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L
L'air sous pression est utilisé partout : dans les pneus de vélo, de voiture...  +
Adapter son alimentation au changement climatique peut amener de profonds changements : diminuer sa consommation de viande, limiter les aliments ultra transformés, passer d'un supermarché à des achats dans des fermes locales ... demande du temps et une période de transition pour éviter de se décourager et de déséquilibrer son alimentation. Les discussions à l'issue de cet atelier peuvent permettre de réfléchir à des pistes d'actions et de prendre conscience de certaines idées reçues.  +
Les informations issues de l’analyse de l’empreinte carbone rejoignent ceux de l’empreinte eau, et les leviers d’action pour réduire l’un contribuent souvent à diminuer l’autre : moins de produits issus de l’exploitation animale ; plus de fruits, de légumes et de légumineuses ; plus de produits locaux, et de saison.  +
<nowiki>Le coefficient de ruissellement varie beaucoup selon l’usage et la végétation d’un sol. On estime que 5 % de l’eau qui tombe sur une forêt ruisselle, contre 25 % sur un champ cultivé [https://www.giser.be/wp-content/uploads/2019/05/Guide-technique-Eaux-pluviales.pdf [1]].<br /><br />Et dans les villes alors ? Les toits des habitations n’absorbent pas l’eau, bien au contraire, leur coefficient de ruissellement est de 100% ! Globalement, le coefficient de ruissellement en ville dépasse 90 %. Lorsque nous construisons nos habitations ou nos routes, nous créons des surfaces imperméables (étanches) pour l’eau. Lors de fortes précipitations, celle-ci est alors contrainte de ruisseler. Les petites surfaces qui ne sont pas recouvertes ne suffisent généralement pas à absorber toute l’eau qui tombe sur toute la zone. L’eau continue de ruisseler et s’accumule, c’est l’inondation.<br /><br />On estime qu’en 2010, presque 9 % de la surface de la France était artificialisée (c’est à dire utilisée par l’homme, d’une manière ou d’une autre), dont 5 % totalement imperméables (habitations, routes, etc.) [https://www.gissol.fr/rapports/Rapport_HD.pdf [2]] !<br /><br />L’artificialisation des sols continue en France ! Dans la majorité des cas (90 % entre 2000 et 2006, [https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/sites/default/files/2018-10/Le_point_sur___Sols_V7.pdf [3]]), ce sont d’anciens sols agricoles qui sont artificialisés. Ceux-ci ne sont alors plus capables d’absorber et de filtrer l’eau.<br /><br />Aujourd’hui, lorsque que l’on souhaite créer de nouvelles zones d’habitations, il est obligatoire de prendre en compte le ruissellement. Une solution souvent utilisée est de créer un « bassin de rétention », pouvant accueillir toute l’eau qui ruisselle et éviter les inondations. Celui-ci possède un coefficient de ruissellement très faible, voire nul, d’abord parce qu’il est en forme de cuvette (l’eau ne peut pas s’en échapper), mais aussi parce que son sol est très perméable, comme du sable.</nowiki>  
Les bateaux, les sous marins et même certains animaux marins utilisent ce même principe pour pouvoir flotter. Les sous-marins et les animaux marins possédant une vessie natatoire peuvent faire varier leur densité afin d'évoluer à différentes profondeurs. C'est également le principe qui est utilisé par les montgolfières, sauf qu'elles se déplacent dans un autre fluide : l'air.  +
* Cette expérience illustre comment des petits supports peuvent améliorer la stabilité d’un objet, comme les petites cales utilisées sous des meubles pour éviter qu’ils ne vacillent. * Dans la construction, les architectes utilisent ce même principe pour stabiliser des structures sur un terrain irrégulier.   +
On commence à trouver des dynamos partout : dans les éoliennes mais aussi dans les radios à manivelle, les lampes de poche, etc... Les éoliennes sont fabriquées de la même façon. Elles possèdent, une grande hélice, un générateur et produisent de l'électricité de la même manière. A l'intérieur de l'éolienne nous avons, un '''rotor''' (qui est un aimant) et un '''stator''' (une bobine de cuivre). Le rotor tourne auprès du stator, ce qui entraîne une réaction électrique. En effet, dans notre stator (le cuivre), il a y a ce qu'on appelle, des '''électrons''' (invisibles à l'oeil nu). Ces électrons sont libérés par l'aimant qui tourne. Lorsque les électrons se libèrent, cela crée : '''de l'électricité'''.  +
Les polluants qui s'évaporent peuvent ensuite retomber, entrainés par la pluie et être être retrouvés à des kilomètres de l'endroit où ils ont été relâchés ! [2] Un élément chimique peut donc polluer plusieurs milieux s’il est amené à s’évaporer. D'autres se transforment une fois dans l'atmosphère et peuvent créer d'autres formes de pollution, comme les pluies acides. [3] Plus un polluant est concentré, plus il risque de faire des dégâts. Pour les organismes vivants, une plus grande concentration signifie plus de probabilité de rencontrer ce polluant. Une expérience simple permet de mettre en évidence ce principe. Verser une dizaine de grains de riz (ou autre) dans une assiette plate puis fermer les yeux et toucher du doigt au hasard. Le risque de tomber sur un grain de riz est assez faible. Transvaser dans un verre ou une tasse et recommencer. La concentration des grains et beaucoup plus élevée et le risque d'en toucher au moins un également.  +
D’un côté l’architecture moderne ouvre la porte à plein d’idées nouvelles et à des besoins en perpétuelle évolution. D’un autre côté, les bâtiments anciens font souvent partie de l’histoire. Mais, il est parfois compliqué de les faire évoluer. Nous vous proposons des solutions adaptées à votre environnement. La porte de demain s’utilise à l’intérieur comme à l’extérieur, son coté futuriste peut surpendre mais son fonctionnement est particulièrement simple.  +
Au quotidien, les seuls animaux prédateurs que nous mangeons sont issus de la mer. C'est le cas par exemples des poissons carnassiers que sont le thon et le saumon. Le thon notamment est connu pour accumuler les métaux lourds, c'est éléments chimiques que ni le corps ni les stations de traitement ne savent éliminer.  +
Les humains ont appris à « domestiquer » quelques micro-organismes, mais ils les utilisaient bien avant de les connaître ! Les produits fermentés, à base de lait (yaourt, fromage), de chou (choucroute), d'orge (bière), de blé (pain) ou de raisin (vin) sont presque aussi vieux que l’agriculture. Les micro-organismes n’interviennent pas que dans la fabrication des aliments. Ils jouent un rôle essentiel dans différents processus naturels. Ainsi, les bactéries de notre tube digestif ou celui des animaux interviennent dans la digestion des aliments et leur assimilation par le corps. Or, Le réchauffement climatique perturbe les écosystèmes et toutes les espèces, y compris les microbes du microbiote intestinal, essentiels à la digestion et à l’immunité. Son déséquilibre pourrait nuire à la survie de certaines espèces animales. Les humains ont su utiliser les micro-organismes dans des domaines très variés, tels que la médecine (fabrication de médicaments) et l’épuration des eaux usées (bactéries dans les stations d'épuration).  +
À travers les siècles, la nature a offert aux humains de nombreux remèdes. 40 ou 50% des médicaments mis sur le marché sont des médicaments d'origine naturelle. Parmi ceux-ci, les deux tiers proviennent de plantes, 5 à 10% d'animaux (dont de nombreuses espèces marines), 20 à 25% de micro-organismes (à l'origine des antibiotiques, par exemple). Si nous ajoutons les molécules directement inspirées de modèles naturels mais légèrement modifiées par les chercheurs, les remèdes naturels représentent environ 60% de l'ensemble des médicaments utilisés. La nature constitue un grand catalogue de molécules, dont nous nous sommes inspiré pour se soigner mais aussi pour diversifier notre alimenter et prolonger notre espérance de vie en bonne santé. Mais ces molécules provenant de la nature disparaissent en même temps qu'elle...  +
Le compostage est basé sur le même principe. À l’automne les feuilles tombent des arbres et se dégradent sur le sols, si celles-ci ne sont pas ramassées. Au printemps, on ne les voit plus.  +
Les macroalgues sont classées en trois familles qui correspondent à leur couleur dominante : algues vertes, rouges ou brunes. Comme tous les végétaux, les algues possèdent des pigments verts appelés chlorophylles, qui sont indispensables à la photosynthèse. Mais grâce à la présence de pigments supplémentaires, les algues brunes et rouges captent un plus large spectre lumineux que les algues vertes. Elles peuvent donc vivre plus profond, là où certaines couleurs du spectre lumineux ne pénètrent plus. On remarque bien cette répartition différente des espèces d'algues en fonction de la profondeur lorsque l'on observe les rochers à marée basse ou que l'on plonge. Les algues vertes se trouvent uniquement dans les premiers mètres sous la surface, tandis que les algues brunes se répartissent de la surface jusqu'à environ 20-30 mètres de profondeur, et les algues rouges de la surface jusqu'à la disparition totale de la lumière, soit entre 40 mètres et une centaine de mètres selon les régions.  +
L'effet de serre créé par la présence de l'atmosphère participe naturellement à réchauffer la Terre. Cependant, la production de gaz à effet de serre en grande quantité dans l'atmosphère, à cause de l'activité industrielle et des transports (qui brûlent du charbon, du pétrole ou du gaz), dérégle et augmente l'effet de serre naturel, ce qui provoque un phénomène global de réchauffement climatique. En se réchauffant, l'eau des mers et des océans se dilate (elle prend plus de place), les glaciers fondent en ajoutant de l'eau aux mers et océans. Ces deux phénomènes (dilatation et fonte des glaciers) fait monter le niveau des mers et des océans sur la planète. Ainsi, nombre de zones littorales sont menacées par l'augmentation du niveau de la mer d'ici les prochaines années, impliquant le recul des zones habitables dans les terres.  +
Selon le service public Eau-France : – 79 % des habitats d’eaux courantes (rivières) présentent un état de conservation globalement défavorable sur la période 2007-2012 ; – 60 % des habitats d’eaux courantes (rivières) présentent une tendance au déclin entre 2007 et 2012 ; – 95 % des habitats d’eaux dormantes (lacs, mares) présentent un état de conservation globalement défavorable sur la période 2007-2012 ; – 58 % des habitats d’eaux dormantes (lacs, mares) présentent une tendance au déclin entre 2007 et 2012 ; Même si ces chiffres ne traduisent pas directement la qualité fonctionnelle des écosystèmes, il est évident que les habitats aquatiques ont à faire face, en plus de leur raréfaction, à de nombreuses perturbations. Or, ces habitats assurent de nombreuses fonctions, comme le recyclage des nutriments issus du milieu terrestre ou la purification de l’eau. Ces perturbations remettent donc en cause au moins en partie les fonctions des écosystèmes aquatiques selon les mécanismes que nous avons vus lors de cette expérience. Par conséquent, il est important de préserver la biodiversité. Au-delà de diversité spécifique, c’est aussi la diversité fonctionnelle qui est en jeu.  +
Cette polarité électrique permet notamment à l’eau de dissoudre certaines substances comme le sel, le sucre ou le café, c’est un solvant. (Détailler ou expliquer cette partie"  +
Tu as sans doute déjà voulu rafraîchir une boisson en plein été en y ajoutant des glaçons. Tu as peut-être ainsi remarqué qu'il était plus facile de mettre beaucoup de glaçons dans le verre avant de verser ta boisson. Si tu ajoutes les glaçons après avoir rempli le verre, comme dans notre expérience, un petit nombre de glaçons le fera facilement déborder.<br/>  +
La banquise est une étendue de mer gelée, elle se forme lorsque la surface de la mer gèle durant l'hiver polaire. Lorsque le temps se réchauffe, la banquise fond (en partie), mais cette fonte ne produit pas de hausse du niveau de l'eau car, comme dans le premier pot de l'expérience, la banquise est déjà dans l'eau. C’est le même phénomène que l’on peut observer lorsqu’on met des glaçons dans un verre que l’on rempli ensuite à ras bord. Le verre ne déborde pas, même quand tous les glaçons ont fondu. L’eau douce qui s'accumule sur les continents quand il neige finit par geler en formant des glaciers. Les icebergs sont des morceaux de glaciers qui se sont détachés sous l'effet du vent ou du réchauffement, et sont tombés dans la mer. Au moment où ils tombent, ils ajoutent un volume d'eau gelée dans la mer et font donc monter son niveau. C'est la fonte des glaciers, situés hors de l’eau, principalement au pôle sud (Antarctique), qui provoque une augmentation du niveau de la mer. Car comme dans le second pot de l'expérience, c'est la fonte de la glace qui n’était pas déjà présente dans la mer qui rajoute de l'eau à la mer. Ce phénomène entraîne une montée du niveau de la mer, provoquée à la fois par l'arrivée d’eau liquide issue de la fonte des glaciers et par la chute d'icebergs dans la mer. La montée du niveau des océans observée actuellement est due en partie à la fonte des glaces mais aussi à la dilatation de l'eau. En effet lorsque l’eau se réchauffe (sous l’effet du réchauffement climatique notamment) elle occupe un volume plus important. Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d'Experts sur le Climat) estime que le niveau des océans a augmenté en moyenne de 19 centimètres entre 1901 et 2010, et qu'il pourrait encore s'élever de 26 à 82 cm supplémentaires entre les années 2000 et 2100.  +
Avec l'expérience, on a vu que la fonte des glaciers entraîne aussi l'augmentation du niveau des mers. Cela est un problème encore pour la biodiversité terrestre car les côtes sont de plus en plus prises par les mers mais c'est également un problème pour les êtres humains : il y a de moins en moins de territoire. Les glaciers sont aussi d'importantes réserves d'eau douce (solide) qui est importante pour que nous ayons de l'eau potable. Leur fonte réduit ces ressources et nous allons avoir de plus en plus de difficultés à nous procurer de l'eau propre...  +