodium (NaCl). Quand on met du sel dans l'eau, celle-ci dissocie la molécule NaCl en deux parties, sodium et chlore. Lors de cette séparation, ces derniers subissent un changement,c'est-à-dire que le sodium donne un électron au chlore. De cette manière,les deux atomes ne sont plus électriquement neutres et forment ce que l'on appelle des ions. Ce sont les ions qui rendent l’eau conductrice. Les ions positifs – ou cations – migrent vers l’électrode négative de la pile, et les ions négatifs – ou anion – migrent vers l’électrode positive de la pile.  +
On a vu qu'une rivière pouvait sortir de son lit lors des crues et causer des inondations. En réalité, la rivière s'écoule au quotidien dans ce qu'on appelle le lit mineur [1]. Lors des crues, elle va occuper son lit majeur, qui peut être bien plus vaste et recouvrir des prairies ou des zones humides qui sont situées sur les bords de la rivière. En aménagement, on parle de zone inondable lorsque l'on se situe dans le lit majeur d'un cours d'eau. La plupart des cours d'eau ne se contentent pas de s'écouler à la même vitesse tout du long. Celle-ci va varier, notamment avec la profondeur. Lorsque la rivière est profonde, l'eau s'écoule lentement. On parle de zone de mouille. Au contraire, lorsque la profondeur est faible l'eau va avancer très vite, souvent en slalomant entre les rochers ou galets. On appelle cela un radier. Sur une rivière qui n'a pas subit d'aménagement, on observe souvent une alternance de mouilles et de radiers le long du tracé. Dans les méandres, c'est l'extérieur du virage qui est le plus profond et l'intérieur qui accumule les galets. Certains cours d'eau ont des tronçons qui ne semblent pas connectés au reste de la rivière ou qui ne s'écoulent pas. On parle alors de bras mort. Ceux-ci peuvent être un formidable refuge de biodiversité [3]. Les poissons et autres animaux peuvent venir s'y reposer à l'abri du courant. Pour qu'une rivière soit en bonne santé et puisse accueillir de nombreuses espèces différentes, il est nécessaire qu'elle possède des habitats variés.  +
L'abbé René-Just Haüy avait remarqué la constance des formes des individus d'une espèce végétale. Alors que les cristaux, dont la composition ne change jamais, présentaient des formes indéfiniment variables. Il observa qu'en cassant des cristaux de calcite de différentes formes, les fragments obtenus avaient toujours la même forme géométrique. L'abbé Haüy imagina que chacune des formes observées était composée d'une multitude de solides infiniment petits, ayant chacun les mêmes propriétés géométriques, physiques et chimiques que la forme elle-même. Un cristal apparaît donc constitué par un agencement de briques élémentaires, tout comme une maison peut être constituée par un agencement de briques. De la même manière, par agencement de briques, toutes identiques, on peut construire une cathédrale ou une maison. Encore plus... Les travaux de Haüy montrent que plusieurs formes de briques élémentaires sont nécessaires pour décrire l'ensemble des cristaux. Certaines formes sont simples, comme le cube, alors que d'autres semblent plus compliquées, comme le rhomboèdre. Haüy reconnut 6 genres de briques élémentaires, mais aujourd'hui on en admet 7. On parle des 7 systèmes cristallins : cubique, quadratique, orthorhombique, monoclinique, triclinique, rhomboédrique, hexagonal.  +
Evidemment, cette catapulte n'est pas universelle. Vous pouvez l'adapter seulement le moteur que vous avez à disposition. Pour le moteur, il faut qu'il ait une bonne puissance mais qu'il possède également un bon couple. Si il n'y a pas suffisamment de couple alors le moteur ne supportera pas le poids de l'objet; ce qui ralentit sa vitesse de rotation. Dans notre catapulte, afin d'améliorer le couple, on y a ajouter 2 engrenages. Le principe est de créer une accélération du couple (vis à vis du rapport de réduction) Pour le bras, le design du bras est libre à chacun suivant les besoins, le type de projectiles qu'on veut lancer. Pour finir, le bâti n'est pas indispensable au fonctionnement de la catapulte mais ajoute un aspect esthétique intéressant.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Le vent c’est tout d'abord de l’air en mouvement. L’air se trouve partout autour de nous. L’air chaud prend plus de place que l’air froid, il est ainsi plus léger, donc il monte. L’air froid prend alors la place de l’air chaud. La différence de température crée le vent. Le vent sur Terre est créé par : - Le réchauffement de l’air par le soleil. La terre étant ronde, la température n'est pas identique partout : à l'équateur il fait plus chaud qu'aux pôles. Il y a donc une différence de température. - La rotation de la Terre permet aux colonnes d'air de températures différentes de se rejoindre et de créer du vent. De plus, comme l'air est un fluide qui entoure la Terre, la rotation de celle-ci entraîne des vents importants à de grandes distances au-dessus de nos têtes.  +
Bonnes pratiques pour configurer votre diffusion : # Configurez votre diffusion en mode lien permanent # Diffusez votre émission test pour vérifier si tout fonctionne bien, stoppez votre diffusion dans OBS # Lorsque tout est prêt, retournez dans la configuration de votre diffusion en direct et cochez '''Publier une rediffusion automatiquement à la fin du direct''' # Lancez votre live à partir d'OBS  +
Pour aller plus loin dans la doc : https://ayushsharma82.github.io/ESP-DASH  +
Le son est une '''vibration'''. Le déplacement du son est caractérisé par une '''onde'''. Ces ondes, dites '''mécaniques''', ont besoin d'un milieu dans lequel se déplacer par exemple dans l'eau, dans l'air, dans les métaux etc.. Les ondes sonores se déplacent différemment selon les propriétés de leur milieu de propagation. Ici, la ficelle est plus dense que l'air. Alors, le son est perçu plus fort car la vibration transmise au niveau de l'oreille (externe, moyenne et interne) est plus intense.  +
*Lorsque l'on trouve du cuivre dans la solution de vinaigre, il n'est pas sous sa forme métallique, on appelle cela des '''ions'''. Les ions cuivre sont '''chargés positivement'''. En chimie, le symbole du cuivre s'écrit '''Cu''', les ions du cuivre s'écrivent '''Cu<sup>2+</sup>''' (Ils ont perdu 2 charges négatives) et ils s'appellent les '''ions "cuivriques"'''. L'acier contient du fer, le fer s'écrit '''Fe'''. Lorsque les ions cuivriques rencontrent les atomes de fer, ils redeviennent du cuivre. Les ions cuivriques prennent les charges qui leur manquent et redeviennent neutres sous la forme métallique Cu (cuivre). En revanche pour chaque atome de cuivre devenu métallique, un atome de fer devient un '''ion ferreux Fe<sup>++</sup>'''. *On dit que le cuivre est un '''oxydant''' et que le fer est un '''réducteur'''. Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''. *En somme, l'ion cuivrique est réduit par le fer en cuivre et le fer est oxydé par l'ion cuivrique en ion ferreux. *L'équation d'oxydo-réduction s'écrit alors comme ceci : '''Cu<sup>2+</sup> + Fe → Cu + Fe<sup>2+</sup>'''   +
La technique du cyanotype fut inventée en 1842 par le scientifique et astronome anglais John Frederick William Herschel (1792-1871) lorsqu'il découvrit que sous l’action de la lumière, les sels ferriques pouvaient se transformer en sels ferreux. William Herschel utilisait le cyanotype pour la copie de dessins. Plus tard, ce procédé fut utilisé pour faire des photogrammes. Anna Atkins (1799-1871), botaniste britannique, va être la première à utiliser les cyanotypes dans son ouvrage : "British Algae : cyanotypes impressions". Elle y présente notamment des herbiers sur les algues ainsi que sur les fougères. Elle le léguera en 1865 au British Museum.  +
Un autre phénomène, l'osmose, peut être lié à l’expérience. En effet l'osmose est un moyen pour la plante de se nourrir grâce au sel contenu dans ses racines, pour davantage d'informations techniques, reportez vous à ce [http://users.skynet.be/chr_loockx_sciences/exp_osmose_4.htm travail pratique]. Le principe est simple, le sel attire l'eau et ainsi les aliments des plantes. Prenons pour exemple une barre de fer, et trempons la dans l'eau. La barre de fer ne contenant pas de sel, l'eau ne monte donc pas. Au contraire , une plante contenant du sel, fera monté l'eau dans ses canaux grâce au principe de l'osmose et permettra à la plante de se nourrir.  +
D
Optimisation : - Utiliser d'autres connecteurs - Sur batterie, sur secteur  +
Les API permettent aux applications d'interagir les unes avec les autres. Par exemple, une application peut demander des données à une autre application et obtenir des données en retour.  +
S’il y a de la matière, il y a de l’énergie. Le monde étant rempli de matière, il est également rempli d’énergie. Et cette énergie ne se crée pas et elle ne disparaît pas. Elle se transforme pour passer d’un système à un autre, d’un état à un autre. Ici, la bille est faite de matière donc elle contient en son sein de l’énergie. Plus sa masse sera élevée, plus elle aura d’énergie stockée. De plus, en tenant la bille à une certaine hauteur, elle a accumulé de l’énergie qu’on appelle énergie potentielle gravitationnelle. Cette énergie dépend de la position de l’objet. Plus on lâchera haut la bille, plus elle aura stocké d’énergie. Quand on lâche la bille, toute cette énergie cumulée va se transformer en vitesse, en énergie cinétique (= énergie de mouvement). Puis lorsque la bille touche la surface de la farine, sa vitesse est arrêtée mais l’énergie n’a pas disparue. Elle s’est transmise aux grains de farine qui se sont déplacés ; aux molécules d’air qui ont formé un son. L’énergie a bien été conservée ; elle a seulement changé de forme.  +
Notre cerveau ne représente que 2% de ton corps, mais il utilise 15 à 20 % de l’énergie que nous consommons par jour ! '''La catégorisation (processus de lecture/tri rapide/simplifié) des informations lui permet d'économiser de l’énergie'''. Ainsi, si nos oreilles lui font parvenir le mot « sapin », il va puiser dans notre mémoire pour trouver rapidement les informations les plus représentatives et les mieux partagées par les humains d’une même culture : * une image mentale schématique : un sapin = trois triangles superposés + un rectangle ; * un ensemble de mots se rapportant au sapin défini par la culture et le contexte : arbre, Noël, cadeaux, hiver, bois, forêt…  +
En résumé, on peut observer que dans cette expérience, le son est sous la forme d'une <u>'''vibration'''</u> et que celle-ci <u>'''se propage'''</u> toujours dans la matière. Ici dans l’eau.  +
<nowiki>L'''a persistance rétinienne :''' La persistance rétinienne est un phénomène qui consiste pour l'œil et le cerveau à superposer une image qui vient d'être vue à l'image que l'on est en train de voir. La persistance rétinienne est plus marquée et plus longue si l'image observée est lumineuse. Nous pouvons comparer notre expérience à ce que l'on observe sur un écran de téléviseur. A nos yeux l'image semble stable, elle ne clignote pas. Or en réalité l'écran n'émet les images que par intermittence, mais notre œil et notre cerveau ne perçoivent pas les interruptions car les images s'enchaînent trop vite.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Persistance_r%C3%A9tinienne [1]] La persistance rétinienne sur Wikipédia''<br /><br /><br/><br /><br />*'''La somme des couleurs de l'arc en ciel compose "le blanc" :''' La lumière blanche est la somme de la multitude de couleurs présentes dans l'arc en ciel. En effet, nous avons ici colorié sept segments de couleurs différentes, mais en fait l'arc en ciel est composé d'un nombre incalculable de couleurs. Lorsque l'on additionne ces couleurs, on obtient le blanc pur. C'est pour cela qu'en faisant tourner très vite le disque de couleurs on croit le voir blanc.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Spectre_visible [2]] Le spectre visible sur Wikipédia''</nowiki>  +
En fonction de la turbidité de l’eau, des organismes différents vont se développer. En effet, certains préfèrent les eaux sombres, d’autres plus claires, plus ou moins riches en matières organiques. La présence de matières organiques en suspension influe sur la présence de certains organismes photosynthétiques qui utilisent la lumière comme source d’énergie, en particulier les algues et les autres plantes aquatiques.  +
L'illusion d'optique résulte d'une mauvaise interprétation par le système visuel des informations qui lui parviennent. Le système visuel ne fonctionne pas comme un instrument de mesure, mais comme un moyen d'interagir efficacement avec l'environnement. Dans la vie quotidienne, en cas de doute, un changement de point de vue donne une vision plus exacte de la réalité. Dans les illusions visuelles, cette possibilité est bloquée, créant une image faussée de la réalité, y compris en faisant apparaître un objet inexistant, ou rendant « invisible » un objet pourtant présent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Illusion_d%27optique  +
Les poussières microscopiques présentes dans l’air sous forme solide, liquide ou gazeuse (substances chimiques, micro-organismes, pollens, gaz...) sont en général rejetées par l’organisme. Mais certaines d’entre elles arrivent parfois à pénétrer dans les poumons ou à l’intérieur du corps, ce qui peut avoir des conséquences sur la santé. Ainsi certaines maladies moins fréquentes il y a quelques décennies (allergie, asthme...) se sont développées avec l’accroissement des pollutions (industrielles, agricoles, domestiques) liées aux produits de synthèse qui nous entourent (pesticides, produits d’entretien, colles, plastiques...), ces derniers contenant des matières parfois dangereuses pour l’environnement et la santé. Une courte exposition à fortes doses à un ou plusieurs polluants peut entraîner des irritations, des nausées, des intoxications... Une exposition longue durée à faible dose à certaines substances peut quant à elle entraîner des allergies ou des maladies respiratoires (asthme...), voire dans les cas les plus sévères des troubles neurologiques, hormonaux (problèmes de fertilité, d'obésité) ou des risques de cancers. L’influence du tabac : la fumée de cigarette est constituée multitudes de microparticules qui entraînent un dysfonctionnement de l’ensemble respiratoire au fil des années. Les substances nocives et irritantes qu’elle contient diminuent la ventilation, les broches s’obstruent, le tissu pulmonaire perd de son élasticité et diverses pathologies apparaissent : bronchites, infections, asthme, insuffisance respiratoire, voire un cancer.  +
La formation de la rouille est appelée la corrosion. La corrosion est l'altération d'un matériau par réaction chimique avec un oxydant. Les conditions nécessaires à la réalisation de ce phénomène sont la présence d'eau (H<sub>2</sub>O) et de dioxygène (O<sub>2</sub>).  +
Nous venons de voir le rôle détaillé de la biodiversité du sol dans le recyclage des feuilles mortes, mais elle ne se limite pas à ça. '''<u>La biodiversité des sols a 3 grandes fonctions :</u>''' *'''Elle RECYCLE '''les matières organiques, végétales mais aussi animales jusqu’à minéralisation ; *'''Elle RÉGULE''' le sol (via la prédation...), le cycle de l’eau ; *'''Elle STRUCTURE''' le sol, elle le forme, le maintien, l’aère, l’assemble. <br/> '''<u>Ainsi, du fait de ses fonctions, les humains tirent nombreux services de la biodiversité du sol (on parle de services écologiques) :</u>''' *'''des services de « support » ''': recyclage des nutriments (''cycle des nutriments, du carbone)'', formation et fertilité des sols ''(altération des roches ; dégradation de la matière organique)''...     *'''des services  de « régulation » :''' **'''régulation de la qualité et quantité d’eau''' : épuration, stockage et rétention contre les inondations ''(l’eau s’infiltre beaucoup plus facilement dans le sol quand il y a des galeries des vers de terre''),                 **'''régulation des populations d’organismes du sol et des maladies des plantes :''' chaînes alimentaires et réseaux trophiques ''(prédation…) ;'' protection des cultures ''(lutte     biologique : actions des lombrics sur les nématodes parasites)…'' '''   ''' **'''régulation du climat'''  ''(émission et absorption de gaz à effet de serre)'' '''   ''' **'''contrôle de l’érosion '''(''les turricules des vers de terre (tortillons de terre rejetés à la surface du sol) deviennent une barrière physique au ruissellement en surface'')   <br/> *'''des services de « production »''' : source de nourriture, de biomasse végétale ''(via les interactions de symbiose qui aident les plantes à pousser)'', habitat, refuge, source de médicaments (''issus des gènes des micro-organismes du sol)''…         *'''des services « culturels »''' : patrimoine géologique, archéologique, récréatif, éducatif, cognitif ''(recherche...)''  
'''Qu’est-ce qui permet de dire qu’une espèce fait partie des organismes du sol ?''' Tous les habitants du sol ne vivent pas forcément dans le sol. Et à l’inverse, tout ce qui touche le sol ne fait pas forcément partie des habitants du sol (sinon, nous, humains, en ferions partie) ! Par contre nous sommes toutes et tous dépendants du sol (en tant que support, base de notre alimentation…). Ainsi, les chercheurs s’accordent à dire que '''la biodiversité du sol regroupe l'ensemble des formes de vie qui présentent au moins un stade actif de leur cycle biologique dans le sol. Elle inclut les habitants de la matrice du sol ainsi que ceux de la litière et des bois morts en décomposition.''' Toutes ces espèces, quelle que soit leur taille, interagissent directement avec le sol (via leur habitat, leur reproduction, leur alimentation...), le modèlent, agissent sur sa texture (proportion d’éléments minéraux dans un sol : sables, limons, argiles), sa structure (la taille et l’organisation des particules de sol entre elles), sa composition (les différentes couches de sol). Cette biodiversité du sol est encore assez peu connue, mais elle a un rôle très important. C’est pour cela qu’il est important de la protéger, elle et son habitat. '''<u>Ainsi, parmi la liste des espèces proposées dans l’étape 4 - partie 2</u> :''' *'''<u>font partie des habitants du sol</u> :''' **les moisissures, les bactéries, les micro-algues, les enchytréides (vivent dans le sol), **les renards, les taupes, les vipères, les castors, les lapins, les souris (ont leurs terriers dans le sol), **les chênes et les marguerites (ont leurs racines dans le sol et s’y nourrissent). *'''<u>ne font pas partie des habitants du sol</u>''' : les poules, les chats, les cerfs, les pigeons, les moustiques, les libellules, les chiens, les abeilles (ils n’ont pas d’interactions directes avec le sol, excepté y trouver parfois leur nourriture).  +
Pour pouvoir se développer, l’être humain a depuis toujours utilisé l’environnement qui l’entourait. Il s’est notamment nourrit d’animaux (la chasse) et de plantes (la cueillette), il a utilisé la fourrure de certaines espèces animales pour se vêtir et avoir chaud. Depuis le siècle dernier, l’humain transforme des milieux naturels (forêts, zones humides, cours d’eau…) pour les exploiter, pouvoir faire de l'agriculture ou pour étendre les villes, les routes, construire des barrages, l’exploitation de mines... Ces activités humaines détruisent ou fragmentent les forêts qui abritent de nombreux animaux et végétaux, menaçant leurs survies. Dans des milieux naturels fragmentés, les pandas, comme de nombreuses autres espèces, ne peuvent plus se déplacer pour trouver un partenaire, un nouveau territoire ou de la nourriture. Pour lutter contre ce drame écologique, de nombreuses structures (associations, conservatoires, zoos…) se mettent en place pour protéger ou restaurer les espèces et les milieux naturels.  +
On peut par exemple installer une "barrière" pour retenir le sable et bloquer l'eau à l'aide de graviers, de plaques de carton, de barrages de bâtons... Une autre stratégie possible consiste à surélever les constructions en les installant sur un support bâti sur pilotis (les bâtons plantés dans le sable) pour qu'elle ne touchent pas l'eau, ou sur des fondations renforcées et hautes qui résisteront ou freiineront l'infiltration de l'eau (graviers, cartons...). Il est également possible de construire des habitations flottantes en installant les pots sur des radeaux ou des pontons (bouchons de liège attachés par de la ficelle ou autre matériaux flottants). Certaines équipes ont pu décider de retirer les pots de yaourt du sable afin qu'ils ne soient ni renversés ni mouillés par la montée des eaux. Cela permet aussi de gagner le défi ! Il est interéssant dans ce défi de comparer non seulement l'efficacité des solutions choisies, mais aussi le coût et la complexité de leur mise en place : faut-il utiliser beaucoup de matériaux, construire de nombreux équipements, modifier beaucoup le paysage d'origine ?  +
Pour mesurer la sécheresse les scientifiques utilisent plusieurs indicateurs. Le SPI (de l'anglais Standardized Precipitation Index) est un indice permettant de mesurer la sécheresse météorologique. Il s’agit d’un indice de probabilité qui repose seulement sur les précipitations. Les probabilités sont standardisées de sorte qu’un SPI de 0 indique une quantité de précipitation médiane (par rapport à une climatologie moyenne de référence, calculée sur 30 ans). L’indice est négatif pour les sécheresses, et positif pour les conditions humides Le SWI (de l’anglais Soil Wetness Index ) est un indice d’humidité des sols. Il représente, sur une profondeur d’environ deux mètres, l’état de la réserve en eau du sol par rapport à la réserve utile (eau disponible pour l’alimentation des plantes). Lorsque l'indice d'humidité des sols (SWI) est voisin de 1, le sol est humide (supérieur à 1, le SWI indique que le sol tend vers la saturation). Inversement, lorsqu'il tend vers 0, le sol est en état de stress hydrique (inférieur à 0, il indique que le sol est très sec).  +
L'air est composé de gaz (azote, oxygène, des traces d'autres gaz). Un gaz est constitué de molécules. La masse d'une molécule est constante mais avec la chaleur son volume augmente. Donc le rapport entre la masse et le volume (densité) diminue. Exemple numerique: Une mole d'azote pèse 28 g. Une mole d'azote à 0°C occupe 22,4 litre. Sa masse volumique est 28 / 22,4 = 1,25 kg / m3 ou 1,25 g/L Loi de Mariotte : PV/T = Cste P = Pression atmosphérique (Pa ou bar) V = volume (kg/m3 ou g/L) T = Température (K) La même mole à 50°C (293 K) occupe 22,4 * (273 + 50 ) / 273 = 26, 5 L Sa masse volumique à 50° est 28 / 26,5 = 1,056 kg / m3 ou 1,056 g/L La densité (masse volumique) de la molécule d'azote passe de '''1,25 g/L''' à 0° à '''1,056 g/L''' à 50°  +
E
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Toute matière est constituée d'atomes qui comportent des charges électriques positives (les protons) et négatives (les électrons). Les électrons sont libres, ils ont la capacité de se déplacer s'ils sont attirés par une charge positive. Lorsque l'on frotte le ballon sur les cheveux ou un pull en laine, des électrons se déplacent des cheveux (ou de la laine) vers le ballon. Comme les électrons sont des charges négatives, les cheveux (ou la laine), qui perdent des électrons, se chargent positivement, tandis que le ballon, qui gagne des électrons, se charge négativement. Il s'agit d'un phénomène d'électrisation par frottement. L'eau du robinet est électriquement neutre, elle contient autant de charges positives et négatives, qui s'équilibrent entre elles. Mais quand on approche un objet chargé électriquement d'un objet neutre, il se produit un phénomène d'électrisation par induction : l'objet chargé attire les charges de signe opposé qui sont présentes dans l'objet neutre. Ici le ballon chargé négativement attire les charges positives contenues dans l'eau. Le filet d'eau est donc dévié vers le ballon, jusqu'à ce que les électrons, en se déplaçant du ballon vers l'eau, aient rétabli l'équilibre. Lorsqu'on les frotte, certains matériaux ont plus tendance à donner des électrons, et donc à se charger positivement, et certains matériaux ont plus tendance à recevoir des électrons, et donc à se charger négativement. Pour savoir si un matériau se charge positivement ou négativement en cas d'électrisation par frottement, on peut consulter une liste triboélectrique.  +
'''Le réchauffement climatique est un processus naturel.''' Les gaz présents dans l'atmosphère filtres les rayons infra-rouges, nous protégeant ainsi naturellement du réchauffement excessif de la planète. Ces rayons sont stoppés pour la plupart par l'atmosphère ou encore les nuages. Néanmoins, tous les rayons infra-rouges ne sont pas stoppés. Bon nombre se réfléchissent sur le sol, ce qui nous permet d'avoir une moyenne de température sur la planète, d'environ 15°C. Certains gaz (CO<sub>2</sub>, CH<sub>4</sub>, H<sub>2</sub>O, ...) présents naturellement dans l'atmosphère, sont aussi produits en grand quantité par l'Homme (transports, agriculutrue intensive, industries, ...). Ces gaz sont responsables de l'accélaration du réchauffement climatique. Ils vont empêcher les infra-rouges, de quitter l'atmosphère lorsqu'ils se sont réfléchis sur le sol de la planète. Emrpisonnant ainsi d'avantage de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.  +
La molécule du pigment qui colore l'encre a été modifiée par l'eau chaude, le mélange est alors devenu incolore grâce à la forme basique de l’eau. L’eau est amphotère, c’est à dire qu’elle se comporte en acide en présence de base, et en base en présence d’acide. Ici, le pigment de l’encre est un acide, donc l’eau adopte un comportement basique et fait disparaître la couleur bleue en modifiant la molécule du pigment. L’eau chaude accélère la réaction. Sans chaleur, la réaction serait beaucoup plus longue. Ici, la chaleur est donc un catalyseur. Dans cette expérience, les molécules modifiées sont sensibles au pH (autrement dit à l'acidité du milieu). Quand on ajoute le vinaigre qui est un acide, la solution devient acide, et les molécules subissent une nouvelle transformation : elles reprennent leur état d’origine et le mélange est à nouveau bleu. Quand on ajoute du bicarbonate de sodium, il réagit avec le mélange. L’introduction d’une base (le bicarbonate), permet à l’encre de re-disparaître, car on neutralise l’acidité du vinaigre et on obtient une solution basique permettant la disparition de l’encre. Si on ajoute encore du vinaigre, il va se trouver en plus grande quantité que le bicarbonate de sodium (il n'y a plus assez de bicarbonate de sodium pour « occuper » tout le vinaigre). Le vinaigre va donc une fois de plus réagir avec la molécule modifiée, qui retrouvera son état d'origine pour colorer le mélange en bleu.  +
'''Les liaisons organiques''' sont des liaisons qui, comme pour tous les êtres vivants, contiennent du carbone. Le sucre (dextrose), le beurre, le miel (fructose), le vinaigre (acide acétique) contiennent des liaisons organiques. On appelle '''liaisons inorganiques''' celles qui ne contiennent pas de carbone. L'argile (oxyde d'aluminium) ou le sel de cuisine (chlorure de sodium) contiennent des liaisons non organiques.  +
<u>Explications de la variante :</u> L'éponge humide a mieux absorbé l'eau que l'éponge sèche. C'est parce que, pour entrer dans l'éponge sèche, l'eau doit d'abord chasser tout l'air qui se trouve à l'intérieur. C'est pour cela que, lorsque tu as mouillé l'éponge avant l'expérience, il a fallu laisser un certain temps l'éponge sous l'eau courante avant qu'elle commence à devenir humide et à absorber efficacement l'eau. Une fois l'éponge humide, celle-ci absorbe beaucoup plus facilement l'eau et la retient au lieu de la laisser ruisseler sur les côtés. Dans cette expérience, les éponges fonctionnent de la même façon que le sol qui reçoit le ruissellement des pluies. Un sol humide boit mieux, absorbe mieux l'eau de ruissellement qu'un sol sec de même composition. Les zones humides, comme les marais, sont souvent des lieux où se rassemblent toutes les eaux de ruissellement venant de la pluie ou des cours d'eau avoisinants lorsqu'ils débordent, de la même façon que l'éponge humide absorbe l'eau qui déborde du chemin dans notre expérience. Lorsqu'on les assèche, par exemple quand on construit une route ou un parking, ou pour installer des parcelles de culture, ces mêmes zones ne peuvent plus retenir l'eau comme auparavant. Cette eau, si elle ne peut être absorbée par les sols, va aller s'écouler dans les territoires alentour, où se trouvent sans doute des habitations, voire des villages ou des villes. En asséchant les zones humides, on augmente donc le risque d'inondation dans les zones avoisinantes.  +
Le centre de gravité (CdG), appelé G, est le point d'application de la résultante des forces de gravité (la pesanteur). Notre système règle + élastique + marteau est soumis à 2 forces extérieures : son poids qui s'applique à son centre de gravité et la force de réaction de la table qui s'applique au point de contact de la règle avec la table. Pour que le système soit stable, il faut que ces 2 forces soient égales et opposées. Le centre de gravité se positionne naturellement sous le point de sustentation (point de contact avec la table), exactement comme un pendule ou un fil à plomb se stabilise lorsqu'il est à la verticale de son point de sustentation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_d%27inertie  +
'''Les éruptions :''' Éruption effusive : La lave qui s'accumule au sommet du volcan forme un bouchon. Si les éruptions sont calmes, le bouchon va être creusé petit à petit et la lave va s'écouler le long des pentes. Éruption explosive : Si la pression des gaz et de la lave est trop grande dans le volcan, le bouchon va sauter ! Entrainant avec lui le gaz et la lave qui vont jaillir vers le haut. Dans certains volcans, entre les éruptions, des gaz peuvent s'échapper par des fissures. Cela crée des fumées que l'on appelle des fumerolles. '''La réaction acido-basique :''' Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH<sub>3</sub>COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO<sub>3</sub>) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le ballon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente, ce qui gonfle le ballon, qui reste alors gonflé s'il n'y a pas de fuite. <u>Voici le détail des réactions en jeu :</u> Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et  bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) : NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) : CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) : H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub> La réaction complète se résume ainsi : NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  
Principaux points sur l'évolution du trait de côte de quelques communes littorales :<br /><br />*Brest : en comparant les photos, on remarque qu'une zone portuaire très étendue a été construite, avec hangars, stations d'épuration, bassins à flots, parkings, chantiers navals, aires de carénage... le port de plaisance est bien visible, de même que le chenal creusé pour y accéder. Les surfaces agricoles sont moins nombreuses que dans les années 50, surtout au Nord, où la ville s'est étendue, et les parcelles (champs) sont plus grandes (ce qui facilite le labourage et la récolte par des engins agricoles à moteur).<br />*<br />*Lorient : on constate qu'une grande surface de vasière a été recouverte par la construction d'une vaste zone portuaire. La zone photographiée, située en fond de la rade et au centre ville de Lorient, ne comporte pas de parcelles agricoles, ni dans les années cinquante ni plus tard. Les bateaux de plaisance sont nombreux et bien visibles dans le port sur la photo récente, alors qu'ils étaient peu nombreux et dispersés dans les années cinquante. Ceci illustre bien le très fort développement de la plaisance ces dernières décennies, comme de l'ensemble des loisirs nautiques.<br /><br />*Arzal : sur un site presqu'exclusivement agricole dans les années cinquante, on distingue le nouveau port de plaisance et sa zone portuaire, et le célèbre barrage qui traverse la rivière. Un autre élément frappant est l'accumulation très importante de sédiment apparue en amont du barrage : une zone envasée s'est formée contre le barrage, et un banc de sable ou de vase s'étend maintenant sur plusieurs centaines de mètres. Les villes et villages se sont étendus, et les surface agricoles ont diminué.<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Evolution du trait de cote Comparatif photos Arzal.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" class="image" title="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal"><img alt="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal" src="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/600px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" width="600" height="450" srcset="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/900px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg 1.5x, /images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/1200px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg 2x" data-file-width="1824" data-file-height="1368" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />*St Cast le Guildo : Le principale changement observable sur la côte est la construction du port de plaisance, qui abrite de très nombreux bateaux, et l'apparition de surfaces bétonnées (parkings) à proximité. La plage voisine est toujours intacte (attention à ne pas confondre l'érosion et l'effet des marées, la photo ancienne est visiblement prise à marée basse). La ville s'est légèrement étendu, les parcelles agricoles ont reculé.<br />*Roscoff : la commune et sa côte ont beaucoup changé depuis les années 50. Un port-terminal ferry a été construit pour assurer les liaisons des ferries avec l'Angleterre et l'Irlande, accompagné de parkings et voies d'accès de véhicules très étendus. Un important port de plaisance a ensuite été construit (vers 2010). Les surfaces agricoles, très nombreuses dans le passé, ont beaucoup regressé, les champs sont moins nombreux mais ils sont devenus plus grands, les habitations se sont multipliées.<br />*Etel : on observe que la ville s'est nettement développée, remplaçant une part importante des surfaces agricoles et des dunes voisines de la ria. L'installation d'un port de plaisance a sans doute été accompagnée d'opérations de dragage et de consolidation des bords de la rivière (les eaux sont visiblement plus profondes) et d'une artificialisation d'une partie de la zone naturelle de vasière de la ria d'Etel.<br />*Ile de Groix : on est frappé par la multitude de très petites parcelles agricoles visibles dans les années cinquante sur cette partie de l'île, probablement travaillées encore en partie sans engins agricoles mécanisés à cette époque, qui ont cédé la place à des champs individuellement plus étendus mais moins nombreux. Les zones boisées, très rares sur l'île dans le passé, sont plus nombreuses (le bois servant de combustible avant la généralisation de l'électricité, et même les plus petites surfaces étant réservées à l'agriculture, les arbres étaient coupés). Le village (Locmaria) s'est étendu. La célèbre plage convexe des Grands Sables située à la pointe de l'île dans les années cinquante a migré progressivement vers le Nord sous l'effet de l'érosion.<br />*Le Vivier sur Mer : on remarque que les champs occupent globalement une surface moins importante, mais sont chacun plus grands que dans le passé. La ville s'est étendue, et une zone portuaire a été construite. Le chenal naturel a apparemment été élargi et son tracé modifié par dragage.  
Avec les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale, notre représentation de l'univers a radicalement changé au 20e siècle. L'univers est en expansion. Cela signifie que les distance entre les astres augmentent avec le temps. Etrangement pourtant, ce ne sont pas les astres qui bougent. C'est l'espace-temps entre les astres qui se dilate comme le fait le caoutchouc d'un ballon qu'on gonfle. L'idée que l'univers ne serait pas infini, fixe, statique, éternel date de bien avant le début du 20e siècle. Le paradoxe de Cheseaux Olbers a été exposé de manière documentée pour la 1ère fois par Thomas Digges en 1576. Si on suppose un univers infini, fixe, statique et éternel, il contient donc une infinité d'étoiles réparties de manière homogène. Si cela est le cas, quelle que soit la direction dans laquelle on regarde, il devrait y avoir une infinité d'étoile. Donc le ciel nocturne devrait être occupé en tout point par une étoile. Donc le ciel nocturne devrait être aussi brillant qu'un étoile. De manière amusante, Einstein était persuadé que l'univers était fixe au début de sa carrière. Il a ainsi ajouté une constante dans ses équations pour les rendre compatibles avec l'hypothèse d'un univers fixe. Ce sont d'autres chercheurs qui ont produit le modèle du Big Bang à partir de la théorie de la relativité générale d'Eintein. L'expression "Big bang" a été utilisée pour la première fois à la radio dans le but de moquer un modèle considéré par de nombreux astrophysiciens comme absurde.  +
Cela s appelle l oxydoreduction Le glucose sert de "combustible " a la réaction Clin d'œil a mon ami  +
Alors comment faire en sorte que notre stop motion ait l'air encore plus réaliste? En augmentant le nombre d'images qui se succèdent pas seconde d'une part... ou en rajoutant à notre animation du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Flou_cin%C3%A9tique#mediaviewer/File:Figure-Animation2.gif flou cinétique] à l'aide d'un logiciel d'animation : c'est le flou que l'on peut voir lorsque l'on prend l'on prend une photographie d'une personne qui bouge, et que nous interprétons comme du mouvement.Cette technique est maintenant très commune dans les films (d'animation ou non) et les jeux vidéos. Elle permette d'accentuer la sensation de mouvement, sans pour avoir à augmenter le nombre d'images par secondes. Pratique!  +
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Une maquette de bassin versant peut être animée et complétée selon les notions que l'on souhaite aborder. On pourra ajouter au sol, notamment sur les bords et aux embouchures des rivières, des morceaux de mousse ou d'éponge, du sable, de la terre, pour illustrer le comportement de l'eau dans des zones humides et les marais littoraux. Sur les pentes du bassin versant, on peut disposer de longs boudins de pâte à modeler, pour représenter les sillons des champs cultivés et les talus qui bordent certaines parcelles agricoles. En ajoutant des carréponges sur les « champs » et les berges des rivières, ceux-ci absorberont en partie l'eau, comme le font les haies et le couvert végétal que l'on fait pousser entre les récoltes pour limiter le ruissellement.  +
La vapeur d'eau, plus légère, s'élève dans les airs jusqu'à atteindre une zone plus froide. L'eau y refroidit au contact de cet air froid (dans notre expérience, l'air froid est représenté par l'assiette pleine de glaçons) et forme de minuscules gouttelettes en suspension dans l'atmosphère, elle se '''condense''', formant ainsi les nuages. Lorsque les gouttes en suspension deviennent trop lourdes, l'eau tombe, on dit qu'elle '''précipite''', c'est ce que l'on appelle la pluie.  +