Attribut:Observations

This is a property of type Text.

Affichage de 50 pages utilisant cette propriété.
B
<u>On observe que :</u> *nous partageons des points communs avec l’ensemble de nos ami·e·s et des membres de notre famille : une tête, des cheveux, deux oreilles, un nez… *nous avons des ressemblances ou des différences selon nos ami·e·s et les membres de notre famille : couleur des yeux, forme de cheveux, du nez… *même si nous avons des points en commun avec d’autres personnes (même couleur des cheveux, des yeux…), on présente avec ces mêmes personnes aussi des différences sur d’autres critères.  +
Formation progressive d'une pâte homogène  +
Le Petit Bot réalise successivement les actions illustrées sur les boites imbriquées au déclenchement du buzzer.  +
L’assemblage des différentes définitions permet de comprendre la notion de bon état écologique.  +
Lorsqu'on verse le bicarbonate dans le vinaigre des bulles apparaissent. Peu de temps après la flamme de la bougie s'éteint.  +
Si on essaye de faire entrer la boulette en soufflant dans le goulot, elle est éjectée hors de la bouteille. Si on canalise le souffle avec une [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Paille paille] sur la boulette, le morceau de papier entrera dans la bouteille.  +
Dès qu’on lâche le bouchon sur l’eau, il se met à tourner doucement pour se maintenir dans une position.  +
L'huile sort de la boîte et forme une bulle dans le mélange d'eau et d'alcool.  +
C
Il s'agit d'une adaptation en catapulte du jeu du "bière-pong". Bien évidemment jouable en version sans alcool, et possibilité d'y jouer à tout âge en famille ou entre amis!  +
Nous comprenons que les arbres de chaque essence pousse de manière différente en fonction des contraintes qui les entourent. Ce qui est remarquable à travers les cernes et leurs couleurs. Donc chaque essence d’arbre peut avoir la même taille, mais pas forcément le même âge et vice-versa.  +
Dans le premier cas, la canette ne tient pas sur son arête. Avec l'eau, la canette reste en position, même lorsqu'on la fait tourner sur elle même. Son inclinaison par rapport à la table ne change pas.  +
Le canon à air comprimé est composé d'un tube métallique d'où est envoyé la balle, d'un extincteur en guise de compartiment pour l'air compressé et de tuyauterie avec vanne pour contrôler le tir. Il est posé sur un support en bois avec une possibilité de rotation verticale et horizontale.  +
<u>On observe que </u>: '''<u>Étape 3 :</u>''' *les nervures du céleri commencent à se colorer. Au fil du temps la coloration va s'étendre tout le long de la branche. *sur la lamelle coupée à l’horizontale, des petits ronds de couleur apparaissent et sur la lamelle coupée à la verticale, on observe des lignes de couleur. *sur la branche de céleri, les feuilles sont tachées de points de couleur. Suivant la condition dans laquelle le céleri se trouve, la coloration des feuilles peut prendre 1 à 2 jours. *des petites gouttes d'eau transparentes (non colorées) apparaissent à l'intérieur du sac qui entoure la feuille. Un peu de buée peut apparaître dans le second sac qui ne contient que de l'air. '''<u>Étape 4 :</u>''' *L'eau que l’on goûte est salée ! *Ou on observe des traces de sel dans le verre, une fois l’eau évaporée !  +
Apres quelques minutes de fonctionnement, on peut observer le poids en microgrammes de particules fines 1.0μm présentes dans un mètre cube d'air. Il est possible d'approcher un allumette éteinte près du ventilateur et observer la variation de particules, on peux aussi approcher le capteur près d'un pot d'échappement, dans une rue ...  +
Le capteur renvoie la pression et la température. On peut faire varier cette température en posant son doigt dessus afin de la voir augmenter.  +
Une fois le branchement effectué et programme chargé, on aperçoit l’affichage des LEDS lors d’une pression exercée sur le capteur.  +
La boule bouge d'un carré à l'autre lorsque l'on approche ou écarte la paille !  +
La carte contient beaucoup d'informations. Trop même ! Elle devient illisible lorsque l'on ajoute toutes les couches. Le rôle du géographe est de sélectionner les informations pertinentes pour mettre en avant des relations entre différents éléments tout en gardant de la lisibilité. La représentation des données dans l'espace est beaucoup plus accessible que sous forme de tableau. Ce type de représentation peut aider à la prise de décision dans la gestion du territoire.  +
Nous pouvons voir que cette catapulte fonctionne de la manière suivante : lors de son déclenchement le bras de levier qui a, en son bout une vis, va grâce à la force d'un élastique percuter une capsule de bière ce qui va permettre d'avoir la puissance nécessaire afin de décapsuler le breuvage saint  +
on voit une tension que se forme entre le bras de la catapulte et le support lorsque l'élastique se tends. Lorsqu'on lache l'elastique on relache la pression emmagasinee et basculer vers l'avant a une vitesse plus ou moins elever selon a quel point l'elastique etait tendu. Le bras est arrete net par la bar en métal permettant ainsi l'ejection de la fléechette.  +
Après le coup donné sur le levier, ce dernier va décapsuler la capsule et la projeter très loin telle une catapulte,  +
Nous pouvons voir que cette catapulte fonctionne de la manière suivante : lors de son déclanchement un poids qui est au bout de la catapulte vient percuté un bras de levier qui a a, en son bout une vis qui permet en remontant de décapsuler la bière, grace au contact du poids et du bras de levier  +
Notre catapulte nous permet de projeter de petits objets à l’aide d’une sorte de spatule réalisée à l’aide de l’imprimante 3D. On peut « recharger » la catapulte en tournant l’enrouleur, ainsi, les élastiques se tendent et on peut enfin tirer avec le projectile de notre choix.  +
On obtient une catapulte fonctionnelle qui permet de projeter des objets sur une distance qui varie en fonction de la masse de l'objet propulsé et de l'élasticité de la corde utilisée.  +
* La catapulte a une base solide pour supporter la tension de l'élastique. * L'élastique est tendu entre l'extrémité du bras de levier et la base de la catapulte, créant une force potentielle. * Le bras de levier est fixé à la base et permet au lanceur de bouger vers l'arrière pour tendre l'élastique et vers l'avant pour libérer la tension et lancer le projectile. * Le projectile est placé sur le lanceur et est propulsé par la tension de l'élastique lorsque le lanceur est relâché. * La distance parcourue par le projectile dépend de la tension de l'élastique, de la position du lanceur et de la forme et du poids du projectile.   +
Une fois la bouteille gonflée, tournez la vanne d'un coup et vous verrez votre projectile décoller.  +
Nous nous retrouvons avec notre patron que nous pouvons plier pour former la catapulte. Les côtés s'emboitent dans leurs encoches respectives et il ne reste plus qu'à tendre l'élastique de l'extrémité de la cuillère, en passant par dessus la structure, jusqu'à l'emplacement prévu.  +
des billes de ketchup se sont formé grâce au agar-agar  +
La flamme s'éteint rapidement, des bulles s'échappent du verre puis l'eau monte dans le verre.  +
Appuyer, sans se tromper, sur le bouton associé à chaque Del. Dès qu'une erreur est commise, le jeu s'arrête et le score s'affiche. Chaque Del correspond à un palier. Celle de gauche signifie que vous êtes un champion de la ligue Pokémon, celle du milieu gauche un champion de l’arène de Cramois'ile, celle du milieu droit un champion d'Azuria, et celle de droite que vous quittez Bourg-palette.  +
Les feuilles se poussent l'une contre l'autre  +
Nous observons que deux phases deviennent visibles, une verte et une jaune.  +
Tu peux observer l’eau qui monte sur le papier et emporte les couleurs avec elle. Les points de couleurs vont se diviser en plusieurs couleurs. Du point vert va apparaître du bleu et du jaune. Tu peux constater que les couleurs sont montées jusqu’en haut du filtre à café, alors que tu avais dessiné les points de couleurs en bas.  +
On constate que les LED ne fonctionnent pas si elles sont branchés en série. Dans un circuit en parallèle, tous les composants fonctionnent normalement.  +
La pluie est absorbée par l'éponge humide et s'écoule tout doucement en sortie de la barquette. Par contre, si l'éponge est gorgée d'eau, l'eau s'écoule dessus ! On observe alors toute la pluie arriver à la sortie et ça déborde ! Si on arrose assez longtemps, l’éponge humide sature et n’arrive plus à retenir la pluie ! Enfin, quand on ajoute une couche étanche, quel que soit le sol en dessous, une grande partie de l’eau s’écoule directement jusqu’à l’estuaire. On remarque que l'éponge n'est pas plus mouillée qu'au début : l'eau n'atteint même pas le sol !  +
=> On constate que si l'on enlève la boite de bac, l'eau s'échappe par les trous du dessous, jusqu'à être vide. => Si on refait l'expérience, cette fois ci en mettant directement le doigt sur le trou au centre du couvercle, et qu'on enlève la boite du bac; l'eau ne s'échappe pas de celle-ci !!  +
L'eau ne coule pas, elle est bombée sur le dessus du verre. Combien peut-on ajouter de pièces dans le verre avant que l'eau ne déborde ? (cela dépend de la taille du verre et de celle des pièces)  +
La feuille se met à roussir, voir à s'enflammer !  +
1- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. 2- L’humain joue ici un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (pêche, collection, …), comme un perturbateur (changement climatique, surconsommation des ressources…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles marines, protection des espèces…)  +
- Les organismes vivants se mangent les uns les autres. On remarque que les 5 chaînes alimentaires sont simples, linéaires. Ensemble, elles forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte. - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. Suite à la destruction de la prairie et des ronces, les premiers maillons du réseau qui sont touchés vont modifier légèrement “la toile”. Puis au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau trophique (on peut alors parler de « de tensions sur la biodiversité »). - L' humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (chasse, cueillette), comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles, protection des espèces…).  +
<u>On observe que</u> : <u>Étape 3</u> : 2 - Les débris végétaux sont mangés par les fourmis, qui sont mangées par les araignées, elles-mêmes mangées par les poules ; 3 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, qui sont eux-mêmes broutés par les collemboles, mangés par les carabes, mangés par les hérissons ; 4 - Les débris végétaux sont mangés par les bactéries décomposeurs, mangées par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les carabes, mangés par les poules ; 5 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, mangés par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les fourmis, mangées par les hérissons. <u>Étape 4</u> : Les organismes vivants se mangent les uns les autres. Reliées entre elles, les 5 chaînes alimentaires forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.''' Ce premier réseau, dit trophique, est basé sur des relations alimentaires, de prédation.''' <u>Étape 5</u> : 1 - Les fourmis et les cloportes ''platyarthrus blancs'' ont une relation positive/neutre (+/0) '': on parle de commensalisme.  '' 2 - Les racines des salades et les vers nématodes ''pratylenchus'' ont une relation positive/négative (+/-) '': on parle de parasitisme.'' 3 - Les spores des champignons et les vers de terre ont une relation positive/neutre (+/0) : on parle de ''commensalisme, et même ici de phorésie : interaction neutre / positive liée à la notion de transport.'' 4 - Les racines des arbres et les champignons mycorhizes ont une relation positive/positive indissociable (+/+) : ''on parle de symbiose.'' 5 - Les hérissons et les bactéries de l'intestin ont une relation positive/positive parfois dissociable (+/+) : ''on parle de'' mutualisme. <u>Étape 6</u> : - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si un maillon du réseau vient à disparaître, ce sont les espèces voisines, puis au final l’ensemble du réseau qui sera impacté et modifié, amenant parfois à la disparition d'espèces associées (on parle alors de co-extinction). Bien connaître ces réseaux permet de comprendre comment fonctionne la vie sous terre, donc mieux la protéger. - L'humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.  
On constate que l'ampoule ne s'allume qu'avec certains objets, en particulier les objets en métal (trombone, pièce de monnaie...). <br/>  +
Certains déchets coulent aussitôt mis dans l'eau. D'autres flottent et d'autres encore restent entre deux eaux. Au fond de la bassine le courant rassemble en un tas tous les déchets qui ont coulé. En surface, les déchets se rassemblent pour ne former qu'une seule surface au centre de la bassine.  +
Quand on expose les fils de fer à la flamme, on remarque un changement de couleur : ils deviennent rouges. Quand on fait descendre les fils dans la flamme, ils passent du bleu au blanc.  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau.  +
* Dans le verre "eau salée", le mélange devient bleu. * Dans le verre "bicarbonate de soude", le mélange devient bleu, avec de la lessive il devient vert. * Dans le verre "vinaigre", le mélange devient rose.   +
Selon chaque étape on voit : * Étape 1 : l'ampoule ne s'allume pas avec le sel seul. * Étape 2 : l’ampoule ne s’allume pas avec de l’eau seule. * Étape 3 : l’ampoule s’allume, mais l’intensité de la lumière varie en fonction de la quantité de sel présente dans l’eau.  +
On observe un phénomène de scintillement avec l'air.  +
Ce n'est pas toujours évident d'anticiper l'impact qu'auront nos aménagements sur le cours d'eau. En pensant résoudre un problème, on finit souvent par en créer un autre. Contrôler une rivière peut-être compliqué, voir contre-productif. On remarque qu'il est difficile de faire des choix. On ne peut pas laisser la rivière occuper tout l'espace avec ses méandres, mais on ne peut pas non plus tout canaliser. Il n'y a pas de bonne réponse en terme d'aménagement. Il faut à chaque fois essayer de concilier les usages et les besoins de la rivière. Certains aménagements peuvent avoir un gros impact sur le fonctionnement de notre cours d'eau. Un barrage, par exemple, implique d'inonder une partie du tronçon en amont et cause de l'érosion sur les tronçons en aval. Cependant, il permet aussi de prévenir les crues en aval et d'éviter que le cours d'eau ne se retrouve à sec lors des périodes les plus sèches.  +
Au bout de quelques jours, une partie de l'eau a disparu et des cristaux de sel cubiques se forment sur les parois du verre, sur le trombone et sur le fil.  +