Attribut:Deepen

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C
• Comme dit précédemment, la paille est chargée négativement. Lorsqu'on approche celle-ci du côté d'une plaque, celui-ci va se charger positivement, les charges négatives se repoussant entre elles. Ces dernières vont donc se retrouver de l'autre côté de la plaque (le côté avec l'aluminium). L'influence de la première plaque sur la boule va reproduire le même phénomène sur celle-ci qui elle-même va le reproduire sur la seconde plaque avec tout de même moins de charges. L'attraction étant plus puissante vers la première plaque, grâce à la quantité de charges plus importante, la boule s'y dirige.<br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon1.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ed/Carillon_electrostatique_Carillon1.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon1.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon1.jpg" src="/images/e/ed/Carillon_electrostatique_Carillon1.jpg" width="342" height="245" data-file-width="342" data-file-height="245" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />• Lors du contact de la boule chargée positivement et de la plaque chargée négativement, il y a un transfert de charges du fait que les deux forment un seul conducteur : la boule devient chargée négativement. Elle est ensuite attirée de la même manière vers la seconde plaque pour y subir le même phénomène, et sa charge change de signe. Cela se reproduit tant que les charges des plaques sont assez fortes et différentes pour attirer la boule.<br /><br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon2.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/8f/Carillon_electrostatique_Carillon2.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon2.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon2.jpg" src="/images/8/8f/Carillon_electrostatique_Carillon2.jpg" width="241" height="157" data-file-width="241" data-file-height="157" /></a></div></div></span></div><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon3.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ee/Carillon_electrostatique_Carillon3.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon3.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon3.jpg" src="/images/e/ee/Carillon_electrostatique_Carillon3.jpg" width="248" height="157" data-file-width="248" data-file-height="157" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />• Enfin, lorsque l'on retire la paille, la première plaque répartit ses charges positives sur toute sa surface, ce qui a pour effet d'attirer à nouveau la boule, pour qu'elle puisse faire encore quelques allers-retours jusqu'à atteindre un équilibre.<br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Carillon electrostatique Carillon4.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/c/c2/Carillon_electrostatique_Carillon4.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Carillon_electrostatique_Carillon4.jpg" class="image"><img alt="Carillon electrostatique Carillon4.jpg" src="/images/c/c2/Carillon_electrostatique_Carillon4.jpg" width="180" height="145" data-file-width="180" data-file-height="145" /></a></div></div></span></div><br/>  
De nombreuses activités nécessitent l'accès à l'eau. La découpe d'un territoire en bassins versants permet de lier ces usages et de mettre en évidence leurs relations [1]. Les Schémas d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) ont pour objectif de concilier l'usage de l'eau pour les différentes activités humaines et pour les milieux naturels [2]. Ce sont des outils importants pour l'aménagement d'un territoire et la préservation de ses ressources. Ceux-ci ont pour rôle de réaliser un diagnostic de l'état des eaux sur le territoire, puis de fixer des objectifs et moyens. Pour les piloter, un comité est formé avec de nombreux acteurs et usagers du territoire.  +
Lorsque la catapulte est prête à être lancée, le projectile est placé sur le lanceur. L'élastique est ensuite tendu en tirant sur le bras de levier. Plus l'élastique est tendu, plus la force de lancement sera grande. Lorsque le bras de levier est relâché, l'élastique se détend, transférant l'énergie stockée dans l'élastique au projectile et le propulsant en avant.  +
Ce phénomène fait intervenir la loi des gaz parfaits, PV=nRT, avec : *P : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Pression pression] (Pa), *V : le [https://fr.wikipedia.org/wiki/Volume volume] du gaz (m<sup>3</sup>), *n : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Quantit%C3%A9_de_mati%C3%A8re quantité de matière] (mol), *R : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_universelle_des_gaz_parfaits constante universelle des gaz parfaits] (≈ 8,314 J·K<sup>-1</sup>·mol<sup>-1</sup>), *T : la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Temp%C3%A9rature_absolue température absolue] (K). Dans notre cas, la quantité de mol (n) et la constante (R), ne varient pas. Dans un premier temps la température augmente, la production de gaz fait varier son volume mais vu que le verre garde le même volume, la pression augmente un petit peu. Puis lorsque la flamme s’éteint la température diminue et la rétraction de l'air devenu froid, fait diminuer le volume d'air et sous l'effet de la pression, l'eau est aspirée dans le verre et une fois l'eau dans le verre la pression redevient normal.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === L'Arduino est un microprocesseur dont les instructions sont codées dans un langage proche du C. Plus d'info sur l'article Wikipédia [http://wikipedia.org/wiki/langage_C Langage C]. En C, on déclare le type des variables avant de les utiliser : ici les int correspondent à des nombres entiers (1,2,3...), et le void correspond à une fonction non typée. Le const devant un type signifie que l'objet manipulé ne peut pas être modifié  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Au départ, les forces exercées entre les feuilles et à l'extérieur des feuilles s'équilibrent. Lorsque l'on souffle entre les feuilles, on créé une dépression : la force s'exerçant à l'extérieur des feuilles devient plus élevée que celle s'exerçant à l'intérieur. Pour arriver à un nouvel état d'équilibre entre les forces, les feuilles se rapprochent. * [http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_%28physique%29 Dépression] sur Wikipédia.  +
La chlorophylle est un pigment vert qui joue un rôle essentiel dans la photosynthèse. La photosynthèse permet à la plante de transformer les matières organiques montées par capillarité jusqu’aux feuilles qui grâce à la lumière absorbent le gaz carbonique dans l’air et le transforme en oxygène. Le pigment majoritaire chez la feuille verte est donc la chlorophylle. C’est essentiellement à lui que l’on doit la couleur verte des feuilles.  +
On peut distinguer deux phénomènes différents. Le premier est la montée de l'eau qui entraîne les colorants, le second est la séparation des colorants pendant cette montée. Normalement, la gravité terrestre devrait empêcher l'eau de monter le long de la bande et l'eau devrait plutôt avoir tendance à descendre. Cependant il existe le phénomène de capillarité. Ce phénomène physique entre en jeu dès qu'un liquide et une surface se rencontrent. Les molécules du liquide sont plus ou moins fortement attirées selon le liquide et selon la surface en question. Dans un tube en verre, on peut voir que l'eau monte légèrement plus haut sur les bords, la surface du tube attire l'eau par capillarité. Si le tube en verre est assez fin, il fera monter de l'eau jusqu'à ce que la gravité compense cette attraction par capillarité. Ici, le papier filtre attire l'eau par ce même phénomène et la fait monter. En montant, l'eau entraîne le point coloré avec elle. Le deuxième phénomène est celui qui décompose la séparation des couleurs. Pourquoi les colorants se séparent-ils lors de leur montée? C'est tout simplement parce que tous les colorants n'ont pas la même composition, et que par conséquent ils ne réagissent pas de la même manière. Ainsi les colorants monteront à une vitesse et à une hauteur qui dépendront non seulement de leur réaction avec le papier, mais aussi de leur solubilité dans l'eau. Voilà pourquoi ils se séparent. C'est la chromatographie. Il existe de nombreuses techniques de chromatographie, et leurs applications sont multiples en chimie analytique, en médecine, dans l'industrie ou encore la police scientifique. On peut utiliser ce procédé pour connaître la composition d'un produit inconnu, ou pour rechercher la présence et mesurer la quantité d'une substance dissoute dans une autre. La chromatographie permet par exemple de déterminer la quantité de caféine contenue dans un médicament, de savoir quels acides aminés sont présents dans un aliment, de rechercher des traces d'hydrocarbures dans l'eau d'une zone de baignade ou de prouver si la peinture trouvée sur une scène de crime est la même que celle de la voiture d'un suspect.  
Plus on branche de composants en série, plus la tension qui alimente chacun des composants est faible. Les LED ne s'allument pas ou peu. Les LED ont besoin d'une tension minimale à leur borne : si elles reçoivent une tension inférieure, elles ne s'allument pas du tout. Ces observations illustrent les lois de la tension. En série, la loi d’additivité de la tension s’applique, tandis qu’en parallèle, c’est la loi d’unicité de la tension qui s’applique. Cela se traduit ainsi : *dans un branchement en série, la tension du générateur (ici la pile) est égale à la somme des tensions des dipôles (chaque composant), *dans un branchement en dérivation (c’est à dire en parallèle), la tension du générateur est identique à celle des dipôles.  +
ça marche avec n'importe quelle boisson gazeuze, y compris l'eau pétillante. la substance ajoutée (le mentos) doit juste avoir une surface pleine de micro-aspérités. Du sucre ou du sel en poudre donnent aussi le même résultat (l'intensité dépendant de la quantité ajoutée, elle peut varier d'une expérience à l'autre). D'autres bonbons sucrés donnent un résultat souvent moins spectaculaire (  +
Tu as remarqué que nos éponges, même si on les essore bien, contiennent encore de l’eau ? C’est la même chose pour le sol ! Il a une capacité à retenir de l’eau. Pour un sol, la quantité d’eau qu’il peut absorber entre le moment où il est sec et le moment où il sature (il ne peut pas contenir plus d’eau) est appelée “réserve utile”. C’est la quantité d’eau qui peut en être facilement extraite, par les racines des plantes par exemple. Celle-ci est mesurée en millimètres de hauteur d’eau, comme la pluie. Elle varie principalement selon le type de sol (graviers, sable, terre argileuse). Lorsqu’une éponge est gorgée d’eau (dès le début ou après quelques instants d’arrosage) elle n’est plus capable d’en absorber. Son coefficient de ruissellement monte alors jusqu’à 100% (toute l’eau ruisselle) ! C'est la même chose pour le sol, si la pluie est trop intense ou dure trop longtemps, il finira par saturer. Nos éponges ont des coefficients de ruissellement très différents selon leur état. De la même façon, l’inclinaison ou le relief du sol peut influer fortement sur le ruissellement. Tu peux tester cela facilement chez toi : l’eau s'écoule très rapidement sur les surfaces qui ne sont pas horizontales. Un sol en pente a un coefficient de ruissellement bien supérieur à celui d'un sol horizontal de même surface . Au contraire, si un sol comporte des bosses et des creux, ceux-ci vont ralentir l’écoulement de l’eau et l’aider à s’infiltrer.  +
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tension_superficielle  +
Une '''loupe''' est un instrument d'optique subjectif constitué d'une lentille convexe permettant d'obtenir d'un objet une image agrandie. La loupe est la forme la plus simple du microscope optique, qui lui, est constitué de plusieurs lentilles l'objectif et l'oculaire), d'un système d'éclairage élaboré complété d'un condenseur de lumière rendant le fond uni sans image parasite, et qui répond à la définition de ''système dioptrique centré''. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Loupe Loupe sur Wikipédia]  +
La biodiversité, définie par sa diversité (des espèces, des écosystèmes et des individus) et ses interactions, '''constitue la toile de la vie dont nous faisons partie et dont nous dépendons'''. Elle résulte d'une évolution façonnée pendant des milliards d’années par des phénomènes naturels mais aussi, et de plus en plus, par l'intervention humaine. Les relations de coopération, de prédation, de compétition entre espèces ont joué et jouent un rôle central dans cette évolution. Ces interactions sont également le moteur du fonctionnement des écosystèmes (milieux de vie) : ils produisent, font circuler, transforment, accumulent matière et énergie au travers des êtres vivants qui les constituent et de leur activité. '''Ainsi la biodiversité assure de nombreuses fonctions biologiques (on parle de services écologiques), et toutes les espèces, en tant que constituantes des écosystèmes, contribuent aux services que toutes en retirent.'''  +
Plus de 95% des espèces d’un habitat naturel sont fortement liées les unes des autres, via les réseaux trophiques. Cette proximité des espèces signifie que la disparition d’une espèce peut avoir d'importants impacts sur les autres espèces et donc sur le fonctionnement même de l'écosystème. Par exemple, les prédateurs au sommet des chaînes alimentaires ont un effet de maintien de la biodiversité. S'ils disparaissent, les espèces dont ils se nourrissaient et qu’ils régulaient vont pulluler. Par compétition, elles éliminent alors d’autres espèces avoisinantes, ce qui entraîne une cascade de conséquences... '''Ces interactions montrent également que si nous voulons protéger une espèce dans un milieu donné, il est indispensable de prendre en considération toutes celles qui font partie de son réseau trophique, donc ses proies (et ce qui les nourrit) et ses prédateurs, sans qui l'espèce peut vite devenir envahissante.'''  +
Un courant électrique est un déplacement d'ensemble de porteurs de charge électrique, généralement des électrons, au sein d'un matériau conducteur. Ces déplacements sont imposés par l'action de la force électromagnétique, dont l'interaction avec la matière est le fondement de l'électricité. Dans un conducteur métallique, les particules chargées et mobiles sont des électrons peu liés aux atomes auxquels ils appartiennent (on dit que ces électrons se trouvent dans la bande de conduction). On peut considérer qu'ils se déplacent facilement dans le matériau métallique. Lorsqu'une différence de potentiel est appliquée aux extrémités du conducteur, elle provoque le déplacement de ces électrons, ce que l'on appelle courant électrique. Le réseau des atomes contient des ions positifs : les atomes qui ont perdu un électron. Mais ces derniers, prisonniers du réseau par les liaisons métalliques, sont quasiment immobiles et ne participent que de manière infime à la circulation du courant. Un isolant, aussi appelé matériau diélectrique, est une partie d'un composant ou un organe ayant pour propriété d'interdire le passage de tout courant électrique entre deux parties conductrices. Un isolant possède peu de charges libres, elles y sont piégées, contrairement à un matériau conducteur où les charges sont nombreuses et libres de se déplacer sous l'action d'un champ électromagnétique. La capacité d'un matériau à conduire plus ou moins bien les charges électriques est appelée "conductivité électrique".  +
Pourquoi certains plastiques flottent et d'autres non ? Cela dépend de la densité du plastique : pour un même volume de plastique et d'eau, certains morceaux vont être plus ou moins lourds (par rapport à l'eau) selon leur composition. Les morceaux les plus denses iront au fond de la bassine, et les moins denses restent en surface.  +
Pourquoi telle couleur est associée à telle température? L'augmentation de la température crée une agitation des atomes, ils se choquent les uns les autres et cela excite leurs électrons : dans certains cas, un électron récupère de l'énergie venant du choc. Ensuite, l'électron reperd cette énergie, en émettant un photon. Plus la température est élevée, plus le mouvement est puissant, plus l'énergie des chocs est grande, et plus les électrons sont excités. Donc l'énergie lumineuse augmente avec la température. Or la couleur d'un photon correspond à son énergie. Un photon infra-rouge (IR) a moins d'énergie qu'un photon rouge, qui en a moins qu'un jaune, qui en a moins qu'un bleu, qui en a moins qu'un ultra-violet... À température ambiante, les photons émis sont infra-rouges et invisibles. En augmentant la température, un mélange de photons IR et de photons rouges commence à être émis (cas du fer porté "au rouge"), puis en montant encore on obtient un mélange IR/rouge/jaune (on voit une couleur orangée), puis un mélange de tout le spectre visible (on voit du blanc), puis un mélange vu comme bleu, etc. On peut associer le phénomène du métal chauffé à l'observation des astres. On peut en effet déterminer la température des étoiles dont on connaît la couleur. Par exemple une étoile bleue comme Rigel a une température de surface de 20000°C.  +
L'étalement de l'encre et la dispersion des différentes couleurs est une illustration simple du principe de chromatographie. Cette technique est utilisée en laboratoire pour séparer les différents composants d'un mélange. Lors d'une chromatographie, l'échantillon est entraîné par une phase mobile, appelée éluant (ici, l'eau) à travers une phase fixe (ici, le papier filtre). La phase fixe retient plus ou moins fortement les différents composants de l'échantillon qui vont alors migrer à des vitesses différentes. On peut ainsi les séparer. Souvent l'échantillon est comparé à une solution dont les substances sont déjà connues, ce qui permet d'identifier les composants de l'échantillon à analyser.  +
Le chou rouge (''Brassica oleracea var.capitata f.rubra'') contient des colorants ('''les anthocyanes''') qui ont la propriété de changer de couleur en fonction du pH. Il est de ce fait le plus populaire des indicateurs naturels de pH et peut être utilisé pour enseigner les réactions acide-base à l'école. Pour extraire ces colorants, il suffit de porter à ébullition de l'eau contenant des feuilles de chou rouge, donc de faire une décoction de chou rouge.  +
Le sel de cuisine est composé de molécules de chlorure de sodium (NaCl). Quand on met du sel dans l'eau, celle-ci dissocie la molécule NaCl en deux parties, sodium et chlore. Lors de cette séparation, ces derniers subissent un changement,c'est-à-dire que le sodium donne un électron au chlore. De cette manière,les deux atomes ne sont plus électriquement neutres et forment ce que l'on appelle des ions. Ce sont les ions qui rendent l’eau conductrice. Les ions positifs – ou cations – migrent vers l’électrode négative de la pile, et les ions négatifs – ou anion – migrent vers l’électrode positive de la pile.  +
On a vu qu'une rivière pouvait sortir de son lit lors des crues et causer des inondations. En réalité, la rivière s'écoule au quotidien dans ce qu'on appelle le lit mineur [1]. Lors des crues, elle va occuper son lit majeur, qui peut être bien plus vaste et recouvrir des prairies ou des zones humides qui sont situées sur les bords de la rivière. En aménagement, on parle de zone inondable lorsque l'on se situe dans le lit majeur d'un cours d'eau. La plupart des cours d'eau ne se contentent pas de s'écouler à la même vitesse tout du long. Celle-ci va varier, notamment avec la profondeur. Lorsque la rivière est profonde, l'eau s'écoule lentement. On parle de zone de mouille. Au contraire, lorsque la profondeur est faible l'eau va avancer très vite, souvent en slalomant entre les rochers ou galets. On appelle cela un radier. Sur une rivière qui n'a pas subit d'aménagement, on observe souvent une alternance de mouilles et de radiers le long du tracé. Dans les méandres, c'est l'extérieur du virage qui est le plus profond et l'intérieur qui accumule les galets. Certains cours d'eau ont des tronçons qui ne semblent pas connectés au reste de la rivière ou qui ne s'écoulent pas. On parle alors de bras mort. Ceux-ci peuvent être un formidable refuge de biodiversité [3]. Les poissons et autres animaux peuvent venir s'y reposer à l'abri du courant. Pour qu'une rivière soit en bonne santé et puisse accueillir de nombreuses espèces différentes, il est nécessaire qu'elle possède des habitats variés.  +
L'abbé René-Just Haüy avait remarqué la constance des formes des individus d'une espèce végétale. Alors que les cristaux, dont la composition ne change jamais, présentaient des formes indéfiniment variables. Il observa qu'en cassant des cristaux de calcite de différentes formes, les fragments obtenus avaient toujours la même forme géométrique. L'abbé Haüy imagina que chacune des formes observées était composée d'une multitude de solides infiniment petits, ayant chacun les mêmes propriétés géométriques, physiques et chimiques que la forme elle-même. Un cristal apparaît donc constitué par un agencement de briques élémentaires, tout comme une maison peut être constituée par un agencement de briques. De la même manière, par agencement de briques, toutes identiques, on peut construire une cathédrale ou une maison. Encore plus... Les travaux de Haüy montrent que plusieurs formes de briques élémentaires sont nécessaires pour décrire l'ensemble des cristaux. Certaines formes sont simples, comme le cube, alors que d'autres semblent plus compliquées, comme le rhomboèdre. Haüy reconnut 6 genres de briques élémentaires, mais aujourd'hui on en admet 7. On parle des 7 systèmes cristallins : cubique, quadratique, orthorhombique, monoclinique, triclinique, rhomboédrique, hexagonal.  +
Evidemment, cette catapulte n'est pas universelle. Vous pouvez l'adapter seulement le moteur que vous avez à disposition. Pour le moteur, il faut qu'il ait une bonne puissance mais qu'il possède également un bon couple. Si il n'y a pas suffisamment de couple alors le moteur ne supportera pas le poids de l'objet; ce qui ralentit sa vitesse de rotation. Dans notre catapulte, afin d'améliorer le couple, on y a ajouter 2 engrenages. Le principe est de créer une accélération du couple (vis à vis du rapport de réduction) Pour le bras, le design du bras est libre à chacun suivant les besoins, le type de projectiles qu'on veut lancer. Pour finir, le bâti n'est pas indispensable au fonctionnement de la catapulte mais ajoute un aspect esthétique intéressant.  +
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Le vent c’est tout d'abord de l’air en mouvement. L’air se trouve partout autour de nous. L’air chaud prend plus de place que l’air froid, il est ainsi plus léger, donc il monte. L’air froid prend alors la place de l’air chaud. La différence de température crée le vent. Le vent sur Terre est créé par : - Le réchauffement de l’air par le soleil. La terre étant ronde, la température n'est pas identique partout : à l'équateur il fait plus chaud qu'aux pôles. Il y a donc une différence de température. - La rotation de la Terre permet aux colonnes d'air de températures différentes de se rejoindre et de créer du vent. De plus, comme l'air est un fluide qui entoure la Terre, la rotation de celle-ci entraîne des vents importants à de grandes distances au-dessus de nos têtes.  +
Bonnes pratiques pour configurer votre diffusion : # Configurez votre diffusion en mode lien permanent # Diffusez votre émission test pour vérifier si tout fonctionne bien, stoppez votre diffusion dans OBS # Lorsque tout est prêt, retournez dans la configuration de votre diffusion en direct et cochez '''Publier une rediffusion automatiquement à la fin du direct''' # Lancez votre live à partir d'OBS  +
Pour aller plus loin dans la doc : https://ayushsharma82.github.io/ESP-DASH  +
Le son est une '''vibration'''. Le déplacement du son est caractérisé par une '''onde'''. Ces ondes, dites '''mécaniques''', ont besoin d'un milieu dans lequel se déplacer par exemple dans l'eau, dans l'air, dans les métaux etc.. Les ondes sonores se déplacent différemment selon les propriétés de leur milieu de propagation. Ici, la ficelle est plus dense que l'air. Alors, le son est perçu plus fort car la vibration transmise au niveau de l'oreille (externe, moyenne et interne) est plus intense.  +
*Lorsque l'on trouve du cuivre dans la solution de vinaigre, il n'est pas sous sa forme métallique, on appelle cela des '''ions'''. Les ions cuivre sont '''chargés positivement'''. En chimie, le symbole du cuivre s'écrit '''Cu''', les ions du cuivre s'écrivent '''Cu<sup>2+</sup>''' (Ils ont perdu 2 charges négatives) et ils s'appellent les '''ions "cuivriques"'''. L'acier contient du fer, le fer s'écrit '''Fe'''. Lorsque les ions cuivriques rencontrent les atomes de fer, ils redeviennent du cuivre. Les ions cuivriques prennent les charges qui leur manquent et redeviennent neutres sous la forme métallique Cu (cuivre). En revanche pour chaque atome de cuivre devenu métallique, un atome de fer devient un '''ion ferreux Fe<sup>++</sup>'''. *On dit que le cuivre est un '''oxydant''' et que le fer est un '''réducteur'''. Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''. *En somme, l'ion cuivrique est réduit par le fer en cuivre et le fer est oxydé par l'ion cuivrique en ion ferreux. *L'équation d'oxydo-réduction s'écrit alors comme ceci : '''Cu<sup>2+</sup> + Fe → Cu + Fe<sup>2+</sup>'''   +
La technique du cyanotype fut inventée en 1842 par le scientifique et astronome anglais John Frederick William Herschel (1792-1871) lorsqu'il découvrit que sous l’action de la lumière, les sels ferriques pouvaient se transformer en sels ferreux. William Herschel utilisait le cyanotype pour la copie de dessins. Plus tard, ce procédé fut utilisé pour faire des photogrammes. Anna Atkins (1799-1871), botaniste britannique, va être la première à utiliser les cyanotypes dans son ouvrage : "British Algae : cyanotypes impressions". Elle y présente notamment des herbiers sur les algues ainsi que sur les fougères. Elle le léguera en 1865 au British Museum.  +
Un autre phénomène, l'osmose, peut être lié à l’expérience. En effet l'osmose est un moyen pour la plante de se nourrir grâce au sel contenu dans ses racines, pour davantage d'informations techniques, reportez vous à ce [http://users.skynet.be/chr_loockx_sciences/exp_osmose_4.htm travail pratique]. Le principe est simple, le sel attire l'eau et ainsi les aliments des plantes. Prenons pour exemple une barre de fer, et trempons la dans l'eau. La barre de fer ne contenant pas de sel, l'eau ne monte donc pas. Au contraire , une plante contenant du sel, fera monté l'eau dans ses canaux grâce au principe de l'osmose et permettra à la plante de se nourrir.  +
D
Optimisation : - Utiliser d'autres connecteurs - Sur batterie, sur secteur  +
Les API permettent aux applications d'interagir les unes avec les autres. Par exemple, une application peut demander des données à une autre application et obtenir des données en retour.  +
S’il y a de la matière, il y a de l’énergie. Le monde étant rempli de matière, il est également rempli d’énergie. Et cette énergie ne se crée pas et elle ne disparaît pas. Elle se transforme pour passer d’un système à un autre, d’un état à un autre. Ici, la bille est faite de matière donc elle contient en son sein de l’énergie. Plus sa masse sera élevée, plus elle aura d’énergie stockée. De plus, en tenant la bille à une certaine hauteur, elle a accumulé de l’énergie qu’on appelle énergie potentielle gravitationnelle. Cette énergie dépend de la position de l’objet. Plus on lâchera haut la bille, plus elle aura stocké d’énergie. Quand on lâche la bille, toute cette énergie cumulée va se transformer en vitesse, en énergie cinétique (= énergie de mouvement). Puis lorsque la bille touche la surface de la farine, sa vitesse est arrêtée mais l’énergie n’a pas disparue. Elle s’est transmise aux grains de farine qui se sont déplacés ; aux molécules d’air qui ont formé un son. L’énergie a bien été conservée ; elle a seulement changé de forme.  +
Notre cerveau ne représente que 2% de ton corps, mais il utilise 15 à 20 % de l’énergie que nous consommons par jour ! '''La catégorisation (processus de lecture/tri rapide/simplifié) des informations lui permet d'économiser de l’énergie'''. Ainsi, si nos oreilles lui font parvenir le mot « sapin », il va puiser dans notre mémoire pour trouver rapidement les informations les plus représentatives et les mieux partagées par les humains d’une même culture : * une image mentale schématique : un sapin = trois triangles superposés + un rectangle ; * un ensemble de mots se rapportant au sapin défini par la culture et le contexte : arbre, Noël, cadeaux, hiver, bois, forêt…  +
En résumé, on peut observer que dans cette expérience, le son est sous la forme d'une <u>'''vibration'''</u> et que celle-ci <u>'''se propage'''</u> toujours dans la matière. Ici dans l’eau.  +
<nowiki>L'''a persistance rétinienne :''' La persistance rétinienne est un phénomène qui consiste pour l'œil et le cerveau à superposer une image qui vient d'être vue à l'image que l'on est en train de voir. La persistance rétinienne est plus marquée et plus longue si l'image observée est lumineuse. Nous pouvons comparer notre expérience à ce que l'on observe sur un écran de téléviseur. A nos yeux l'image semble stable, elle ne clignote pas. Or en réalité l'écran n'émet les images que par intermittence, mais notre œil et notre cerveau ne perçoivent pas les interruptions car les images s'enchaînent trop vite.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Persistance_r%C3%A9tinienne [1]] La persistance rétinienne sur Wikipédia''<br /><br /><br/><br /><br />*'''La somme des couleurs de l'arc en ciel compose "le blanc" :''' La lumière blanche est la somme de la multitude de couleurs présentes dans l'arc en ciel. En effet, nous avons ici colorié sept segments de couleurs différentes, mais en fait l'arc en ciel est composé d'un nombre incalculable de couleurs. Lorsque l'on additionne ces couleurs, on obtient le blanc pur. C'est pour cela qu'en faisant tourner très vite le disque de couleurs on croit le voir blanc.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Spectre_visible [2]] Le spectre visible sur Wikipédia''</nowiki>  +
En fonction de la turbidité de l’eau, des organismes différents vont se développer. En effet, certains préfèrent les eaux sombres, d’autres plus claires, plus ou moins riches en matières organiques. La présence de matières organiques en suspension influe sur la présence de certains organismes photosynthétiques qui utilisent la lumière comme source d’énergie, en particulier les algues et les autres plantes aquatiques.  +
L'illusion d'optique résulte d'une mauvaise interprétation par le système visuel des informations qui lui parviennent. Le système visuel ne fonctionne pas comme un instrument de mesure, mais comme un moyen d'interagir efficacement avec l'environnement. Dans la vie quotidienne, en cas de doute, un changement de point de vue donne une vision plus exacte de la réalité. Dans les illusions visuelles, cette possibilité est bloquée, créant une image faussée de la réalité, y compris en faisant apparaître un objet inexistant, ou rendant « invisible » un objet pourtant présent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Illusion_d%27optique  +
Les poussières microscopiques présentes dans l’air sous forme solide, liquide ou gazeuse (substances chimiques, micro-organismes, pollens, gaz...) sont en général rejetées par l’organisme. Mais certaines d’entre elles arrivent parfois à pénétrer dans les poumons ou à l’intérieur du corps, ce qui peut avoir des conséquences sur la santé. Ainsi certaines maladies moins fréquentes il y a quelques décennies (allergie, asthme...) se sont développées avec l’accroissement des pollutions (industrielles, agricoles, domestiques) liées aux produits de synthèse qui nous entourent (pesticides, produits d’entretien, colles, plastiques...), ces derniers contenant des matières parfois dangereuses pour l’environnement et la santé. Une courte exposition à fortes doses à un ou plusieurs polluants peut entraîner des irritations, des nausées, des intoxications... Une exposition longue durée à faible dose à certaines substances peut quant à elle entraîner des allergies ou des maladies respiratoires (asthme...), voire dans les cas les plus sévères des troubles neurologiques, hormonaux (problèmes de fertilité, d'obésité) ou des risques de cancers. L’influence du tabac : la fumée de cigarette est constituée multitudes de microparticules qui entraînent un dysfonctionnement de l’ensemble respiratoire au fil des années. Les substances nocives et irritantes qu’elle contient diminuent la ventilation, les broches s’obstruent, le tissu pulmonaire perd de son élasticité et diverses pathologies apparaissent : bronchites, infections, asthme, insuffisance respiratoire, voire un cancer.  +
La formation de la rouille est appelée la corrosion. La corrosion est l'altération d'un matériau par réaction chimique avec un oxydant. Les conditions nécessaires à la réalisation de ce phénomène sont la présence d'eau (H<sub>2</sub>O) et de dioxygène (O<sub>2</sub>).  +
Nous venons de voir le rôle détaillé de la biodiversité du sol dans le recyclage des feuilles mortes, mais elle ne se limite pas à ça. '''<u>La biodiversité des sols a 3 grandes fonctions :</u>''' *'''Elle RECYCLE '''les matières organiques, végétales mais aussi animales jusqu’à minéralisation ; *'''Elle RÉGULE''' le sol (via la prédation...), le cycle de l’eau ; *'''Elle STRUCTURE''' le sol, elle le forme, le maintien, l’aère, l’assemble. <br/> '''<u>Ainsi, du fait de ses fonctions, les humains tirent nombreux services de la biodiversité du sol (on parle de services écologiques) :</u>''' *'''des services de « support » ''': recyclage des nutriments (''cycle des nutriments, du carbone)'', formation et fertilité des sols ''(altération des roches ; dégradation de la matière organique)''...     *'''des services  de « régulation » :''' **'''régulation de la qualité et quantité d’eau''' : épuration, stockage et rétention contre les inondations ''(l’eau s’infiltre beaucoup plus facilement dans le sol quand il y a des galeries des vers de terre''),                 **'''régulation des populations d’organismes du sol et des maladies des plantes :''' chaînes alimentaires et réseaux trophiques ''(prédation…) ;'' protection des cultures ''(lutte     biologique : actions des lombrics sur les nématodes parasites)…'' '''   ''' **'''régulation du climat'''  ''(émission et absorption de gaz à effet de serre)'' '''   ''' **'''contrôle de l’érosion '''(''les turricules des vers de terre (tortillons de terre rejetés à la surface du sol) deviennent une barrière physique au ruissellement en surface'')   <br/> *'''des services de « production »''' : source de nourriture, de biomasse végétale ''(via les interactions de symbiose qui aident les plantes à pousser)'', habitat, refuge, source de médicaments (''issus des gènes des micro-organismes du sol)''…         *'''des services « culturels »''' : patrimoine géologique, archéologique, récréatif, éducatif, cognitif ''(recherche...)''  
'''Qu’est-ce qui permet de dire qu’une espèce fait partie des organismes du sol ?''' Tous les habitants du sol ne vivent pas forcément dans le sol. Et à l’inverse, tout ce qui touche le sol ne fait pas forcément partie des habitants du sol (sinon, nous, humains, en ferions partie) ! Par contre nous sommes toutes et tous dépendants du sol (en tant que support, base de notre alimentation…). Ainsi, les chercheurs s’accordent à dire que '''la biodiversité du sol regroupe l'ensemble des formes de vie qui présentent au moins un stade actif de leur cycle biologique dans le sol. Elle inclut les habitants de la matrice du sol ainsi que ceux de la litière et des bois morts en décomposition.''' Toutes ces espèces, quelle que soit leur taille, interagissent directement avec le sol (via leur habitat, leur reproduction, leur alimentation...), le modèlent, agissent sur sa texture (proportion d’éléments minéraux dans un sol : sables, limons, argiles), sa structure (la taille et l’organisation des particules de sol entre elles), sa composition (les différentes couches de sol). Cette biodiversité du sol est encore assez peu connue, mais elle a un rôle très important. C’est pour cela qu’il est important de la protéger, elle et son habitat. '''<u>Ainsi, parmi la liste des espèces proposées dans l’étape 4 - partie 2</u> :''' *'''<u>font partie des habitants du sol</u> :''' **les moisissures, les bactéries, les micro-algues, les enchytréides (vivent dans le sol), **les renards, les taupes, les vipères, les castors, les lapins, les souris (ont leurs terriers dans le sol), **les chênes et les marguerites (ont leurs racines dans le sol et s’y nourrissent). *'''<u>ne font pas partie des habitants du sol</u>''' : les poules, les chats, les cerfs, les pigeons, les moustiques, les libellules, les chiens, les abeilles (ils n’ont pas d’interactions directes avec le sol, excepté y trouver parfois leur nourriture).  +
Pour pouvoir se développer, l’être humain a depuis toujours utilisé l’environnement qui l’entourait. Il s’est notamment nourrit d’animaux (la chasse) et de plantes (la cueillette), il a utilisé la fourrure de certaines espèces animales pour se vêtir et avoir chaud. Depuis le siècle dernier, l’humain transforme des milieux naturels (forêts, zones humides, cours d’eau…) pour les exploiter, pouvoir faire de l'agriculture ou pour étendre les villes, les routes, construire des barrages, l’exploitation de mines... Ces activités humaines détruisent ou fragmentent les forêts qui abritent de nombreux animaux et végétaux, menaçant leurs survies. Dans des milieux naturels fragmentés, les pandas, comme de nombreuses autres espèces, ne peuvent plus se déplacer pour trouver un partenaire, un nouveau territoire ou de la nourriture. Pour lutter contre ce drame écologique, de nombreuses structures (associations, conservatoires, zoos…) se mettent en place pour protéger ou restaurer les espèces et les milieux naturels.  +
On peut par exemple installer une "barrière" pour retenir le sable et bloquer l'eau à l'aide de graviers, de plaques de carton, de barrages de bâtons... Une autre stratégie possible consiste à surélever les constructions en les installant sur un support bâti sur pilotis (les bâtons plantés dans le sable) pour qu'elle ne touchent pas l'eau, ou sur des fondations renforcées et hautes qui résisteront ou freiineront l'infiltration de l'eau (graviers, cartons...). Il est également possible de construire des habitations flottantes en installant les pots sur des radeaux ou des pontons (bouchons de liège attachés par de la ficelle ou autre matériaux flottants). Certaines équipes ont pu décider de retirer les pots de yaourt du sable afin qu'ils ne soient ni renversés ni mouillés par la montée des eaux. Cela permet aussi de gagner le défi ! Il est interéssant dans ce défi de comparer non seulement l'efficacité des solutions choisies, mais aussi le coût et la complexité de leur mise en place : faut-il utiliser beaucoup de matériaux, construire de nombreux équipements, modifier beaucoup le paysage d'origine ?  +
Pour mesurer la sécheresse les scientifiques utilisent plusieurs indicateurs. Le SPI (de l'anglais Standardized Precipitation Index) est un indice permettant de mesurer la sécheresse météorologique. Il s’agit d’un indice de probabilité qui repose seulement sur les précipitations. Les probabilités sont standardisées de sorte qu’un SPI de 0 indique une quantité de précipitation médiane (par rapport à une climatologie moyenne de référence, calculée sur 30 ans). L’indice est négatif pour les sécheresses, et positif pour les conditions humides Le SWI (de l’anglais Soil Wetness Index ) est un indice d’humidité des sols. Il représente, sur une profondeur d’environ deux mètres, l’état de la réserve en eau du sol par rapport à la réserve utile (eau disponible pour l’alimentation des plantes). Lorsque l'indice d'humidité des sols (SWI) est voisin de 1, le sol est humide (supérieur à 1, le SWI indique que le sol tend vers la saturation). Inversement, lorsqu'il tend vers 0, le sol est en état de stress hydrique (inférieur à 0, il indique que le sol est très sec).  +
L'air est composé de gaz (azote, oxygène, des traces d'autres gaz). Un gaz est constitué de molécules. La masse d'une molécule est constante mais avec la chaleur son volume augmente. Donc le rapport entre la masse et le volume (densité) diminue. Exemple numerique: Une mole d'azote pèse 28 g. Une mole d'azote à 0°C occupe 22,4 litre. Sa masse volumique est 28 / 22,4 = 1,25 kg / m3 ou 1,25 g/L Loi de Mariotte : PV/T = Cste P = Pression atmosphérique (Pa ou bar) V = volume (kg/m3 ou g/L) T = Température (K) La même mole à 50°C (293 K) occupe 22,4 * (273 + 50 ) / 273 = 26, 5 L Sa masse volumique à 50° est 28 / 26,5 = 1,056 kg / m3 ou 1,056 g/L La densité (masse volumique) de la molécule d'azote passe de '''1,25 g/L''' à 0° à '''1,056 g/L''' à 50°  +
E
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Toute matière est constituée d'atomes qui comportent des charges électriques positives (les protons) et négatives (les électrons). Les électrons sont libres, ils ont la capacité de se déplacer s'ils sont attirés par une charge positive. Lorsque l'on frotte le ballon sur les cheveux ou un pull en laine, des électrons se déplacent des cheveux (ou de la laine) vers le ballon. Comme les électrons sont des charges négatives, les cheveux (ou la laine), qui perdent des électrons, se chargent positivement, tandis que le ballon, qui gagne des électrons, se charge négativement. Il s'agit d'un phénomène d'électrisation par frottement. L'eau du robinet est électriquement neutre, elle contient autant de charges positives et négatives, qui s'équilibrent entre elles. Mais quand on approche un objet chargé électriquement d'un objet neutre, il se produit un phénomène d'électrisation par induction : l'objet chargé attire les charges de signe opposé qui sont présentes dans l'objet neutre. Ici le ballon chargé négativement attire les charges positives contenues dans l'eau. Le filet d'eau est donc dévié vers le ballon, jusqu'à ce que les électrons, en se déplaçant du ballon vers l'eau, aient rétabli l'équilibre. Lorsqu'on les frotte, certains matériaux ont plus tendance à donner des électrons, et donc à se charger positivement, et certains matériaux ont plus tendance à recevoir des électrons, et donc à se charger négativement. Pour savoir si un matériau se charge positivement ou négativement en cas d'électrisation par frottement, on peut consulter une liste triboélectrique.  +
'''Le réchauffement climatique est un processus naturel.''' Les gaz présents dans l'atmosphère filtres les rayons infra-rouges, nous protégeant ainsi naturellement du réchauffement excessif de la planète. Ces rayons sont stoppés pour la plupart par l'atmosphère ou encore les nuages. Néanmoins, tous les rayons infra-rouges ne sont pas stoppés. Bon nombre se réfléchissent sur le sol, ce qui nous permet d'avoir une moyenne de température sur la planète, d'environ 15°C. Certains gaz (CO<sub>2</sub>, CH<sub>4</sub>, H<sub>2</sub>O, ...) présents naturellement dans l'atmosphère, sont aussi produits en grand quantité par l'Homme (transports, agriculutrue intensive, industries, ...). Ces gaz sont responsables de l'accélaration du réchauffement climatique. Ils vont empêcher les infra-rouges, de quitter l'atmosphère lorsqu'ils se sont réfléchis sur le sol de la planète. Emrpisonnant ainsi d'avantage de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.  +
La molécule du pigment qui colore l'encre a été modifiée par l'eau chaude, le mélange est alors devenu incolore grâce à la forme basique de l’eau. L’eau est amphotère, c’est à dire qu’elle se comporte en acide en présence de base, et en base en présence d’acide. Ici, le pigment de l’encre est un acide, donc l’eau adopte un comportement basique et fait disparaître la couleur bleue en modifiant la molécule du pigment. L’eau chaude accélère la réaction. Sans chaleur, la réaction serait beaucoup plus longue. Ici, la chaleur est donc un catalyseur. Dans cette expérience, les molécules modifiées sont sensibles au pH (autrement dit à l'acidité du milieu). Quand on ajoute le vinaigre qui est un acide, la solution devient acide, et les molécules subissent une nouvelle transformation : elles reprennent leur état d’origine et le mélange est à nouveau bleu. Quand on ajoute du bicarbonate de sodium, il réagit avec le mélange. L’introduction d’une base (le bicarbonate), permet à l’encre de re-disparaître, car on neutralise l’acidité du vinaigre et on obtient une solution basique permettant la disparition de l’encre. Si on ajoute encore du vinaigre, il va se trouver en plus grande quantité que le bicarbonate de sodium (il n'y a plus assez de bicarbonate de sodium pour « occuper » tout le vinaigre). Le vinaigre va donc une fois de plus réagir avec la molécule modifiée, qui retrouvera son état d'origine pour colorer le mélange en bleu.  +
'''Les liaisons organiques''' sont des liaisons qui, comme pour tous les êtres vivants, contiennent du carbone. Le sucre (dextrose), le beurre, le miel (fructose), le vinaigre (acide acétique) contiennent des liaisons organiques. On appelle '''liaisons inorganiques''' celles qui ne contiennent pas de carbone. L'argile (oxyde d'aluminium) ou le sel de cuisine (chlorure de sodium) contiennent des liaisons non organiques.  +
<u>Explications de la variante :</u> L'éponge humide a mieux absorbé l'eau que l'éponge sèche. C'est parce que, pour entrer dans l'éponge sèche, l'eau doit d'abord chasser tout l'air qui se trouve à l'intérieur. C'est pour cela que, lorsque tu as mouillé l'éponge avant l'expérience, il a fallu laisser un certain temps l'éponge sous l'eau courante avant qu'elle commence à devenir humide et à absorber efficacement l'eau. Une fois l'éponge humide, celle-ci absorbe beaucoup plus facilement l'eau et la retient au lieu de la laisser ruisseler sur les côtés. Dans cette expérience, les éponges fonctionnent de la même façon que le sol qui reçoit le ruissellement des pluies. Un sol humide boit mieux, absorbe mieux l'eau de ruissellement qu'un sol sec de même composition. Les zones humides, comme les marais, sont souvent des lieux où se rassemblent toutes les eaux de ruissellement venant de la pluie ou des cours d'eau avoisinants lorsqu'ils débordent, de la même façon que l'éponge humide absorbe l'eau qui déborde du chemin dans notre expérience. Lorsqu'on les assèche, par exemple quand on construit une route ou un parking, ou pour installer des parcelles de culture, ces mêmes zones ne peuvent plus retenir l'eau comme auparavant. Cette eau, si elle ne peut être absorbée par les sols, va aller s'écouler dans les territoires alentour, où se trouvent sans doute des habitations, voire des villages ou des villes. En asséchant les zones humides, on augmente donc le risque d'inondation dans les zones avoisinantes.  +
Le centre de gravité (CdG), appelé G, est le point d'application de la résultante des forces de gravité (la pesanteur). Notre système règle + élastique + marteau est soumis à 2 forces extérieures : son poids qui s'applique à son centre de gravité et la force de réaction de la table qui s'applique au point de contact de la règle avec la table. Pour que le système soit stable, il faut que ces 2 forces soient égales et opposées. Le centre de gravité se positionne naturellement sous le point de sustentation (point de contact avec la table), exactement comme un pendule ou un fil à plomb se stabilise lorsqu'il est à la verticale de son point de sustentation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_d%27inertie  +
'''Les éruptions :''' Éruption effusive : La lave qui s'accumule au sommet du volcan forme un bouchon. Si les éruptions sont calmes, le bouchon va être creusé petit à petit et la lave va s'écouler le long des pentes. Éruption explosive : Si la pression des gaz et de la lave est trop grande dans le volcan, le bouchon va sauter ! Entrainant avec lui le gaz et la lave qui vont jaillir vers le haut. Dans certains volcans, entre les éruptions, des gaz peuvent s'échapper par des fissures. Cela crée des fumées que l'on appelle des fumerolles. '''La réaction acido-basique :''' Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH<sub>3</sub>COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO<sub>3</sub>) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le ballon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente, ce qui gonfle le ballon, qui reste alors gonflé s'il n'y a pas de fuite. <u>Voici le détail des réactions en jeu :</u> Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et  bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) : NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) : CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) : H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub> La réaction complète se résume ainsi : NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  
Principaux points sur l'évolution du trait de côte de quelques communes littorales :<br /><br />*Brest : en comparant les photos, on remarque qu'une zone portuaire très étendue a été construite, avec hangars, stations d'épuration, bassins à flots, parkings, chantiers navals, aires de carénage... le port de plaisance est bien visible, de même que le chenal creusé pour y accéder. Les surfaces agricoles sont moins nombreuses que dans les années 50, surtout au Nord, où la ville s'est étendue, et les parcelles (champs) sont plus grandes (ce qui facilite le labourage et la récolte par des engins agricoles à moteur).<br />*<br />*Lorient : on constate qu'une grande surface de vasière a été recouverte par la construction d'une vaste zone portuaire. La zone photographiée, située en fond de la rade et au centre ville de Lorient, ne comporte pas de parcelles agricoles, ni dans les années cinquante ni plus tard. Les bateaux de plaisance sont nombreux et bien visibles dans le port sur la photo récente, alors qu'ils étaient peu nombreux et dispersés dans les années cinquante. Ceci illustre bien le très fort développement de la plaisance ces dernières décennies, comme de l'ensemble des loisirs nautiques.<br /><br />*Arzal : sur un site presqu'exclusivement agricole dans les années cinquante, on distingue le nouveau port de plaisance et sa zone portuaire, et le célèbre barrage qui traverse la rivière. Un autre élément frappant est l'accumulation très importante de sédiment apparue en amont du barrage : une zone envasée s'est formée contre le barrage, et un banc de sable ou de vase s'étend maintenant sur plusieurs centaines de mètres. Les villes et villages se sont étendus, et les surface agricoles ont diminué.<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Evolution du trait de cote Comparatif photos Arzal.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" class="image" title="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal"><img alt="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal" src="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/600px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" width="600" height="450" srcset="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/900px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg 1.5x, /images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/1200px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg 2x" data-file-width="1824" data-file-height="1368" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />*St Cast le Guildo : Le principale changement observable sur la côte est la construction du port de plaisance, qui abrite de très nombreux bateaux, et l'apparition de surfaces bétonnées (parkings) à proximité. La plage voisine est toujours intacte (attention à ne pas confondre l'érosion et l'effet des marées, la photo ancienne est visiblement prise à marée basse). La ville s'est légèrement étendu, les parcelles agricoles ont reculé.<br />*Roscoff : la commune et sa côte ont beaucoup changé depuis les années 50. Un port-terminal ferry a été construit pour assurer les liaisons des ferries avec l'Angleterre et l'Irlande, accompagné de parkings et voies d'accès de véhicules très étendus. Un important port de plaisance a ensuite été construit (vers 2010). Les surfaces agricoles, très nombreuses dans le passé, ont beaucoup regressé, les champs sont moins nombreux mais ils sont devenus plus grands, les habitations se sont multipliées.<br />*Etel : on observe que la ville s'est nettement développée, remplaçant une part importante des surfaces agricoles et des dunes voisines de la ria. L'installation d'un port de plaisance a sans doute été accompagnée d'opérations de dragage et de consolidation des bords de la rivière (les eaux sont visiblement plus profondes) et d'une artificialisation d'une partie de la zone naturelle de vasière de la ria d'Etel.<br />*Ile de Groix : on est frappé par la multitude de très petites parcelles agricoles visibles dans les années cinquante sur cette partie de l'île, probablement travaillées encore en partie sans engins agricoles mécanisés à cette époque, qui ont cédé la place à des champs individuellement plus étendus mais moins nombreux. Les zones boisées, très rares sur l'île dans le passé, sont plus nombreuses (le bois servant de combustible avant la généralisation de l'électricité, et même les plus petites surfaces étant réservées à l'agriculture, les arbres étaient coupés). Le village (Locmaria) s'est étendu. La célèbre plage convexe des Grands Sables située à la pointe de l'île dans les années cinquante a migré progressivement vers le Nord sous l'effet de l'érosion.<br />*Le Vivier sur Mer : on remarque que les champs occupent globalement une surface moins importante, mais sont chacun plus grands que dans le passé. La ville s'est étendue, et une zone portuaire a été construite. Le chenal naturel a apparemment été élargi et son tracé modifié par dragage.  
Avec les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale, notre représentation de l'univers a radicalement changé au 20e siècle. L'univers est en expansion. Cela signifie que les distance entre les astres augmentent avec le temps. Etrangement pourtant, ce ne sont pas les astres qui bougent. C'est l'espace-temps entre les astres qui se dilate comme le fait le caoutchouc d'un ballon qu'on gonfle. L'idée que l'univers ne serait pas infini, fixe, statique, éternel date de bien avant le début du 20e siècle. Le paradoxe de Cheseaux Olbers a été exposé de manière documentée pour la 1ère fois par Thomas Digges en 1576. Si on suppose un univers infini, fixe, statique et éternel, il contient donc une infinité d'étoiles réparties de manière homogène. Si cela est le cas, quelle que soit la direction dans laquelle on regarde, il devrait y avoir une infinité d'étoile. Donc le ciel nocturne devrait être occupé en tout point par une étoile. Donc le ciel nocturne devrait être aussi brillant qu'un étoile. De manière amusante, Einstein était persuadé que l'univers était fixe au début de sa carrière. Il a ainsi ajouté une constante dans ses équations pour les rendre compatibles avec l'hypothèse d'un univers fixe. Ce sont d'autres chercheurs qui ont produit le modèle du Big Bang à partir de la théorie de la relativité générale d'Eintein. L'expression "Big bang" a été utilisée pour la première fois à la radio dans le but de moquer un modèle considéré par de nombreux astrophysiciens comme absurde.  +
Cela s appelle l oxydoreduction Le glucose sert de "combustible " a la réaction Clin d'œil a mon ami  +
Alors comment faire en sorte que notre stop motion ait l'air encore plus réaliste? En augmentant le nombre d'images qui se succèdent pas seconde d'une part... ou en rajoutant à notre animation du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Flou_cin%C3%A9tique#mediaviewer/File:Figure-Animation2.gif flou cinétique] à l'aide d'un logiciel d'animation : c'est le flou que l'on peut voir lorsque l'on prend l'on prend une photographie d'une personne qui bouge, et que nous interprétons comme du mouvement.Cette technique est maintenant très commune dans les films (d'animation ou non) et les jeux vidéos. Elle permette d'accentuer la sensation de mouvement, sans pour avoir à augmenter le nombre d'images par secondes. Pratique!  +
F
Une maquette de bassin versant peut être animée et complétée selon les notions que l'on souhaite aborder. On pourra ajouter au sol, notamment sur les bords et aux embouchures des rivières, des morceaux de mousse ou d'éponge, du sable, de la terre, pour illustrer le comportement de l'eau dans des zones humides et les marais littoraux. Sur les pentes du bassin versant, on peut disposer de longs boudins de pâte à modeler, pour représenter les sillons des champs cultivés et les talus qui bordent certaines parcelles agricoles. En ajoutant des carréponges sur les « champs » et les berges des rivières, ceux-ci absorberont en partie l'eau, comme le font les haies et le couvert végétal que l'on fait pousser entre les récoltes pour limiter le ruissellement.  +
La vapeur d'eau, plus légère, s'élève dans les airs jusqu'à atteindre une zone plus froide. L'eau y refroidit au contact de cet air froid (dans notre expérience, l'air froid est représenté par l'assiette pleine de glaçons) et forme de minuscules gouttelettes en suspension dans l'atmosphère, elle se '''condense''', formant ainsi les nuages. Lorsque les gouttes en suspension deviennent trop lourdes, l'eau tombe, on dit qu'elle '''précipite''', c'est ce que l'on appelle la pluie.  +
Ceux de la poubelle noire seront enfouis ou brûlés dans un incinérateur. Ils mettront des décennies voir des siècles à être dégradés, déchargeant des produits toxiques dans la terre. Les fumées s’échappant des incinérateurs contiennent aussi des produits toxiques, et rejettent des gaz à effet de serre. Ceux de la poubelle jaune, ainsi que le verre et les épluchures seront recyclés. Cela signifie qu’ils vont être transformés en de nouvelles matières et objets. Par exemple : *le verre sera refondu et deviendra... du verre à nouveau ! *les plastiques de bouteilles deviendront des fibres textiles, qui seront cousues pour faire des polaires *les canettes en fer, deviendront des cadres de vélos *le carton et le papier, une fois les encres éliminées, deviendront des feuilles de papier (comme tu viens de le faire !) *les épluchures et autres “déchets verts” vont être compostés, ils seront transformés en une terre riche, une aubaine pour les jardiniers ! Les piles, ampoules, et médicaments seront traités différemment du fait de leur toxicité. Tout cela a un coup, et consomme beaucoup d’énergie, c’est pourquoi nous te conseillons de limiter le plus possible les emballages, de les réutiliser. '''Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! '''  +
Un planeur ne fait que planer, il n’est pourvu d’aucun moyen de propulsion. Pour se maintenir en l’air, le planeur se déplace plus vite que l'air environnant. S'il n'y a pas de vent, un planeur peut continuer à planer s'il va assez vite. Pour pouvoir voler, un planeur doit être accéléré jusqu’à ce qu’il atteigne sa vitesse d’envol, c’est-à-dire la vitesse à laquelle les ailes engendrent une portance suffisante pour vaincre la force de gravitation. Un planeur a donc besoin d’être amené à une certaine hauteur avant de commencer à voler. Il existe deux techniques : le remorquage et le treuillage. Pour remorquer un planeur, on utilise un avion remorqueur. Un câble est fixé dans le nez du planeur. L’ensemble décolle et une fois parvenu à la bonne hauteur, le pilote du planeur utilise le système de largage du câble et commence à voler par ses propres moyens. Pour treuiller, on utilise un treuil, fixé en bout de piste de décollage. Cette technique ressemble un peu à la manière dont on lance un cerf-volant. Une fois autonome, le planeur peut encore prendre de l’attitude. Le planeur doit être dirigé sur une colonne d’air chaud et y faire un virage. Comme l’air chaud est plus léger que l’air ambiant, lorsque le planeur se trouve dans la colonne d’air, il se trouve aspiré vers les hauteurs. Cette technique permet au pilote de rester plus longtemps en vol. Le record mondial de distance est actuellement de 2100 km réalisé en Nouvelle-Zélande.  +
Dans notre cas, nous avons utilisé pour l'impression une Ultimaker 2+ avec du PLA rouge mais n'importe quelle imprimante 3D plastique fera l'affaire. Nous ne savons pas ce que cette catapulte peut donner si elle est imprimée avec une imprimante résine.  +
Le son : https://www.lumni.fr/video/la-vibration-d-une-colonne-d-air-les-instruments-a-vent Un peu plus technique : http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/son-propagation.xml  +
Toutes les matières ont une valeur de conductivité électrique: cela caractérise l'aptitude d'un matériau à conduire l'électricité. La valeur est en siemens par mètre (S/m), et on nomme cette valeur par ce symbole: ''σ.'' Cette formule indique qu'un matériau grand peut conduire plus d'électricité qu'un petit matériau. Les matériaux ont aussi une capacité à diminuer la conduction d'électricité, cela se nomme la résistivité électrique. Plus la distance de parcours de l'électricité dans la matière est grande, moins il n'y aura d'électricité, le reste sera "absorbé" par la matière.  +
Dans ce cas précis, si on utilise du thé chaud, quel facteur augmentant la densité va primer ? La chaleur du thé (il y aurait alors mélange en versant l'eau froide), ou le sucre du thé (le thé reste au fond) ?  +
Un corps solide immergé dans un liquide en équilibre est soumis à deux forces verticales et de sens contraires : son poids (P) et la poussée d’Archimède (F). Trois cas peuvent se présenter : #Le poids est plus grand que la poussée d’Archimède. Le corps va couler. #Le poids est plus petit que la poussée d’Archimède. Le corps va flotter #Le poids est égal à la poussée d’Archimède. Le corps va rester entre deux eaux. <u>Formule de la poussée d'Archimède</u> PA =  ρ<sub>fluide  </sub>x V x g      * PA= Poussée d'Archimède *  ρ<sub>fluide</sub> = masse volumique du liquide déplacé * V = volume du liquide déplacé * g= gravité La gravité sur Terre est égale à 9,807 m/s<sup>-2,</sup> , c'est la force qui nous attire vers le centre de la Terre. Durant l'expérience nous allons surtout jouer sur le paramètre "volume du liquide déplacé" en modifiant la forme de la pâte. Pour avoir une plus grande poussée d'Archimède, il faut augmenter le volume du liquide déplacé, ce qui revient à augmenter la surface immergée. En creusant et en étirant l'objet, nous augmentons la surface immergée.  +
Profondeur de champs et distance focal: http://apprendre-la-photo.fr/les-secrets-de-la-perspective/  +
En plaçant les filtres les uns à la suite des autres, on fait passer l'eau dans des espaces de plus en plus fins pour effectuer une filtration mécanique et se débarrasser des débris des plus gros aux plus petits. Ce mécanisme de filtration mécanique peut être complété par une filtration chimique, basée sur le principe de l'adsorption : il s'agit de la fixation de certains éléments chimiques à un matériau solide. Ici cette étape de filtration chimique est réalisée avec du charbon actif, qui capture certains polluants organiques : l'odeur du vinaigre et le colorant sont en partie fixés par la couche de charbon actif. Ajouter un matériau adsorbant permet d'améliorer la filtration car on pourra éliminer plus d'éléments polluants qu'avec la seule filtration mécanique. Plus la couche filtrante est épaisse et plus l'eau mettra du temps à la traverser, donc plus le charbon actif pourra piéger de polluants, et donc mieux l'eau sera nettoyée. <br/>  +
Pour aller plus loin, voici 2 petits livrets * https://github.com/julienrat/petitbot/blob/master/guide_peda.pdf * https://github.com/julienrat/petitbot/blob/master/manuel_tech_petitbot.pdf  +
La capillarité est due à la différence de [https://www.wikidebrouillard.org/wiki/Poivre_fuyard tension superficielle] entre deux liquides non miscibles (c'est à dire qui ne se mélangent pas), ou entre un liquide et l'air, ou encore entre un liquide et un matériau solide poreux. La capillarité est d'autant plus marquée qu'un liquide a une forte tension superficielle, ce qui dépend de sa composition chimique et des conditions ambiantes (température, pression). Un liquide à forte tension superficielle remonte en s'opposant à la gravité dans les matériaux composés de petits tubes très fins (appelés "tubes capillaires"). La progression du liquide s'arrête lorsque la gravité et la pression capillaire s'équilibrent. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 Source : La capillarité sur Wikipédia]  +
Sur la base de bénéfices réciproques, les relations des plantes à fleurs avec leurs pollinisateurs se sont perfectionnées et diversifiées, ce qui donne la grande diversité actuelle. Tous les insectes ne butinent pas les mêmes fleurs : certains pollinisent de nombreuses plantes, d'autres ne sont adaptés qu'à quelques espèces. Trois critères influent sur les relations plantes/insectes. La forme des fleurs conditionne le type d'insecte qui prélève le nectar, et la composition en sucre du nectar et du pollen influence le choix des plantes visitées par les insectes. '''La pollinisation rend aux humains d’immenses services économiques.''' La production de 84% des espèces cultivées en Europe (incluant la grande diversité de légumes et d’arbres fruitiers) dépend directement de la pollinisation par les insectes. '''À l’échelle de la planète, des études scientifiques estiment que le service « pollinisation » offert par le monde animal à l’agriculture vaudrait environ 153 milliards d'euros par an'''. Sans parler de la difficulté et du coût en personnel de la pollinisation si nous devions la faire à la place des insectes pollinisateurs !   Dans la région de l’Hindu Kush (en Himalaya), les pommiers représentent une source de revenus majeure pour les nombreuses familles de paysans. Une grande diversité d’abeilles étaient naturellement acclimatées à cette région de montagne. Or une trop forte utilisation des pesticides les fit disparaître, ce qui fit chuter de moitié la production de pommes. Les habitants durent alors polliniser les pommiers de leurs vergers à la main pour assurer la production de fruits : il fallu une vingtaine de personnes pour polliniser fleur après fleur une centaine de pommiers, travail habituel de 2 ruches ! Mais une stratégie écologique plus durable fut également testée et adoptée : limiter les traitements de pesticides et introduire l'apiculture, jusque-là inconnue dans cette région ! Des colonies d’abeilles domestiques, mais aussi des abeilles locales et adaptées au climat de la région furent introduites, ce qui permit à la production de pommes de redémarrer.  
Les propriétés physique du papier : http://cerig.pagora.grenoble-inp.fr/dossier/papier-materiau/page02.htm La résistance du carton : https://www.iggesund.com/globalassets/iggesund-documents/rm-pdfer/fr/3/proprietes_physiques_complexes_fr.pdf Comment fabrique-t-on le papier ? : https://www.youtube.com/watch?v=4ZW4tX4qSHg L'incroyable résistance de 2 annuaires en papier : https://www.science-et-vie.com/science-et-culture/l-incroyable-resistance-des-annuaires-telephoniques-enfin-expliquee-6436  +
Nous avons écrit un programme sur un ordinateur, qui est traduit et envoyé à l'Arduino dans un langage machine qu'il peut comprendre.  +
Une fois tout les squelettes montés, place à la préparation de l'exposition (musée). Préparer sur une table, des supports pour accueillir les squelettes et les pancartes explicatives. Décorés avec des fossiles ou des dessins ou des photos...  +
Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH3COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO3) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO2) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le bouchon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente dans la bouteille et devient trop forte pour être contenue par le bouchon. '''<u>Voici le détail des réactions en jeu :</u>''' Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na+) et  bicarbonate (HCO3−) : NaHCO3 → Na+ + HCO3−. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H3O+) et éthanoate (CH3COO−) : CH3COOH <–> H3O+ + CH3COO−. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H2CO3) : H3O+ + HCO3- → H2CO3 + H2O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO2), et de l'eau (H2O) : H2CO3 → H2O + CO2 La réaction complète se résume ainsi : NaHCO3 + CH3COOH → CO2 + H2O + CH3COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  +
Le principe physique utilisé dans la fusée à eau est le même que celui des vraies fusées telles que la fusée Ariane, c’est-à-dire la troisième loi de Newton, à savoir le principe de l’action/réaction. Énoncé de la 3ème loi de Newton : «Tout corps A exerçant une force sur un corps B subit une force d'intensité égale, de même direction mais de sens opposé, exercée par le corps B». Ici le mouvement exercé par l'eau qui s'échappe violemment de la bouteille vers le bas provoque un mouvement de la bouteille dans le sens opposé, et donc vers le haut.  +
G
Au pôle nord, il fait très froid, bien moins de 0°C, pourtant la mer ne gèle pas systématiquement. Pourquoi ? Notamment à cause du '''sel''' que contient l'eau de mer qui empêche la cristallisation. Mais le sel n'en est pas l'unique cause, en effet, il y a aussi les '''courants marins''' qui mouvementent l'eau et l'empêche d'être suffisamment stable pour geler convenablement. Si finalement la tempétature de l'eau est à -1,8°C ou moins suffisamment longtemps et que l'eau est bien stable, la surface de la mer gèle et devient la '''banquise'''... D'ailleurs on pourrait penser que la banquise serait de l'eau salée gelée. Mais en fait non ! Quand l'eau gèle, le sel s'en va dans l'eau liquide du dessous, la glace ne contient donc pas de sel !  +
Lorsqu’une surface est exposée à la lumière du soleil ou à autre une source lumineuse chaude, sa température augmente car elle absorbe une partie de la chaleur contenue dans les rayons lumineux, et en renvoie une partie. On dit qu’elle réfléchit une partie de la lumière. Cette augmentation de température sera plus ou moins importante selon la couleur et la matière de la surface éclairée. Les surfaces de couleur claire réfléchissent plus la lumière, et donc accumulent moins vite la chaleur que les surfaces sombres. Le pouvoir réfléchissant d'une surface est appelé « albédo ».  +
Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH<sub>3</sub>COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO<sub>3</sub>) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le ballon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente, ce qui gonfle le ballon, qui reste alors gonflé s'il n'y a pas de fuite. '''<u>Voici le détail des réactions en jeu :</u>''' Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et  bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) : NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) : CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) : H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub> La réaction complète se résume ainsi : NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  
Le disque étant gravé, le fait de placer l'aiguille sur le disque qui tourne crée une vibration dans l'aiguille ce qui fait que des ondes sonores se propagent (en l'occurrence de la musique). Le cône permet d'amplifier les ondes sonores, on peut ainsi les entendre. Il n'est pas possible de reproduire cette expérience sur les compact disc (CD) bien que de la musique soit gravée dessus. Il est nécessaire d'utiliser un lecteur optique et non un lecteur avec une aiguille comme tête de lecture.  +
Les illusions décrites plus haut sont des illusions d'optiques. Pour compléter les informations nous pouvons regarder : http://fr.wikipedia.org/wiki/Illusions_d%27optique  +
H
La mise en pratique de ces règles est encore une fois une question de compromis. Par exemple, il existe au moins un immeuble passif dont toutes les fenêtres saont au Nord. Il faut prendre en considération : - la pente du terrain et son orientation - les masques solaires environnants (montagnes, immeubles, arbres, ...) - le cas échéant les jolies vues (pas forcément plein Sud) - les sources de nuisances sonores (phoniquement aussi les murs isolent mieux que les vitrages) - les usages des habitants (le matin, on peut préférer avoir le soleil dans la cuisine ou dans la chambre) La compacité des constructions va souvent de pair avec des économies (plans plus simples, moins de matériaux) et est donc souvent acceptée en maison individuelle quand la configuration du terrain le permet. Pour des plus grandes constructions, il faut trouver l'équilibre entre la compacité et l'ensoleillement de la façade Sud.  +
Pour s'initier un peu plus au monde passionnant de l'optique et de la réfraction, n'hésitez pas à suivre le lien suivant : https://www.superprof.fr/ressources/scolaire/physique-chimie/seconde/optique/loi-de-la-refraction.html  +
I
Pour développer son territoire et l'adapter à l'évolution des besoins et des priorités, en particulier face à l'augmentation des évènements liés au changement climatique global (pollution, pluies plus intenses et inondations, pics de chaleur...), il est essentiel de travailler collectivement, en recueillant l'avis et les propositions des experts comme des citoyens et en définissant des priorités : l'environnement, la santé, l'emploi... La gestion durable d'une ville consiste mettre en place des mesures qui permettent de répondre aux besoins et aux attentes des habitants, mais aussi d'assurer des revenus économiques (tourisme, emploi...) sans dégrader l'environnement ou le cadre de vie, ni épuiser les ressources naturelles (eau, terres cultivables...). Tous les experts et les citoyens ne sont pas toujours du même avis et n'ont pas les mêmes priorités, et une commune n'a pas toujours le budget ou les équipements, ou l'espace disponible pour mettre en place les solutions les plus efficaces. Il est donc souvent compliqué voire impossible de satisfaire tout le monde, et il faut parfois faire des compromis !  +
Pour développer son territoire et l'adapter à l'évolution des besoins et des priorités, en particulier face à l'augmentation des évènements liés au changement climatique global (pollution, pluies plus intenses et inondations, pics de chaleur...), il est essentiel de travailler collectivement, en recueillant l'avis et les propositions des experts comme des citoyens et en définissant des priorités : l'environnement, la santé, l'emploi... La gestion durable d'une ville consiste mettre en place des mesures qui permettent de répondre aux besoins et aux attentes des habitants, mais aussi d'assurer des revenus économiques (tourisme, emploi...) sans dégrader l'environnement ou le cadre de vie, ni épuiser les ressources naturelles (eau, terres cultivables...). Tous les experts et les citoyens ne sont pas toujours du même avis et n'ont pas les mêmes priorités, et une commune n'a pas toujours le budget ou les équipements, ou l'espace disponible pour mettre en place les solutions les plus efficaces. Il est donc souvent compliqué voire impossible de satisfaire tout le monde, et il faut parfois faire des compromis !  +
Pour développer son territoire et l'adapter à l'évolution des besoins et des priorités, en particulier face à l'augmentation des évènements liés au changement climatique global (pollution, pluies plus intenses et inondations, pics de chaleur...), il est essentiel de travailler collectivement, en recueillant l'avis et les propositions des experts comme des citoyens et en définissant des priorités : l'environnement, la santé, l'emploi... La gestion durable d'une ville consiste mettre en place des mesures qui permettent de répondre aux besoins et aux attentes des habitants, mais aussi d'assurer des revenus économiques (tourisme, emploi...) sans dégrader l'environnement ou le cadre de vie, ni épuiser les ressources naturelles (eau, terres cultivables...). Tous les experts et les citoyens ne sont pas toujours du même avis et n'ont pas les mêmes priorités, et une commune n'a pas toujours le budget ou les équipements, ou l'espace disponible pour mettre en place les solutions les plus efficaces. Il est donc souvent compliqué voire impossible de satisfaire tout le monde, et il faut parfois faire des compromis !  +
C’est en se basant sur ce constat que les scientifiques ont bâti des indices biologiques. Ils répondent à des normes (cahier des charges précis) et permettent de comparer les résultats en minimisant au maximum les effets liés à la personne qui réalise l’observation, à l’hydroécorégion, etc. Les différents indices permettent d’appréhender le « bon état écologique » des eaux de surface<sup>4</sup>. Ces indices ne permettent toutefois que de faire un diagnostic de l’état de dégradation de la biodiversité des milieux aquatiques, en mesurant les effets à relativement long terme de pressions chroniques. Ils permettent, par l’ampleur des effets sur l’abondance et la richesse, de quantifier l’intensité de cette pression. Par le maillage territorial, ils permettent d’identifier approximativement la localisation de cette pression. Cependant, d’autres outils sont nécessaires pour parvenir à anticiper, ou tout du moins à agir précocement, dès que les premiers effets d’une perturbation sont mesurables. Pour cela, des indicateurs à l’échelle moléculaire (expression des gènes) ou physiologique (modification de la reproduction par exemple) sont en cours de développement. Les différents groupes utilisés sont les suivants<sup>5</sup> : *Les diatomées (algues qui présentent une enveloppe externe en silice (sable), avec l’indice IBD2007<sup>6</sup> ; *Les macrophytes (plantes aquatiques visibles à l’œil nue), avec l’indice IBMR<sup>7</sup> ; *Les poissons, avec l’indice IPR+<sup>8</sup> ; *Les macro-invertébrés, avec l’indice I<sub>2</sub>M<sub>2</sub><sup>9</sup>. Ces différents indices servent en routine et sont utilisés dans toutes l’Europe.  +
'''Conclusion''' Pour finir, ce jeu peut également servir à faire émerger des stratégies face à la machine, comme prendre des risques qui paraîtraient illogiques contre un humain, afin d'explorer des scénarios dans lesquels l'IA n'a pas encore appris. On peut également s'interroger sur la méthode pédagogique ou d'apprentissage à adopter, puisqu’au lieu de « punir » en enlevant la perle indésirable, on pourrait aussi bien « récompenser » en ajoutant par exemple une perle de même couleur à chaque coup gagnant de l'IA. Ce procédé a d’ailleurs un avantage puisque s’il permet d’améliorer les performances de l’IA d’un point de vue statistique, il laisse toujours une opportunité au joueur humain de gagner.  +
J
Les espèces vivantes ne choisissent pas de changer en fonction des changements de leur environnement. Elles évoluent et donc changent en permanence sous l'effet de mutations génétiques, qui sont des modifications aléatoires et involontaires, pouvant entrainer des modifications de l'apparence, du comportement, de la taille des individus. La hasard fait que certaines de ces modifications peuvent parfois avantager les individus qui en sont porteurs, comme ici en les rendant plus difficiles à distinguer pour leurs prédateurs. Les individus porteurs de cette modifications auront alors plus de chances de survivre et/ou de se reproduire et donc de transmettre cette modification à leur descendance, ce qui la rendra plus fréquente chez cette espèce. Au contraire, l'absence de mutation ou des mutations peuvent parfois représenter un désavantage pour les individus qui en sont porteurs, qui auront tendance à décliner voire à disparaitre chez l'espèce concernée. Sur une plus longue échelle, ces mécanismes de sélection naturelle sont aussi à l'origine de l'apparition de nouvelles espèces.  +
K
Lorsque l'on entend un son il se passe la chose inverse: le son produit qui fait vibrer l'air se propage dans l'espace environnant, arrive jusqu'à notre tympan de notre oreille. Notre tympan, qui est lui aussi une membrane, se met à vibrer et grâce à d'autres organes présents dans notre oreille, cette vibration est interprétée comme un son.  +
L
On remarque que les éponges, même si elles sont bien essorées, contiennent encore de l’eau ? C’est la même chose pour le sol. Il a une capacité à retenir de l’eau. Pour un sol, la quantité d’eau qu’il peut absorber entre le moment où il est sec et le moment où il sature (il ne peut pas contenir plus d’eau) est appelée « réserve utile ». C’est la quantité d’eau qui peut en être facilement extraite, par les racines des plantes par exemple. Celle-ci est mesurée en millimètres de hauteur d’eau, comme la pluie. Elle varie principalement selon le type de sol (graviers, sable, terre argileuse). Si un sol est privé d'eau pendant une longue période, il peut perdre ses réserves d'eau. C'était le cas de l'éponge toute sèche. Les pores qui retenaient l'eau se rétractent et sa structure se modifie. On observe parfois des fissures qui témoigne de son assèchement. Lorsque c'est le cas, l'eau a du mal à se frayer un chemin, le coefficient de ruissellement augmente alors fortement. Lorsqu’une éponge est gorgée d’eau (dès le début ou après quelques instants d’arrosage) elle n’est plus capable d’en absorber. Son coefficient de ruissellement monte alors jusqu’à 100% (toute l’eau ruisselle) ! C'est la même chose pour le sol, si la pluie est trop intense ou dure trop longtemps, il finira par saturer. Nos éponges ont des coefficients de ruissellement très différents selon leur état. De la même façon, l’inclinaison ou le relief du sol peut influer fortement sur le ruissellement. Il est possible de tester cela facilement chez soi : l’eau s'écoule très rapidement sur les surfaces qui ne sont pas horizontales. Un sol en pente a un coefficient de ruissellement bien supérieur à celui d'un sol horizontal de même surface . Au contraire, si un sol comporte des bosses et des creux, ceux-ci vont ralentir l’écoulement de l’eau et l’aider à s’infiltrer.  +
Pour définir l'isolation d'un matériau on utilise plusieurs grandeurs : - la conductivité thermique ''lambda'' (W/m.°C) caractérise la capacité d'un matériau à transmettre la chaleur par conduction. Plus lambda est petit, plus le matériau est isolant. (les laines isolantes ont typiquement un lambda autour de 0,04 W/m.°C, la mousse PU allant jusqu'à 0,02) - la résistance thermique ''R'' (en m<sup>2</sup>.°C/W) donne la capacité d'une paroi d'une certaine épaisseur à résister au transfert de chaleur ''R=e/lambda''. Ainsi, plus un mur est épais, plus il est isolant. Ou, pur une épaisseur donnée, plus le matériau utilisé a un lambda petit, plus le mur est isolant. - le coéfficient de transmission calorifique ''U'' (en W/m<sup>2</sup>.°C) est l'inverse de ''R'' et représente la capacité d'une paroi d'une épaisseur donnée à laisser passer la chaleur. Plus ''U'' est petit, plus la paroi est isolante. Par exemple un mur en ossature bois et bottes de paille peut avoir un U=0,18 W/m<sup>2</sup>.°C soir un R=0,45 m<sup>2</sup>.°C/W Un mur en pierre de 60 cm d'épaisseur (cela dépend de la pierre) a un U=3 W/m<sup>2</sup>.°C soit un R=0,45 m<sup>2</sup>.°C/W Un double vitrage 4-16-4 à gaz argon a un U autour de 1,3 W/m<sup>2</sup>.°C  +
Plongé dans l'eau, l’œuf subit deux forces, le poids et la poussée d’Archimède. Dans l'eau douce, l’œuf coule, cela signifie qu'il est plus dense que l'eau mais aussi que son poids est supérieur à la poussée d’Archimède.<br /> '''La poussée d'Archimède est une force qui s'oppose au poids. Elle s'applique sur les objets placés dans un fluide, comme l'eau.'''<br />Lorsque l’on rajoute de l’eau saturée en sel, la densité de la solution eau-sel devient plus forte. L'eau devient alors plus dense que l’œuf, et l’œuf se met à flotter.<br /><br />Présentation et schéma des trois cas :<br /><br />* Premier cas : l’œuf coule dans le liquide qui est l’eau :<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Loeuf qui flotte Archimede coule.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/2/2b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_coule.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Loeuf_qui_flotte_Archimede_coule.jpg" class="image"><img alt="Loeuf qui flotte Archimede coule.jpg" src="/images/2/2b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_coule.jpg" width="488" height="400" data-file-width="488" data-file-height="400" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />L’œuf coule dans le liquide, cela signifie que le poids est supérieur à la poussée d’Archimède.<br /><br />* Deuxième cas : on rajoute du sel dans l’eau, l’œuf flotte.<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Loeuf qui flotte Archimede flotte.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/7/7b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_flotte.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Loeuf_qui_flotte_Archimede_flotte.jpg" class="image"><img alt="Loeuf qui flotte Archimede flotte.jpg" src="/images/7/7b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_flotte.jpg" width="398" height="354" data-file-width="398" data-file-height="354" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />L’œuf est au fond du bocal, on rajoute maintenant du sel dans le bocal. Lorsque le sel est rajouté dans l’eau, il se dissout et le mélange eau-sel donne une solution dont la masse volumique varie en fonction de la quantité de sel. La densité de l’œuf est inférieure à la densité de l'eau salée dans le cas présent.<br /><br />* Troisième cas : l’œuf reste en sustentation (il reste entre deux eaux) dans la solution :<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:L oeuf qui flotte en sustentation.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/a/a1/L_oeuf_qui_flotte_en_sustentation.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:L_oeuf_qui_flotte_en_sustentation.jpg" class="image"><img alt="L oeuf qui flotte en sustentation.jpg" src="/images/a/a1/L_oeuf_qui_flotte_en_sustentation.jpg" width="435" height="332" data-file-width="435" data-file-height="332" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />La densité de l’œuf est égale à la densité de l'eau salée dans le cas présent.  
L'énergie de départ est le vent. On souffle sur l'hélice. L'hélice tourne et fait tourner l'axe du générateur, l'énergie du vent est alors transformée en énergie mécanique. Le moteur est utilisé comme une dynamo : il transforme cette énergie mécanique en énergie électrique en générant un courant qui traverse les fils électriques reliés à la diode. Celle-ci peut alors s'allumer si elle est connectée dans le bon sens du courant. <br/>  +
Pour évaporer l'eau, on la porte à ébullition. C'est la température à partir de laquelle l'eau passe sous sa forme gazeuse. Pourtant dans la nature l'eau atteint rarement les 100°C et on constate de l'évaporation ! En réalité, le vent facilite grandement ce phénomène, notamment quand l'air est sec. [1] Dans le cas où un composé peut s'évaporer et se retrouver dans l'atmosphère, on dit qu’il est volatil. Les polluants volatils peuvent être très compliqués à traiter car selon la météo, ils peuvent s'échapper et apparaitre à d'autres endroit. Lorsque les polluants ne peuvent pas s'évaporer, leur concentration va augmenter. Le simulateur suivant permet de s'amuser avec les concentrations pour comprendre le phénomène : https://www.phychiers.fr/concentrations/  +
L'eau est un élément chimique dit : ''thermodynamique''. C'est à dire qu'il est soumis au changement lorsque qu'il subit un changement de température. L'eau est connue sous 3 différents états : la glace, le liquide, la vapeur. Lors du passage de l'un à l'autre de ces états, les molécules qui composent l'eau vont s'agiter, s'agglomérer... à cause du changement de température. La dilatation de l'eau ne s'effectue pas uniquement à cause de la chaleur. Elle s'effectue également lorsque l'eau passe de l'état liquide à l'état solide (glace). En effet, l'eau à l'état solide prend également plus de place que dans un état liquide. <br/>  +
Dans les écosystèmes, les espèces peuvent être regroupées par traits fonctionnels. Par exemple, pour des plantes, on peut regrouper l’ensemble des espèces ayant le même type racinaire au sein d’un premier trait, puis regrouper les espèces ayant des surfaces de feuilles équivalentes au sein d’un deuxième trait, etc. Pour les macro-invertébrés, un trait peut être le régime alimentaire, comme nous l’avons vu dans cette fiche. Un insecte (Plécoptère) et un crustacé (Gammare) peuvent être présents dans le même groupe (déchiqueteur par exemple) pour cette caractéristique. Un autre trait peut être l’habitat utilisé (végétaux, cailloux, sable…). Le plécoptère et le gammare peuvent différer de ce point de vue là, le premier vivant plutôt sur des cailloux, le second dans les végétaux. Ils mangent donc la même chose, mais pas au même endroit dans la rivière ! La même espèce peut être regroupée avec des espèces différentes dans des traits différents, en fonction de la caractéristique de celle-ci qui sera considérée. Une fois les traits renseignés pour les différentes espèces, il est possible d’avoir une image des différents processus ayant lieu dans un écosystème, comme la capacité à dégrader la litière (les feuilles mortes des arbres), la capacité d’une prairie à aller chercher les éléments nutritifs en profondeur, etc. Cette pratique scientifique se nomme l’écologie fonctionnelle. Ici, deux notions entrent en jeu : - La '''diversité spécifique''' représente le nombre d’espèces présentes dans un milieu donné ; - La '''diversité fonctionnelle''' peut être définie comme la diversité des traits fonctionnels, ces traits étant des composantes du phénotype des organismes qui influencent des processus écosystémiques. Dans un écosystème, les espèces vont assurer des fonctions qui sont similaires (par exemple plusieurs espèces dégradent la litière) mais chaque espèce va réaliser cette fonction de façon un peu différente. Plus la diversité spécifique est importante et plus la diversité fonctionnelle l’est aussi, plus les processus sont stables et pérennes. Lorsqu'advient une perturbation, certaines espèces seront capables d’y faire face et si certaines disparaissent, la redondance fonctionnelle fait que les processus vont pouvoir continuer à avoir lieu. Ce phénomène constitue donc aussi, entre autres, le moteur de la résilience des écosystèmes. Dans les écosystèmes peu diversifiés, la moindre perturbation peut avoir des conséquences importantes sur les processus écosystémiques.  
Ce phénomène est appelé la polarité électrique : les pôles opposés s’attirent, les électrons (-) et protons (+) s’attirent entre eux.    +
Cette expérience permet d’expliquer la fonte des glaces sur la planète. As-tu déjà entendu parler de glaciers, de banquise et d’iceberg ? '''Le glacier''' se forme en général en haute montage ou au niveau des pôles grâce à l'accumulation de la neige. En se tassant sous son propre poids, la neige devient compacte : elle expulse progressivement l'air qu'elle renferme et se transforme en glace. Lorsqu’on parle de glaciers, on peut utiliser les mots calotte glaciaire et inlandsis : la calotte glaciaire est un très grand glacier, et l'inlandsis correspond à plus de 50 000 km² de glace terrestre (l’Arctique et l’Antarctique sont les deux seuls inlandsis qui existent à ce jour sur la planète). Parfois, un morceau de glacier, parfois très gros, se détache et tombe dans la mer où il dérive au gré des courants : c’est ce qu’on appelle un '''iceberg'''. '''La banquise''' se forme en mer, contrairement au glacier. Des cristaux de glace se forment lorsque l'eau atteint -1,8 °C. Ces cristaux se solidarisent et forment une couche de glace qui peut atteindre 3 à 4 mètres d'épaisseur. Que se passe-t-il lorsque la banquise ou les glaciers fondent ? L’expérience nous montre que de la fonte de la glace déjà présente dans l’eau (= banquise) ne fait pas monter le niveau de l’eau (verre 1). Par contre, lorsque la glace terrestre (= glaciers, chutes d'icebergs) fond, nous observons une augmentation du niveau de l'eau (verre 2). Le résultat observé dans le verre 1 s'explique par le rôle de la '''poussée d'Archimède'''. Celle-ci correspond à la force verticale, dirigée de bas en haut, que subit un corps plongé dans un fluide (liquide ou gaz), opposée au poids du volume de fluide déplacé. La poussée d'Archimède permet d'expliquer notamment pourquoi un bateau flotte ou une montgolfière peut s'élever dans les airs, ou comment un plongeur ou un sous-marin peuvent contrôler leur flottabilité en faisant varier la pression d'un gaz dans un réservoir. <div class="icon-instructions info-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">En réalité, l'eau sous forme de glace occupe un peu plus de place que l’eau liquide. Tu l'as peut-être déjà remarqué à la maison après avoir placé de l'eau ou un bac à glaçons au congélateur. Il arrive parfois aussi que le gel fasse éclater un tuyau d'eau mal protégé lorsque les températures sont très basses. Ce phénomène est particulier à l'eau et à quelques autres composés et est lié aux propriétés chimiques des liaisons atomiques. Cependant, comme tu l'as sans doute observé, les glaçons placés dans le verre 1 ne sont pas totalement immergés dans l'eau. Grâce à la poussée d'Archimède, on comprend ainsi que le volume de glace immergé correspond au volume d'eau nécessaire pour égaler le poids du glaçon (ou de l'iceberg !). Selon cette même loi, un glaçon produit en fondant le même volume d'eau que la glace solide occupait précédemment. Le niveau de l'eau reste donc le même.</div> </div> A présent que nous avons compris comment la fonte des glaces entraîne la montée du niveau des océans, il reste à expliquer '''pourquoi''' ce phénomène se produit à l'heure actuelle. En effet, depuis un siècle, le niveau des mers et des océans s'est élevé d'environ 20 à 30 cm. Au cours de la même période, la température moyenne sur la planète a augmenté d'environ 0,8 °C (à 0,2 °C près). L'atmosphère et les océans sont intimement liés : lorsque la température de l'atmosphère augmente, celle des océans augmente aussi. Le '''changement climatique''' est une des raisons principales de la montée des eaux. Cependant, contrairement à ce que l'on pourrait penser intuitivement, la fonte des glaces n'explique pas à elle seule cette montée des eaux. Un autre phénomène lié à la hausse des températures joue également un rôle très important, il s'agit de la '''dilatation thermique'''. L’eau est un corps qui se dilate sous l’effet d’une augmentation de température. La dilatation signifie l’augmentation du volume : lorsqu’un corps se dilate, il prend plus de place. Les molécules d’eau (les briques microscopiques qui composent l’eau) s’agitent lorsque la température augmente, et prennent donc plus de place. A titre d’exemple, imagine qu'une cinquantaine de personnes sont dans une grande salle : si les personnes restent immobiles ou bougent peu, elles tiennent facilement dans cet espace restreint. Par contre, si les personnes commencent à s’agiter, ou à danser, elles vont s’éloigner les unes des autres et prendre plus d’espace. C’est un peu pareil pour les molécules d’eau : quand la température augmente elles s’agitent, s’écartent les unes des autres, et le volume de l’eau augmente. <div class="icon-instructions info-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">Même si notre expérience ne mettait pas en évidence directement le rôle de la dilatation dans la montée du niveau de l'eau, celle-ci est toutefois bel et bien présente et il se pourrait d'ailleurs que son impact soit observable dans de bonnes conditions. En effet, dans l'expérience, nous avons utilisé de l'eau chaude pour faire fondre les glaçons plus vite. Une fois les glaçons fondus, ceux-ci ont fait légèrement baisser la température de l'eau contenue dans le verre 1 et ont donc provoqué une faible diminution de son volume. Cela pourrait donc avoir également contribué au résultat de l'expérience (le verre 1 ne déborde pas). Pour s'en assurer, on peut refaire l'expérience avec de l'eau froide et vérifier que nous obtenons bien les mêmes résultats. Dans ce cas, les conclusions de notre expérience resteraient toujours valables.</div> </div> La fonte des glaces et la dilatation thermique des eaux de surface des mers et océans, toutes deux liées au changement climatique, sont à l'origine de la hausse du niveau des océans (en réalité, de nombreux autres facteurs contribuent à la hausse observable, mais dans des proportions bien moindres). Les '''conséquences''' de cette montée des eaux risquent d'être dramatiques au cours des prochaines décennies. En effet, les modèles proposés par les chercheurs prédisent qu'à l'horizon 2100 l'élévation du niveau des eaux pourrait atteindre 50 cm, voire jusqu'à 3 m si on prend en compte les hypothèses les plus pessimistes ! Or, une grande part de la population mondiale vit aujourd'hui dans la zone littorale, et ce chiffre est en constante augmentation (634 millions de personnes vivraient ainsi à proximité des côtes et à une altitude inférieure à 10 m). Le retrait du trait de côte va donc provoquer des déplacements de ces populations et créer ce que l'on appelle des réfugiés climatiques. Les premiers territoires touchés seront d'une part les îles de faible altitude de l'Océan Pacifique (Tuvalu, Kiribati, etc.) et les pays où les densités de populations littorales sont les plus fortes, principalement en Asie (Chine, Inde, Bangladesh, Indonésie, Vietnam). Les humains ne seraient pas les seuls impactés, car les zones littorales sont aussi de grands réservoirs de biodiversité. Une montée des eaux pourrait entraîner la submersion et l'érosion de nombreux habitats, la salinisation des estuaires, l'accroissement des inondations, etc.