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F
Ceux de la poubelle noire seront enfouis ou brûlés dans un incinérateur. Ils mettront des décennies voir des siècles à être dégradés, déchargeant des produits toxiques dans la terre. Les fumées s’échappant des incinérateurs contiennent aussi des produits toxiques, et rejettent des gaz à effet de serre. Ceux de la poubelle jaune, ainsi que le verre et les épluchures seront recyclés. Cela signifie qu’ils vont être transformés en de nouvelles matières et objets. Par exemple : *le verre sera refondu et deviendra... du verre à nouveau ! *les plastiques de bouteilles deviendront des fibres textiles, qui seront cousues pour faire des polaires *les canettes en fer, deviendront des cadres de vélos *le carton et le papier, une fois les encres éliminées, deviendront des feuilles de papier (comme tu viens de le faire !) *les épluchures et autres “déchets verts” vont être compostés, ils seront transformés en une terre riche, une aubaine pour les jardiniers ! Les piles, ampoules, et médicaments seront traités différemment du fait de leur toxicité. Tout cela a un coup, et consomme beaucoup d’énergie, c’est pourquoi nous te conseillons de limiter le plus possible les emballages, de les réutiliser. '''Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! '''  +
Un planeur ne fait que planer, il n’est pourvu d’aucun moyen de propulsion. Pour se maintenir en l’air, le planeur se déplace plus vite que l'air environnant. S'il n'y a pas de vent, un planeur peut continuer à planer s'il va assez vite. Pour pouvoir voler, un planeur doit être accéléré jusqu’à ce qu’il atteigne sa vitesse d’envol, c’est-à-dire la vitesse à laquelle les ailes engendrent une portance suffisante pour vaincre la force de gravitation. Un planeur a donc besoin d’être amené à une certaine hauteur avant de commencer à voler. Il existe deux techniques : le remorquage et le treuillage. Pour remorquer un planeur, on utilise un avion remorqueur. Un câble est fixé dans le nez du planeur. L’ensemble décolle et une fois parvenu à la bonne hauteur, le pilote du planeur utilise le système de largage du câble et commence à voler par ses propres moyens. Pour treuiller, on utilise un treuil, fixé en bout de piste de décollage. Cette technique ressemble un peu à la manière dont on lance un cerf-volant. Une fois autonome, le planeur peut encore prendre de l’attitude. Le planeur doit être dirigé sur une colonne d’air chaud et y faire un virage. Comme l’air chaud est plus léger que l’air ambiant, lorsque le planeur se trouve dans la colonne d’air, il se trouve aspiré vers les hauteurs. Cette technique permet au pilote de rester plus longtemps en vol. Le record mondial de distance est actuellement de 2100 km réalisé en Nouvelle-Zélande.  +
Dans notre cas, nous avons utilisé pour l'impression une Ultimaker 2+ avec du PLA rouge mais n'importe quelle imprimante 3D plastique fera l'affaire. Nous ne savons pas ce que cette catapulte peut donner si elle est imprimée avec une imprimante résine.  +
Le son : https://www.lumni.fr/video/la-vibration-d-une-colonne-d-air-les-instruments-a-vent Un peu plus technique : http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/son-propagation.xml  +
Toutes les matières ont une valeur de conductivité électrique: cela caractérise l'aptitude d'un matériau à conduire l'électricité. La valeur est en siemens par mètre (S/m), et on nomme cette valeur par ce symbole: ''σ.'' Cette formule indique qu'un matériau grand peut conduire plus d'électricité qu'un petit matériau. Les matériaux ont aussi une capacité à diminuer la conduction d'électricité, cela se nomme la résistivité électrique. Plus la distance de parcours de l'électricité dans la matière est grande, moins il n'y aura d'électricité, le reste sera "absorbé" par la matière.  +
Dans ce cas précis, si on utilise du thé chaud, quel facteur augmentant la densité va primer ? La chaleur du thé (il y aurait alors mélange en versant l'eau froide), ou le sucre du thé (le thé reste au fond) ?  +
Un corps solide immergé dans un liquide en équilibre est soumis à deux forces verticales et de sens contraires : son poids (P) et la poussée d’Archimède (F). Trois cas peuvent se présenter : #Le poids est plus grand que la poussée d’Archimède. Le corps va couler. #Le poids est plus petit que la poussée d’Archimède. Le corps va flotter #Le poids est égal à la poussée d’Archimède. Le corps va rester entre deux eaux. <u>Formule de la poussée d'Archimède</u> PA =  ρ<sub>fluide  </sub>x V x g      * PA= Poussée d'Archimède *  ρ<sub>fluide</sub> = masse volumique du liquide déplacé * V = volume du liquide déplacé * g= gravité La gravité sur Terre est égale à 9,807 m/s<sup>-2,</sup> , c'est la force qui nous attire vers le centre de la Terre. Durant l'expérience nous allons surtout jouer sur le paramètre "volume du liquide déplacé" en modifiant la forme de la pâte. Pour avoir une plus grande poussée d'Archimède, il faut augmenter le volume du liquide déplacé, ce qui revient à augmenter la surface immergée. En creusant et en étirant l'objet, nous augmentons la surface immergée.  +
Profondeur de champs et distance focal: http://apprendre-la-photo.fr/les-secrets-de-la-perspective/  +
En plaçant les filtres les uns à la suite des autres, on fait passer l'eau dans des espaces de plus en plus fins pour effectuer une filtration mécanique et se débarrasser des débris des plus gros aux plus petits. Ce mécanisme de filtration mécanique peut être complété par une filtration chimique, basée sur le principe de l'adsorption : il s'agit de la fixation de certains éléments chimiques à un matériau solide. Ici cette étape de filtration chimique est réalisée avec du charbon actif, qui capture certains polluants organiques : l'odeur du vinaigre et le colorant sont en partie fixés par la couche de charbon actif. Ajouter un matériau adsorbant permet d'améliorer la filtration car on pourra éliminer plus d'éléments polluants qu'avec la seule filtration mécanique. Plus la couche filtrante est épaisse et plus l'eau mettra du temps à la traverser, donc plus le charbon actif pourra piéger de polluants, et donc mieux l'eau sera nettoyée. <br/>  +
Pour aller plus loin, voici 2 petits livrets * https://github.com/julienrat/petitbot/blob/master/guide_peda.pdf * https://github.com/julienrat/petitbot/blob/master/manuel_tech_petitbot.pdf  +
La capillarité est due à la différence de [https://www.wikidebrouillard.org/wiki/Poivre_fuyard tension superficielle] entre deux liquides non miscibles (c'est à dire qui ne se mélangent pas), ou entre un liquide et l'air, ou encore entre un liquide et un matériau solide poreux. La capillarité est d'autant plus marquée qu'un liquide a une forte tension superficielle, ce qui dépend de sa composition chimique et des conditions ambiantes (température, pression). Un liquide à forte tension superficielle remonte en s'opposant à la gravité dans les matériaux composés de petits tubes très fins (appelés "tubes capillaires"). La progression du liquide s'arrête lorsque la gravité et la pression capillaire s'équilibrent. [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 Source : La capillarité sur Wikipédia]  +
Sur la base de bénéfices réciproques, les relations des plantes à fleurs avec leurs pollinisateurs se sont perfectionnées et diversifiées, ce qui donne la grande diversité actuelle. Tous les insectes ne butinent pas les mêmes fleurs : certains pollinisent de nombreuses plantes, d'autres ne sont adaptés qu'à quelques espèces. Trois critères influent sur les relations plantes/insectes. La forme des fleurs conditionne le type d'insecte qui prélève le nectar, et la composition en sucre du nectar et du pollen influence le choix des plantes visitées par les insectes. '''La pollinisation rend aux humains d’immenses services économiques.''' La production de 84% des espèces cultivées en Europe (incluant la grande diversité de légumes et d’arbres fruitiers) dépend directement de la pollinisation par les insectes. '''À l’échelle de la planète, des études scientifiques estiment que le service « pollinisation » offert par le monde animal à l’agriculture vaudrait environ 153 milliards d'euros par an'''. Sans parler de la difficulté et du coût en personnel de la pollinisation si nous devions la faire à la place des insectes pollinisateurs !   Dans la région de l’Hindu Kush (en Himalaya), les pommiers représentent une source de revenus majeure pour les nombreuses familles de paysans. Une grande diversité d’abeilles étaient naturellement acclimatées à cette région de montagne. Or une trop forte utilisation des pesticides les fit disparaître, ce qui fit chuter de moitié la production de pommes. Les habitants durent alors polliniser les pommiers de leurs vergers à la main pour assurer la production de fruits : il fallu une vingtaine de personnes pour polliniser fleur après fleur une centaine de pommiers, travail habituel de 2 ruches ! Mais une stratégie écologique plus durable fut également testée et adoptée : limiter les traitements de pesticides et introduire l'apiculture, jusque-là inconnue dans cette région ! Des colonies d’abeilles domestiques, mais aussi des abeilles locales et adaptées au climat de la région furent introduites, ce qui permit à la production de pommes de redémarrer.  
Les propriétés physique du papier : http://cerig.pagora.grenoble-inp.fr/dossier/papier-materiau/page02.htm La résistance du carton : https://www.iggesund.com/globalassets/iggesund-documents/rm-pdfer/fr/3/proprietes_physiques_complexes_fr.pdf Comment fabrique-t-on le papier ? : https://www.youtube.com/watch?v=4ZW4tX4qSHg L'incroyable résistance de 2 annuaires en papier : https://www.science-et-vie.com/science-et-culture/l-incroyable-resistance-des-annuaires-telephoniques-enfin-expliquee-6436  +
Nous avons écrit un programme sur un ordinateur, qui est traduit et envoyé à l'Arduino dans un langage machine qu'il peut comprendre.  +
Une fois tout les squelettes montés, place à la préparation de l'exposition (musée). Préparer sur une table, des supports pour accueillir les squelettes et les pancartes explicatives. Décorés avec des fossiles ou des dessins ou des photos...  +
Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH3COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO3) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO2) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le bouchon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente dans la bouteille et devient trop forte pour être contenue par le bouchon. '''<u>Voici le détail des réactions en jeu :</u>''' Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na+) et  bicarbonate (HCO3−) : NaHCO3 → Na+ + HCO3−. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H3O+) et éthanoate (CH3COO−) : CH3COOH <–> H3O+ + CH3COO−. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H2CO3) : H3O+ + HCO3- → H2CO3 + H2O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO2), et de l'eau (H2O) : H2CO3 → H2O + CO2 La réaction complète se résume ainsi : NaHCO3 + CH3COOH → CO2 + H2O + CH3COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  +
Le principe physique utilisé dans la fusée à eau est le même que celui des vraies fusées telles que la fusée Ariane, c’est-à-dire la troisième loi de Newton, à savoir le principe de l’action/réaction. Énoncé de la 3ème loi de Newton : «Tout corps A exerçant une force sur un corps B subit une force d'intensité égale, de même direction mais de sens opposé, exercée par le corps B». Ici le mouvement exercé par l'eau qui s'échappe violemment de la bouteille vers le bas provoque un mouvement de la bouteille dans le sens opposé, et donc vers le haut.  +
G
Au pôle nord, il fait très froid, bien moins de 0°C, pourtant la mer ne gèle pas systématiquement. Pourquoi ? Notamment à cause du '''sel''' que contient l'eau de mer qui empêche la cristallisation. Mais le sel n'en est pas l'unique cause, en effet, il y a aussi les '''courants marins''' qui mouvementent l'eau et l'empêche d'être suffisamment stable pour geler convenablement. Si finalement la tempétature de l'eau est à -1,8°C ou moins suffisamment longtemps et que l'eau est bien stable, la surface de la mer gèle et devient la '''banquise'''... D'ailleurs on pourrait penser que la banquise serait de l'eau salée gelée. Mais en fait non ! Quand l'eau gèle, le sel s'en va dans l'eau liquide du dessous, la glace ne contient donc pas de sel !  +
Lorsqu’une surface est exposée à la lumière du soleil ou à autre une source lumineuse chaude, sa température augmente car elle absorbe une partie de la chaleur contenue dans les rayons lumineux, et en renvoie une partie. On dit qu’elle réfléchit une partie de la lumière. Cette augmentation de température sera plus ou moins importante selon la couleur et la matière de la surface éclairée. Les surfaces de couleur claire réfléchissent plus la lumière, et donc accumulent moins vite la chaleur que les surfaces sombres. Le pouvoir réfléchissant d'une surface est appelé « albédo ».  +
Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition. Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH<sub>3</sub>COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO<sub>3</sub>) est une base. Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) . Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le ballon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente, ce qui gonfle le ballon, qui reste alors gonflé s'il n'y a pas de fuite. '''<u>Voici le détail des réactions en jeu :</u>''' Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et  bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) : NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) : CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) : H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub> La réaction complète se résume ainsi : NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).  
Le disque étant gravé, le fait de placer l'aiguille sur le disque qui tourne crée une vibration dans l'aiguille ce qui fait que des ondes sonores se propagent (en l'occurrence de la musique). Le cône permet d'amplifier les ondes sonores, on peut ainsi les entendre. Il n'est pas possible de reproduire cette expérience sur les compact disc (CD) bien que de la musique soit gravée dessus. Il est nécessaire d'utiliser un lecteur optique et non un lecteur avec une aiguille comme tête de lecture.  +
Les illusions décrites plus haut sont des illusions d'optiques. Pour compléter les informations nous pouvons regarder : http://fr.wikipedia.org/wiki/Illusions_d%27optique  +
H
La mise en pratique de ces règles est encore une fois une question de compromis. Par exemple, il existe au moins un immeuble passif dont toutes les fenêtres saont au Nord. Il faut prendre en considération : - la pente du terrain et son orientation - les masques solaires environnants (montagnes, immeubles, arbres, ...) - le cas échéant les jolies vues (pas forcément plein Sud) - les sources de nuisances sonores (phoniquement aussi les murs isolent mieux que les vitrages) - les usages des habitants (le matin, on peut préférer avoir le soleil dans la cuisine ou dans la chambre) La compacité des constructions va souvent de pair avec des économies (plans plus simples, moins de matériaux) et est donc souvent acceptée en maison individuelle quand la configuration du terrain le permet. Pour des plus grandes constructions, il faut trouver l'équilibre entre la compacité et l'ensoleillement de la façade Sud.  +
Pour s'initier un peu plus au monde passionnant de l'optique et de la réfraction, n'hésitez pas à suivre le lien suivant : https://www.superprof.fr/ressources/scolaire/physique-chimie/seconde/optique/loi-de-la-refraction.html  +
I
Pour développer son territoire et l'adapter à l'évolution des besoins et des priorités, en particulier face à l'augmentation des évènements liés au changement climatique global (pollution, pluies plus intenses et inondations, pics de chaleur...), il est essentiel de travailler collectivement, en recueillant l'avis et les propositions des experts comme des citoyens et en définissant des priorités : l'environnement, la santé, l'emploi... La gestion durable d'une ville consiste mettre en place des mesures qui permettent de répondre aux besoins et aux attentes des habitants, mais aussi d'assurer des revenus économiques (tourisme, emploi...) sans dégrader l'environnement ou le cadre de vie, ni épuiser les ressources naturelles (eau, terres cultivables...). Tous les experts et les citoyens ne sont pas toujours du même avis et n'ont pas les mêmes priorités, et une commune n'a pas toujours le budget ou les équipements, ou l'espace disponible pour mettre en place les solutions les plus efficaces. Il est donc souvent compliqué voire impossible de satisfaire tout le monde, et il faut parfois faire des compromis !  +
Pour développer son territoire et l'adapter à l'évolution des besoins et des priorités, en particulier face à l'augmentation des évènements liés au changement climatique global (pollution, pluies plus intenses et inondations, pics de chaleur...), il est essentiel de travailler collectivement, en recueillant l'avis et les propositions des experts comme des citoyens et en définissant des priorités : l'environnement, la santé, l'emploi... La gestion durable d'une ville consiste mettre en place des mesures qui permettent de répondre aux besoins et aux attentes des habitants, mais aussi d'assurer des revenus économiques (tourisme, emploi...) sans dégrader l'environnement ou le cadre de vie, ni épuiser les ressources naturelles (eau, terres cultivables...). Tous les experts et les citoyens ne sont pas toujours du même avis et n'ont pas les mêmes priorités, et une commune n'a pas toujours le budget ou les équipements, ou l'espace disponible pour mettre en place les solutions les plus efficaces. Il est donc souvent compliqué voire impossible de satisfaire tout le monde, et il faut parfois faire des compromis !  +
Pour développer son territoire et l'adapter à l'évolution des besoins et des priorités, en particulier face à l'augmentation des évènements liés au changement climatique global (pollution, pluies plus intenses et inondations, pics de chaleur...), il est essentiel de travailler collectivement, en recueillant l'avis et les propositions des experts comme des citoyens et en définissant des priorités : l'environnement, la santé, l'emploi... La gestion durable d'une ville consiste mettre en place des mesures qui permettent de répondre aux besoins et aux attentes des habitants, mais aussi d'assurer des revenus économiques (tourisme, emploi...) sans dégrader l'environnement ou le cadre de vie, ni épuiser les ressources naturelles (eau, terres cultivables...). Tous les experts et les citoyens ne sont pas toujours du même avis et n'ont pas les mêmes priorités, et une commune n'a pas toujours le budget ou les équipements, ou l'espace disponible pour mettre en place les solutions les plus efficaces. Il est donc souvent compliqué voire impossible de satisfaire tout le monde, et il faut parfois faire des compromis !  +
C’est en se basant sur ce constat que les scientifiques ont bâti des indices biologiques. Ils répondent à des normes (cahier des charges précis) et permettent de comparer les résultats en minimisant au maximum les effets liés à la personne qui réalise l’observation, à l’hydroécorégion, etc. Les différents indices permettent d’appréhender le « bon état écologique » des eaux de surface<sup>4</sup>. Ces indices ne permettent toutefois que de faire un diagnostic de l’état de dégradation de la biodiversité des milieux aquatiques, en mesurant les effets à relativement long terme de pressions chroniques. Ils permettent, par l’ampleur des effets sur l’abondance et la richesse, de quantifier l’intensité de cette pression. Par le maillage territorial, ils permettent d’identifier approximativement la localisation de cette pression. Cependant, d’autres outils sont nécessaires pour parvenir à anticiper, ou tout du moins à agir précocement, dès que les premiers effets d’une perturbation sont mesurables. Pour cela, des indicateurs à l’échelle moléculaire (expression des gènes) ou physiologique (modification de la reproduction par exemple) sont en cours de développement. Les différents groupes utilisés sont les suivants<sup>5</sup> : *Les diatomées (algues qui présentent une enveloppe externe en silice (sable), avec l’indice IBD2007<sup>6</sup> ; *Les macrophytes (plantes aquatiques visibles à l’œil nue), avec l’indice IBMR<sup>7</sup> ; *Les poissons, avec l’indice IPR+<sup>8</sup> ; *Les macro-invertébrés, avec l’indice I<sub>2</sub>M<sub>2</sub><sup>9</sup>. Ces différents indices servent en routine et sont utilisés dans toutes l’Europe.  +
'''Conclusion''' Pour finir, ce jeu peut également servir à faire émerger des stratégies face à la machine, comme prendre des risques qui paraîtraient illogiques contre un humain, afin d'explorer des scénarios dans lesquels l'IA n'a pas encore appris. On peut également s'interroger sur la méthode pédagogique ou d'apprentissage à adopter, puisqu’au lieu de « punir » en enlevant la perle indésirable, on pourrait aussi bien « récompenser » en ajoutant par exemple une perle de même couleur à chaque coup gagnant de l'IA. Ce procédé a d’ailleurs un avantage puisque s’il permet d’améliorer les performances de l’IA d’un point de vue statistique, il laisse toujours une opportunité au joueur humain de gagner.  +
J
Les espèces vivantes ne choisissent pas de changer en fonction des changements de leur environnement. Elles évoluent et donc changent en permanence sous l'effet de mutations génétiques, qui sont des modifications aléatoires et involontaires, pouvant entrainer des modifications de l'apparence, du comportement, de la taille des individus. La hasard fait que certaines de ces modifications peuvent parfois avantager les individus qui en sont porteurs, comme ici en les rendant plus difficiles à distinguer pour leurs prédateurs. Les individus porteurs de cette modifications auront alors plus de chances de survivre et/ou de se reproduire et donc de transmettre cette modification à leur descendance, ce qui la rendra plus fréquente chez cette espèce. Au contraire, l'absence de mutation ou des mutations peuvent parfois représenter un désavantage pour les individus qui en sont porteurs, qui auront tendance à décliner voire à disparaitre chez l'espèce concernée. Sur une plus longue échelle, ces mécanismes de sélection naturelle sont aussi à l'origine de l'apparition de nouvelles espèces.  +
K
Lorsque l'on entend un son il se passe la chose inverse: le son produit qui fait vibrer l'air se propage dans l'espace environnant, arrive jusqu'à notre tympan de notre oreille. Notre tympan, qui est lui aussi une membrane, se met à vibrer et grâce à d'autres organes présents dans notre oreille, cette vibration est interprétée comme un son.  +
L
On remarque que les éponges, même si elles sont bien essorées, contiennent encore de l’eau ? C’est la même chose pour le sol. Il a une capacité à retenir de l’eau. Pour un sol, la quantité d’eau qu’il peut absorber entre le moment où il est sec et le moment où il sature (il ne peut pas contenir plus d’eau) est appelée « réserve utile ». C’est la quantité d’eau qui peut en être facilement extraite, par les racines des plantes par exemple. Celle-ci est mesurée en millimètres de hauteur d’eau, comme la pluie. Elle varie principalement selon le type de sol (graviers, sable, terre argileuse). Si un sol est privé d'eau pendant une longue période, il peut perdre ses réserves d'eau. C'était le cas de l'éponge toute sèche. Les pores qui retenaient l'eau se rétractent et sa structure se modifie. On observe parfois des fissures qui témoigne de son assèchement. Lorsque c'est le cas, l'eau a du mal à se frayer un chemin, le coefficient de ruissellement augmente alors fortement. Lorsqu’une éponge est gorgée d’eau (dès le début ou après quelques instants d’arrosage) elle n’est plus capable d’en absorber. Son coefficient de ruissellement monte alors jusqu’à 100% (toute l’eau ruisselle) ! C'est la même chose pour le sol, si la pluie est trop intense ou dure trop longtemps, il finira par saturer. Nos éponges ont des coefficients de ruissellement très différents selon leur état. De la même façon, l’inclinaison ou le relief du sol peut influer fortement sur le ruissellement. Il est possible de tester cela facilement chez soi : l’eau s'écoule très rapidement sur les surfaces qui ne sont pas horizontales. Un sol en pente a un coefficient de ruissellement bien supérieur à celui d'un sol horizontal de même surface . Au contraire, si un sol comporte des bosses et des creux, ceux-ci vont ralentir l’écoulement de l’eau et l’aider à s’infiltrer.  +
Pour définir l'isolation d'un matériau on utilise plusieurs grandeurs : - la conductivité thermique ''lambda'' (W/m.°C) caractérise la capacité d'un matériau à transmettre la chaleur par conduction. Plus lambda est petit, plus le matériau est isolant. (les laines isolantes ont typiquement un lambda autour de 0,04 W/m.°C, la mousse PU allant jusqu'à 0,02) - la résistance thermique ''R'' (en m<sup>2</sup>.°C/W) donne la capacité d'une paroi d'une certaine épaisseur à résister au transfert de chaleur ''R=e/lambda''. Ainsi, plus un mur est épais, plus il est isolant. Ou, pur une épaisseur donnée, plus le matériau utilisé a un lambda petit, plus le mur est isolant. - le coéfficient de transmission calorifique ''U'' (en W/m<sup>2</sup>.°C) est l'inverse de ''R'' et représente la capacité d'une paroi d'une épaisseur donnée à laisser passer la chaleur. Plus ''U'' est petit, plus la paroi est isolante. Par exemple un mur en ossature bois et bottes de paille peut avoir un U=0,18 W/m<sup>2</sup>.°C soir un R=0,45 m<sup>2</sup>.°C/W Un mur en pierre de 60 cm d'épaisseur (cela dépend de la pierre) a un U=3 W/m<sup>2</sup>.°C soit un R=0,45 m<sup>2</sup>.°C/W Un double vitrage 4-16-4 à gaz argon a un U autour de 1,3 W/m<sup>2</sup>.°C  +
Plongé dans l'eau, l’œuf subit deux forces, le poids et la poussée d’Archimède. Dans l'eau douce, l’œuf coule, cela signifie qu'il est plus dense que l'eau mais aussi que son poids est supérieur à la poussée d’Archimède.<br /> '''La poussée d'Archimède est une force qui s'oppose au poids. Elle s'applique sur les objets placés dans un fluide, comme l'eau.'''<br />Lorsque l’on rajoute de l’eau saturée en sel, la densité de la solution eau-sel devient plus forte. L'eau devient alors plus dense que l’œuf, et l’œuf se met à flotter.<br /><br />Présentation et schéma des trois cas :<br /><br />* Premier cas : l’œuf coule dans le liquide qui est l’eau :<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Loeuf qui flotte Archimede coule.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/2/2b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_coule.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Loeuf_qui_flotte_Archimede_coule.jpg" class="image"><img alt="Loeuf qui flotte Archimede coule.jpg" src="/images/2/2b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_coule.jpg" width="488" height="400" data-file-width="488" data-file-height="400" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />L’œuf coule dans le liquide, cela signifie que le poids est supérieur à la poussée d’Archimède.<br /><br />* Deuxième cas : on rajoute du sel dans l’eau, l’œuf flotte.<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Loeuf qui flotte Archimede flotte.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/7/7b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_flotte.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Loeuf_qui_flotte_Archimede_flotte.jpg" class="image"><img alt="Loeuf qui flotte Archimede flotte.jpg" src="/images/7/7b/Loeuf_qui_flotte_Archimede_flotte.jpg" width="398" height="354" data-file-width="398" data-file-height="354" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />L’œuf est au fond du bocal, on rajoute maintenant du sel dans le bocal. Lorsque le sel est rajouté dans l’eau, il se dissout et le mélange eau-sel donne une solution dont la masse volumique varie en fonction de la quantité de sel. La densité de l’œuf est inférieure à la densité de l'eau salée dans le cas présent.<br /><br />* Troisième cas : l’œuf reste en sustentation (il reste entre deux eaux) dans la solution :<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:L oeuf qui flotte en sustentation.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/a/a1/L_oeuf_qui_flotte_en_sustentation.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:L_oeuf_qui_flotte_en_sustentation.jpg" class="image"><img alt="L oeuf qui flotte en sustentation.jpg" src="/images/a/a1/L_oeuf_qui_flotte_en_sustentation.jpg" width="435" height="332" data-file-width="435" data-file-height="332" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />La densité de l’œuf est égale à la densité de l'eau salée dans le cas présent.  
L'énergie de départ est le vent. On souffle sur l'hélice. L'hélice tourne et fait tourner l'axe du générateur, l'énergie du vent est alors transformée en énergie mécanique. Le moteur est utilisé comme une dynamo : il transforme cette énergie mécanique en énergie électrique en générant un courant qui traverse les fils électriques reliés à la diode. Celle-ci peut alors s'allumer si elle est connectée dans le bon sens du courant. <br/>  +
Pour évaporer l'eau, on la porte à ébullition. C'est la température à partir de laquelle l'eau passe sous sa forme gazeuse. Pourtant dans la nature l'eau atteint rarement les 100°C et on constate de l'évaporation ! En réalité, le vent facilite grandement ce phénomène, notamment quand l'air est sec. [1] Dans le cas où un composé peut s'évaporer et se retrouver dans l'atmosphère, on dit qu’il est volatil. Les polluants volatils peuvent être très compliqués à traiter car selon la météo, ils peuvent s'échapper et apparaitre à d'autres endroit. Lorsque les polluants ne peuvent pas s'évaporer, leur concentration va augmenter. Le simulateur suivant permet de s'amuser avec les concentrations pour comprendre le phénomène : https://www.phychiers.fr/concentrations/  +
L'eau est un élément chimique dit : ''thermodynamique''. C'est à dire qu'il est soumis au changement lorsque qu'il subit un changement de température. L'eau est connue sous 3 différents états : la glace, le liquide, la vapeur. Lors du passage de l'un à l'autre de ces états, les molécules qui composent l'eau vont s'agiter, s'agglomérer... à cause du changement de température. La dilatation de l'eau ne s'effectue pas uniquement à cause de la chaleur. Elle s'effectue également lorsque l'eau passe de l'état liquide à l'état solide (glace). En effet, l'eau à l'état solide prend également plus de place que dans un état liquide. <br/>  +
Dans les écosystèmes, les espèces peuvent être regroupées par traits fonctionnels. Par exemple, pour des plantes, on peut regrouper l’ensemble des espèces ayant le même type racinaire au sein d’un premier trait, puis regrouper les espèces ayant des surfaces de feuilles équivalentes au sein d’un deuxième trait, etc. Pour les macro-invertébrés, un trait peut être le régime alimentaire, comme nous l’avons vu dans cette fiche. Un insecte (Plécoptère) et un crustacé (Gammare) peuvent être présents dans le même groupe (déchiqueteur par exemple) pour cette caractéristique. Un autre trait peut être l’habitat utilisé (végétaux, cailloux, sable…). Le plécoptère et le gammare peuvent différer de ce point de vue là, le premier vivant plutôt sur des cailloux, le second dans les végétaux. Ils mangent donc la même chose, mais pas au même endroit dans la rivière ! La même espèce peut être regroupée avec des espèces différentes dans des traits différents, en fonction de la caractéristique de celle-ci qui sera considérée. Une fois les traits renseignés pour les différentes espèces, il est possible d’avoir une image des différents processus ayant lieu dans un écosystème, comme la capacité à dégrader la litière (les feuilles mortes des arbres), la capacité d’une prairie à aller chercher les éléments nutritifs en profondeur, etc. Cette pratique scientifique se nomme l’écologie fonctionnelle. Ici, deux notions entrent en jeu : - La '''diversité spécifique''' représente le nombre d’espèces présentes dans un milieu donné ; - La '''diversité fonctionnelle''' peut être définie comme la diversité des traits fonctionnels, ces traits étant des composantes du phénotype des organismes qui influencent des processus écosystémiques. Dans un écosystème, les espèces vont assurer des fonctions qui sont similaires (par exemple plusieurs espèces dégradent la litière) mais chaque espèce va réaliser cette fonction de façon un peu différente. Plus la diversité spécifique est importante et plus la diversité fonctionnelle l’est aussi, plus les processus sont stables et pérennes. Lorsqu'advient une perturbation, certaines espèces seront capables d’y faire face et si certaines disparaissent, la redondance fonctionnelle fait que les processus vont pouvoir continuer à avoir lieu. Ce phénomène constitue donc aussi, entre autres, le moteur de la résilience des écosystèmes. Dans les écosystèmes peu diversifiés, la moindre perturbation peut avoir des conséquences importantes sur les processus écosystémiques.  
Ce phénomène est appelé la polarité électrique : les pôles opposés s’attirent, les électrons (-) et protons (+) s’attirent entre eux.    +
Cette expérience permet d’expliquer la fonte des glaces sur la planète. As-tu déjà entendu parler de glaciers, de banquise et d’iceberg ? '''Le glacier''' se forme en général en haute montage ou au niveau des pôles grâce à l'accumulation de la neige. En se tassant sous son propre poids, la neige devient compacte : elle expulse progressivement l'air qu'elle renferme et se transforme en glace. Lorsqu’on parle de glaciers, on peut utiliser les mots calotte glaciaire et inlandsis : la calotte glaciaire est un très grand glacier, et l'inlandsis correspond à plus de 50 000 km² de glace terrestre (l’Arctique et l’Antarctique sont les deux seuls inlandsis qui existent à ce jour sur la planète). Parfois, un morceau de glacier, parfois très gros, se détache et tombe dans la mer où il dérive au gré des courants : c’est ce qu’on appelle un '''iceberg'''. '''La banquise''' se forme en mer, contrairement au glacier. Des cristaux de glace se forment lorsque l'eau atteint -1,8 °C. Ces cristaux se solidarisent et forment une couche de glace qui peut atteindre 3 à 4 mètres d'épaisseur. Que se passe-t-il lorsque la banquise ou les glaciers fondent ? L’expérience nous montre que de la fonte de la glace déjà présente dans l’eau (= banquise) ne fait pas monter le niveau de l’eau (verre 1). Par contre, lorsque la glace terrestre (= glaciers, chutes d'icebergs) fond, nous observons une augmentation du niveau de l'eau (verre 2). Le résultat observé dans le verre 1 s'explique par le rôle de la '''poussée d'Archimède'''. Celle-ci correspond à la force verticale, dirigée de bas en haut, que subit un corps plongé dans un fluide (liquide ou gaz), opposée au poids du volume de fluide déplacé. La poussée d'Archimède permet d'expliquer notamment pourquoi un bateau flotte ou une montgolfière peut s'élever dans les airs, ou comment un plongeur ou un sous-marin peuvent contrôler leur flottabilité en faisant varier la pression d'un gaz dans un réservoir. <div class="icon-instructions info-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">En réalité, l'eau sous forme de glace occupe un peu plus de place que l’eau liquide. Tu l'as peut-être déjà remarqué à la maison après avoir placé de l'eau ou un bac à glaçons au congélateur. Il arrive parfois aussi que le gel fasse éclater un tuyau d'eau mal protégé lorsque les températures sont très basses. Ce phénomène est particulier à l'eau et à quelques autres composés et est lié aux propriétés chimiques des liaisons atomiques. Cependant, comme tu l'as sans doute observé, les glaçons placés dans le verre 1 ne sont pas totalement immergés dans l'eau. Grâce à la poussée d'Archimède, on comprend ainsi que le volume de glace immergé correspond au volume d'eau nécessaire pour égaler le poids du glaçon (ou de l'iceberg !). Selon cette même loi, un glaçon produit en fondant le même volume d'eau que la glace solide occupait précédemment. Le niveau de l'eau reste donc le même.</div> </div> A présent que nous avons compris comment la fonte des glaces entraîne la montée du niveau des océans, il reste à expliquer '''pourquoi''' ce phénomène se produit à l'heure actuelle. En effet, depuis un siècle, le niveau des mers et des océans s'est élevé d'environ 20 à 30 cm. Au cours de la même période, la température moyenne sur la planète a augmenté d'environ 0,8 °C (à 0,2 °C près). L'atmosphère et les océans sont intimement liés : lorsque la température de l'atmosphère augmente, celle des océans augmente aussi. Le '''changement climatique''' est une des raisons principales de la montée des eaux. Cependant, contrairement à ce que l'on pourrait penser intuitivement, la fonte des glaces n'explique pas à elle seule cette montée des eaux. Un autre phénomène lié à la hausse des températures joue également un rôle très important, il s'agit de la '''dilatation thermique'''. L’eau est un corps qui se dilate sous l’effet d’une augmentation de température. La dilatation signifie l’augmentation du volume : lorsqu’un corps se dilate, il prend plus de place. Les molécules d’eau (les briques microscopiques qui composent l’eau) s’agitent lorsque la température augmente, et prennent donc plus de place. A titre d’exemple, imagine qu'une cinquantaine de personnes sont dans une grande salle : si les personnes restent immobiles ou bougent peu, elles tiennent facilement dans cet espace restreint. Par contre, si les personnes commencent à s’agiter, ou à danser, elles vont s’éloigner les unes des autres et prendre plus d’espace. C’est un peu pareil pour les molécules d’eau : quand la température augmente elles s’agitent, s’écartent les unes des autres, et le volume de l’eau augmente. <div class="icon-instructions info-icon"> <div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div> <div class="icon-instructions-text">Même si notre expérience ne mettait pas en évidence directement le rôle de la dilatation dans la montée du niveau de l'eau, celle-ci est toutefois bel et bien présente et il se pourrait d'ailleurs que son impact soit observable dans de bonnes conditions. En effet, dans l'expérience, nous avons utilisé de l'eau chaude pour faire fondre les glaçons plus vite. Une fois les glaçons fondus, ceux-ci ont fait légèrement baisser la température de l'eau contenue dans le verre 1 et ont donc provoqué une faible diminution de son volume. Cela pourrait donc avoir également contribué au résultat de l'expérience (le verre 1 ne déborde pas). Pour s'en assurer, on peut refaire l'expérience avec de l'eau froide et vérifier que nous obtenons bien les mêmes résultats. Dans ce cas, les conclusions de notre expérience resteraient toujours valables.</div> </div> La fonte des glaces et la dilatation thermique des eaux de surface des mers et océans, toutes deux liées au changement climatique, sont à l'origine de la hausse du niveau des océans (en réalité, de nombreux autres facteurs contribuent à la hausse observable, mais dans des proportions bien moindres). Les '''conséquences''' de cette montée des eaux risquent d'être dramatiques au cours des prochaines décennies. En effet, les modèles proposés par les chercheurs prédisent qu'à l'horizon 2100 l'élévation du niveau des eaux pourrait atteindre 50 cm, voire jusqu'à 3 m si on prend en compte les hypothèses les plus pessimistes ! Or, une grande part de la population mondiale vit aujourd'hui dans la zone littorale, et ce chiffre est en constante augmentation (634 millions de personnes vivraient ainsi à proximité des côtes et à une altitude inférieure à 10 m). Le retrait du trait de côte va donc provoquer des déplacements de ces populations et créer ce que l'on appelle des réfugiés climatiques. Les premiers territoires touchés seront d'une part les îles de faible altitude de l'Océan Pacifique (Tuvalu, Kiribati, etc.) et les pays où les densités de populations littorales sont les plus fortes, principalement en Asie (Chine, Inde, Bangladesh, Indonésie, Vietnam). Les humains ne seraient pas les seuls impactés, car les zones littorales sont aussi de grands réservoirs de biodiversité. Une montée des eaux pourrait entraîner la submersion et l'érosion de nombreux habitats, la salinisation des estuaires, l'accroissement des inondations, etc.  
La quantité d’eau contenue sous forme liquide et solide (eau + glaçons) dans le premier pot ne change pas. Les glaçons, en fondant, n'ajoutent pas d'eau dans le pot, et ne font pas augmenter le volume d’eau contenu dans le pot. On remarque que les glaçons dépassent un peu au dessus de la surface. La glace occupe un peu moins de place une fois liquide l'eau des glaçons, redevenue liquide, occupe la même place que le celle que les glaçons occupaient sous l'eau. Dans le second pot, les gouttes d’eau qui s’écoulent des glaçons placés dans l’entonnoir ajoutent un volume d’eau supplémentaire au pot déjà plein à ras bord. Il déborde donc rapidement, puisque le pot ne peut pas contenir plus d'eau.  +
Le premier verre représente la '''glace continentale''' : les '''glaciers'''. Le deuxième verre représente la '''banquise''', de la '''mer gelée'''. Il existe plusieurs types de glace sur Terre : les glaciers, la banquise, les icebergs... Un glacier se forme par l''''accumulation''' et la '''compaction''' de '''neige'''. On trouve les principaux glaciers au Groenland, au nord du Canada, en Sibérie, en '''Antarctique''' (pôle sud), en haut des montagnes ('''calotte glaciaire''') comme en Alaska, Pentagonie, Himalaya, les Alpes, la Norvège... La banquise est de la mer gelée, elle se trouve en '''Arctique''' (pôle nord), elle peut faire 3 à 4 mètre d'épaisseur. Un '''iceberg''' est un morceau de glacier qui s'est détaché et qui dérive dans la mer... Les glaciers et la banquise fondent un peu en été et se reforment complètement en hiver. Toutes ces glaces aident à réguler la température du climat, cela est du à leur '''albédo'''. L'albédo est la capacité d'un corps à réfléchir la lumière. Plus un corps réfléchit la lumière plus son albédo sera élevé. Un corps blanc aura un albédo proche de 1 et un corps noir un albédo proche de 0. La glace a un albédo de 0,30-0,40, la neige tassée de 0,40 à 0,70 et la neige fraîche de 0,75 à 0,90. Ainsi, grâce aux glaces il ne fait pas trop chaud sur Terre. Cependant avec le réchauffement climatique, la glace fond de plus en plus en été et se régénère de moins en moins en hiver... Ainsi les glaciers perdent de leur surface et donc de leur pouvoir réfléchissant, ce qui accélère encore plus le réchauffement climatique. La fonte des glaces est un problème pour la biodiversité : les animaux de ces contrées (ours, manchots, phoques...) voient leur habitat se réduire d'année en année... <br/>  +
Pour aller plus loin: https://www.researchgate.net/publication/263847810_Le_role_de_l%27eau_dans_la_cohesion_et_l%27adhesion_du_materiau_terre_Une_question_d%27equilibre <br/>  +
<nowiki>Dans la cocotte, l'eau en chauffant passe d'un état liquide à un état gazeux et occupe '''plus de volume''' qu'à l'état liquide. <br /><br />A l'état gazeux l'eau est '''compressible''' tout comme quand elle est dans un état liquide.<br /><br /><br />L'eau à l'état gazeux est compressée dans la cocotte, car elle occupe plus de volume. La pression devient plus importante à l'intérieur qu'à l'extérieur de la cocotte. Au moment où l'on ouvre la soupape de la cocotte on crée une '''dépression'''. C'est à dire que la pression à l'intérieur de la coquotte (produite par la vapeur) tend à s'équilibrer avec la pression de l'air à l'extérieur de la cocotte. On peut dire aussi, que '''la pression diminue à l'intérieur de la cocotte.'''<br /><br />Mais comme le volume d'air qui nous entoure est beaucoup plus important que le volume d'air dans la cocotte, on considère que l'intérieur revient à l'équilibre avec la pression atmosphérique au bout d'un certain temps.<br /><br /><br />Mais revenons à nos moutons ! Lorsque l'on ouvre la soupape, les fluides rentrent en mouvement pour que la pression s'équilibre. Ce mouvement de fluide (la vapeur d'eau qui sort de la cocotte) allant en contact avec la pal de l'hélice va créer une pression de surface sur la pale. Cette pale va indirectement transmettre les efforts à l'arbre moteur qu'elle va faire entrer en rotation.<br /><br /><br/><br /><br />*Que se passe t-il dans un moteur électrique à courant continue'''**''' (à aimant permanent) ?<br /><div class="icon-instructions info-icon"><br /><div class="icon-instructions-icon"><i class="fa fa-info-circle"></i></div><br /><div class="icon-instructions-text">** Qu'on appelle aussi dynamo ou encore alternateur</div><br /></div><br /><br /><br />Le moteur à courant continue se compose d'un aimant permanent, '''le stator''' (c'est la partie fixe, statique du moteur). Ce stator avec ses deux pôles entoure une partie mobile, l'arbre moteur aussi appelé le '''rotor''' (c'est la partie qui est en rotation). Ce rotor est composé de plusieurs '''bobinages''' (par exemple du fil de cuivre). <br /><br />*les aimants créent un champs magnétique dans les bobines, qui, lorsqu'elles sont en rotation, provoquent un déplacement d''''électrons''' libres dans le fil. '''C'est ce qu'on appelle : ''de l'électricité.'''''</nowiki>  
Un anticyclone est une région où la pression est plus forte qu'ailleurs, et l'air s'en échappe car la pression pousse l'air vers l'extérieur. C'est l'environnement qui est reproduit dans le premier temps de l'expérience en isolant l'air soufflé dans la bouteille, puis en le relâchant. Une dépression correspond à une zone où la pression atmosphérique est plus faible qu'ailleurs pour différentes raisons. Le manque de pression va pousser l'air à être « aspiré » formant une spirale. Des nuages et de la pluie vont alors se former (Pourquoi?). Cela correspond au second temps de l'expérience.  +
Les rayons du soleil arrivent sur la cime de l’arbre, frappent les feuilles et là, l’arbre possède un produit qui s’appelle la chlorophylle ce qui donne la couleur verte aux feuilles (Atelier 1) et grâce à ce produit, l’énergie qu’apporte les rayons du soleil, l’eau qui arrive, le gaz carbonique qui arrive par les petits troues qui rentre par la feuille (les stomates) et tout ceux-ci se rencontrent. <br /><br/><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:La plante qui respire.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/f/f8/La_plante_qui_respire.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:La_plante_qui_respire.jpg" class="image" title="La respiration d'une feuille"><img alt="La respiration d'une feuille" src="/images/thumb/f/f8/La_plante_qui_respire.jpg/1094px-La_plante_qui_respire.jpg" width="1094" height="1293" srcset="/images/f/f8/La_plante_qui_respire.jpg 1.5x" data-file-width="1354" data-file-height="1600" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br /><br />Les plantes respirent grâce à ces orifices situés sur la face inférieure des feuilles et parfois supérieure. Ces stomates ont peuvent s’ouvrir plus ou moins, pour réguler sa repsiration, sous l’influence de la lumière et de la sécheresse. Mais, les stomates ne sont jamais totalement fermés et les échanges gazeux ne sont jamais inexistants.<br /><br />Et l’hiver, l’arbre peut-il respirer sans feuilles?<br /><br />Les feuilles sont les principaux organes pour la respiration, mais celle-ci ce fait également les tiges herbacées(branche) et les tiges lignifiées(tronc) et par les racines.<br /><br />C’est grâce à cette respiration par d’autre stomates de l’arbre que les arbre à feuillage peuvent respirer durant l’hiver.<br /><br />Ainsi la respiration correspond à l’absorption d’oxygène (O2) par la plante et à un rejet de dioxyde de carbone (CO2) mais aussi de l’eau (H20).<br /><br />Jour et nuit, les cellules de l’arbre absorbent de l’oxygène et rejettent du gaz carbonique : c’est la respiration.  
Il est important d'avoir un cadre strict pour éviter tout problème. Plus on aménage l'espace et moins il est posible qu'on vol les outils et moins il y a de danger.  +
Densité de l’eau = 1kg/L. 1L d’eau pèse 1kg. Densité du sable = 1,6-2 kg/L. 1L de sable pèse 1,6-2kg. Densité des gravillons ou tous petits cailloux = 1,5kg/L. 1L de gravillons pèse 1,5kg. Densité de la boue liquide = 6kg/L. 1L de boue pèse 6kg.  +
Cette lava lampe fait intervenir plusieurs phénomène. Il y a la densité. Il y a l'hydrophobicité. Il y a la réaction bicarbonate-vinaigre. Il y a la tension superficielle. Cela fait vraiment beaucoup de choses qui se produisent en même temps ! '''Le vinaigre coule dans l'huile car il est moins dense que l'huile''' Les différentes matières ont des propriétés différente. La densité compare des matières deux à deux. Dire qu'un corps est plus dense qu'un autre signifie que la masse volumique du corps n°1 est plus importante que la masse volumique du corps n°2. La masse volumique d'un corps se calcule en divisant le poids de ce corps par son volume. Par exemple pour un litre d'eau on va diviser 1kg (le poids d'un litre d'eau) par son volume (1l). Dans le système de mesure international, l'unité de référence utilisée pour la masse volumique est le kg/m3. Dans ce système, dire qu'un litre d'eau pèse 1kg se dit : la masse volumique de l'eau est de 1000 kg / m3 (il y a 1000l dans un m3). En fait ce n'est pas tout à fait exact. En effet la température influe sur la masse volumique d'un corps. Ainsi la masse volumique de l'eau est de 1000 kg / m3 à 4°C et de 998,3 kg / m3 à 20°C La masse volumique du vinaigre est très proche de celle de l'eau car le vinaigre contient essentiellement de l'eau donc 998,3kg/m3 à température ambiante La masse volumique d'une huile est en général comprise en 800 et 900 kg / m3 à température ambiante. Comme 998 > 900, quand on verse de l'huile dans un bocal qui contient du vinaigre, l'huile se répartit à a surface du vinaigre. Ceci peut aussi s'exprimer en utilisant le concept de poussée d'Archimède. "« Tout corps plongé dans un fluide au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou traversant sa surface libre, subit une force verticale, dirigée de bas en haut et opposée au [https://fr.wikipedia.org/wiki/Poids poids] du volume de fluide déplacé. Cette force est appelée ''poussée d'Archimède''. Elle s'applique au centre de masse du fluide déplacé, appelé ''centre de poussée''. »" (issu de Wikipedia). Quand la poussée d'archimède d'un corps compense son poids, ce corps flotte. Quand la poussée d'archimède d'un corps ne compense pas son poids, le corps coule (qu'il soit liquide ou solide n'y change absolument rien !) Or la poussée d'archimède qui s'applique sur le volume d'huile dépend du poids du volume de vinaigre "déplacé", donc de sa masse volumique. '''L'huile et le vinaigre ne se mélangent pas car le vinaigre est hydrophile alors que l'huile est hydrophobe''' Les molécules sont formées d'atomes assemblés entre eux. Cet assemblage n'est pas toujours complètement "parfait" et dans certaines molécules, les électrons qui entourent un atomes sont attirés par "l'atome d'à côté". C'est le cas de l'eau de formule H2O. Les életrons des atomes d'hydrogène sont attirés par l'atome d'oxygène et au final dans une molécule d'eau (neutre électriquement) les atomes d'hydrogène sont "un peu" positifs et les atomes d'oxygène "un peu négatifs". Au final les atomes d'hydrogène d'une molécule d'eau sont attirés par l'atome d'oxygène de la molécule d'à côté. Quand les molécules (d'eau ou autres) interagissent entre elles de cette façon, on appelle les force qui les attirent les unes vers les autres "liaison hydrogène". Quand une molécule est fortement concernée par ce genre de phénomène ont dit qu'elle est "polaire" car des "pôles électriques" ont tendance à se former à l'intérieur. Quand une molécule n'est que peu ou pas concernée par ce phénomène on dit qu'elle est "apolaire". Les molécules polaires ont donc tendance à s'attirer les unes les autres. Dans ces conditions quand on mélange des molécules polaire et apolaires, les molécules polaires s'attirent, se rapprochent, forment de micro goutelettes et excluent les molécules apolaires. C'est ce qui se passe avec le vinaigre et l'huile. L'eau est polaire, l'huile apolaire. (Le vinaigre est essentiellement formé d'eau). Les molécules d'eau restent scotchées entre elles donc les deux liquides ne se mélangent pas. Un composé "hyrdrophile' (qui aime l'eau, qui va se mélanger avec l'eau) est polaire. Un composé hydrophobe (qui fuit l'eau, qui va s'exclure de l'eau) est apolaire. '''Quand on met du bicarbonate de sodium avec du vinaigre, il se produit une réaction dite "acido-basique" dont un des résultats est la production de CO2 (dioxyde de carbone)''' Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et  bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) : NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>. Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) : CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>. Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) : H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub> La réaction complète se résume ainsi : NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide). Le bicarbonate de sodium est aussi appelé bicarbonate de soude. '''Les bulles de dioxyde de carbone restent collées sur le vinaigre quand la goutte est au fond du pot et elles éclatent à la surface de l'huile en raison de la tension supercielle''' Le vinaigre réagit avec le bicarbonate pour former du CO2. Celui-ci est en trop grandes quantités pour rester dissout dans le vinaigre, il forme de petites bulles. Sa densité est beaucoup plus faible que celle du vinaigre dont il remonte à la surface de la goutte de vinaigre. Quand il arrive à la surface de la goutte de vinaigre, il rencontre de l'huile. Si le seul phénomène en cours était la différence de densité, la bulle remonterait seule à la surface de l'huile. Mais ce n'est pas le cas. Le CO2 possède lui même une légère charge positive car la charge négative de l'atome de carbone C ne suffit pas tout à fait à équilibrer les charges positives des atomes d'oxygène O. Donc le CO2 se retrouve a avoir plus d'affinité pour l'eau (molécule polaire) que pour l'huile (molécule apolaire). Cette affinité du CO2 pour l'eau qui compose le vinaigre fait que la bulle de CO2 est plus stable en restant scotchée sur le vinaigre qu'en remontant dans l'huile. La tension qui existe à la surface de la bulle est plus faible au contact du vinaigre qu'au contact de l'huile. Donc la bulle reste scotchée jusqu'à ce que "l'effet bouée" fasse remonter le tout. Une fois à la surface, la bulle entre en contact avec l'air, la tension de contact à la surface de la bulle diminue brutalement et la bulle éclate.<br/>  
- Pour mieux comprendre ce phénomène de capilarité on peux aussi réaliser une expérience avec des tubes à essai pour l'observer sous une autre approche. http://pourquoicomment.over-blog.com/2016/12/pourquoi-le-papier-essuie-tout-absorbe-t-il-aussi-bien-les-liquides.html  +