Recherche par propriété

Cette page fournit une simple interface de navigation pour trouver des entités décrites par une propriété et une valeur nommée. D’autres interfaces de recherche disponibles comprennent la page recherche de propriété, et le constructeur de requêtes ask.

Recherche par propriété

Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Observations » avec la valeur « On observe qu'en absence d'eau, il n'y a pas d'adhésion entre les balles de ping pong ou les grains de sable . La présence d'eau améliore l'adhésion jusqu'à un certain point. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 101 résultats à partir du n°1.

Voir (200 précédentes | 200 suivantes) (20 | 50 | 100 | 250 | 500).


    

Liste de résultats

  • Un coup de pouce pour la biodiversité  + (Pour chaque type d'habitat, naturel ou urbPour chaque type d'habitat, naturel ou urbain, il existe un panel de mesures envisageables pour favoriser le retour et la protection de la biodiversité. Leur mise en place n'a pas forcément le même coût financier et humain ou la même efficacité, elle peut faire l'objet d'un débat entre élus et citoyens pour les mesures collectives, mais certaines mesures peuvent aussi être mises en place très simplement par chaque citoyen qui le souhaite.lement par chaque citoyen qui le souhaite.)
  • Friction' Test  + (Durant la première phase du mouvement, on Durant la première phase du mouvement, on observe une bille subissant un accélération due à la force de rappel du ressort. En effet, suite à sa compression , le ressort va vouloir revenir vers sa position d'équilibre et donc s'étirer. De l'instant à partir duquel le levier est lâché à l'utilisateur jusqu'a l'instant pour lequel le ressort va passer par sa position d'équilibre, la plate-forme va être accélérée et ainsi de meme pour la bille. A partir de l'instant ou le ressort va passer par la position d'équilibre , la plateforme attachée au ressort va décellerer à cause de la force de rappel. Alors, la bille qui n'est pas directement attachée au ressort va décoller de la plateforme grace la vitesse accumulée lors de l'accélération. La bille entre alors dans seconde phase de mouvement: une chute libre avec vitesse initiale verticale.La bille va lors être soumis uniquement à son poids et à une force de frottement fluide. La bille va alors monter jusqu'à sa flèche puis chuter jusqu'au sol.usqu'à sa flèche puis chuter jusqu'au sol.)
  • Cataflèchette  + (on voit une tension que se forme entre le on voit une tension que se forme entre le bras de la catapulte et le support lorsque l'élastique se tends. Lorsqu'on lache l'elastique on relache la pression emmagasinee et basculer vers l'avant a une vitesse plus ou moins elever selon a quel point l'elastique etait tendu. Le bras est arrete net par la bar en métal permettant ainsi l'ejection de la fléechette.mettant ainsi l'ejection de la fléechette.)
  • La force de l'eau  + (On observe qu'en absence d'eau, il n'y a pas d'adhésion entre les balles de ping pong ou les grains de sable . La présence d'eau améliore l'adhésion jusqu'à un certain point.)
  • Tache aveugle  + ( # Lors de la première étape de la manipul # Lors de la première étape de la manipulation, tu as dû constater qu'à mesure que la feuille approche de ton visage le point vert disparaît soudain, puis réapparaît à nouveau lorsque la feuille s'approche un peu plus. # Lors de la deuxième étape, c'est le point rouge qui cette fois-ci disparaît puis réapparaît alors que tu fixes le point vert. # Lors de la troisième étape, la feuille n'est plus horizontale puisque tu l'as orientée différemment, et les deux points ne sont donc plus alignés. Cette fois, tu distingues nettement les deux points et aucun des deux ne disparaît alors que tu approches la feuille de ton visage. # Lors de la quatrième étape, tu as colorié une tache autour de chaque point, d'une couleur différente de celle du point. Lorsque tu approches la feuille en fixant le point rouge, ton œil ne distingue plus qu'une tache rouge à la place du point vert. Même chose pour la tache verte lorsque tu changes d’œil. ur la tache verte lorsque tu changes d’œil. )
  • Billes sauteuses  + ('''<u>On observe que </u>: ''''''On observe que : ''' '''Étape 3.''' Les billes d'aluminium sautent sur le ballon puis retombent, et encore et encore, elles font quelques allers et retours .... '''Étape 4'''. Quelques billes d’aluminium se collent au ballon représentant le bourdon.luminium se collent au ballon représentant le bourdon.)
  • Fleurs et insectes pollinisateurs  + ('''<u>Étape 3</u>''' <u&g'''Étape 3''' On observe que : *il n’est pas toujours possible de récupérer le nectar de toutes les fleurs avec tous les insectes (les pailles ne touchent parfois pas le fond des pots-fleurs) ; *la gouache ou la craie se dépose sur la bouteille quand l’insecte vient boire le nectar ; *après le passage des différents insectes, les fleurs sont recouvertes d’un mélange de gouache ou de craie. '''Étape 4''' On observe que : *les fleurs ont des formes, des tailles et des couleurs différentes ; *les insectes ont des tailles différentes, et des appareils buccaux (trompes…) qui ne sont pas de la même forme ni de la même longueur ; *le pollen se colle sur les poils de l’insecte. de la même forme ni de la même longueur ; *le pollen se colle sur les poils de l’insecte.)
  • Un capteur de CO2 avec UIFLOW et M5STICK  + (''Lors de la respiration, on inhale de l’a''Lors de la respiration, on inhale de l’air contenant de l’oxygène, un peu de dioxyde de carbone'' ''(CO2), et des aérosols ; lors de l’expiration, on exhale du CO2 ainsi que des aérosols, éventuellement'' ''porteurs de virus et responsables de potentielles contaminations. La mesure de la quantité de CO2 dans'' ''l’air permet donc de contrôler et améliorer la ventilation. C’est pourquoi, parmi les stratégies de lutte'' ''contre la pandémie, la ventilation est un des outils majeurs, facile à mettre en œuvre et aux résultats'' ''immédiats. Une bonne ventilation réduit les contagions par aérosols et de surcroit, la diminution du taux'' ''de CO2 fait décroître somnolences et maux de tête, et finalement améliore les capacités cognitives des'' ''élèves travaillant en espace fermé.'' Selon l'académie des sciences une bonne ventillation se traduit par un niveau de CO2 inférieur à 800 ppm soit 1 gramme CO2 par kilogramme d’air. [https://projetco2.fr/sites/default/files/2021-06/2021_06_11_Avis_CO2%281%29.pdf source]
    _06_11_Avis_CO2%281%29.pdf source] <br/>)
  • Catapulte à Elastique  + ( * La catapulte a une base solide pour sup * La catapulte a une base solide pour supporter la tension de l'élastique. * L'élastique est tendu entre l'extrémité du bras de levier et la base de la catapulte, créant une force potentielle. * Le bras de levier est fixé à la base et permet au lanceur de bouger vers l'arrière pour tendre l'élastique et vers l'avant pour libérer la tension et lancer le projectile. * Le projectile est placé sur le lanceur et est propulsé par la tension de l'élastique lorsque le lanceur est relâché. * La distance parcourue par le projectile dépend de la tension de l'élastique, de la position du lanceur et de la forme et du poids du projectile. r et de la forme et du poids du projectile. )
  • Equilibre d'une règle et d'un marteau  + ( * La règle seule en équilibre tombe au so * La règle seule en équilibre tombe au sol * Si on lâche le marteau , il tombe au sol * L'élastique permet d'assurer un effet levier * Lorsque le système est en équilibre, il oscille autour de sa position d'équilibre et s'arrête ensuite. Le point d'équilibre change en fonction du positionnement du marteau, de la résistance de l'élastique, de la longueur de la règle, de la masse du marteau ongueur de la règle, de la masse du marteau )
  • L'évaporation et la concentration des polluants  + ( *Lors de l'expérience avec le vinaigre, o *Lors de l'expérience avec le vinaigre, on observe que le jus de chou rouge devient rose lorsque qu’on le dépose sur le coton. Ce changement de couleur est lié à la présence de vinaigre (acide) sur le coton ; *Lors de l'expérience avec le colorant alimentaire, on n’observe pas de coloration du coton. Quand on compare l'eau pollué évaporée avec l'eau polluée qu'on a mise de côté, la couleur semble s'être accentuée avec l'évaporation. semble s'être accentuée avec l'évaporation. )
  • Concurrents ou associés dans le milieu marin  + (1- Les espèces forment un réseau, elles so1- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. 2- L’humain joue ici un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (pêche, collection, …), comme un perturbateur (changement climatique, surconsommation des ressources…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles marines, protection des espèces…)turelles marines, protection des espèces…))
  • Le jet d'eau parfait  + (<u>'''On observe 2 comportements dis'''On observe 2 comportements distincts dans le jet d'eau :''' Au début du jet, l'eau est figée et uniforme, elle ne bouge pas. À la fin du jet, on observe un jet d'eau classique avec des turbulences, et des gouttes qui vont dans tous les sens.rbulences, et des gouttes qui vont dans tous les sens.)
  • Biodiversité - Diversité des individus  + (<u>On observe que :</u> *nouOn observe que : *nous partageons des points communs avec l’ensemble de nos ami·e·s et des membres de notre famille : une tête, des cheveux, deux oreilles, un nez… *nous avons des ressemblances ou des différences selon nos ami·e·s et les membres de notre famille : couleur des yeux, forme de cheveux, du nez… *même si nous avons des points en commun avec d’autres personnes (même couleur des cheveux, des yeux…), on présente avec ces mêmes personnes aussi des différences sur d’autres critères.personnes aussi des différences sur d’autres critères.)
  • Découvrir une espèce menacée : le panda  + (<u>On observe que </u>: *Le On observe que : *Le panda est un animal en danger ; *Les activités humaines sont à l’origine de toutes les menaces qui mettent en péril la survie de l’espèce ; *l’humain peut aussi mettre en place des mesures de protection efficaces pour sauver les pandas ; *les populations de pandas ré-augmentent doucement depuis quelques années.pandas ré-augmentent doucement depuis quelques années.)
  • Capillarité dans le céleri  + (<u>On observe que </u>: '''On observe que : '''Étape 3 :''' *les nervures du céleri commencent à se colorer. Au fil du temps la coloration va s'étendre tout le long de la branche. *sur la lamelle coupée à l’horizontale, des petits ronds de couleur apparaissent et sur la lamelle coupée à la verticale, on observe des lignes de couleur. *sur la branche de céleri, les feuilles sont tachées de points de couleur. Suivant la condition dans laquelle le céleri se trouve, la coloration des feuilles peut prendre 1 à 2 jours. *des petites gouttes d'eau transparentes (non colorées) apparaissent à l'intérieur du sac qui entoure la feuille. Un peu de buée peut apparaître dans le second sac qui ne contient que de l'air. '''Étape 4 :''' *L'eau que l’on goûte est salée ! *Ou on observe des traces de sel dans le verre, une fois l’eau évaporée !e ! *Ou on observe des traces de sel dans le verre, une fois l’eau évaporée !)
  • Découvrir les habitants du sol  + (<u>On observe que les habitants du sOn observe que les habitants du sol sont très diversifiés : *on trouve des animaux, des végétaux, des micro-organismes tels que les champignons et les bactéries ; *ils présentent des tailles très différentes ''(du microscopique à des animaux de plusieurs décimètres)'' et des couleurs différentes ; *ils ne vivent pas tous au même endroit ''(dans le sol, en surface, larve dans le sol et adulte en surface…)(on en retrouve certains dans d’autres milieux également, comme les araignées par exemple) ;'' *ils ne sont pas tous spécifiques du sol ; *ils ne mangent pas tous la même chose ''(certains mangent des animaux, d’autres des végétaux, morts ou vivants, d’autres des micro-organismes…).'', morts ou vivants, d’autres des micro-organismes…).'')
  • Concurrents ou associés dans le sol  + (<u>On observe que</u> : <On observe que : Étape 3 : 2 - Les débris végétaux sont mangés par les fourmis, qui sont mangées par les araignées, elles-mêmes mangées par les poules ; 3 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, qui sont eux-mêmes broutés par les collemboles, mangés par les carabes, mangés par les hérissons ; 4 - Les débris végétaux sont mangés par les bactéries décomposeurs, mangées par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les carabes, mangés par les poules ; 5 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, mangés par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les fourmis, mangées par les hérissons. Étape 4 : Les organismes vivants se mangent les uns les autres. Reliées entre elles, les 5 chaînes alimentaires forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.''' Ce premier réseau, dit trophique, est basé sur des relations alimentaires, de prédation.''' Étape 5 : 1 - Les fourmis et les cloportes ''platyarthrus blancs'' ont une relation positive/neutre (+/0) '': on parle de commensalisme.  '' 2 - Les racines des salades et les vers nématodes ''pratylenchus'' ont une relation positive/négative (+/-) '': on parle de parasitisme.'' 3 - Les spores des champignons et les vers de terre ont une relation positive/neutre (+/0) : on parle de ''commensalisme, et même ici de phorésie : interaction neutre / positive liée à la notion de transport.'' 4 - Les racines des arbres et les champignons mycorhizes ont une relation positive/positive indissociable (+/+) : ''on parle de symbiose.'' 5 - Les hérissons et les bactéries de l'intestin ont une relation positive/positive parfois dissociable (+/+) : ''on parle de'' mutualisme. Étape 6 : - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si un maillon du réseau vient à disparaître, ce sont les espèces voisines, puis au final l’ensemble du réseau qui sera impacté et modifié, amenant parfois à la disparition d'espèces associées (on parle alors de co-extinction). Bien connaître ces réseaux permet de comprendre comment fonctionne la vie sous terre, donc mieux la protéger. - L'humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.turbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.)
  • Radio Onde  + (=== 1. Radio Équipée d'un Écran ou d'une I=== 1. Radio Équipée d'un Écran ou d'une Interface Visuelle === * '''Affichage en Temps Réel''' : L’écran de la radio montre les différentes fréquences d’ondes électromagnétiques captées sous forme de graphiques ou de barres. Les utilisateurs peuvent voir immédiatement l’intensité et le type des ondes présentes. * '''Indicateurs Lumineux''' : Des LEDs changent de couleur en fonction de l’intensité des ondes, offrant une visualisation intuitive de la densité électromagnétique dans l'environnement. === 2. Ambiance Sonore Varie Selon l'Environnement === * '''Sons Adaptatifs''' : La radio émet des sons qui varient en fonction des ondes captées. Dans un environnement urbain, les sons sont plus dynamiques, tandis qu’un espace plus calme génère des tonalités plus douces. * '''Expérience Immersive''' : Les utilisateurs entendent des variations sonores qui reflètent la présence d'ondes électromagnétiques, les incitant à prendre conscience de leur environnement technologique. chnologique. <span class="hidden"></span>)
  • Colonne d'eau en l'air  + (=> On constate que si l'on enlève la bo=> On constate que si l'on enlève la boite de bac, l'eau s'échappe par les trous du dessous, jusqu'à être vide. => Si on refait l'expérience, cette fois ci en mettant directement le doigt sur le trou au centre du couvercle, et qu'on enlève la boite du bac; l'eau ne s'échappe pas de celle-ci !!te du bac; l'eau ne s'échappe pas de celle-ci !!)
  • Initiation à la soudure  + (Après avoir bien fait les soudures, on observe que les éléments sont accrochés à la carte. L'électricité peut alors se déplacer dans la carte. Les éléments ainsi accrocher les uns aux autres forment un circuit électrique.)
  • Rétractation de l'air  + (Au bout de quelques secondes, on observe que la bouteille se "tord".)
  • Cyanotype : La photo qui fait bronzette  + (Ca devient bleu!!! Plus précisément, la Ca devient bleu!!! Plus précisément, la feuille reste jaune sous les zones couvertes par un objet, et est devenue bleue sur les zones exposées au soleil. Selon les objets choisis, nous aurons toutefois des nuances. Avec des végétaux par exemple, des UV auront pu traverser les feuilles, et laisseront une empreinte plus claire sur le support. Avec certains objets en verre on pourra même obtenir du relief. Pour un objet opaque, l'empreinte sura plus nette. On observe également, que même les ombres des objets laissent des trâces.les ombres des objets laissent des trâces.)
  • Le jeu du vivier : la gestion d'un bien commun  + (Ce jeu aborde le sujet de l'exploitation dCe jeu aborde le sujet de l'exploitation des biens communs, notamment les conditions qui évitent de se retrouver en situation de surexploitation d'une ressource accessible à tous. Par exemple, si tout le monde pêche 3 poissons à chaque tour, le vivier n'a pas le temps de se régénérer : les poissons se reproduisent moins vite que la vitesse à laquelle on les pêche. Il y a donc une surexploitation de la ressource, qui conduit à sa disparition. Ce jeu présente un dilemme : du point de vue de la collectivité, il est souhaitable que chacun fasse preuve de retenue dans la pêche pour ne pas épuiser le vivier. Mais d'un point de vue individuel, il faut en pêcher le plus possible afin d'assurer un revenu pour faire vivre sa famille. Prendre des décisions en commun est un processus difficile, dont la mise en pratique soulève souvent de nombreuses questions. Dans le monde réel, les participants à des conférences internationales se heurtent aussi à ce genre de problèmes. Les joueurs peuvent expérimenter les processus qui provoquent des changements de comportements : -'''négociations entre particuliers''' : le groupe accepte d'exploiter un bien commun selon des règles négociées qui garantissent l'équité et l'accès à la ressource et sa durabilité (renouvellement). -'''limitation de l'exploitation''' : par '''quota''' (impose une quantité ou un volume maximal par pêcheur), par '''sélectivité''' (mise en place de normes pour les outils d'exploitation de la ressource, par exemple taille ou âge de la capture), ou par licence (seul un nombre strictement défini de pêcheurs peut accéder à l'exploitation); - '''introduction de frais/taxes''' : pour empêcher une surexploitation/surconsommation, on peut rendre l'utilisation du bien plus chère, donc moins attrayante, en prélevant de taxes d'incitation (devoir payer un poisson pour 3 pêchés par exemple).n (devoir payer un poisson pour 3 pêchés par exemple).)
  • Continent plastique  + (Certains déchets coulent aussitôt mis dansCertains déchets coulent aussitôt mis dans l'eau. D'autres flottent et d'autres encore restent entre deux eaux. Au fond de la bassine le courant rassemble en un tas tous les déchets qui ont coulé. En surface, les déchets se rassemblent pour ne former qu'une seule surface au centre de la bassine.une seule surface au centre de la bassine.)
  • Illustrer l'acidification des océans et identifier ce qu'est un bioindicateur  + (Comme nous, l'océan respire. Seulement, quComme nous, l'océan respire. Seulement, quand nous aspirons de l'oxygène (o2) pour expirer du dioxyde de carbone (Co2), l'océan fait l'inverse ! Il transforme ce Co2 en O2 ! Seulement, avec les dégagements de gazs à effet de serre et les autres polluants atmosphériques, la concentration de C02 présente dans l'océan devient progressivement trop forte, ce qui à pour conséquence d'acidifier petit à petit l'eau en augmentant son PH (Potentiel hydrogène). Dans notre expérience, le chou rouge représente l'eau de la mer, qui change de couleur en présence de vinaigre (acide). La réaction entre le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude produisant du CO2, on observe que ce gaz colorie exactement de la même manière (en rose) notre jus de chou rouge. On peut donc également utiliser nos poumons pour colorier notre jus de chou rouge, puisque nous expirons du Co2 ! La craie ou le coquillage à dissoudre dans le vinaigre des bioindicateurs, puisqu'ils réagissent à une altération de leur environnement !t à une altération de leur environnement !)
  • Qu'est-ce que les Biocides  + (Des biocides, il en existe plein [1] ! PeuDes biocides, il en existe plein [1] ! Peut-être qu'il y en a d'autres que vous connaissez. On remarque plusieurs points communs entre tous ces produits : *Ils ont, pour la plupart, été mis au point durant la première moitié du 20e siècle avant que beaucoup ne soient interdits au début du 21e siècle ; *Ils ont le plus souvent un spectre large, ce qui les rend efficaces contre de nombreuses espèces, mais sans forcément distinguer les espèces indésirables de celles qui sont utiles ; *La plupart sont persistants, sous une forme ou une autre, c'est-à-dire qu'ils restent dans l'environnement et continuent à faire effet ; *Ce sont souvent des molécules qui interagissent avec le métabolisme, le fonctionnement du corps.e métabolisme, le fonctionnement du corps.)
  • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe : - Combien d’espèces différentes d’algues ont été observées dans chaque quadrat ? Quelles algues brunes sont présentes ? - Combien d’espèces différentes d’animaux ont été observées dans chaque quadrat ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différents quadrats ?originales entre les différents quadrats ?)
  • S'initier aux sciences participatives en ville  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe : - Combien d’espèces différentes de plantes ont été observées dans chaque portion de rue ? Quelles plantes ou quels types de plantes sont présents ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différentes portions de rue étudiées ?les différentes portions de rue étudiées ?)
  • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe et comparer les observations : - Combien de groupes ou d’espèces différentes de pollinisateurs ont été observés ? - Combien d’individus au total sont venus dans chaque zone d’observation pendant les 10 minutes ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différentes zones d’observation (quelles plantes présentes, une zone attire-t-elle plus de pollinisateurs que les autres, les espèces observées sont-elles les mêmes etc) ?èces observées sont-elles les mêmes etc) ?)
  • Créer un jeu Pong sur Scratch  + (Et voilà un jeu Pong tout simple sur lequel vous pouvez vous amuser.)
  • La diversité spécifique, l'assurance de la fonctionnalité  + (Faire la comparaison entre les deux situatFaire la comparaison entre les deux situations : - Quel est le groupe (A ou B) ayant le mieux résisté ? ; - Quel a été l’effet de la première perturbation sur le groupe A ? ; - Sur le groupe B ? ; - Quel a été l’effet de la deuxième perturbation sur le groupe A ? ; - Sur le groupe B ? Une fois les conclusions tirées, il est possible de refaire la manipulation afin de vérifier les conclusions.pulation afin de vérifier les conclusions.)
  • Détermination des invertébrés d'eau douce  + (Grace à cette expérience, il est possible Grace à cette expérience, il est possible de découvrir la façon dont les naturalistes arrivent à identifier les espèces qu’ils étudient. En effet, pour la plupart des groupes animaux ou végétaux, les naturalistes utilisent des clés de détermination. En utilisant des critères morphologiques simples, par exemple « la présence ou l’absence de coquille », il est possible de déterminer le nom de l’espèce. Cela permet aussi de constater la grande diversité spécifique dans les cours d’eau.diversité spécifique dans les cours d’eau.)
  • Photolangage - Pour vous, c'est quoi l'agriculture  + (Il existe différents types d’agriculture, Il existe différents types d’agriculture, en voici quelques exemples : hydroponie, serricultre, permaculture, monoculture, polyculture... Chaque agriculture répond à des objectifs et des enjeux différents, chacune d’entre elles est plus ou moins respectueuse de l’environnement. ou moins respectueuse de l’environnement.)
  • CATAPONG  + (Il s'agit d'une adaptation en catapulte du jeu du "bière-pong". Bien évidemment jouable en version sans alcool, et possibilité d'y jouer à tout âge en famille ou entre amis!)
  • Les P'tit poissons  + (Il y a de l'eau, des morceaux d'aluminium et une bouteille. Certains morceaux d'aluminium flottent, d'autres coulent, certains sont entre deux eaux. Lorsqu'on appuie, certains morceaux coulent. Lorsqu'on lâche, certains morceaux re-flottent...)
  • Volcan sous-marin  + (L'eau de la petite bouteille monte et se répend dans le bocal. Le volcan entre en éruption !)
  • Traficled  + (L'usager observe une lampe murale qui émetL'usager observe une lampe murale qui émet une lumière colorée correspondant à l'état du trafic en temps réel. La couleur change automatiquement en fonction des données de circulation, ce qui permet de visualiser facilement l’état général des routes. La lumière suit une courbe ondulée, évoquant symboliquement le mouvement et le flux des véhicules, créant ainsi une représentation visuelle et esthétique du trafic routier. visuelle et esthétique du trafic routier.)
  • Générateur d'hydrogène  + (L'utilisation du 12 V entre les électrodesL'utilisation du 12 V entre les électrodes permets d'accentuer certains phénomènes qui sont problématiques mais interessant à observer .... LES GAZS - Les gazs circulent, ils remontent dans l'eau - Il y a une pression, cela permet la circulation dans les tuyaux qu'ils aillent vers le haut ou vers le bas (hydrogène plus léger que l'air il devrait rester coincer lorsque le tuyau part vers le bas...). Si l'on bouche le tuyau de sortie, il n'y a plus de bulle dans le bulleur, la pression monte et l'étanchéiter est mise à l'épreuve. -Sur les électrodes + et - il y a respectivement des bulles plus ou moins grosses qui remontent plus ou moins vite. Pas sure qu'on puisse en tirer de bonne conclusion mais vus que l'on produit 2* plus d'hydrogène que d'oxygène... que l'hydrogène est plus léger que l'oxygène... L' EXPLOSION - Au début les bulles n'explosent pas puis au bout d'un moment... (purge de l'air..) - L'explosion est très impressionante comparé au volume d'une petite cuillère. - On ne voit pas de flamme - On sent un souffle de l'explosion COMPORTEMENT DU SYSTEME - L'eau ne baisse pas dans l'électrolyseur (en fait si mais c'est très lent) et pourtant on récupère de bon volume de gaz .... - Avec le temps les électrodes + et - prennent un aspect différent. - Les températures changent - Les niveaux d'eau changent - Le courant électrique change.
    nt - Le courant électrique change. <br/>)
  • Oeuf qui ramollit  + (L'œuf semble avoir perdu sa coquille. Il est malléable et on peut enlever sa coquille, qui est devenue poudreuse, juste en le frottant. Lorsqu'on l'ouvre, on observe bien une peau qui contient le blanc et le jaune d'œuf.)
  • Cartographie d'un bassin versant  + (La carte contient beaucoup d'informations.La carte contient beaucoup d'informations. Trop même ! Elle devient illisible lorsque l'on ajoute toutes les couches. Le rôle du géographe est de sélectionner les informations pertinentes pour mettre en avant des relations entre différents éléments tout en gardant de la lisibilité. La représentation des données dans l'espace est beaucoup plus accessible que sous forme de tableau. Ce type de représentation peut aider à la prise de décision dans la gestion du territoire.de décision dans la gestion du territoire.)
  • Coefficient de ruissellement  + (La pluie est absorbée par l'éponge humide La pluie est absorbée par l'éponge humide et s'écoule tout doucement en sortie de la barquette. Par contre, si l'éponge est gorgée d'eau, l'eau s'écoule dessus ! On observe alors toute la pluie arriver à la sortie et ça déborde ! Si on arrose assez longtemps, l’éponge humide sature et n’arrive plus à retenir la pluie ! Enfin, quand on ajoute une couche étanche, quel que soit le sol en dessous, une grande partie de l’eau s’écoule directement jusqu’à l’estuaire. On remarque que l'éponge n'est pas plus mouillée qu'au début : l'eau n'atteint même pas le sol ! début : l'eau n'atteint même pas le sol !)
  • L'imperméabilité des sols  + (La pluie est absorbée par l'éponge humide La pluie est absorbée par l'éponge humide et s'écoule tout doucement en sortie de la barquette. Par contre, si l'éponge est gorgée d'eau, l'eau s'écoule dessus. On observe alors toute la pluie arriver à la sortie et ça déborde ! Si on arrose assez longtemps, l’éponge humide sature et n’arrive plus à retenir la pluie. Étonnamment, l'eau ruisselle sur l'éponge toute sèche. Celle-ci finit par s'humidifier et absorber l'eau, puis par saturer comme les deux autres. Enfin, quand on ajoute une couche étanche, quel que soit le sol en dessous, une grande partie de l’eau s’écoule directement jusqu’à l’estuaire. On remarque que l'éponge n'est pas plus mouillée qu'au début : l'eau n'atteint même pas le sol ! début : l'eau n'atteint même pas le sol !)
  • TRAMONTIME!  + (Le TRAMONTIME fonctionne en captant les doLe TRAMONTIME fonctionne en captant les données en temps réel sur l'arrivée du transport sélectionné. Un décompte des minutes restantes avant le passage du véhicule est alors activé, sur une temporalité de 15 minutes. Ce décompte est visualisé à travers des LED, qui changent de couleur en fonction du temps restant : du vert lorsque l'utilisateur a encore largement le temps, jusqu'au rouge lorsque le véhicule est sur le point de passer ou a été raté. Cela permet aux usagers de suivre facilement l'approche du transport.suivre facilement l'approche du transport.)
  • Une brochette de ballon  + (Le ballon, bien que transpercé, n'éclate pas, car il a été percé en deux endroits précis : près du nœud et en son point diamétralement opposé, là où le caoutchouc est plus foncé.)
  • Photographie végétale  + (Le papier photosensibilisé change de couleLe papier photosensibilisé change de couleur au bout de quelques minutes quand il est placé sous les rayons directs du soleil. Les parties cachées restent d'un vert "chlorophyllien" (vert typique des végétaux lié à la présence de chlorophylle dans les feuilles) tandis que les parties exposées virent au marron/jaune.s parties exposées virent au marron/jaune.)
  • La force du sable  + (Le sable s'écrase sous le poids. Mais il s'écrase moins si le sable est mouillé, encore moins s'il est mouillé et tassé, et encore moins s'il est tassé successivement couche par couche.)
  • Manège à farine  + (Les grains de farine petit à petit se mettent en mouvement. Ils se déplacent entre le centre du saladier et le rebord.)
  • Fabriquer de la slime  + (Les molécules (briques de matière) contenues dans la lessive et dans la colle réagissent avec l’eau puis se lient entre elles pour former un bloc élastique et résistant : on appelle ce bloc un « polymère ».)
  • Indices biologiques de qualité de l'eau  + (Les perturbations d’origine anthropique onLes perturbations d’origine anthropique ont une influence sur les communautés de macro-invertébrés. Certains groupes (comme les Éphémères, Trichoptères et Plécoptères) vont être très sensibles aux perturbations, alors que d’autres, comme les Diptères, vont l’être beaucoup moins. En regardant dans une station les macro-invertébrés présents, il est possible de comparer avec une station « dite » de référence. Cela permet d’appréhender à quel point l’influence des activités humaines est forte sur le milieu.ctivités humaines est forte sur le milieu.)
  • Lumière en réflexion  + (Lorsqu'on éclaire à l'aide d'un laser une Lorsqu'on éclaire à l'aide d'un laser une feuille blanche, on observe un point rouge lumineux. Sur un écran noir, la tâche rouge est soit plus petite et moins lumineuse, soit elle disparaît totalement. La lumière est partiellement ou totalement absorbée. Si l'on promène alternativement le faisceau lumineux du blanc au noir, le point rouge semble disparaître puis réapparaître. Lorsqu'on éclaire par un mouvement de va-et-vient une feuille blanche verticale et un miroir placé perpendiculairement, on voit le point rouge en double. Il "rebondit" sur le miroir. En fait, on observe le point rouge et son image symétrique réfléchie par le miroir. image symétrique réfléchie par le miroir.)
  • Loupe maison  + (Lorsque l'on ajoute de l'eau dans la coupelle, les choses en dessous semblent grossir ! Sur les bords on observe des déformations mais les choses sont plus claires au centre de la surface d'eau. <br/>)
  • Grande Ourse : quelle illusion  + (Lorsque l'on observe la maquette du dessusLorsque l'on observe la maquette du dessus ou du côté, on ne reconnait pas de forme familière. Lorsqu'on regarde à travers le trou du tube en carton (ou d'une feuille roulée) avec un seul œil donc, on ne peut plus distinguer quelle est" l'étoile" la plus proche ou la plus éloignée de nous. On suppose donc qu'elles sont toutes à la même distance de l'observateur, car nous avons perdu la notion de trois dimensions, et on perturbe nos repères. Cependant les vues de dessus et de côté nous prouvent bien que les" étoiles" sont réparties dans les 3 dimensions de la maquette (hauteur, largeur, longueur). la maquette (hauteur, largeur, longueur).)
  • Chute d'une météorite  + (Lorsque la boule entre en contact avec les grains, certains sont éjectés et un "cratère" est alors formé sous la boule.)
  • Fabriquer une base de lancement pour des fusées à eau  + (Lorsque le levier est remonté, la tige se Lorsque le levier est remonté, la tige se déplace de quelques centimètres et le bouchon est comprimé. Le bouchon écrasé occupe plus de place. Il est plaqué à l’intérieur du goulot. Ceci créé une étanchéité et maintien la bouteille sur la base. On peut ensuite s’éloigner à 5 mètres pour aller pomper jusqu’à la pression voulue. Lorsque que l’on tire sur la cordelette, le levier se baisse, le bouchon revient à son diamètre nominal et la fusée décolle. Il est nécessaire de procéder à l’ancrage et/ou au lestage (sardine, fixation sur une plaque plus grande, lests) pour maintenir la base en place. Il faut mettre en place une zone et des consignes de sécurité sur le pas de tir, car les fusées peuvent blesser les personnes et impacter les éléments matériels.sonnes et impacter les éléments matériels.)
  • Eau électrostatique  + (Lorsque qu'on approche le ballon après l'avoir frotté, on observe que le filet d'eau est attiré par le ballon, et l'écoulement épouse alors la forme de celui-ci. Puis, au bout de quelques secondes, l'écoulement reprend sa forme initiale.)
  • Tout est question de densité  + (Lorsque tous les produits ont été ajoutés Lorsque tous les produits ont été ajoutés doucement à l’aide du pic à brochette, on observe 6 couches différentes. Si tu n’observes pas '''6 couches différentes''' c’est que certains produits se sont mélangés. Le pic à brochette utilisé lors de l’expérience permet de verser doucement les produits afin d’éviter un trop gros mélange qui pourrait permettre à certains produits dont la densité est proche de se mélanger.ns produits dont la densité est proche de se mélanger.)
  • Volcans par milliers  + (Lorsque tu appuies sur le tube, le dentifrLorsque tu appuies sur le tube, le dentifrice sortant du tube forme une boule et finit par s'étaler. Ensuite, lorsque tu appuis sur le gel douche, celui-ci sort et s'étale directement sur le carton. Dans le "pour aller plus loin", les grains de semoule s'envolent sous l'effet de ton souffle. Ils sont expulsés du haut du tas, ce qui forme un cratère.s du haut du tas, ce qui forme un cratère.)
  • Aile ne manque pas d'air  + (L’air fourni par le ventilateur fait monter notre aile en papier sur son rail, on observe le phénomène qui se produit sur les avions grâce à leurs ailes rigides.)
  • Trampoline à pépins  + (Nous devrions observer la formation de bulNous devrions observer la formation de bulles à la base du verre. C’est une réaction effervescente du bicarbonate de sodium avec l’acide citrique dans l’eau. Les pépins sont alors mis en mouvement, les bulles les faisant monter et descendre à l'intérieur du mélange. Plus précisément, nous pouvons observer que des petites bulles s’accrochent aux pépins, ce qui les fait monter. Une fois à la surface, les bulles éclatent contre la limite de l’eau et de l’air, ce qui fait retomber le pépin dans le liquide. Ce phénomène se reproduit en boucle, jusqu’à la fin de la production de bulles.
    la fin de la production de bulles. <br/>)
  • Catastrouple  + (Nous nous retrouvons avec notre patron queNous nous retrouvons avec notre patron que nous pouvons plier pour former la catapulte. Les côtés s'emboitent dans leurs encoches respectives et il ne reste plus qu'à tendre l'élastique de l'extrémité de la cuillère, en passant par dessus la structure, jusqu'à l'emplacement prévu.la structure, jusqu'à l'emplacement prévu.)
  • Propagation des ondes dans des milieux différents  + (On a l'impression que le pic est cassé en trois parties différentes : les "cassures" se situent au niveau des changements de milieu :entre l'air et l'huile et entre l'huile et l'eau.)
  • Propagation de la lumière dans différents milieux  + (On a l'impression que le pic est cassé en trois parties différentes : les "cassures" se situent au niveau des changements de milieu : entre l'air et l'huile et entre l'huile et l'eau.)
  • Marteau en règle !  + (On constate que l'angle de chute du sable est compris entre 30° et 40°. Cela est valable pour toutes les formes obtenues.)
  • La force de l'eau  +
  • A quoi servent les fleurs  + (On observe que : *'''Étape 3 :''' **la On observe que : *'''Étape 3 :''' **la fleur devient un fruit, produit du nectar, renferme les organes reproducteurs (étamines, pollen, pistil et ovule) ; **le pollen doit rencontrer l’ovule pour former le fruit, ce qui nécessite qu’il soit transporté. *'''Étape 4 :''' les confettis/bouchons déposés à la main atteignent tous le gobelet alors que ceux éparpillés par le souffle ou lancés arrivent peu à destination. *'''Étape 5 :''' le plus souvent, les fleurs choisies par les participants sont celles de couleur vive. C’est pareil dans la nature. *'''Étape 6 :''' les fleurs pollinisées par le vent sont plus petites et moins colorées que celles pollinisées par les insectes pollinisateurs.llinisées par les insectes pollinisateurs.)
  • Décomposition d'une feuille au sol  + (On observe que la feuille est dégradée parOn observe que la feuille est dégradée par étape par différents organismes vivants du sol, de différentes tailles, et qu’ils n’ont pas tous les mêmes fonctions et n’interviennent pas tous au même moment dans la dégradation de la feuille.''' D’où l’importance de leur diversité ! ''' D’où l’importance de leur diversité ! ''')
  • Trombone qui flotte  + (On observe que la partie émergée du tromboOn observe que la partie émergée du trombone est restée sèche. De plus, la surface de l'eau est "bombée" autour du trombone. Lorsque l'on dépose une goutte de liquide vaisselle sur la surface de l'eau, le trombone se déplace vers le bord du saladier puis coule et tombe au fond de l'eau.dier puis coule et tombe au fond de l'eau.)
  • La bio-accumulation  + (On observe que la quantité de pollution auOn observe que la quantité de pollution augmente fortement lorsque qu'on monte dans la chaine alimentaire. D'une pollution de 1 unité sur les plus petits animaux, on monte à 26 unités seulement deux maillons plus haut ! On parle alors d'un facteur de bio-accumulation ou de bio-concentration. Ici il est de 26 chez le phoque. C'est à dire que la pollution est 26 fois plus forte chez le phoque que dans son milieu. forte chez le phoque que dans son milieu.)
  • La sédimentation : qui coule le plus vite  + (On observe que les sédiments se sont séparés en plusieurs couches bien distinctes.)
  • Le bassin versant  + (On observe que l’eau coule du haut de la maquette vers le bas. Elle s’écoule le long des sources, vers les rivières puis jusqu’à la mer.)
  • Accorder un verre  + (On observe que plus un verre contient d'eau, plus le son, et donc la note émise, est grave. Et à l'inverse, un verre contenant moins d'eau produit une note plus aiguë.)
  • Courants d'air, une vision floue  + (On observe un phénomène de scintillement avec l'air.)
  • Effet de serre  + (On observe une différence de température sOn observe une différence de température sur les thermomètres. '''Pour la version 1 :''' Le saladier contenant le C02 produit par le vinaigre et le bicarbonate a une température plus élevée que le secon saladier. '''Pour la version 2 :''' Celui qui est sous le saladier contenant la fumée d’encens et le coton mouillé indique une température plus élevée. '''Pour la version 3 :''' Le premier glaçon fondu sera celui situé sous le bocal en verre, le second celui sous la gaze ou sous rien et le dernier sous le coton.sous la gaze ou sous rien et le dernier sous le coton.)
  • Doigts - saucisses  + (On voit qu'il y a une "saucisse" entre nos deux index.)
  • Expansion de l'univers  + (Plus on gonfle le ballon, plus les étoiles s'éloignent les unes des autres. Dire que l'univers est en expansion, c'est dire que les distances entre chaque objet grandissent.)
  • Evolution du trait de côte  + (Sur certaines communes, on observe des chaSur certaines communes, on observe des changements importants : à terre, la plupart des villes se sont étendues, et la côte s'est urbanisée, avec l'apparition de constructions nouvelles : villes qui s'agrandissent, ports et zones portuaires récents, certaines surfaces bétonnées ont été gagnées sur la mer (parkings, zones d'activités portuaires, digues, barrages...). Les zones agricoles occupent moins d'espace que dans les années cinquante, les champs sont devenus moins nombreux et plus grands. Sur certaines zones côtières on remarque aussi la diminution ou le déplacement des plages, et parfois l'apparition ou au contraire la disparition de bancs de sable ou de zones de vase.ion de bancs de sable ou de zones de vase.)
  • Classification du vivant marin  + (Toutes les espèces ont un ancêtre commun eToutes les espèces ont un ancêtre commun encore inconnu (LUCA) et l'évolution a fait apparaître différentes branches distinctes. Aujourd'hui, certains caractères communs peuvent permettre de faire des liens de filiation entre les espèces (les pinces chez les crustacés, le cartilage chez la raie et la roussette, etc).tilage chez la raie et la roussette, etc).)
  • Chromatographie et capillarité  + (Tu peux observer l’eau qui monte sur le paTu peux observer l’eau qui monte sur le papier et emporte les couleurs avec elle. Les points de couleurs vont se diviser en plusieurs couleurs. Du point vert va apparaître du bleu et du jaune. Tu peux constater que les couleurs sont montées jusqu’en haut du filtre à café, alors que tu avais dessiné les points de couleurs en bas.ais dessiné les points de couleurs en bas.)
  • Comprendre une interaction et simuler la chaîne alimentaire marine  + (Une interaction désigne l'ensemble des échUne interaction désigne l'ensemble des échanges entre les espèces. Elle peut être positive pour les deux (mutualisme), ou positive pour l'un mais non pour l'autre (prédation). La chaîne alimentaire est remplir d'interactions (prédation), et on observe que toutes les espèces comprises dans cette chaîne sont interdépendants : si il y en a qui disparaissent, d'autres seront directement impactées, et vice versa.ront directement impactées, et vice versa.)
  • Table Kinetik  + (Une table design qui peut se plier et avoiUne table design qui peut se plier et avoir un système kinétique. Une table basse que on pourrait installer partout chez soit ou même une table pour un piquenique. Mais on observe aussi la conception et l'exécution de notre projet a l'école et a l'atelier pour avoir un produit final et la modélisation de notre pièce catia pour l'assemblage de la table.pièce catia pour l'assemblage de la table.)
  • 1 œil + 1 œil = 1 image!  + (Étape 1 : Chaque œil ne voit qu'une partieÉtape 1 : Chaque œil ne voit qu'une partie du paysage. On observe qu'une partie du champ de vision est commune aux deux yeux. Étape 2 : On peut observer un décalage des images. Étape 3 : On voit un trou dans la main. Étape 4 : Raté ! Très souvent on tape à côté de la croix.! Très souvent on tape à côté de la croix.)
  • Diversite et ressemblance  + ('''<u><big>Etape 1 / différenc'''Etape 1 / différences et ressemblances visibles et invisibles'''

    Nous constatons que :

    * chaque humain se différencie des autres par des critères visibles (taille, couleur de peau, forme du nez, couleur des yeux, forme et couleur des cheveux...) et invisibles (groupe sanguin),
    * vus de l'intérieur, nous sommes quasi toutes et tous pareils : même couleur et quantité de sang, mêmes os et organes placés aux mêmes endroits du corps : nous sommes toutes et tous organisés de la même façon.

    À qui appartient cette partie du corps, cet organe ou cet os ?
    À qui appartient cette partie du corps, cet organe ou cet os ?



    '''Etape 2 / biologiques ou culturelles ?'''

    Nous remarquons que nos différences et nos ressemblances sont de deux ordres, elles peuvent être biologiques ou culturelles :

    * '''exemples de différences biologiques''' : sexe, taille, couleur de peau, couleur des cheveux, des yeux, texture des cheveux, forme des yeux, du menton, de la bouche, du nez, tâches de rousseurs...
    * '''exemples de différences culturelles''' : langues parlées, religions/croyances pratiquées ou non, coutumes familiales, manière de manger, de s’habiller, comportements...
    * '''exemples de ressemblances biologiques''' : sous notre peau, nous sommes toutes et tous constitués de la même façon (os, organes, sang, même organisation et même fonctionnement du corps, du cerveau...) ;
    * '''exemples de ressemblances culturelles, comportementales''' : nous apprenons toutes et tous à manger, à communiquer, à marcher, à s'asseoir, à parler...


    '''Etape 3 / quelle est la nature de nos différences ?'''

    Nous observons que les groupes d’individus ne sont pas les mêmes selon les critères énoncés. Nos différences ne permettent donc pas de fabriquer des groupes homogènes, identiques : dès qu’un critère change, cela change la composition du groupe. Ainsi nous ne pouvons pas réduire un individu à un seul critère (sa couleur de peau, son origine, sa religion...) pour le différencier de nous, car il est bien plus complexe et il a forcément de nombreux autres critères en commun avec nous.

    En proposant aux jeunes de créer une graduation de leurs couleurs de peau, nous cherchons à leur montrer qu’il y a une évolution continue de la couleur de la peau entre les personnes, et que nous ne pouvons pas séparer les personnes en différentes “races” => Nous faisons des catégories (les Blancs, les Noirs, les Jaunes, les non-Blancs...), alors qu’en réalité nous coupons dans des continuums de couleur de peau de façon arbitraire : à partir de quand pouvons nous considérer qu’une personne est “blanche”, “non-blanche”, “noire”... ?

    Il en est de même si nous réalisons l’activité avec la taille. Nous coupons dans des continuums de taille de façon arbitraire : à partir de quand pouvons-nous considérer qu’une personne est grande ou petite ?

    Nos différences sont souvent “continues”, il n’y a pas de frontières : nous changeons de façon continue, nous grandissons de façon continue, nous progressons dans les langues de façon continue...

    => créer des groupes, catégoriser entraîne la réalisation de coupures arbitraires dans ces continuums.

    Nos différences biologiques et culturelles devraient être sans conséquences sur les humains. Mais ce n’est pas le cas : certaines de ces différences, alors qu’elles sont dans un continuum, sont utilisées pour créer et faire des catégories, stigmatiser, rejeter, dominer... '''Pourquoi la diversité humaine est-elle source de préjugés pouvant alimenter la construction du racisme ?'''

    sées pour créer et faire des catégories, stigmatiser, rejeter, dominer... '''Pourquoi la diversité humaine est-elle source de préjugés pouvant alimenter la construction du racisme ?'''<br /><br/>)
  • Filtration de l'eau  + (- Les débris les plus grossiers comme les - Les débris les plus grossiers comme les brindilles et les plus gros cailloux sont bloqués par le filtre à gravier, le filtre à sable et le charbon actif ; - Le filtre à gravier laisse par contre passer la terre, le colorant et les odeurs ; - Le filtre à sable piège aussi en grande partie la terre, on voit que l'eau qui en sort est plus limpide ; - Quant au charbon actif, il ne piège pas la terre mais élimine une partie du colorant et des odeurs, même si c'est un peu plus difficile à distinguer ; - Lorsque l'on superpose les filtres, les graviers en haut, puis le sable, puis le charbon actif, on élimine mieux les différents types de « polluants ». ''N.B : vérifier que certains éléments ne se retrouvent pas bloqués au niveau des bouchons percés. Dans ce cas il faut considérer qu'ils n'ont pas été arrêtés par le matériau filtrant testé, mais simplement que les trous pratiqués dans le bouchons auraient dû être un peu plus gros (sans pour autant laisser passer les matériaux qui constituent le filtre !).'' matériaux qui constituent le filtre !).'')
  • Concurrents ou associés dans le milieu terrestre ? Les réseaux trophiques et réseaux alimentaires  + (- Les organismes vivants se mangent les un- Les organismes vivants se mangent les uns les autres. On remarque que les 5 chaînes alimentaires sont simples, linéaires. Ensemble, elles forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte. - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. Suite à la destruction de la prairie et des ronces, les premiers maillons du réseau qui sont touchés vont modifier légèrement “la toile”. Puis au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau trophique (on peut alors parler de « de tensions sur la biodiversité »). - L' humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (chasse, cueillette), comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles, protection des espèces…).rves naturelles, protection des espèces…).)
  • Biodiversité - Diversité des espèces et des milieux  + (1- On observe que : *Les espèces, en gén1- On observe que : *Les espèces, en général, diffèrent d’un milieu à l’autre ; *On retrouve dans des milieux différents certaines espèces qui se ressemblent ; *L’humain est présent dans tous les milieux ; *Certains milieux sont plus riches en espèces que d’autres : ils hébergent plus d'espèces. 2 - On remarque que les milieux ont un point commun : '''ils accueillent tous la vie !''' Les milieux de vie décrits présentent cependant de grandes différences : *Certains sont marins, d’autres terrestres *Ils sont liés à des facteurs différents : la température et l’humidité (milieu chaud et humide ; chaud et sec ; froid), les vents, les courants marins, les reliefs, la nature des sols, et les différents organismes vivants qui y vivent. Dans ces milieux, les organismes vivants sont liés les uns aux autres à travers de très nombreuses relations (ils peuvent se manger, se protéger, se reproduire, se battre, s’entraider…). Ces organismes vivants interagissent aussi avec leur milieu (échanges gazeux, transfert de matières, filtration de l’eau...). Il existe des milieux de vie à toutes les échelles : de la goutte de yaourt et du camembert, aux intestins des animaux, au sol, aux villes, aux forêts tropicales ou même à l’ensemble de notre planète (appelée biosphère) !me à l’ensemble de notre planète (appelée biosphère) !)
  • Plantes au secours du sol et des dunes  + (<u>On observe que :</u> - La barquette qui ne contenait pas de pailles a perdu plus de terre que celles qui contenaient des pailles enracinées dans la terre. - La barquette qui contenait 5 pailles a perdu plus de terre que celle qui en contenait 25.)
  • Réparation électronique  + (====Cas fréquents==== ====='''La machine ====Cas fréquents==== ====='''La machine ne s'allume pas / aucun signe de vie'''===== Rappel : un circuit peut être résumé à une boucle, ça permet aux électrons de circuler ( ex : de base pile-inter-ampoule-autre borne pile). Dans le cas des machines électro-mécaniques (sans alimentation), la boucle peut être simplement ouverte à cause d'un composant. Câble sectionné, interrupteur ou connecteur corrodé/avec faux contact/débranché, fusible ou fusible thermique cramé, résistance chauffante cassée, fil de moteur cassé (rare). ====='''Les plombs sautent direct'''===== - De l'eau, du métal, ou autre, met en contact phase ou neutre avec la terre, ou phase avec neutre. On teste alors, machine débranchée, et interrupteurs allumés, en mesurant la résistance entre les 3 contacts de l'entrée de l'alimentation électrique, 2  à 2. Si on trouve dans au moins une des combinaisons, 0.0Ω, il y a un soucis. Si c'est avec la terre, le court-circuit se fait probablement avec une partie de la structure métallique. Sinon le circuit d'alimentation est en court-circuit, mais habituellement un fusible dans la machine doit sauter à la place du disjoncteur... Inutile de le remplacer tant qu'on a pas remplacé tous les composants morts en court-circuit ! ... - La machine (+les autres sur le même circuit) consomme(nt) plus que ce que le fusible au disjoncteur ou le contrat électrique ne le permet (Watts). ====='''L'eau ne coule plus'''===== Calcaire potentiellement dans tout le circuit d'eau => Faire fonctionner avec 50%vinaigre blanc + 50% eau, remettre le liquide quelques fois. Éventuellement faire tremper une pièce particulièrement bouchée dans du vinaigre blanc pur. ====='''La machine "tournante" ne tourne plus / "chauffante" ne chauffe plus'''===== L'hélice qu'entraine le moteur est peut-être collée => nettoyer à fond Si la résistance d'un moteur / de l'élément chauffant est infinie : *Un fusible thermique à pu sauter => le trouver, regarder la température *Le fil du moteur / de la résistance chauffante est peut-être cassé => remplacer la pièce avec une remplaçante identique
    ===== '''Batterie morte''' ( tension < ~80% de la tension nominale) ===== par exemple pour une cellule Li-Ion classique, 3.7V, elle commence a mourir à 3.2V. Ça varie en fpnction des types de batteries ( chimies ).
    => Trouver une remplaçante : Chercher "Marque" + model :"???" ( les trucs entre " ") En vérifiant les Volts et les mAh tu peux éviter de tomber sur des fakes. Genre y'aura pas plus que 1.5x les mAh que dans l'originale, et les V doivent être les mêmes. Faut quand même bien check qu'elle a la même gueule pour qu'elle puisse rentrer à sa place. /!\ Et si elle a des fils que tout soit identique, y compris le connecteur ( dans le doute on prendra une bayterie originale plutôt que de tout se faire péter à la figure).
    a une bayterie originale plutôt que de tout se faire péter à la figure).)
  • Un premier pas vers les sciences participatives avec Taxinome  + (===Quelques pistes de discussion si l'on s===Quelques pistes de discussion si l'on suit intégralement le protocole en groupe : === *'''Richesse spécifique''' : combien d’espèces ou de groupes différents ont été observés ? *'''Abondance''' : combien d’individus au total sont venus dans chaque zone d’observation (sur une même durée) ? *'''Comparaison entre zones''' : **Les mêmes espèces ont-elles été vues partout ? **Certaines zones attirent-elles plus de pollinisateurs que d’autres ? **Les plantes présentes semblent-elles influencer la fréquentation (fleurs riches en nectar, couleurs, diversité florale…) ? *'''Observations originales''' : y a-t-il eu des comportements particuliers, des espèces rares ou inattendues, des différences de taille/couleur dans un même groupe ? ===Ce que cela montre d’un point de vue scientifique : === *Les données brutes (observations de chaque groupe) prennent du sens '''lorsqu’elles sont comparées et mises en commun'''. *La biodiversité peut varier fortement selon '''l’habitat, les ressources disponibles, l’heure, la météo'''. *Observer et noter de façon rigoureuse permet de '''poser des hypothèses''' (ex. “les zones avec plus de fleurs colorées attirent davantage de pollinisateurs”).es attirent davantage de pollinisateurs”).)
  • Fiches défis Enquête santé  + (A la fin de la partie expérience, chaque gA la fin de la partie expérience, chaque groupe possède une part des informations (effet des canicules sur la santé, impact de l'acidification des océans sur les organismes calcaires et le stockage de CO2, risque allergiques lié à la pollution et à certains pollens, lien entre la protection des sols et les risques liés à l'eau, lien entre alimentation et santé environnementale). La présentation des expériences et la discussion en groupe entier permet de partager les connaissances acquises, puis de pouvoir débattre autour des solutions d'adaptation au changement climatique qui permettent de préserver notre santé.e qui permettent de préserver notre santé.)
  • Jeu des phalènes  + (Avant le début de la partie, on observe déAvant le début de la partie, on observe déjà que les phalènes d'une couleur opposée au panneau sur lequel ils sont posés sont plus faciles à voir que les autres. Dans des conditions normales de jeu, les enfants prendront naturellement les phalènes qu'ils arrivent le mieux à voir. Le jeu devant être joué dans la précipitation, les enfants sélectionnent donc les phalènes qu'il peuvent attraper le plus rapidement.qu'il peuvent attraper le plus rapidement.)
  • Tous semblables mais tous differents !  + (Bien que présentant une morphologie communBien que présentant une morphologie commune (une tête, deux jambes, deux bras, deux oreilles, un nez...), les participants peuvent se différencier sur une multitude de caractères physiques comme la couleur des cheveux, des yeux, la présence de fossettes, la forme du nez, la taille... Et même au sein d'un même caractère, cheveux blonds par exemple, on constate que les individus aux cheveux blonds diffèrent fortement les uns des autres par une grande diversité d'autres caractères (taille, lobe des oreilles, couleur des yeux...)., lobe des oreilles, couleur des yeux...).)
  • Défi : l'eau monte !  + (Dans les différentes bassines, selon les aDans les différentes bassines, selon les aménagements et modifications réalisées et selon la hauteur d'eau, le sable peut être mouillé, voire emporté, ou au contraire rester sec. La "plage" peut en partie s'écrouler ou reculer. Les constructions (rouleaux de papier toilettes) peuvent progressivement présenter des infiltrations : l'eau pénètre dans les rouleaux de papier toilettes par le bas, l'eau mouille le papier). Les rouleaux de papier toilettes peuvent aussi pencher puis se renverser sous l'effet de la montée du niveau d'eau. Certaines réalisations peuvent empêcher les rouleaux de papier toilettes d'être renversés ou inondés, d'autres permettent de maintenir le sable en place malgré la montée du niveau de l'eau. Combien et quelles quantités de matériaux ont nécessité ces aménagements pour être efficaces ?ité ces aménagements pour être efficaces ?)
  • EAU'pération adaptation  + (En général, le jeu est relativement difficEn général, le jeu est relativement difficile dans les premiers tours. En effet, les aléas climatiques sont subis, sans qu’il soit possible de s’adapter à court terme (les vulnérabilités ne commencent à descendre qu’à la fin du premier tour dans le meilleur des cas). Nous héritons du monde de nos prédécesseurs, de leurs choix et de leurs politiques d’adaptation. Cependant, il est nécessaire de commencer à s’adapter au changement climatique maintenant, car les effets de nos actions se feront sentir avec du délai (dû aux temps de mise en place des solutions d’adaptation). Naturellement, les solutions les plus intéressantes mises en place sont celles qui font baisser la vulnérabilité de plusieurs enjeux. Il est en effet important de prendre en compte le rapport efficacité / coût / délai dans nos choix d’adaptation. Certaines solutions prises à un certain moment ont pu être regrettées par la suite. On parle alors de mal-adaptation. Le concept de mal-adaptation est utilisé pour désigner un changement opéré dans les systèmes naturels ou humains face au changement climatique et qui conduit (de manière non intentionnelle) à augmenter la vulnérabilité au lieu de la réduire. Une situation de mal-adaptation correspond à l’une des situations suivantes : - Utilisation inefficace de ressources comparée à d’autres options d’utilisation (par exemple, le recours massif à la climatisation au lieu de l’investissement dans l’isolation). - Transfert incontrôlé de vulnérabilité d’un système à un autre, mais également d’une période à une autre. - Réduction de la marge d’adaptation future (mesures qui limitent la flexibilité éventuelle comme la plantation d’essences d’arbres à rotation longue). - Erreur de calibrage : sous-adaptation ou adaptation sous-optimale (par exemple, une digue de protection n’a pas été suffisamment rehaussée). ''Source [https://www.ecologie.gouv.fr/adaptation-france-au-changement-climatique#:~:text=de%20plan%20d%E2%80%99actions.-,La%20mal%2Dadaptation,-On%20utilise%20%C3%A9galement Ministère français de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires]'' Pendant le jeu, la principale contrainte est le fait de devoir choisir entre 8 solutions. Cette contrainte permet de mettre en lumière que pour bien s’adapter, il est nécessaire d’étudier un maximum de solutions afin de définir celles qui seront les plus adéquates. Ceci en analysant finement leurs avantages, inconvénients et coûts.sant finement leurs avantages, inconvénients et coûts.)
  • Dissémination des graines  + (Gros, minuscules, poilus, munis de crochetGros, minuscules, poilus, munis de crochets, ronds ou anguleux, les fruits et leurs graines se dispersent de manière différente. Sur les 8 végétaux proposés, on observe les principales méthodes de dispersion des graines, mais beaucoup d’autres sont encore à découvrir !
    d’autres sont encore à découvrir ! <br/>)
  • Transport et érosion : la dynamique des cours d'eau  + (L'eau s'écoule dans notre rivière en pâte L'eau s'écoule dans notre rivière en pâte à sel jusqu'en bas et elle emporte avec elle une partie des sédiments. Certains se laissent plus facilement transporter que d'autres. Selon la forme du lit, l'eau s'écoule plus ou moins vite à certains endroits. Les sédiments vont être emportés jusqu'en bas ou retomber là où l'eau ralentit. Lorsque qu'on enlève le bouchon de la bouteille pour simuler une pluie très forte et qu'on verse l'eau, le niveau de la rivière monte : c'est la crue. Encore plus de sédiments sont emportés et encore plus loin. Il se peut même que la rivière déborde de son lit ! Avec la modifications des régimes pluviométriques liés au réchauffement climatique, ces événements vont se produire de plus en plus souvent. vont se produire de plus en plus souvent.)
  • Le Labyrinthe Bocager  + (La continuité des haies bocagères dans lesLa continuité des haies bocagères dans les campagnes va permettre aux animaux qui vivent dans les bois de trouver leur nourriture. La faune a besoin que ses chemins (haies bocagères) soient interconnectés pour pouvoir se déplacer et aller se nourrir. Sans cela les animaux souffrent, meurent de faim, ou, dans les cas "moins graves", cessent de se reproduire. La continuité des haies bocagère est un élément déterminant pour le soutien à la faune sauvage. C'est vrai dans les campagnes, c'est également vrai dans les villes. Le morcellement des territoires des animaux sauvages est un élément majeur dans leur disparition. Or dans les écosystèmes toutes les espèces sont liées entre elles. En fragiliser certaines entraîne des disparitions massives.taines entraîne des disparitions massives.)
  • Des projets pour s'adapter  + (Les tests de perméabilité du sol génèrent Les tests de perméabilité du sol génèrent régulièrement des résultats surprenants. Outre les différences évidentes entre un sol de terre humide (qui absorbe bien) et du bitume (qui n'absorbe rien), un sol de terre sèche n'absorbe pas bien l'eau. Si la zone comporte des zones en pente faible, c'est un lieu idéal pour visualiser le ruissellement. Le contenu d'un verre d'eau sera soit très vite absorbé (sols perméables) soit dévalera la pente (sols imperméables).oit dévalera la pente (sols imperméables).)
  • Fusée Bicarbonate-Vinaigre  + (Lorsqu'on retourne la fusée, la bouteille se met à gonfler jusqu'à faire sauter le bouchon et se propulser dans les airs.)
  • Le château d'eau  + (Lorsque l'on ouvre la deuxième bouteille lLorsque l'on ouvre la deuxième bouteille l'eau coule dans celle-ci depuis la première jusqu'à obtenir le même niveau d'eau dans les deux bouteilles. Pour aller plus loin, lève une des deux bouteilles. L'eau coule à nouveau dans l'autre bouteille jusqu'à ce que les deux niveaux d'eau soient à la même hauteur (altitude) par rapport au sol.ême hauteur (altitude) par rapport au sol.)
  • Hologramme  + (On observe qu'une image 3D se forme dans la pyramide si on place notre regard à hauteur de cette dernière !)
  • Fiche d'utilisation de la maquette du bassin versant  + (On observe que : *Phase 1 : Le bassin verOn observe que : *Phase 1 : Le bassin versant est constitué d'une source, d'un exécutoire, d'un cours d'eau principal et d'affluent. L'eau s'écoule dans les cours d'eau et chemine jusqu'à l’exutoire pour se rejeter dans l'océan. Lorsqu'il pleut, une partie de l'eau ruisselle sur les sols. *Phase 2 : La zone humide permet l'infiltration de l'eau : l'éponge se gorge d’eau et s’écoule dans la poche d’eau souterraine. On observe que cette eau ne ruisselle pas. *Phase 3 et 4 : Selon le module amovible placé sur la maquette, l’eau est retenue ou pas. Certains modules sont perméables et laissent s’infiltrer l’eau tandis que d’autres sont imperméables et favorisent le ruissellement. Certains aménagements sont naturels (ex : mare), d'autres artificiels (ex : bassin de rétention). *Phase 5 : L'activité humaine, notamment l'agriculture, a un rôle à jouer dans la gestion des inondations. Si les sillons des champs sont orientés perpendiculairement à la pente, ils retiennent plus d'eau, ce qui limite le ruissellement et permet d'arroser moins abondamment et moins régulièrement, et ainsi faire des économies en eau. Lorsque l'eau ruisselle, les polluants (pesticides par exemple), peuvent se déverser dans les cours d'eau et avoir un fort impact sur la biodiversité. avoir un fort impact sur la biodiversité.)
  • Tour d'eau  + (On observe que lorsque l'on enlève la punaise du haut rien ne se passe. Quand on enlève la punaise du milieu, on constate une légère fuite d'eau. Et lorsque l'on retire la punaise du bas, on remarque une plus grosse fuite d'eau.)
  • Drôle d'air dans mes poumons  + (On observe que plus on ajoute de la farine dans le ballon moins celui-ci se gonfle.)