Le principe du kaléidoscope repose sur des petits objets colorés qui se déplacent dans le tube et forment des motifs symétriques grâce à un jeu de miroirs dans lequel ils se "recopient" à l'infini. Le motif change lorsque l'on tourne ou que l'on secoue le tube.
Il existe des kaléidoscopes de différentes formes : cylindriques, hexagonaux, triangulaires... et contenant différents matériaux : verre concassé, coquillages, plumes, perles, bouts de tissus ou plastique coloré.
Le kaléidoscope contient généralement trois miroirs disposés à 60°, mais parfois beaucoup plus. Plus le nombre de miroirs augmente, plus les formes obtenues sont complexes et variées. +
En fredonnant, le musicien fait vibrer la membrane du kazou. Cette '''vibration''' est interprétée par notre cerveau comme un '''son'''.
Changer la taille du kazou, son diamètre, le serrage de la membrane font varier l'arrivée de l'air ou/et la façon dont la membrane vibre: les sons produits sont donc différents. +
On a décidé de créer une super porte moderne et avec un mécanisme hors du commun .
La porte est constitué de différentes planches/plaques de bois . Ces planches vont se déployer lorsque la porte sera fermé .Ensuite lors de son ouverture les planches vont se superposer. +
Derrière chaque devinette de fruits et/ou légumes, se pose la question de l'importation et de l'impact écologique de cette dernière.
En mettant en évidence l'origine de l'aliment, on rend compte de son parcours au fil de l'histoire et des différence avec son mode de production originale et actuelle.
L'outil peut donc servir d'initiateur de débat. +
De nombreux organismes marins (coraux, mollusques, crustacés, algues, planctons, vers marins...) possèdent une coquille ou un squelette externe constitué en partie de carbonate de calcium (principale composante du calcaire), qui se raréfie quand le pH diminue, et se dissout en milieu acide. Les organismes marins peuvent donc rencontrer des difficultés à construire ou à maintenir leurs squelettes ou coquilles si les océans s'acidifient.
Mais attention ! L'effet sur les coquilles et les squelettes externes des organismes marins ne sera pas aussi rapide et impressionnant que dans l’expérience, car l'océan ne deviendra pas aussi acide que du vinaigre !
Cependant, même une baisse du pH inférieure à une unité cause une diminution très nette de la quantité de carbonates disponibles pour les organismes calcifiants. Ainsi, la fragilisation des espèces à squelette calcaire suite aux changements qui affectent l'acidité des océans touche entre autres le plancton et le corail qui, essentiels, sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépendent une grande partie de la biodiversité marine ainsi que les populations humaines. +
=== '''De manière simple''' ===
* L'air contenu dans le bocal exerce une pression sur l'eau, la maintenant dans l'entonnoir.
* Quand on perce la pâte, l'air peu s'échapper par le trou, l'eau peut alors descendre dans le bocal.
=== '''Questions sans réponses''' ===
* Que se passerait-il avec un autre liquide? +
Un biais cognitif est un fonctionnement normal du cerveau qui parfois génère des résultats "imparfaits". En être conscient permet d'y prêter attention, et de nous "auto-réguler" dans certaines situations. Il n'y a rien de mal à aimer "jouer" à l'horoscope ou adorer l'appli de personnalisation d'une nouvelle cuisine. Il est bien plus problématique de croire dans les affirmations d'un horoscope ou dépenser une fortune pour une cuisine sur mesure. +
Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de « coefficient de ruissellement ». Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface.
Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.).
Dans cette expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état.
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'eau n'arrive pas à s'infiltrer dans une éponge (ou un sol) complètement sec. C'est la raison pour laquelle des inondations se produisent aussi l'été.
Il est également tout à fait possible d'essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie.
Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol. Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive. +
On remarque normalement que les canettes qui sont restées les plus chaudes sont celles qui ont été intégralement isolées (dessus et dessous). Vient ensuite le caractère isolant des matériaux employés : en général, plus ils contiennent d'air, et plus ils seront isolants. Enfin, l'épaisseur de la couche d'isolation compte aussi. On note que plus la couche isolante est épaisse, plus elle est efficace dans l'isolation.
Cependant, l'interêt décline aussi avec l'épaisseur car le rapport coût des matériaux / gains en température est de plus en plus défavorable. Il est vrai que chaque nouvelle couche d'isolation isole mieux la maison, mais en vaut-elle le coût ?
Grâce à cette expérience, on observe aussi que la chaleur a la capacité de passer à travers la matière par conduction thermique. Un matériau est isolant lorsque sa conduction thermique est faible. On peut alors aussi parler de résistance thermique qui est en fait mathématiquement l'inverse de la conductivité : ''conductivité th = 1/R''
Il est important de noter que ce qui est important, c'est la différence de température entre l'intérieur et l'extérieur qui déterminera l'importance des déperditions. Baisser la température de chauffage fera inévitablement baisser la facture de chauffage. +
Lorsqu'un œuf est plongé dans l'eau, il coule, cela est dû à sa densité qui est plus forte que celle de l’eau. L’œuf est plus "lourd" que l'eau.
La densité de l'eau salée est plus forte que l'eau douce. Plus on ajoute de sel dans l'eau plus sa densité augmente, jusqu'à ce que l'eau salée devienne plus "lourde" que l’œuf. L’œuf, moins dense que l'eau salée, se met alors à flotter. +
Lorsque l'on souffle sur l'hélice, elle tourne et permet alors au générateur de créer un courant électrique qui passe dans la diode. Ici l'alternateur joue le même rôle qu'une dynamo de vélo : s'il tourne suffisamment vite, il fabrique de l'électricité.
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Dans le cas du vinaigre, il s’évapore en même temps que l’eau lorsque le mélange est chauffé. L’élément polluant, ici représenté par le vinaigre, se retrouve dans l’air. Il peut ensuite se déplacer et atteindre les nuages (ici, le coton).
Le colorant alimentaire, lui, reste dans la casserole tandis que l'eau s'évapore. À la fin de l'expérience, il reste une grande quantité de colorant dans une très petite quantité d'eau. On observe alors une couleur plus foncée, comme si on avait ajouté plus de colorant au début. +
Les choses naturelles se sont dégradées, car en effet, cela est un processus naturel. Dans la nature, les sols se régénèrent de cette manière, avec le dépôt de feuilles ou de fruits, voire même des arbres en entier. Ces éléments se dégradent avec le temps et nourrissent les sols, ainsi que tous ses habitants en commençant par les bactéries. Si tu laisses ta pomme à l'air pendant plusieurs minutes, tu peux remarquer qu'elle change de couleur : ce sont les bactéries qui agissent. Mais dans le processus de dégradation, elles ne sont pas seules, viennent ensuite les champignons, les insectes et les verres de terre qui finissent le travail avec leurs digestion. +
'''<u>Manche 1</u>'''
Pour coloniser un espace et pour que la plante trouve son équilibre, cela prend plusieurs années. Les plantes sont soumises à différentes pressions en lien avec le territoire qu'elles occupent (zone +/- humide, disponibilité de ressources dans le sol, lumière, etc.). De plus, leurs moyens de dissémination dépendent totalement d'éléments extérieurs : le vent, l'eau ou encore les autres animaux.
En raison de la forte urbanisation et de l'agriculture, les plantes sauvages perdent beaucoup d'espaces à coloniser. Les activités humaines fragmentent également leurs territoires par l'installation de routes ou de lignes de train par exemple.
Toutes les espèces ne sont pas adaptées de la même manière au changement climatique. Certaines sont plus résistantes et/ou résilientes à ce phénomène. Des plantes peuvent en effet vivre dans des climats très arides ou à l'inverse très humides.
'''<u>Manche 2</u>'''
Une augmentation de la température sur Terre provoque l'apparition de régions désertiques au Sud et la diminution de zones ayant un climat tempéré et/ou froid. Dans un désert, le sol est sec, infertile et il fait très chaud : 30-35°C.
Certaines plantes sont plutôt résistantes et d'autres moins : elles entrent alors en compétition les unes avec les autres, et les plus vulnérables disparaissent. Des espèces de plantes s'adaptent plutôt bien au changement climatique et vont même aller jusqu'à conquérir de nouveaux territoires. Celles-ci peuvent être plus compétitrices que les plantes endémiques à une zone, ce sont les espèces exotiques envahissantes (EEE).
'''<u>Manche 3</u>'''
A l'échelle de vie des plantes, le changement climatique est très rapide. Comme pour de nombreuses autres espèces vivantes d'ailleurs. Les espèces n'ont pas le temps de s'adapter et sont également en difficulté du fait de leur faible vitesse de dispersion.
En exemple, montrer les aires de répartitions actuelles et futures de deux espèces européennes : le Chêne vert et le Hêtre.
L'eau chaude versée autour de la bouteille en verre réchauffe l'eau située à l'intérieur de la bouteille.
En chauffant, l'eau à l'intérieur de la bouteille en verre se dilate, elle prend plus d'espace. Elle va exercer une pression à l'intérieur de la bouteille, ce qui va l'obliger à sortir par la seule issue existante : la paille.
Au bout de quelques minutes, l'eau présente autour de la bouteille en verre, ainsi qu'à l'intérieur, commence à refroidir. On constate alors que le phénomène diminue et que l'eau à l'intérieur de la bouteille, disparaît de la paille pour revenir à sa place initiale.
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Dans le premier groupe, le nombre d’espèces est important. À chaque fois, quatre espèces différentes possèdent le même régime alimentaire. Lorsqu’une perturbation se produit dans l’écosystème, certaines espèces vont disparaître, mais comme d’autres partagent le même régime alimentaire, il y a peu de risques que celles-ci disparaissent de l’écosystème.
Dans le deuxième groupe, le nombre d’espèces est faible. Ici seules deux espèces possèdent le même régime alimentaire. Lorsqu’une perturbation se produit dans le milieu, il y a un risque important qu’un des régimes alimentaires ne soit plus représenté dans le milieu.
À plus forte raison lorsque deux perturbations adviennent. +
En frottant le ballon on l’a « électrisé » c’est à dire qu’on lui a donné des électrons. L’accumulation d’électrons représente une charge négative (-). Les gouttes d’eau sont chargées négativement et positivement. Les pôles opposés s’attirent : le trop plein d’électrons (-) du ballon attire le pôle + des gouttes d’eau. +
Verre 1 : les glaçons sont déjà présents dans le verre avant que l'on verse l'eau et occupent donc un certain volume dans celui-ci. L’eau sous forme de glace occupe sensiblement la même place que lorsqu’elle est liquide. La fonte des trois glaçons ne fait pas augmenter le niveau de l'eau.
Verre 2 : Au début de l’expérience, le verre 2 est rempli d'eau à ras-bord. Au fur et à mesure de l’expérience, le glaçon sur la règle fond et ajoute de l’eau à ce verre déjà plein. A la fin de l’expérience, celui-ci déborde.
Sur terre, la glace se forme soit sur la terre soit directement à la surface de l'eau. Selon l'endroit où ces glaces se forment, leur impact sur la montée des eaux ne sera pas le même. +
Dans le premier pot, les glaçons ne rajoutent pas d'eau en fondant, puisque l'eau se trouvait déjà dans le pot, sous forme de liquide ou de glace.
Dans le deuxième pot, les glaçons qui fondent dans l’entonnoir rajoutent de l'eau à celle déjà présente. Comme le pot est déjà plein à ras bord, l'eau qui s'y ajoute le fait déborder. +
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