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Après avoir fait la recette nous pouvons remarquer que le agar a agis sur ketchup. Il a « gélifié » la ketchup.
Quand la solution (ketchup) est chaude la solution est liquide mais quand la solution refroidit alors la solution devient gélatineuse
+'''Lorsque tu couvre la bougie avec le verre il se passe deux choses :'''
- D'une part, la combustion nécessite du dioxygène (O2) et produit du dioxyde de carbone (CO2). Lorsque la quantité de dioxygène présente dans le verre devient trop faible alors la flamme s'éteint.
- D'autre part, la flamme de la bougie produit de la chaleur qui va chauffer l'air présent dans le verre. L'air en chauffant se dilate. C'est à dire que pour la même quantité d'air, cet air prend plus de place. On peut d'ailleurs constater cette dilation, car lorsque l'on pose le bocal sur la bougie, un bulle d'air s'échappe.
Lorsque la flamme s'éteint (du fait du manque d'oxygène) l'air refroidit. A l'inverse de la dilatation , en se refroidissant, l'air se rétracte, c'est à dire qu'il prend moins de place. L'eau va alors être aspirée dans le verre occupant la place ainsi libérée.
+=== '''De manière simple''' ===
Les Leds s'allument de manière aléatoire de plus en plus vite. À chaque pression sur un bouton poussoir se produit l'événement suivant : soit ce bouton correspond à la bonne led et le jeu continue, soit ce bouton ne correspond pas à la bonne Led, le jeu s’arrête et le score s'affiche à l'aide des leds.
+=== '''De manière simple''' ===
Au départ, il y a de l'air entre les feuilles, comme partout autour de nous. Cet air appuie sur tous les objets de la même façon, tout autour d'eux avec la même force : c'est la pression atmosphérique.
En soufflant, on déplace de l'air et on crée un courant d'air entre les feuilles. Ce déplacement d'air entraîne une diminution de la pression de l'air entre les feuilles.
L'air appuie alors moins fort entre les feuilles qu'autour d'elles, et elles sont poussées l'une contre l'autre.
=== '''Questions sans réponses''' ===
L'espace entre les feuilles est ouvert, pourquoi l'air ne vient pas des côtés ?
+La phase de couleur verte est celle qui est le plus bas, elle correspond à la chlorophylle.
La phase de couleur jaune est celle qui est le plus haut, elle correspond aux xanthophylles et carotènes.
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+La bande de papier filtre absorbe l'eau qui va alors monter le long de la bande. L’eau a le pouvoir de monter naturellement malgré la force de gravité (celle qui fait tomber les objets). Pour cela, elle va s’aider des micro-fibres présentes dans le papier. On appelle ce phénomène '''la capillarité.'''
Lorsque l'eau atteint le point coloré, elle l'entraîne avec elle. Chaque colorant réagit alors différemment selon le type de papier filtre et selon le liquide utilisé. Certains colorants vont moins vite ou montent moins haut, ce qui fait qu'ils se séparent et qu'on peut les distinguer nettement au bout de quelques instants. C'est la technique de '''chromatographie'''.
La couleur d’un feutre est en fait composée de plusieurs couleurs. Sur notre expérience, les couleurs des feutres bleu et vert sont des mélanges de plusieurs couleurs, alors que le jaune ne comporte aucun mélange de couleur. Le bleu comportait du magenta alors que le vert, lui, comportait du jaune et du cyan ! C'est pour cela qu'on parvient à voir ces nouvelles couleurs sur notre papier filtre !
+La boule est accélérée pendant sa chute et gagne donc de l'énergie cinétique. Lors de l'impact elle crée un cratère et déplace les grains. Certains d'entre eux sont alors éjectés, on appelle alors ces grains "éjectas".
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+Dans un circuit en série, chaque composant utilise une partie de la tension électrique, un peu comme si les composants se « partageaient » l’électricité. Donc plus il y a de composants dans le circuit, moins chaque composant reçoit d’électricité pour fonctionner. Certains composants ont besoin d’une tension minimale pour fonctionner, comme les LED. Si les autres composants consomment trop d’électricité, il n’en reste plus suffisamment pour les LED, et elles ne s’allument pas.
Lorsqu'un circuit est branché en parallèle, la tension est la même dans les 2 parties : les composants fonctionnent avec la même tension et ont un fonctionnement normal.
+- La « surpêche » signifie pêcher des poissons plus rapidement qu'ils ne peuvent se reproduire. Elle constitue une menace importante et croissante pour la biodiversité marine, et de nombreux stocks de poissons sont en grave déclin. La surpêche diminue les populations de poissons jusqu'à ce qu'il y ait si peu de poissons que les pêcheurs ne peuvent plus gagner leur vie et que les populations de poissons aient du mal à se reconstituer.
- La taxonomie est la science qui classe et nomme les êtres vivants. Elle organise les différentes espèces en catégories basées sur leurs caractéristiques communes. Ces catégories vont du plus large au plus spécifique : règne, embranchement, classe, ordre, famille, genre, et espèce.
Elle sert à faciliter l'étude des organismes, standardiser la nomenclature et enfin de comprendre l'évolution : En montrant les liens entre différentes espèces, elle aide à retracer l'histoire évolutive de la vie sur Terre.
+La naissance de la classification commence par l'observation des caractéristiques physique du vivant.
Les scientifiques ont ensuite cherché à nommer ces groupes d'individus pour déterminer des groupes, embranchements, famille etc...
+“Vous habitez Bordeaux métropole et vous souhaitez investir dans un objet innovant ? Découvrez CleanTime, la lampe intelligente qui vous rappelle quand sortir vos poubelles. Objet de déco à part entière, ce POCL (petit objet connecté ludique), imaginé par de jeunes créateurs français, est constitué de deux supports en bois, et d’un abat-jour en calc. Le capteur GPS, installé dans son socle, vous localise et indique le jour de ramassage des poubelles en fonction de votre quartier. Une lumière orangée, douce et progressive, se déclenche la veille du passage des ordures ménagères, elle sera verte lorsqu’il sera temps de sortir le tri sélectif. Une fois votre bac déposé, il vous suffira d’appuyer sur le dessus de votre CleanTime, pour que le rappel coloré s’éteigne. Un bruit discret, rappelant le pressage d’un déchet, illustrera alors la dimension poétique de la création.”
+Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de “coefficient de ruissellement”. Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface.
Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.).
Dans notre expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état.
Tu peux également essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie !
Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol ! Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.
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* Dans le premier cas, l'eau s'échappe de la boîte.
* Dans le second cas, l'eau de ne s'échappe pas de la boîte a cause de la pression de l'air qui la maintient et la pousse vers l'intérieur.
+Les molécules interagissent entre elles, et cela correspond à une certaine énergie. Les molécules se mettront toujours dans la position de moindre énergie. Or l'énergie pour les molécules d'eau est moindre si elles restent en contact avec d'autres molécules d'eau plutôt qu'avec des molécules de gaz (l'air). C'est pour cela que la configuration avec une "couche" d'eau qui dépasse du verre est plus stable que des gouttes qui se séparent pour couler le long du verre.
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===Expériences complémentaires===
Refaire la même expérience avec d'autres liquides : de l'huile et de l'alcool. Est ce que le nombre de pièces (le volume) à ajouter est le même pour faire déborder le verre ?
Réponse : non. L'huile et l'alcool sont des molécules différentes de l'eau. Elles n'interagissent pas ensemble de la même façon. Les configurations de moindre énergie ne sont donc pas les mêmes.
Placer une assiette sur une balance et faire la tare. (Précision souhaitable de la balance : +/-1g). Placer un verre d'eau sur l'assiette, elle même sur la balance. Se placer dans la configuration où le verre est à la limite de déborder. Plonger un objet dans le verre et observer l'eau couler du verre dans l'assiette. Retirer un peu d'eau du verre, par exemple avec une pipette, sans rien faire couler. Retirer le verre d'eau de l'assiette. À quoi correspond le poids mesuré ?
Réponse : au volume d'eau qui a débordé en ajoutant la pièce. Comme on connaît la masse volumique de l'eau (son poid par unité de volume, en gros 1 kilogramme par litre), on connaît donc le volume de l'eau qui a débordé. Ce volume est identique à celui de l'objet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.
+Nous sommes entourés d'ondes électromagnétiques. Les ondes de la transmission de la radio, de la télé, etc. le courant électrique aussi émet des ondes électromagnétiques.
Ces ondes créent de l'électricité dans les broches des composants électroniques.
C'est pour cela qu'une broche connectée à rien, n'est pas forcément à l'état 0.
Une résistance de pullup fixe l'état à HIGH (état haut).
Une résistance de pulldown fixe l'état à LOW (état BAS).
+Les animaux et les végétaux sont tous des êtres vivants. Et une de leurs caractéristiques est qu’ils ont besoin de se nourrir. Ils trouvent leur nourriture dans leur milieu de vie et dépendent donc les uns des autres pour survivre. Une chaîne alimentaire est une suite d’êtres vivants qui se mangent les uns les autres. Comme on le voit sur cette illustration, au départ de la chaîne alimentaire aquatique se trouvent toujours les végétaux (phytoplanctons) qui se développent grâce à la lumière, au gaz carbonique (CO2) et aux sels minéraux. Les petits poissons et les larves y trouvent un habitat. Ce phytoplancton est ensuite mangé par des petits organismes vivants : c’est le zooplancton. Le zooplancton est à son tour mangé par des petits poissons eux-mêmes mangés par des poissons plus gros. Ces maquereaux nourrissent les poissons encore plus gros comme les thons. Ces gros poissons sont alors mangés par les requins qui sont au bout de la chaîne alimentaire. On les appelle les « super-prédateurs ». Il faut comprendre que si un seul maillon de cette chaîne disparaît, c’est tout l’équilibre de cette chaîne alimentaire qui est perturbée et cela remet en cause la biodiversité. Si le prédateur comme le requin en bout de chaîne disparaissait, la population de gros poissons (thons par exemple) serait trop importante et ferait disparaître totalement les petits poissons dont ils se nourrissent…
+La loupe concentre les rayons du soleil en un point relativement petit. De ce fait, l'énergie reçue par ce point augmente et la température de la feuille peut s'élever jusqu'à son point de combustion.<br /><br />* <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Lumiere - Concentration de la lumiere Schemaloupe.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" class="image" title="1 : rayons du soleil 2 : Loupe"><img alt="1 : rayons du soleil 2 : Loupe" src="/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" width="249" height="405" data-file-width="249" data-file-height="405" /></a></div></div></span></div><br /><br />1 : Rayons Solaires<br /><br />2 : Loupe
+On observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau.
L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.
+'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs).
'''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...).
Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat).
Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.'''
Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.
<u>Étape 4</u> : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés :
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*''<u>par taille</u> '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre)
*''<u>et par niveaux trophiques :</u>''
**A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil.
**Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes.
**De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol.
<u>Étape 5</u> :
Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat).
<u>Étape 6</u> :
Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité.
Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces.
D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins.
À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau :
*en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ;
*en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ;
*en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)